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Comme une offrande parfaite, il les accueille

Posté par diaconos le 2 novembre 2020

" Les âmes des justes sont dans la main de Dieu ! "

# La rétribution des âmes, la rétribution après la mort, est, en religion, la récompense ou la punition qu’il advient au défunt, après sa vie, dans l’Au-delà. Platon, le premier sans doute en Occident, lie la notion de rétribution des âmes à celle de transmigration des âmes. Il existe plusieurs formes : le Jugement dernier, la loi du karma…, peut-être la justice immanente. Platon avance, le premier en Occident, la théorie de la rétribution des âmes, dans le cadre de la métempsycose. Il dit ceci dans le Phédon (63c) : « J’ai bon espoir que, pour les morts, quelque chose existe, et, comme cela se dit du reste depuis longtemps, quelque chose qui est bien meilleur pour les bons que pour les mauvais ». Platon avanèa que « cela se dit depuis longtemps », mais pas vraiment : Homère ne crut pas à des sanctions post mortem, les Mystères d’Éleusis admirent que les profanes allèrent dans un Bourbier et que les initiés entreront dans la félicité des Îles des Bienheureux sans idée de sanction, l’orphisme supposa une réincarnation ou une palingénésie qui tint plus d’un accord que d’une règle, Pythagore affirma la métempsycose sans pour autant affirmer qu’il y eut récompense ou châtiment.

Du livre de la Sagesse

Les âmes des justes sont dans la main de Dieu ; aucun tourment n’a de prise sur eux. Aux yeux de l’insensé, ils ont paru mourir ; leur départ est compris comme un malheur, et leur éloignement, comme une fin : mais ils sont dans la paix.  Au regard des hommes, ils ont subi un châtiment, mais l’espérance de l’immortalité les comblait.
Après de faibles peines, de grands bienfaits les attendent, car Dieu les a mis à l’épreuve et trouvés dignes de lui. Comme l’or au creuset, il les a éprouvés ; comme une offrande parfaite, il les accueille.
Au temps de sa visite, ils resplendiront : comme l’étincelle qui court sur la paille, ils avancent.   Ils jugeront les nations, ils auront pouvoir sur les peuples, et le Seigneur régnera sur eux pour les siècles.
Qui met en lui sa foi comprendra la vérité ; ceux qui sont fidèles resteront, dans l’amour, près de lui. il visitera ses élus. »  (Sg 3, 1-6.9)

Le livre de la Sagesse

Au cours des derniers siècles avant Jésus-Christ, la culture grecque introduite par Alexandre, pénétra dans tous les pays du Moyen-Orient. Les grecs eurent une nouvelle façon de concevoir la liberté individuelle, la noblesse d’esprit, l’intérêt pour la recherche scientifique, le sens de la beauté physique.

Les juifs durent s’ouvrir à cette nouvelle façon de,penser : leur culture furent intimement liée aux paroles de Dieu reçues durant des siècles. Le livre de la Sagesse fut le premier grand effort fit par un juif vivant dans le monde grec, pour exprimer la foi et la sagesse d’Israël, en grec, ais aussi sous une forme plus adaptée à, la culture grecque.

Ce livre chercha à répondre aux questions angoissantes posées par le mal, la souffrance et la mort ; il esquissa une preuve de l’existence de Dieu dont l’apôtre Paul s’inspira. Il montra que la miséricorde de Dieu s’appliquerait à, tous sans exceptions. Le livre de la Sagesse fut écrit en Égypte entre 80 et 50 avant le Christ.

  »Les âmes des justes sont dans la main de Dieu »  : c’est la grande affirmation de ce livre. Dans les livres antérieurs de la Bible, l »âme signifia seulement le souffle de la vie, qui disparaît à la mort de chaque personne. Cette mort contredit la bonté de Dieu : « Il n’est pas le Dieu des morts, mais des vivants. Tous, en effet, vivent pour lui. » (Lc 20, 38)

Cet extrait de la Sagesse donna d’abord la parole aux incroyants, qui ne trouvèrent pas de sens à la vie. Le message proclamé ensuite répondit aux graves questions existentielles que  l’humanité se pose à chaque époque, celles que provoque la mort, surtout lorsqu’elle est ressentie comme une injustice. Que dire devant la victime de la maladie ou, plus absurde encore, devant l’innocent anéanti par la méchanceté humaine ? C’était le cas des martyrs.

Mais prophètes et sages éclairèrent le peuple de Dieu par cette comparaison si éloquente : « La vie des justes est dans la main de Dieu. » Or Jésus affirma que la tendresse de Dieu entoure ses enfants. Ils entrèrent dans la paix. ils jouiront de ce qu’ils espérèrent de leur vivant. La mort des amis de dieu, amène souvent la paix aux personnes qui vécurent à leurs côtés. Ce fut souvent par leur mort que les martyrs firent triompher la cause par laquelle ils vécurent.

La vie immortelle fut là pour soutenir leur espérance. Les martyrs s’appuyèrent sur cette espérance. Le livre de la Sagesse adopta l’idée grecque d’une âme immortelle par nature, pour qui la résurrection n’eut pas de sens.

Ils gouverneront les nations. La Bible développa cette promesse à partir du temps des Macchabées, avec le livre de Daniel. En Daniel 7, 14 et 27 il s’agissait bien d’une domination du monde par le peuple juif. Pourtant Jésus  dévoila le sens vrai et profond de cette promesse lorsqu’il se l’appliqua à lui-même, affirmant qu’il  eut désormais tout pouvoir pour mener à bien l’histoire de la planète :

(Matthieu 27 64 et 28 18). C’est dans cette nouvelle perspective que le Nouveau Testament comprend le règne sur les nations promis aux apôtres (Luc 22 30) et aux témoins de la foi (Apocalypse 2 26). Celui qui sert l’Évangile dans les combats de la foi verra un jour comment ses efforts jamais célébrés ni peut-être connus ont pesé sur la marche des événements.

Semblables à la flamme légère… (7) comme en Abdias 1 18, pour réduire en cendres les peuples inutiles : « Ordonne donc que le sépulcre soit gardé jusqu’au troisième jour, afin que ses disciples ne viennent pas dérober le corps, et dire au peuple : Il est ressuscité des morts. Cette dernière imposture serait pire que la première. » (Mt 7, 64)

Diacre Michel Houyoux

Complément

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Abbé Pierre Desroches : « La mort n’est pas une coupure »

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Trentaduesima domenica in tempo ordinario nell’anno A

Posté par diaconos le 2 novembre 2020

Voici l'époux ! Sortez à sa rencontre.

Ecco lo sposo, vieni fuori a conoscerlo !

# La parabola del banchetto di nozze è una parabola di Gesù raccontata nel Vangelo secondo Matteo (22,1-14), nel Vangelo secondo Luca (14,16-24) e nell’apocrifo Vangelo di Tommaso. Potrebbe essere chiamata anche: Parabola dello sposalizio del figlio del re. Parabola del grande banchetto È una parabola nella quale Gesù illustra le caratteristiche del Regno dei Cieli. Matteo colloca la parabola nella discussione accesa tra Gesù ed i capi del popolo ebraico poco prima della passione di Gesù ; Luca invece la mette in un contesto di maggior dialogo tra Gesù ed i farisei. In Matteo gli invitati alle nozze, non solo rifiutano l’invito, ma anche insultano ed uccidono i servi del re e a loro volta vengono uccisi dal re. Luca parla semplicemente di un rifiuto dell’invito senza ulteriori conseguenze. Per Matteo la parabola illustra le caratteristiche del Regno dei Cieli, mentre per Luca non c’è nessun riferimento al regno. Il Vangelo di Tommaso, essendo semplicemente una raccolta di frasi di Gesù, non contestualizza la parabola.

Dal Vangelo di Gesù Cristo secondo Matteo

In quel tempo Gesù disse ai suoi discepoli questa parabola : « Il regno dei cieli sarà come dieci giovani ragazze invitate a una festa di nozze, che hanno preso le loro lampade per andare incontro allo sposo. Cinque di loro erano spensierati, e cinque erano lungimiranti: quelli spensierati prendevano le loro lampade senza portare l’olio, mentre quelli lungimiranti prendevano bottiglie d’olio con le loro lampade.
E quando lo sposo ha ritardato, tutti si sono addormentati e si sono addormentati. Nel cuore della notte c’era un grido: « Ecco lo sposo ! Vieni fuori ad incontrarlo. Poi tutte le ragazze si svegliarono e cominciarono a preparare le loro lampade.
Quelli spensierati chiedevano ai lungimiranti : « Dateci un po’ del vostro olio, perché le nostre lampade si stanno spegnendo ». Il lungimirante ha risposto : « Non sarà mai abbastanza per noi e per voi, quindi andate al mercato e compratelo ».
Mentre andavano a comprarne un po’, è arrivato lo sposo. Quelli che erano pronti andarono con lui nella sala delle nozze, e la porta era chiusa. Più tardi, le altre ragazze sono venute a loro volta e hanno detto : « Signore, Signore, apriti per noi ».
Ha detto: « Amen, ti dico, non ti conosco. « Guardate dunque, perché non sapete né il giorno né l’ora.  » (Mt 25, 1-13)

Devi farlo !

Nella sua enciclica Populorum progressio (dal Vaticano, nella festa di Pasqua del 26 marzo 1967), papa Paolo VI affermava : « Ogni vita è una vocazione » perché è una chiamata alla santità, una chiamata a vivere la vita stessa di Dio essendo totalmente trasfigurato dal suo amore.

Come chiamata, la vocazione invita a rispondere. Quella che il Signore si aspetta da noi è una risposta di fede. Anche Pietro è stato chiamato dal Signore e la sua risposta è stata espressa in questa ammirevole professione di fede : « Tu sei il Messia, il Figlio del Dio vivente.  Tu sei il Messia, il Figlio del Dio vivente » (Mt 16, 16).

Ma probabilmente Pietro non ha percepito il significato delle sue parole. La pagina evangelica di questa domenica ci mostra : nel momento in cui ha appena ottenuto la prima professione di fede dai suoi discepoli, e da Pietro in particolare, Gesù fa il primo annuncio della sua Passione : « Da quel giorno Gesù cominciò a mostrare ai suoi discepoli che doveva andare a Gerusalemme, soffrire molto per mano degli anziani, dei capi dei sacerdoti e degli scribi, essere ucciso e risorgere il terzo giorno » (Mt 16, 21).

Nella nostra vita, certi eventi segnano una rottura che è un richiamo a qualcos’altro. Gesù stesso ha vissuto tali situazioni: Gesù cominciò a dire ai suoi discepoli che doveva partire per Gerusalemme. Gesù doveva maturare questa decisione: doveva !

Questa espressione, in senso biblico, significa sempre un riferimento alla volontà del Padre. Quando diciamo che dobbiamo, a nostra volta, aderire nella fede alla volontà del Padre.  Gesù aveva appena trent’anni, nel fiore degli anni, e il suo ministero stava per terminare bruscamente. Dal punto di vista umano, è stato un fallimento. L’odio delle autorità religiose e civili e l’abbandono delle folle: gli anziani, i capi dei sacerdoti, gli scribi, tutti i notabili e i governanti di Gerusalemme erano contro di lui !

Da quel momento in poi (Mt 16,21a), Gesù annunciò la sua Passione per tre volte (Mt 16,21; Mt 17,22-23 e Mt 20,18-19). Prendendolo da parte, Pietro cominciò a rimproverarlo severamente : « Dio non voglia, Signore! Questo non vi succederà. Non vi succederà » (Mt 16, 22).

Pietro si rifiutò di vedere Gesù come il servo sofferente. Ci vuole una fede forte per accettare il mistero di Gesù, il Salvatore del mondo attraverso la croce. È in questo momento che Gesù rivolge a tutti la sua chiamata : « Se qualcuno vuole seguirmi, deve rinunciare a se stesso, prendere la sua croce e seguirmi.  «  (Mt 16, 24).

Seguire Cristo è anche purificare la nostra preghiera. Troppo spesso ci rivolgiamo a lui quando le cose vanno male. E vogliamo che faccia qualcosa per rendere tutto migliore. Non dobbiamo dire a Dio cosa fare. Dio non è impegnato al nostro servizio. Non è il nostro ragazzo. Alcuni non pregano più e non vanno più a Messa perché, dicono, è inutile. Ed è qui che ci sbagliamo. Non preghiamo, non andiamo a Messa per noi stessi ma per Dio. Quando amiamo, non pensiamo prima a noi stessi ma all’altro. Chi ama veramente è pronto a sacrificarsi per l’altro.

Il Vangelo di oggi ci dà un comandamento molto forte : « Mettetevi dietro di me!  « È una chiamata a cambiare il nostro modo di guardare a Dio e il significato che diamo alla nostra vita. La cosa più importante non è il successo materiale, la promozione, la valorizzazione del sé. Gesù vorrebbe indirizzarci verso un’altra logica, quella del vero amore, del dono di sé, della gratuità. È su questa strada che siamo chiamati a seguirlo. Scegliendo Cristo, noi scegliamo la Vita. Dio è amore, e il suo amore è il segreto

Deacon Michel Houyoux

Link ad altri siti web cristiani

◊ Celebrazione della parola : clicca qui per leggere l’articolo →  TRENTADUESIMA DOMENICA DEL TEMPO,  ANNO A

◊ Qumran clicca qui per leggere l’articolo →  XXXII Domenica del Tempo Ordinario (Anno A) 

Padre Fernando Armellini : « Vegliate, vigilate!”

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