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Ah ! si toi aussi, tu avais reconnu en ce jour ce qui donne la paix !

Posté par diaconos le 19 novembre 2020

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Jésus pleura sur Jérusalem

# L’entrée de Jésus à Jérusalem est un événement tiré des quatre évangiles canoniques, il a lieu dans les jours précédant la Cène, marquant le début de la Passion du Christ. Dans Jean 12, 9–11, après la résurrection de Lazare d’entre les morts, des foules se rassemblèrent à Béthanie apprenant la présence de Jésus et voulant constater le miracle. Le lendemain, les foules qui rassemblérent à Jérusalem pour la fête accueillirent Jésus à son entrée dans la ville. Dans Matthieu 21, 1–11, Marc 11, 1–1, Luc 19, 28–44 et Jean 12, 12–19, Jésus descendit du mont des Oliviers vers Jérusalem où les foules étendirent leur vêtement sur le chemin pour l’accueillir, entrant solennellement dans la ville. Les chrétiens commémorent l’entrée triomphale de Jésus à Jérusalem pendant le dimanche des Rameaux, une semaine avant le dimanche de Pâques.

De l’Évangile de Jésus Christ selon saint Luc

En ce temps-là, lorsque Jésus fut près de Jérusalem, voyant la ville, il pleura sur elle, en disant : « Ah ! si toi aussi, tu avais reconnu en ce jour ce qui donne la paix ! Mais maintenant cela est resté caché à tes yeux. Oui, viendront pour toi des jours où tes ennemis construiront des ouvrages de siège contre toi, t’encercleront et te presseront de tous côtés ; ils t’anéantiront, toi et tes enfants qui sont chez toi, et ils ne laisseront pas chez toi pierre sur pierre, parce que tu n’as pas reconnu le moment où Dieu te visitait. »  (Lc 19, 41-44)

Jésus pleura sur Jérusalem

Comme Jésus arriva à proximité de la ville de Jérusalem, il pleura sur elle, en disant : «  Si toi aussi, tu avais connu, au moins dans ce jour qui est à toi, les choses qui regardent ta paix ! Mais maintenant elles sont cachées à tes yeux. » (L 19, 41-42). Les paroles qu’il prononça dirent la cause de ses larmes. Mais ces larmes mêmes révélèrent, mieux encore que ses paroles, à la fois sa tendre compassion, son amour pour son peuple dont il prévint la ruine, et la certitude des jugements de Dieu que ce peuple attira sur lui par son endurcissement.

Plus tard, au sein même de la ville coupable, Jésus éprouva encore cette profonde et douloureuse émotion : « Jérusalem, Jérusalem, qui tues les prophètes et qui lapides ceux qui te sont envoyés, combien de fois ai-je voulu rassembler tes enfants, comme une poule rassemble ses poussins sous ses ailes, et vous ne l’avez pas voulu ! « (Mt 23, 37).  Chacun des mots qu’il y accumula eut sa signification profonde :  » Si tu avais connu !… » C’est  par ignorance que le peuple juif  le rejeta et combler par ce crime la mesure de ses péchés ; mais cette ignorance fut volontaire : «  Vous ne l’avez pas voulu !  » « Toi aussi, comme mes disciples, ces âmes droites et simples qui se sont ouvertes à la foi, au moins dans ce jour qui est à toi , viens te repentant vers moi ! »

Il y eut dans le développement des peuples comme des individus des moments qui, mis à profit ou négligés, déterminèrent leur destinée pour longtemps ; ce furent des temps de crise, de décision pour le bien ou pour le mal.

La présence de Jésus provoqua une lutte entre un petit nombre d’âmes bien disposées et la masse corrompue du peuple. Tandis que celles-là s’ouvrirent à son influence et trouvèrent en lui la lumière et la vie, celle-ci n’en reçut que l’anéantissement de ses vaines espérances et de ses visées égoïstes. (Olshausen)

Les choses qui regardent ta paix, ces choses d’une immense importance, furent la vérité, le pardon, le salut que Jésus offrit à tous. S’ils l’eurent reçu avec foi, tous auraient trouvé en lui la paix et la prospérité.  Ce fut  un fait accompli ; et cependant Jésus alla encore prêcher à Jérusalem durant toute une semaine, et ses apôtres après lui pendant quarante ans ; mais, pour le grand nombre, la mesure des iniquités fut comblée, le temps de la grâce, de la visitation étant passé.

« En voyant, ils ne verront pas ; en entendant, ils n’entendront pas ». Ces redoutables paroles n’excluèrent pas du salut les Israélites qui, individuellement, crurent au Christ :   » Je dis donc: Dieu a-t-il rejeté son peuple? Loin de là! Car moi aussi je suis Israélite, de la postérité d’Abraham, de la tribu de Benjamin. 2Dieu n’a point rejeté son peuple, qu’il a connu d’avance. Ne savez-vous pas ce que l’Écriture rapporte d’Élie, comment il adresse à Dieu cette plainte contre Israël: 3Seigneur, ils ont tué tes prophètes, ils ont renversé tes autels; je suis resté moi seul, et ils cherchent à m’ôter la vie? 4Mais quelle réponse Dieu lui fait-il? Je me suis réservé sept mille hommes, qui n’ont point fléchi le genou devant Baal. 5De même aussi dans le temps présent il y a un reste, selon l’élection de la grâce.  » (Rm 11, 1-5)

« Car des jours viendront sur toi, où tes ennemis t’environneront d’un retranchement et t’enfermeront et te serreront de toutes parts » (Lc 19, 43)  Ici encore, la phrase fut suspendue par l’émotion. Puis les divers traits de la prédiction se succédèrent, liés les uns aux autres par le mot et, cinq fois répété. Un retranchement, autour d’une ville assiégée, était une sorte de rempart en palissade, élevé par l’ennemi, afin de réduire la ville par la famine. L’historien Josèphe raconta que les Romains élevèrent un tel retranchement autour de Jérusalem, d’abord en bois puis en pierre, quand le premier eut été brûlé par les Juifs.

Tous les habitants de Jérusalem furent concernés de ces malheurs que Jésus indiqua clairement à la fin de sa prédiction. Dieu visite une ville, un peuple, une âme, quand il s’en approche et leur parle, soit par sa parole et son Esprit, soit par de grandes épreuves ou de grandes bénédictions. Certains critiques prétendirent que la prophétie que Luc attribua à Jésus fut écrite après l’événement. Ils se fondèrent sur la ressemblance qu’elle présenta avec le récit de Josèphe. Un passage d’Ésaïe annonça le siège de Jérusalem par les Assyriens : « Je t’investirai de toutes parts, Je te cernerai par des postes armés, J’élèverai contre toi des retranchements. » (Is 29, 3)

Diacre Michel Houyoux

Liens avec d’autres sites chrétiens sur Internet

◊ Regnum Christi : cliquez ici pour lire l’article → Ah ! si toi aussi, tu avais reconnu en ce jour ce qui donne la paix !

◊ Spiritualité 2000   : cliquez ici pour lire l’article   : cliquez ici pour lire l’article  → Jésus pleure sur Jérusalem (Lc 19,  41-55)

Ah ! si toi aussi, tu avais reconnu en ce jour ce qui donne la paix !

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Christus ist König des Universums (Jahr A)

Posté par diaconos le 19 novembre 2020

Jesus ist der König

Jesus Christus ist der König des gesamten Universums. Die Geschichte des Festivals geht auf das Jahr 1899 zurück, als Papst Leo XIII. am 11. Mai die universelle Weihe der Menschheit an das Herz Jesu einführte. Im selben Jahr schrieb der italienische Jesuit Sanna Solaro an alle italienischen Bischöfe, um eine Petition zu unterzeichnen, in der er um die Einführung eines liturgischen Festes bat. Neununundvierzig Bischöfe schlossen sich der Petition an. Eine weitere Petition wurde Papst Pius XI. nach dem Internationalen Eucharistischen Kongress vorgelegt, der in den ersten Monaten seines Pontifikats in Rom stattfand und von 69 Prälaten unterzeichnet wurde. Im Jahr 1923 wurde eine dritte Petition mit den Unterschriften von 340 Kardinälen, Erzbischöfen, Bischöfen und Generaloberen vorgelegt.

Die Petition forderte : « Um die an Jesus Christus durch den offiziellen Atheismus begangenen Vergehen wiedergutzumachen, sollte sich die Kirche herablassen, ein liturgisches Fest einzuführen, das die souveränen Rechte der königlichen Person Jesu Christi verkündet, der in der Eucharistie lebt und mit seinem Heiligsten Herzen in der Gesellschaft herrscht ». Diese Forderung wurde von zweihundert religiösen Orden und Kongregationen, zwölf katholischen Universitäten und Petitionen unterstützt, die von Hunderttausenden von Gläubigen in aller Welt unterzeichnet wurden. Es fehlte nicht an Einwänden: Einigen zufolge war das Thema dieses Festes bereits bei der Dreikönigsfeier gefeiert worden.

# Ein Pastor ist eine Person, die in einer christlichen Kirchengemeinschaft Leitungs- und Lehrfunktionen ausübt. Der Begriff bezieht sich auf einen protestantischen oder evangelischen Pfarrer. Er bezieht sich auch, jedoch in einem weniger institutionellen Sinne, auf einen Priester oder Diakon in der katholischen und orthodoxen Kirche. Der Begriff bezieht sich auf das Thema des Hirten in der Bibel, insbesondere im Neuen Testament, und auf die Identifikation von Jesus Christus mit dem Bild des Guten Hirten. In der katholischen Religion bezieht sich das Wort auf jede Person, die mit der geistlichen Leitung einer Religionsgemeinschaft betraut ist, und wird manchmal verwendet, um den Priester oder Bischof zu bezeichnen. Im nordamerikanischen Englisch, in Norddeutschland und in der niederländischen Sprache wird ein Pfarrer Pastor oder Pastoor genannt. In einigen Teilen der protestantischen Kirchen können Frauen Pfarrerinnen sein. Einige evangelikale Denominationen erlauben offiziell den Dienst von Frauen in Kirchen.

# Dem Bild des guten Hirten im Christentum begegnete man bereits in der vorgeburtlichen Zeit. Das Bild der Hirtin wurde in vorchristlicher Zeit im gesamten Alten Orient (Sumerer, Akkader, Assyrer, Babylonier, Ägypter) und auch von den Griechen und Römern auf Herrscher und Verantwortliche angewandt; zu den Aufgaben des gerechten Herrschers gehörte auch die Fürsorge für die Schwachen [11]. Das Bild des Guten Hirten wird durch die liturgischen Insignien des Palliums symbolisiert, das der Papst und die Metropoliten der katholischen Kirche bei der heiligen Messe tragen. Es symbolisiert das wiedergefundene Schaf, das der Gute Hirte auf seinen Schultern trägt. Das Äquivalent der orthodoxen Kirche zum Pallium ist das Omophorion. Latein Da die alte Kirche die Lesungen des Evangeliums für jeden Sonntag festlegte, stand der 2. Sonntag nach Ostern (Misericordias Domini) im Zeichen des Guten Hirten (wie es auch heute noch in der lutherischen und reformierten Kirche sowie in der alten katholischen Kirche der Fall ist). Mit der Liturgiereform verlegte die römisch-katholische Kirche den Guten-Hirten-Sonntag auf den vierten Ostersonntag, um die ersten drei Sonntage für die wahren Osterevangelien (Begegnungen mit dem auferstandenen Christus) zu reservieren.

Aus dem Buch des Propheten Hesekiel

 # Das Gleichnis vom verlorenen Schaf, auch bekannt als das « Gleichnis vom guten Hirten » oder « vom guten Hirten », das Jesus von Nazareth zugeschrieben wird, findet sich in zwei kanonischen Evangelien des Neuen Testaments. Es wird von Matthäus (Mt 18,12-13) und Lukas (Lk 15,3-7) berichtet. Es findet sich auch im apokryphen Thomasevangelium, Logion 107. Mögliche Parallelen im Alten Testament sind Hes 34,6, 12 und Ps 119,176. Das Gleichnis gab Anlass zu einem Ausdruck, dem « verlorenen Schaf », der sich wie der « verlorene Sohn » in einem Gleichnis, das kurz darauf bei Lukas folgt, auf die Person bezieht, die moralisch in die Irre geht, oder, wiederum bei Lukas, auf die verlorene Drachme. Die ersten beiden und manchmal alle drei Gleichnisse dienen als Grundlage für die von Theologen und Predigern entwickelten Überlegungen über die Notwendigkeit, das verlorene Schaf zu holen, um es in die Herde zurückzubringen, wenn es sich unfreiwillig verirrt hat, oder um den reuigen Sünder mit Gnade aufzunehmen, wenn es sich freiwillig verirrt hat.

Du, meine Herde, siehe, ich werde zwischen Schafen und Schafen urteilen

So spricht Gott der Herr: Siehe, ich selbst werde für meine Schafe sorgen und über sie wachen. Wie ein Hirte über die Schafe seiner Herde wacht, wenn sie zerstreut sind, so werde ich über meine Schafe wachen und sie an allen Orten, wo sie zerstreut wurden, an einem Tag voller Wolken und dunkler Wolken ausliefern. Ich bin es, der meine Herde weiden wird, und ich werde sie zur Ruhe bringen, spricht Gott der Herr. Ich werde die verlorenen Schafe suchen, und ich werde sie zurückbringen. Ich werde die Verwundeten heilen. Ich werde die kranken Schafe wieder stark machen. Ich werde das dicke und starke Schaf behalten und es nach dem Gesetz weiden lassen. Und du, meine Herde, so spricht Gott, der Herr, siehe, ich werde richten zwischen Schafen und Schafen, zwischen Widdern und Ziegen. (Hes 34, 11-12.15-17).

Der wahre Hirt seines Volkes

Der Herr, der wahre Hirte seines Volkes, greift ein, um diesen Zustand zu beenden und einen besseren zu finden :  » Gott hörte ihre Klagen und gedachte seines Bundes mit Abraham, Isaak und Jakob. Gott schaute auf die Kinder Israel und erbarmte sich ihrer » (Exodus 2,24-25). Er suchte nach ihnen und ergriff wirksame Maßnahmen, um sie aus diesem Staat herauszuführen. Gott selbst wird tun, woran frühere Führer nicht dachten ; er wird alle Formen physischen und moralischen Elends beheben. Aber dazu wird er immer noch die Ordnung innerhalb der Nation selbst ausüben müssen. Denn es gab in Israel nicht nur Könige des Bösen, es gab auch reiche und mächtige Mitglieder des Volkes, die andere unterdrückten. Sie sind das, was Hesekiel die Großen und Starken nennt. Der Herr wird sie gerecht behandeln.

Zwischen den schwachen und kranken Schafen und den fetten und starken Schafen – Widder und Ziegen; übersetzen Sie nicht so, als gäbe es: zwischen Widdern und Ziegen; denn diese beiden Begriffe gelten nur für die zweite Klasse von Schafen, die fetten und starken Schafe. Im Hebräischen ist das hier verwendete Wort für Schaf sehr allgemein, es umfasst alle kleinen Rinder, Ziegen und Schafe, männlich und weiblich.

Diakon Michel Houyoux

Links zu anderen christlichen Websites

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Stift Heiligenkreuz : « Jesus will nicht König sein ! »

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