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Si vous ne vous convertissez pas, vous périrez tous de même

Posté par diaconos le 24 octobre 2020

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Évangile de Jésus Christ selon saint Luc

Un jour, des gens rapportèrent à Jésus l’affaire des Galiléens que Pilate avait fait massacrer, mêlant leur sang à celui des sacrifices qu’ils offraient. Jésus leur répondit : « Pensez-vous que ces Galiléens étaient de plus grands pécheurs que tous les autres Galiléens, pour avoir subi un tel sort ? Mais si vous ne vous convertissez pas, vous périrez tous de même.     Et ces dix-huit personnes
tuées par la chute de la tour de Siloé, pensez-vous qu’elles étaient plus coupables que tous les autres habitants de Jérusalem ? Eh bien, je vous dis : pas du tout ! Mais si vous ne vous convertissez pas, vous périrez tous de même. »

Jésus disait encore cette parabole : « Quelqu’un avait un figuier planté dans sa vigne. Il vint chercher du fruit sur ce figuier, et n’en trouva pas. Il dit alors à son vigneron : “Voilà trois ans que je viens chercher du fruit sur ce figuier, et je n’en trouve pas. Coupe-le. À quoi bon le laisser épuiser le sol ?” Mais le vigneron lui répondit :  » “Maître, laisse-le encore cette année, le temps que je bêche autour pour y mettre du fumier. Peut-être donnera-t-il du fruit à l’avenir. Sinon, tu le couperas.”  (Lc 13, 1-9)

Nécessité de la repentance

Les ex­hor­ta­tions à la conver­sion furent en rap­port avec les aver­tis­se­ments  adressées aux juifs. Le mal n’est pas un châ­ti­ment du pé­ché en gé­né­ral, ou même par­fois des pé­chés in­di­vi­duels. Jé­sus ne nia point cette jus­tice qui s’exerce par les dis­pen­sa­tions de Dieu dans notre vie. Il dé­nonça des ju­ge­ments sem­blables à ses in­ter­lo­cu­teurs fri­voles, pour leur faire sen­tir qu’ils furen tout aussi pécheurs que ceux dont ils ra­contèrent com­plai­sam­ment la fin tra­gique.

Et les termes de cette me­nace purent s’en­tendre à la lettre : moins de qua­rante ans après, à la des­truc­tion de Jé­ru­sa­lem, des mil­liers de Juifs pé­rirent, soit égor­gés par les Ro­mains, soit écra­sés sous les dé­combres. Mais les aver­tis­se­ments de Jé­sus élevèrent notre pen­sée jus­qu’au ju­ge­ment éter­nel de Dieu, de­vant qui tous les hommes se­ront trou­vés cou­pables et dignes de condam­na­tion, à moins qu’ils ne se repentent.

La repentance est tou­jours le com­men­ce­ment de cette œuvre di­vine pour toute personne qui regrette ses fautes commises.  D’autres tra­duisent par le mot de conversion, ou se convertir, ce qui n’est pas non plus exact. Quoi qu’il en soit, être ré­gé­néré ou périr, telle fut l’al­ter­na­tive ri­gou­reuse que Jé­sus pré­senta à tout homme pé­cheur.

La tour de Siloé se trou­vait pro­ba­ble­ment au-des­sus de la source de ce nom ;, soit pour pro­té­ger la ville, soit pour abri­ter ceux qui v vinrent à la source. Jé­sus rap­pela cet exemple des ju­ge­ments de Dieu, ar­rivé à Jé­ru­sa­lem même, parce que, en concluant du châ­ti­ment des Ga­li­léens que tous les hommes furent cou­pables et durent se re­pen­tir, il ris­qua de ne pas at­teindre les Juifs qui l’écoutèrent, et qui dans leur or­gueil se curent beau­coup meilleurs que les Ga­li­léens.

Dans Luc et sur­tout dans Marc, la for­mule : Or il disait encore, in­dique une idée nou­velle et im­por­tante qui vint s’a­jou­ter à un dis­cours et en fut la conclu­sion  :  » Jésus dit encore aux foules : Quand vous voyez un nuage se lever à l’occident, vous dites aussitôt: La pluie vient. Et il arrive ainsi. » (lc 12, 54)  Cette parabole est une ad­mi­rable illus­tra­tion des ex­hor­ta­tions qui pré­cèdent. La vigne est plantée dans le ter­rain le plus fa­vo­rable à sa fer­ti­lité. Le maître fut en droit d’at­tendre d’elle lui beau­coup de fruits. Telle fut la condi­tion d’Israël, que Dieu favorisa de toutes ma­nières.

Diacre Michel,Houyoux

Liens avec d’autres sites chrétiens sur Internet

◊ RegnumChristi : cliquez ici pour lire l’article →  Si vous ne vous convertissez pas, vous périrez tous de même

◊ Pasteur J.P. Sternberger : cliquez ici pour lire l’article → « Si vous ne vous convertissez pas, vous périrez tous de même

Abbé Pierre Desroches : « Les Galiléens tués & Le figuier stérile »

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Heureux les serviteurs que le maître, à son arrivée, trouvera en train de veiller

Posté par diaconos le 20 octobre 2020

20.10.2020 – EVANGILE DU JOUR – Centre Romand de l'Apostolat Mondial de  Fatima

De l’Évangile de Jésus Christ selon saint Luc

En ce temps-là, Jésus disait à ses disciples : « Restez en tenue de service, votre ceinture autour des reins, et vos lampes allumées. Soyez comme des gens qui attendent leur maître à son retour des noces, pour lui ouvrir dès qu’il arrivera et frappera à la porte. Heureux ces serviteurs-là que le maître, à son arrivée, trouvera en train de veiller. Amen, je vous le dis : c’est lui qui, la ceinture autour des reins, les fera prendre place à table et passera pour les servir. S’il revient vers minuit ou vers trois heures du matin et qu’il les trouve ainsi, heureux sont-ils ! »

 (Lc 12, 35-38)

Aux disciples

Parabole du maître qui revient des noces : qu’ils aient leurs reins ceints et leurs lampes allumées, comme des serviteurs qui attendent leur maître. Heureux seront-ils, s’il les trouve veillant ; il les fera mettre à table et les servira.

Parabole du larron : si le maître de maison savait l’heure où le larron viendra, il veillerait… Veillez sans relâche, car le fils de l’homme viendra à l’heure où vous ne l’attendez pas.

Aux apôtres : parabole de l’économe

Pierre demanda si le précédent enseignement s’appliquait à eux, apôtres, ou aussi à tous. Jésus répondit d’une manière indirecte, par une parabole : L’économe fidèle et prudent que le maître eut établi sur ses serviteurs, leur dispense leurs rations au temps voulu. À son retour le maître lui confia tous ses biens.

Portrait de l’apôtre infidèle : Mais si, comptant sur le retard du maître, il battu serviteurs et servantes et s’enivra, le maître survint inopinément et le mit en pièces. Celui qui eut connu la volonté du maître fut puni plus sévèrement que celui qui l’ignora. À qui il fut beaucoup donné, il fut beaucoup redemandé. Jésus vint jeter un feu sur la terre ; il fut baptisé d’un baptême qui le mit dans l’angoisse. Pour les disciples,  Jésus fut venu apporter la division jusque dans les relations familiales.

Les partisans de Jésus ne discernèrent pas les approches de la grande révolution morale qui s’accomplit. Jésus invita ses auditeurs à décider par eux-mêmes, et suivant les seuls avis de leur conscience, quelle conduite ils durent avoir. Par la parabole des deux plaideurs qui furent en chemin pour se rendre devant le juge, il leur représenta l’urgence de la réconciliation avec Dieu.

Luc passa sans tran­si­tion ap­pa­rente à la se­conde par­tie du dis­cours :  «  Votre Père vous a donné un royaume qui vous élève au-des­sus de toutes les in­quié­tudes de la vie, et au­quel vous de­vez tout sa­cri­fier ; soyez donc dans une at­tente vi­gi­lante jus­qu’au mo­ment où le Sei­gneur vien­dra vous mettre en pos­ses­sion de sa gloire. Cette at­ti­tude vous sera na­tu­relle, car en vous dé­ta­chant d’ici-bas, vous vous at­ta­che­rez au ciel ; votre cœur sui­vra votre tré­sor et, en étant élevé au ciel, il de­meu­rera dans l’at­tente de Ce­lui qui y règne et qui doit vous y faire en­trer. »

L’i­mage qui illustre ce de­voir de la vi­gi­lance est em­prun­tée à une mai­son dans la­quelle les ser­vi­teurs se tiennent prêts, du­rant les veilles de la nuit, à re­ce­voir leur maître qui revient d’un ban­quet de noces.  Leurs longs vê­te­ments orien­taux furent ceints au­tour de leurs reins, afin qu’ils purent faire li­bre­ment leur ser­vice. Ils eurent à la main des lampes allumées ; ils furent prêts à ouvrir à leur maître dès qu’il heurta la porte.  Cette po­si­tion de ser­vi­teur que le Sei­gneur prit du­rant sa vie sur la terre, il la prit en­core quand il vint éle­ver les siens jus­qu’à sa gloire et les rendre sem­blables à lui dans l’é­ter­nité.

Cette pro­messe de les ser­vir est la plus ho­no­rable et la plus grande de toutes. C’est ainsi que l’époux re­ce­vra ses amis au jour so­len­nel des noces. (Bengel)

Diacre Michel Houyoux

Complément

Diacre Michel Houyoux : cliquez ici pour lire l’article → Qui est mon prochain ?Qui es  mon prochain ?

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◊ Regnum Christi : cliquez ici pour lire l’article →   Heureux les serviteurs que le maître, à son arrivée, trouvera en train de veiller

◊ Catholique.org : cliquez ici pour lire l’article →   Il les servira – Les méditations

Commentaire de l’Abbé Pierre Desroches  : « La joie de l’attente pour ceux qui sont vigilants »

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La trentesima domenica in tempo ordinario – Anno A

Posté par diaconos le 20 octobre 2020

Amerai il Signore tuo Dio e il tuo prossimo come te stesso

Le Bon Samaritain est une parabole du Nouveau Testament dont se sert Jésus de Nazareth pour illustrer sa définition de l'« amour du prochain ». Il répond à une question qui lui est posée à propos de la « Règle d'or » de l'Ancien Testament : « Tu aimeras ton prochain comme toi-même » (Lévitique 19:18).

l Buon Samaritano è una parabola del Nuovo Testamento che Gesù di Nazareth ha usato per illustrare la sua definizione di amore per il prossimo. Rispose a una domanda sulla regola d’oro dell’Antico Testamento: « Amerai il tuo prossimo come te stesso » (Levitico 19, 18).

Dal Vangelo di Gesù Cristo secondo Matteo

In quel tempo i Farisei, sentendo che Gesù aveva chiuso la bocca ai Sadducei, si riunirono e uno di loro, un medico della Legge, chiese a Gesù una domanda per metterlo alla prova: Qual è il grande comandamento ? Gesù gli rispose : « Amerai il Signore tuo Dio con tutto il tuo cuore, con tutta la tua anima e con tutta la tua mente ». Questo è il grande, primo comandamento. E il secondo è simile: Amerai il tuo prossimo come te stesso.     Da questi due comandamenti dipende tutta la Legge e i Profeti.  » (Mt 22, 34-40)

Amatevi l’un l’altro come io amo voi

In famiglia o in una conversazione casuale nel vostro ambiente professionale, vi sarà stato chiesto : « In cosa credete ?  »  Di solito non ci piace essere interrogati in questo modo, soprattutto quando la domanda è maliziosa o quando la persona con cui stiamo parlando non sembra agire in buona fede. Gesù non è sfuggito a questo tipo di trappola : i maestri ebrei lo hanno spiato per catturarlo, tutti uniti contro di lui!

Ai tempi di Gesù, la legge aveva 613 precetti, 365 divieti e 248 comandamenti ! Per i capi religiosi, la grande priorità era il rispetto di questi precetti. Vedevano solo ciò che era permesso o proibito e avevano disprezzo per coloro che non rispettavano questa Legge.

La discussione del Grande Comandamento si svolse in particolare tra i farisei, che difendevano la pari importanza di questi precetti, e coloro che volevano classificarli per presentare il centro della religione ebraica agli estranei. I farisei, visto che i loro avversari sadducei erano stati messi a tacere, presero in mano e delegarono a Gesù uno dei loro specialisti, un perfetto conoscitore della Legge.

« Maestro, nella Legge, qual è il più grande comandamento ?  «  La cosa più importante per Gesù era il suo amore assoluto per il Padre e il suo desiderio di salvare tutti gli uomini. È sicuramente bene tener conto di ciò che è permesso e proibito, ma Cristo vuole aiutarci ad andare oltre ; ci rimanda all’essenziale : « Amerai il Signore tuo Dio ».

Questo è il primo comandamento. Quando abbiamo capito veramente questo, non possiamo più limitarci a ciò che è permesso e ciò che è proibito; diamo il meglio di noi stessi. Il nostro amore per Dio è una priorità assoluta che illumina tutta la nostra vita.  « Amerai il Signore tuo Dio » esprime non solo tutto ciò che è nella Legge e nei Profeti, senza il quale tutto il resto non ha senso, ma con questa risposta Gesù ha consegnato il segreto della sua vita e l’amore di cui si è parlato non è stato semplicemente un sentimento : si è tradotto in un impegno, un dono di sé e della propria vita.

Dio ci ama con un amore molto concreto, ed è in modo molto concreto che siamo chiamati ad amare a nostra volta. La prima lettura, tratta dal libro dell’Esodo, ci fornisce alcuni esempi : « Non maltrattate l’emigrante che risiede nella vostra casa, non sopraffattete la vedova e l’orfano »….

Il secondo comandamento è simile al primo : « Ama il tuo prossimo come te stesso ». Possiamo dire di amare Dio con tutto il cuore, con tutta l’anima e con tutte le nostre forze se rimaniamo arrabbiati con qualcuno. È quindi urgente fare gesti di pace e accogliere quelli degli altri. Domani potrebbe essere troppo tardi.

Il nostro amore, per gli altri, deve prima manifestarsi nelle nostre parole e nei nostri scritti. Il danno che la calunnia e la calunnia possono causare è terribile: le parole possono ferire molto più dei bastoni e delle pietre. È meglio incoraggiare piuttosto che sminuire la persona che ha sbagliato o che ha dei limiti. Amare alla maniera di Cristo è condividere, accogliere, donarsi. Lo capiamo quando guardiamo la sua Croce: ha dato se stesso fino alla fine, al dono della sua vita.

Lo Spirito Santo è lì per ispirarci a vivere questo amore fraterno: questo può essere fatto attraverso gesti molto semplici, un sorriso amichevole, un ascolto umile, l’accettazione del punto di vista dell’altro, uno sforzo per essere gentili con la persona che è sgradevole. E naturalmente non dimentichiamo che la preghiera crea una straordinaria rete di solidarietà. Pregare per gli altri è anche un modo per amarli.

Chi è il mio prossimo ?

  Per mettere in imbarazzo Gesù, un dottore della Legge ha posto a Gesù questa domanda : « Maestro, cosa devo fare per avere la vita eterna? « (Lc 10, 25) La gente ha sempre sperato in un’altra vita. Gesù ne parlava spesso. Ha persino detto : « Questa vita è già iniziata. «  È già stato vissuto, anche se non ancora finito. Ma in cosa consiste? E soprattutto, cosa dobbiamo fare per averla ? Questa era la domanda dello Scriba, ed è anche la nostra.

Gesù gli chiese : « Che cosa sta scritto nella Legge ?  Cosa leggi ?  L’altro rispose : « Amerai il Signore tuo Dio con tutto il tuo cuore e con tutta la tua anima, con tutte le tue forze e con tutta la tua mente, e il tuo prossimo come te stesso ».  Gesù gli disse : « Hai risposto correttamente. Fatelo e avrete la vita eterna.  » (Lc 10:26-27)

È molto vicina a te, questa Parola, è nella tua bocca e nel tuo cuore perché tu possa metterla in pratica. Basta amare!  La Legge di Dio è semplice per chi ascolta. La salvezza si gioca nel nostro atteggiamento verso il prossimo. Tutto ciò che facciamo agli altri arriva a Dio.

Vivere per sempre. Quindi dobbiamo amare! L’amore! L’amore per Dio e l’amore per il prossimo sono inseparabili. È così nella tua vita ? Il messaggio di Gesù è profondamente umano. L’amore è la legge fondamentale per tutti. In questa parabola del Samaritano, il prossimo che dobbiamo amare non era il ferito disteso sulla strada, ma il Samaritano che si è fatto vicino all’altro !

Se trasponiamo questa storia nella nostra vita, capiremo facilmente che dobbiamo prima di tutto amare tutte le persone che, nel corso della nostra vita, si sono avvicinate a noi per venire in nostro aiuto, il che non ci esime dal diventare a nostra volta il prossimo degli altri.

Il nostro vicino è in primo luogo i nostri genitori, i nostri primi educatori. L’ingratitudine verso di loro è il peccato che si oppone all’amore del prossimo.  Il nostro vicino di casa è allora la persona che ci ha educato, al di fuori del seno familiare, e che ci ha permesso di accedere alla conoscenza, di forgiare la nostra personalità, di acquisire una professione o di scoprire ciò che è essenziale nella mia vita.

Il nostro vicino è il nostro coniuge. Amandoci, scegliendoci soprattutto per la vita, ci ha rivelato che abbiamo un valore, il nostro prossimo è il nostro figlio che ci ha portato tanto! Dobbiamo loro un legittimo senso di orgoglio. Dobbiamo loro un senso di significato nella nostra vita. Essi consolidano e a volte anche salvano l’unità della casa.

Il nostro prossimo è ancora tutta quella gente amichevole che in tutta la nostra vita ha portato gioia e sale, e che è stata presente al nostro fianco in tempi di turbolenza. Il nostro vicino è anche il nostro compagno di lavoro o di associazione, nella misura in cui è stato per noi una presenza stimolante e utile.  Il nostro prossimo per eccellenza è Dio stesso, perché a lui dobbiamo tutto! Ci ha dato tutto, soprattutto la vita, la sua vita e Gesù, il suo unico Figlio.

Chi avrebbe potuto fare di più? Come non amare questo Cristo che si è fatto così tanto prossimo agli uomini da venire a condividere la loro vita ? « Andate e fate altrettanto » (Lc 10,37b), Chi più di lui si è piegato sull’umanità peccatrice per condurla sulla strada dell’amore ? E così amare il prossimo come se stessi è amarlo per gratitudine, nell’effusione di una gioiosa gratitudine. disse Cristo all’avvocato.

In altre parole, nella disponibilità e nell’ascolto, diventare il vicino dell’altro. Essere il generoso vicino alle persone bisognose: un modo indiretto di pagare il proprio debito a chi ci ha aiutato.

Il Diaono  Michel Houyoux,

Link ad altri siti web cristiani

◊  Qumran : clicca qui per leggere, l’articolo  →  Testi – XXX Domenica del Tempo Ordinario (Anno A)

COMMENTO DI DON ANGELO SPILLA : « AMERAI IL SIGNORE DIO TUO E IL PROSSIMO COME TE STESSO « 

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Neunundzwanzigster Sonntag in der gewöhnlichen Zeit des Jahres A

Posté par diaconos le 18 octobre 2020

Arme, in einer gerechten Wirtschaft des Heils !

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Gebt dem Kaiser, was Caesar gehört, und Gott, was Gott gehört

Aus dem Evangelium nach Matthäus

Zu dieser Zeit gingen die Pharisäer zum Konzil, um Jesus in eine Falle zu locken, indem sie ihn zum Sprechen brachten. Sie sandten ihre Jünger zu ihm, begleitet von den Anhängern des Herodes: « Lehrer », sagten sie zu ihm, « wir wissen, dass du immer wahrhaftig bist und dass du den Weg Gottes in Wahrheit lehrst; du lässt dich von niemandem beeinflussen, denn du betrachtest die Menschen nicht nach ihrem Aussehen. Dann sagen Sie uns Ihre Meinung: Ist es zulässig, ja oder nein, Steuern an Caesar, den Kaiser, zu zahlen? « Da Jesus ihre Perversität kannte, sagte er: « Ihr Heuchler, warum wollt ihr mich prüfen? Zeigen Sie mir die Steuergelder. « Sie überreichten ihm eine Münze mit einem Denar. Er sagte zu ihnen: « Diese Figur und diese Inschrift, wem gehören sie? « Sie sagten: « Caesar’s.  » Dann sagte er zu ihnen: « Gebt also dem Kaiser, was dem Kaiser gehört, und Gott, was Gott gehört. « Darum gebt dem Kaiser, was dem Kaiser gehört, und Gott, was Gott gehört. »  (Mt 22, 15-21).

Armut des Herzens ! Das Königreich des Himmels !

O Herr, unser Gott, wie groß ist dein Name auf der ganzen Erde! Deine Pracht wird durch die Mün der der Kinder, der Kleinen, zum Himmel gesungen: ein Bollwerk, das du dem Gegner entgegensetzt, wo der Feind in seiner Rebellion zerbricht. Wenn Sie Ihren Himmel sehen, die Arbeit Ihrer Finger, den Mond und die Sterne, die Sie anschauen, was ist der Mensch, dass Sie an ihn denken sollten, den Menschensohn, dass Sie sich um ihn kümmern sollten ? Du hast ihn ein wenig weniger gewollt als ein Gott und ihn mit Ruhm und Ehre gekrönt: Du hast ihn über die Werke deiner Hände gesetzt, du hast ihm alles zu Füßen gelegt: Herr, unser Gott, wie groß ist dein Name auf der ganzen Erde!  (Ps 8) Möge ich niemals dein Bild und dein Ebenbild in meiner Seele verlieren – deine Gerechtigkeit !

Autorin +FATHER MARIE LANDRY C+MPS

Gib dem Kaiser, was dem Kaiser gehört

Heute wird uns ein bekanntes Jesus-Zitat zur Betrachtung vorgelegt : « Gebt dem Kaiser, was des Kaisers ist, und Gott, was Gottes ist » (Mt 22,21).  » Heuchler ! Warum wollt ihr mich testen? «  Wenn wir unsere Reflexion mit einem leicht gewalttätigen Satz in der Mitte dieses Evangelienberichts beginnen, dann liegt hier das Zentrum des Problems Jesu mit den Pharisäern, den Pharisäern mit Jesus: ihre Heuchelei.

Tatsächlich hat uns der heilige Matthäus gut in das Thema eingeführ : « Zu jener Zeit gingen die Pharisäer hinaus, um Jesus zu beraten, indem sie ihn zum Sprechen brachten. « In einer wahrheitsgetreuen Sprache unter Menschen guten Willens stellt der Verstand Fragen, um die Wahrheit zu erkennen, der Wille sucht Rat, um das Gute zu erkennen, das zu tun ist. Redefallen zu stellen ist ein Akt des bösen Willens, der versucht, die Position des Redners zu verfälschen und ihn mit perversen Absichten zu diskreditieren.

Hier folgt unsere Lektüre nicht dem allwissenden Erzähler eines Romans, der eine Episode in einer fiktiven Welt erzählt: Es ist eine wahre Geschichte des Lebens Jesu, in der der heilige Matthäus Augenzeuge war; außerdem bezeugte der heilige Johannes gleich zu Beginn seines Evangeliums: « Jesus vertraute ihnen nicht, denn er kannte sie alle und brauchte kein Zeugnis über den Menschen; denn er selbst wusste, was im Menschen war. «  (Joh 2, 24-25)
.
Jesus hat die Pharisäer gerade Heuchler genannt, weil er ihre Herzen kennt, das heißt, er weiß, dass sie durch ihre falschen Urteile unehrliche Geschichten erfinden, während sie den Menschen durch raffinierte Argumentation gerecht erscheinen wollen. Wir sind immer vor Jesus, sanftmütig und von Herzen demütig (Mt 11,29), zu Recht zornig! Er ist bereit, uns zu verzeihen, wenn wir schwach sind, uns zu erziehen, wenn wir unwissend sind: Andererseits duldet er kaum den Versuch, die Wahrhaftigkeit und Gerechtigkeit seines Zeugnisses, des Abbildes seiner göttlichen Person, zu leugnen!

Lasst niemanden von dem Weg, der Wahrheit und dem Leben abweichen, die diesem Menschensohn eingeschrieben sind! Er ist immer wahrhaftig und lehrt den Weg Gottes in Wahrheit; er lässt sich von niemandem beeinflussen, denn er betrachtet die Menschen nicht nach ihrem Aussehen : « Heuchler !  Heuchler », also Menschen, die diese Züge – den Glanz seiner göttlichen Person, der durch seine Menschlichkeit leuchtet – erkennen, ohne ihn anzubeten, ohne ihn nachzuahmen, ohne so sein zu wollen wie er: « das Abbild des unsichtbaren Gottes » (Kol 1,15), die Währung des Himmelreiches !

« Dieses Bildnis und diese Inschrift, wem gehören sie? « Sollte das Geld der Welt mir gehören, oder sollte ich Gott als seine Währung gehören ? Bin ich eifersüchtig auf den Besitzer des Geldes, dessen Bildnis und Inschrift auf ihm erscheinen – ohne der Eifersucht Gottes nachzugeben, der will, dass die Tugenden seiner unentgeltlichen Liebe durch die Heiligkeit meines Lebens in der Welt erscheinen ?   « Selig sind die Armen im Herzen, denn ihrer ist das Himmelreich.  » (Mt 5, 3)

In einer anderen Auseinandersetzung mit der Obrigkeit hatte Jesus bekräftigt: « Der Vater und ich sind eins » (Joh 10,30), d.h. er zögerte nicht, die Aufmerksamkeit auf die Frage seiner Identität zu lenken, und lud sogar seine Zuhörer ein, sein Beispiel zu untersuchen und dort das Bild des unsichtbaren Gottes am Werk zu finden: Jesus ist das Zentrum, das Kriterium, das Modell unseres Lebens, die Art und Weise, Gott in allen Dingen zu lieben und unseren Nächsten wie uns selbst.

« Steht in Ihrem Gesetz nicht geschrieben : Ich sagte:  » Ihr seid Götter? Sie nennt sie daher Götter, an die das Wort Gottes gerichtet war, und die Schrift kann nicht abgeschafft werden. Nun sagt ihr zu dem, den der Vater geweiht und in die Welt gesandt hat

 » Wenn ich sie mache, auch wenn Sie mir nicht glauben, glauben Sie den Werken. Dann werden Sie immer mehr und mehr wissen, dass der Vater in mir ist und ich in dem Vater.   » (Joh 10, 34-38)  Das ist die leuchtende Spiritualität, die Jesus, der Sohn Gottes, mit uns teilen will, während er nun gezwungen ist, unsere Materialität, ja sogar unsere materialistische Sklaverei, durch ein solch profanes Beispiel, das nur aus der Falle unserer sündigen Finsternis kommt, zu zerstreuen!

« Gebt also dem Kaiser, was dem Kaiser gehört, und Gott, was Gott gehört! « Sünde macht einen Sklaven, Heuchelei macht ein Tier. Es ist eine Pflicht, Cäsar zu dienen, so wie es eine Pflicht ist, Gott zu dienen! Die erste der Kardinaltugenden, die Gerechtigkeit, gibt dem anderen, was ihm zusteht. Der Sünder verliert seine Gerechtigkeit, indem er sich selbst mehr liebt als Gott und seinen Nächsten. Lasst niemanden von dem Weg, der Wahrheit und dem Leben abweichen, die diesem Menschensohn eingeschrieben sind! Er ist immer wahrhaftig und lehrt den Weg Gottes in Wahrheit; er lässt sich nicht .

In einer anderen Auseinandersetzung mit der Obrigkeit hatte Jesus bekräftigt : « Der Vater und ich sind eins  » (Joh 10,30), d.h. er zögerte nicht, die Aufmerksamkeit auf die Frage seiner Identität zu lenken, und lud sogar seine Zuhörer ein, sein Beispiel zu untersuchen und dort das Bild des unsichtbaren Gottes am Werk zu finden: Jesus ist das Zentrum, das Kriterium, das Modell unseres Lebens, die Art und Weise, Gott in allen Dingen zu lieben und unseren Nächsten wie uns selbst.

« Steht in Ihrem Gesetz nicht geschrieben : Ich sagte : « Ihr seid Götter? Sie nennt sie daher Götter, an die das Wort Gottes gerichtet war, und die Schrift kann nicht abgeschafft werden. Nun sagt ihr zu dem, den der Vater geweiht und in die Welt gesandt hat : « Du lästerst », weil ich gesagt habe : « Ich bin Gottes Sohn ». Wenn ich die Werke meines Vaters nicht tue, glauben Sie mir weiterhin nicht.

 » Wenn ich sie mache, auch wenn Sie mir nicht glauben, glauben Sie den Werken. Dann werden Sie immer mehr und mehr wissen, dass der Vater in mir ist und ich in dem Vater.   » (Joh 10, 34-38)  Das ist die leuchtende Spiritualität, die Jesus, der Sohn Gottes, mit uns teilen will, während er nun gezwungen ist, unsere Materialität, ja sogar unsere materialistische Sklaverei, durch ein solch profanes Beispiel, das nur aus der Falle unserer sündigen Finsternis kommt, zu zerstreuen !

« Gebt also dem Kaiser, was dem Kaiser gehört, und Gott, was Gott gehört! « Sünde macht einen Sklaven, Heuchelei macht ein Tier. Es ist eine Pflicht, Cäsar zu dienen, so wie es eine Pflicht ist, Gott zu dienen! Die erste der Kardinaltugenden, die Gerechtigkeit, gibt dem anderen, was ihm zusteht. Der Sünder verliert seine Gerechtigkeit, indem er sich selbst mehr liebt als Gott und seinen Nächsten.

Diakon Michel Houyoux

Ergänzung

◊ Diakon Michel Houyoux : klicken Sie hier, umden Artikel zu lesen →  Neunundzwanzigster Sonntag in gewöhnlicher Zeit – Jahr A

 Links zu anderen christlichen Seiten im Internet

◊ Vatican : klicken Sie hier, umden Artikel zu lesen →   Unser Sonntag: Gib Gott, was Gott gehört

◊ Josef Winkler : klicken Sie hier, umden Artikel zu lesen → Gebt dem Kaiser, was dem Kaiser gehört, und Gott,  was Gott gehört !

Predigen des Vaters  P. Rauch SJ, A-KW42 : « Gebt dem Kaiser, was dem Kaiser gehört, und Gott, was Gott gehört »

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