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La perdition éternelle

Posté par diaconos le 17 janvier 2021

Vivre dans le péché conduit à la mort et à la ruine éternelle

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# Jésus évoqua le châtiment éternel, le feu de la géhenne qui ne s’éteint pas et qui sera réservé à ceux qui meurent en état de péché mortel. La plupart des patriarches ont été considérés comme des saints au Moyen Âge. Le Purgatoire, lieu de purgation des péchés véniels dans la doctrine catholique, et qui conduit toujours au ciel, et enfin le lieu de châtiment de Satan et des autres anges déchus ainsi que de tous les mortels morts sans s’être repentis de leurs péchés.

Cette dernière interprétation est conforme au catéchisme de saint Pie X et à l’article Lumen gentium numéro 48 du Concile Vatican II. La durée des châtiments en enfer a fait l’objet de controverses depuis les premiers temps du christianisme. L’écrivain et théologien chrétien du IIIe siècle Origène et son école, l’école d’Alexandrie, enseignaient que ces châtiments avaient pour but de purifier des péchés, et qu’ils étaient proportionnels à l’importance des fautes commises. La croyance en un châtiment éternel en enfer devint une caractéristique de l’Église catholique, principalement sous l’influence d’Augustin d’Hippone, mais aussi d’Anselme de Cantorbéry et de Thomas d’Aquin.

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Dieu créa Adam sans péché pour être en communion totale avec lui. Mais quand sa créature eut désobéi à son commandement, le péché entra dans le monde. Vivre dans le péché conduit à la mort et à la ruine éternelle. Mais Jésus se donna en sacrifice pour nous racheter du péché et de la mort. Il subit le châtiment de la crucifixion comme un criminel, alors qu’il fut innocent.

Son sang versé pour notre salut purifie nos consciences de nos péchés. Le Nouveau Testament affirme clairement que le péché sera un jour puni :  » Quand le Seigneur Jésus se révélera du haut du ciel avec les anges messagers de sa puissance, dans le feu flamboyant ; il tirera vengeance de ceux qui ne connaissent pas Dieu et de ceux qui n’obéissent pas à l’Évangile de notre Seigneur Jésus. Ceux-là subiront comme châtiment la ruine éternelle, loin de la face du Seigneur et de sa force glorieuse. » (Th 1, 7b-9)

Jésus nous donne une leçon très concrète de ce que sera la punition finale dans la parabole du pauvre Lazare et le mauvais riche. (Lc 16, 19-31) Cette histoire nous parle du fossé qui sépare les riches des pauvres. Les personnes qui acceptent cette situation se retrouveront à jamais de l’autre côté.

Les riches qui restent sourds à la détresse resteront enfermés sur eux-mêmes et les pauvres franchiront les portes de la vraie vie, celle du Paradis. Un abîme sépare le riche dans sa fournaise (en Enfer) de Lazare.  » Un grand abîme a été mis entre vous et nous, pour que ceux qui voudraient aller vers vous ne le puissent pas, et que, de là-bas non plus, on ne vienne pas vers nous. » (Lc 16, 26)

Cet abîme, c’est le riche lui-même qui l’a creusé au cours de sa vie, alors qu’aveuglé par sa richesse il n’avait pas remarqué à sa porte le pauvre qui souffrait. Personne ne l’avait-il averti des conséquences de son insouciance ? Ce grand abîme n’a pas été creusé par Dieu mais bien par l’égoïsme de ce riche. Attention ! Nous voilà avertis !

Cet abîme est creusé par la méchanceté des hommes et il entre avec nous dans l’éternité. Ce fossé sera t-il comblé un jour ? Il ne peut l’être que par Dieu, laissons à sa Miséricorde infinie le soin de trouver le moyen de sortir le mauvais riche de son mauvais pas ! L’égoïsme des nantis creuse d’avantage le fossé entre riches et pauvres et si rien n’est fait, tout le monde court à la catastrophe, y compris ceux et celles qui aujourd’hui jonglent avec l’argent.

Ce fossé se creusera aussi, comme dans la parabole, pour l’éternité, ne l’oublions pas ! Nous serons jugés avant tout sur nos fautes d’omission. J’avais faim et tu ne m’as pas donné à manger !  L’Évangile ne dit pas quel péché a condamné le riche à l’Enfer. Son péché, c’était de ne pas vouloir voir Lazare couché devant sa porte et lui porter assistance.

C’est la perversion de son esprit qui l’a conduit en Enfer. Cette parabole nous rappelle les exigences de l’amour du prochain : Il n’y a qu’un seul commandement nous dit le Christ : « Je vous donne un commandement nouveau, c’est de vous aimer les uns les autres, comme je vous ai aimés. » Vous aussi, aimez-vous les uns les autres. À ceci tous connaîtront que vous êtes mes disciples, si vous  avez de l’amour les uns pour les autres. (Jn 13, 35)

Cette parabole nous enseigne aussi l’importance unique de la Parole de Dieu. Seule cette Parole pouvait convertir les frères du riche et les sauver :  » Ils ont Moïse et les Prophètes : qu’ils les écoutent ! » (Lc 16, 29) Ne restons pas aveuglés par nos richesses : richesses matérielles, culturelles, de nos amis ou relations, spirituelles, alors que nous croisons tant de pauvres dans la rue !

Lazare dans notre monde, aujourd’hui, c’est septante pour cent de gens qui sont couchés sur le seuil de notre porte à cause de leur misère ou de leur situation précaire ! En soulignant la situation dramatique du riche, cette parabole insiste sur l’urgence des choix à faire. Demain il sera trop tard ! Quels gestes concrets peux-tu faire pour apporter ton aide ?

Sans orgueil, sans sectarisme, mais plein d’estime et de compréhension porte secours à ton frère en détresse. Si tu as en suffisance de la nourriture jusqu’à la fin de cette semaine, tu es certainement riche par rapport à celui qui ne sait pas encore s’il mangera ce soir. Matthieu, au chapitre vingt-cinq de son évangile rapporte ces paroles du Christ à propos du serviteur paresseux et mauvais (parabole des talents) : » Quant à ce serviteur bon à rien, jetez-le dehors dans les ténèbres ; là il y aura des pleurs et des grincements de dents » (Mt 25, 26)

Méchanceté et paresse, tels sont les deux vices que le maître vit dans le cœur et dans la conduite de son serviteur. Celui-ci les dévoila abondamment dans sa manière d’agir et dans ses sentiments envers son maître. (Mt 25, 24-27) Qui est visé derrière ce serviteur paresseux et mauvais ? Sont visées ici toutes les personnes qui devant le message de l’Évangile refusent les exigences de Dieu : les pharisiens qui étaient satisfaits de leurs bonnes œuvres croyant être ainsi quittes devant Dieu.

Mais les chrétiens qui enterrent la Parole de Dieu pour ne pas se compromettre pour elle et toutes celles qui ne vont pas jusqu’au bout de leurs possibilités parce qu’elles estiment qu’il est plus prudent de se ménager. Sommes-nous enclins à conserver nos rites et nos traditions plutôt qu’à rechercher une formulation nouvelle du message de l’Évangile et une liturgie plus ouverte pour notre communauté paroissiale ?

Enfouir ses talents, c’est avoir l’obsession de la sécurité et croire qu’en agissant ainsi l’on évitera tout risque. Être chrétien, c’est être disciple du Christ, c’est faire fructifier les talents que nous avons reçus. La Parole de Dieu ne nous a pas été donnée pour que nous la gardions comme une sorte de trésor stérile. Nous sommes responsables de sa diffusion.

À la fin de notre vie, Dieu nous en demandera compte. Dans cette histoire racontée par Jésus, l’homme qui confia ses biens avant de s’absenter, c’est Jésus lui-même. Les serviteurs sont ses disciples d’alors et d’aujourd’hui quelles que soient leur position ou les fonctions que l’Église leur confie. Les talents représentent tous les dons reçus de Dieu.

Ces talents sont répartis à chacun selon sa capacité, (Mt 25, 15) conformément à la sagesse divine qui sonde les cœurs, mesure les forces morales et intellectuelles et connaît le degré de réceptivité de chaque personne. Comme les capitaux s’augmentent par les intérêts, par le travail, de même toutes les grâces reçues de Dieu se multiplient par leur emploi fidèle dans notre vie.

Le retour du maître qui vient faire le bilan avec ses serviteurs, aura lieu au dernier jour de notre vie. Le bonheur des serviteurs fidèles qui seront reçus dans le Royaume des cieux, aussi bien que le malheur du serviteur méchant et paresseux qui se voit dépouillé de son talent et jeté dans les ténèbres du dehors, s’explique de lui-même.

Jésus nous invite donc à nous accepter tels que nous sommes, les uns ont reçu de nombreux talents, d’autres peu. Plutôt que de nous comparer à ceux qui, selon nous, ont reçu d’avantage, il est plus important que nous découvrions les dons que Dieu nous a faits dans son amour infini. Nous devons faire fructifier tout ce que nous avons reçu.

Seul l’amour nous donnera la force d’être actifs, de porter du fruit en abondance et cela dans notre milieu de vie. La parabole des mines (Lc 19, 11-27), qui ressemble beaucoup à celle des talents insiste sur la justice de Dieu : chacun recevra selon ses mérites. Le bonheur des cieux ne se distribue pas de manière égalitaire.

Chaque personne connaîtra Dieu et partagera sa gloire dans la mesure où elle aura été capable d’aimer au cours de sa vie. Au jour du jugement, Dieu agira envers nous comme nous aurons agi envers notre prochain. Mais il nous laisse choisir la manière dont nous voulons être jugés par lui. Dans tous les récits traitant du Royaume de Dieu, nous trouvons en filigrane deux chemins : celui de la vie et celui de la perdition.

À la question de Pierre : « Seigneur, quand mon frère commettra des fautes contre moi, combien de fois dois-je lui pardonner ? Jusqu’à sept fois ? » (Mt 18, 21 ; Lc 17, 3) Jésus refusa d’entrer dans ces calculs : tu pardonneras soixante-dix fois sept fois ! (Mt 18, 23 ; Mt 25, 19) Ce qui signifie un nombre indéfini de fois.

Nous devons pardonner sans limite, mais il faut aussi que celui qui est pardonné manifeste le regret de ses fautes. Pour bien le faire comprendre, Jésus, comme il en avait l’habitude dans son enseignement, raconta une histoire comparant le Royaume des cieux à un roi qui voulut régler ses comptes avec ses serviteurs.

On lui en amena un qui lui devait dix mille talents. Le serviteur implora son maître de lui accorder un délai pour le remboursement. Saisi de pitié devant ce serviteur effondré, le maître lui accorda plus que ce qu’il demandait, il le relâcha en effaçant sa dette ! En quittant son maître, ce serviteur rencontra un collègue qui lui devait cent deniers, lui donna des coups et exigea le remboursement illico.

Comment put-il agir de la sorte, alors que son maître avait effacé sa dette ? Nos offenses qui nous sont faites ne sont rien en comparaison des nôtres envers Dieu. Vis à-vis de Dieu, nous sommes tous dans la situation de ce serviteur qui doit à son maître une somme importante. Par un amour infini, Dieu nous a remis notre dette.

Comment alors pourrions-nous avoir envers quelqu’un une rigueur extrême et refuser de pardonner ? Apprenant ce que ce méchant serviteur avait fait, son maître entra en colère et le livra aux bourreaux jusqu’à ce qu’il eut tout remboursé ! Et Jésus de conclure sa leçon en mettant en garde ses contemporains et nous aussi.

C’est ainsi que Dieu vous traitera, si chacun de vous ne pardonne pas à son frère de tout son cœur ! ( Mt 18, 35) Pardonner de tout son cœur, pardonner toujours, avec la compassion du pécheur implorant Dieu, telle est la seule marque certaine qu’il a reçu son propre pardon, et tel 48 est le sens de cette parabole. Un temps nous est donné pour la conversion.

Les derniers temps vont venir sous la forme d’une année sabbatique (Dt. 15,1-5), durant laquelle Dieu remettra la dette énorme de l’humanité et offrira la justification. Certains cependant refuseront ce don, et se condamneront eux-mêmes au malheur sans fin. Question brûlante : n’y aurait-il que peu de gens à être sauvés ? « Seigneur n’y aurait-il que peu de gens à être sauvés ? »

Cette question redoutable qui fut posée à Jésus par ses disciples, nous est aussi adressée et nous met dans l’embarras. Comment parler du salut ? Comment concilier l’amour de Dieu pour tous les hommes sans exception et son respect de leur liberté ? Si tout le monde va au ciel, alors il ne faut pas s’en tracasser. Si très peu de personnes y vont, pourquoi faire tant d’efforts ?

Dans l’Évangile selon Luc, au chapitre treize, Jésus renvoie chaque personne à la décision qu’elle doit prendre : Dieu sauve les hommes gratuitement. Mais, il ne les sauve pas malgré eux, sans leur accord. Il leur laisse la liberté de s’opposer à son don bienveillant. Dieu nous laisse le choix, la liberté de refuser l’amour qu’il propose.

Jésus veut nous rendre responsable de notre destin et pour nous le faire comprendre, il utilise une image très fréquente dans la Bible : le royaume de Dieu est comparable à une salle de festin. Mais, il ajoute : « Efforcez-vous d’entrer par la porte étroite, car, je vous le déclare, beaucoup essayeront d’entrer mais ils ne le pourront pas ! »

Diacre Michel Houyoux

Les deux voies

Auteur diacre Michel Houyoux  Le livre vous sera livré par la poste

 

Les deux voies    Éditions Croix du Salut ( 05.06.2013 )

 Les deux voies
7
EAN: 9783841698728
Langue du Livre: Français
By (author) : Michel Houyoux
Nombre de pages: 144
Publié le: 05.06.2013
Catégorie: Christianity

Détails du livre: ISBN-13

Les deux voiesLes deux voies

Choisis le chemin de la Vie. Pour être disciple de Jésus

Il nous faut marcher derrière lui, suivre le même chemin

Auteur le Diacre Michel Houyoux , publié le  5 juin 2013  Broché Prix : 25, 80€

Pour acheter le livre, cliquez ici →Omni badge Les deux voies

 

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Zweiter Sonntag in der gewöhnlichen Zeit des Jahres B

Posté par diaconos le 17 janvier 2021

Eine lebensverändernde Begegnung mit Christus

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# Lamm Gottes: Bei den römischen Katholiken wird diese Akklamation während der Messe kurz vor der Kommunion rezitiert (außer an Karfreitag und Karsamstag). Es ist der Hymnus, der das Brechen des zuvor konsekrierten Brotes begleitet. Sein Ursprung ist im Evangelium nach Johannes zu finden. Es ist ein Zitat von Johannes dem Täufer: « Er sah Jesus zu sich kommen und sagte: ‘Siehe, das Lamm Gottes, das die Sünde der Welt wegnimmt. Dieser johanneische Ausruf erinnert an Gottes Bezeichnung seines « geliebten Sohnes » in den synoptischen Evangelien, wo das Lamm möglicherweise die metaphorische Bezeichnung für ein Kind auf Aramäisch (talya) ist.

In der Messe verwendet auch der Hymnus Gloria in excelsis Deo diesen Begriff. Für Christen ist Jesus Christus das Lamm Gottes, das bei der Kreuzigung geopfert wurde und das durch seinen Tod und seine Auferstehung die Sünden der Welt wegnimmt. Das Gebet wird auch in anderen Konfessionen verwendet, insbesondere in der anglikanischen Gemeinschaft. lLAgnus Dei wurde im Heiligen Stuhl praktiziert, und bereits im 8. Jahrhundert wurde seine Praxis universal. Es war eine der Früchte der aufeinanderfolgenden liturgischen Reformen durch die Päpste Gregor der Große († 604), Sergius I. und Gregor II. († 731), um die Liturgie der Kirche zu bereichern.

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Aus dem Evangelium nach dem Heiligen Johannes

Johannes der Täufer war mit zwei seiner Jünger unterwegs. Er schaute auf Jesus, der kam und ging, und sagte : « Siehe, das Lamm Gottes ». Die beiden Jünger hörten dieses Wort, und sie folgten Jesus. Als Jesus sich umdrehte und sah, dass sie ihm folgten, sagte er zu ihnen : « Was sucht ihr ? Sie antworteten ihm : « Rabbi (das heißt, Lehrer), wo wohnst du ? Er sagte zu ihnen : « Kommt und seht ». Und sie gingen mit ihm und sahen, wo er wohnte, und blieben bei ihm des Tages. Es war etwa vier Uhr nachts. Andreas, der Bruder von Simon Petrus, war einer der beiden Jünger, die Johannes dem Täufer gehört hatten und Jesus folgten. Zuerst fand er seinen Bruder Simon und sagte zu ihm : « Wir haben den Messias (das heißt, den Christus) gefunden. Andreas brachte seinen Bruder zu Jesus. Jesus sah ihn an und sagte: « Du bist Simon, der Sohn des Johannes; dein Name ist Kepha » (was Stein bedeutet). (Joh 1, 35-42)

Autor +FATHER MARIE LANDRY C+MPS

Rabbi, wo wohnst du denn ?

Herr, wo wohnst du? In meinem spirituellen Leben muss ich dich erst einmal kennenlernen, wissen, wo du wohnst, damit auch ich an deine Seite kommen kann. Du, Lamm Gottes, möge dein Ruf, dir zu folgen, in unseren Herzen und in den Herzen aller Menschen widerhallen. Möge meine Beziehung zu Christus die Frucht einer wahren Begegnung sein.

Heute sehen wir Jesus am Ufer des Jordans kommen : der Christus, der vorbeikommt! Es muss vier Uhr nachmittags sein, als er zwei junge Männer sieht, die ihm folgen, und er sich umdreht und sie fragt : « Was sucht ihr ? » (Joh 1, 38). Und sie, überrascht von der Frage, antworten Ihm : « Rabbi (das heißt, Meister), wo hältst du dich auf ? Er sagte zu ihnen : « Kommt und seht ». (Joh 1, 39).

Auch ich bin ein Jünger von Jesus, aber… was will ich ? Wonach suche ich ? Er ist es, der mich fragt : « Was willst du wirklich ? ». Ach, wenn ich kühn genug wäre, zu Ihm zu sagen : « Du bist es, den ich suche, Jesus », würde ich Ihn finden, das ist sicher, denn wer sucht, der findet. Aber ich bin zu feige und antworte Ihm mit Worten, die mich nicht zu sehr verpflichten : « Wo bleibst du denn ? »

Jesus gibt sich mit meiner Antwort nicht zufrieden, er weiß nur zu gut, dass es nicht ein Haufen Worte ist, den ich brauche, sondern einen Freund, den Freund : von Ihm. Deshalb sagt Er zu mir : « Komm und sieh ». So gingen Johannes und Andreas, die beiden jungen Fischer, mit ihm und sahen, wo er sich aufhielt, und sie blieben an diesem Tag bei ihm.

Begeistert von dieser Begegnung, konnte Johannes schreiben : « Gnade und Wahrheit sind in Jesus Christus geworden » (Joh 1,, 7b). Und Andrew ? Er wird seinem Bruder entgegenlaufen, um ihm zu sagen : « Wir haben den Messias gefunden » (Joh 1, 41). Und er brachte ihn zu Jesus. Jesus sah ihn an und sagte : ‘Du bist Simon, der Sohn des Johannes ; dein Name wird Kephas sein (was Stein bedeutet)’ » (Joh 1, 42).

Pierre ! Simon, ein Stein ? Keiner von ihnen ist darauf vorbereitet, diese Worte zu verstehen. Sie wissen nicht, dass Jesus gekommen ist, um seine Kirche mit lebendigen Steinen zu bauen. Er hat bereits die ersten beiden erwählt, Johannes und Andreas, und er hat dafür gesorgt, dass Simon der Fels sein wird, auf dem das ganze Gebäude ruhen wird.

Und bevor er zum Vater aufsteigt, wird er uns die Antwort auf die Frage geben : « Rabbi, wo bleibst du? ». Seine Kirche segnend, wird er sagen: « Ich werde bei euch sein bis zum Ende der Welt » (Mt 28, 20).

Herr, du bist gekommen, um mich zu treffen. Gib mir die Kraft, deinem Ruf zu folgen, dir zu folgen, um dich kennenzulernen, damit ich dich jeden Tag ein bisschen mehr lieben kann. Möge mein Gebetsleben mich dir näher bringen, damit auch ich dich anderen verkünden kann. Verbringen wir einige Zeit in der Gegenwart der Eucharistie, nicht so sehr um zu sprechen, sondern um auf den Herrn zu hören.

Links zu anderen christlichen Webseiten

◊ Evangelium zum Frühstück : klicken Sie hier, um den Artikel zu lesen →  - Herr, wo wohnst du ?

◊ Religionspaedagogische : klicken Sie hier, um den Artikel zu lesen →  Herr, wo wohnst du ?

Hochwürden Pater Josef Spindelböck

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Deuxième dimanche du Temps Ordinaire de l’année B

Posté par diaconos le 17 janvier 2021

Une rencontre avec le Christ qui change une vie

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# Agneau de Dieu : chez les catholiques de rite romain, cette acclamation est récitée au cours de la messe juste avant la communion (sauf le vendredi saint et le samedi saint). Il s’agit du chant qui accompagne la fraction du pain auparavant consacré. Son origine se trouve dans l’Évangile selon Jean. C’est une citation de Jean le Baptiste : il vit Jésus venant à lui, et il dit : Voici l’Agneau de Dieu, qui enlève le péché du monde. Cette exclamation johannique fait écho à la désignation par Dieu de son « Fils bien-aimé » dans les évangiles synoptiques, l’agneau pouvant être, en araméen (talya), la désignation métaphorique d’enfant.

Dans la messe, l’hymne Gloria in excelsis Deo aussi emploie ce terme. Pour les chrétiens, Jésus-Christ est l’agneau de Dieu sacrifié lors de la crucifixion et qui enlève les péchés du monde par sa mort et sa résurrection. La prière est également en usage dans d’autres confessions, notamment la Communion anglicane. lLAgnus Dei était pratiqué au Saint-Siège, déjà au VIIIe siècle, sa pratique devint universelle. Il s’agissait de l’un des fruits des réformes liturgiques successives, par les papes saint Grégoire le Grand († 604), Serge Ier et Grégoire II († 731), afin d’enrichir la liturgie de l’Église.

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De l’Évangile selon saint Jean

Jean Baptiste se trouvait avec deux de ses disciples. Posant son regard sur Jésus qui allait et venait, il dit: «Voici l’Agneau de Dieu». Les deux disciples entendirent cette parole, et ils suivirent Jésus. Celui-ci se retourna, vit qu’ils le suivaient, et leur dit: «Que cherchez-vous?». Ils lui répondirent: «Rabbi (c’est-à-dire: Maître), où demeures-tu?». Il leur dit: «Venez, et vous verrez». Ils l’accompagnèrent, ils virent où il demeurait, et ils restèrent auprès de lui ce jour-là. C’était vers quatre heures du soir. André, le frère de Simon-Pierre, était l’un des deux disciples qui avaient entendu Jean Baptiste et qui avaient suivi Jésus. Il trouve d’abord son frère Simon et lui dit: «Nous avons trouvé le Messie (autrement dit: le Christ). André amena son frère à Jésus. Jésus posa son regard sur lui et dit: «Tu es Simon, fils de Jean; tu t’appelleras Képha» (ce qui veut dire: pierre). (Jn 1, 35-42)
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Auteur  +PÈRE MARIE LANDRY C+MPS

Rabbi  où demeures-tu ?

Seigneur, où demeures-tu ? Dans ma vie spirituelle j’ai besoin avant tout de te rencontrer, de savoir où tu demeures pour venir moi aussi à tes côtés. Toi l’Agneau de Dieu, fais que ton appel à te suivre résonne dans notre cœur et celui de tous les hommes.Que ma relation avec le Christ soit le fruit d’une vraie rencontre.

Aujourd’hui, nous voyons Jésus qui vient sur la rive du Jourdain : le Christ qui passe ! Il doit être quatre heures de l’après-midi quand, voyant deux jeunes gens qui le suivent, Il se retourne pour leur demander : «Que cherchez-vous ?» (Jn 1, 38). Et eux, surpris par la question, Lui répondent : «Rabbi (c’est-à-dire: Maître), où demeures-tu ?». Il leur dit : «Venez, et vous verrez» (Jn 1, 39).
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Moi aussi, je suis disciple de Jésus, mais… qu’est-ce que je veux ? Qu’est-ce que je cherche ? C’est Lui qui me le demande : «Que veux-tu vraiment ?». Ah, si j’étais suffisamment audacieux pour Lui dire : «C’est toi que je cherche, Jésus», je Le trouverais, c’est sûr, car qui cherche trouve. Mais je suis trop lâche et je Lui réponds avec des mots qui ne m’engagent pas trop : «Où demeures-tu ?».
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Jésus ne se satisfait pas de ma réponse, Il sait trop bien que ce n’est pas d’un tas de paroles que j’ai besoin, mais d’un ami, de l’Ami : de Lui. C’est pourquoi il me dit : «Viens et tu verras», «venez et vous verrez». Jean et André, les deux jeunes pêcheurs, l’accompagnèrent, ils virent où il demeurait, et ils restèrent auprès de Lui ce jour-là.
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Enthousiasmé par cette rencontre, Jean pourra écrire : «La grâce et la vérité advinrent en Jésus-Christ» (Jn 1, 17b). Et André ? Il courra chercher son frère pour lui dire : «Nous avons trouvé le Messie» (Jn 1, 41). Et il l’emmena à Jésus. Jésus posa son regard sur lui et dit: ‘Tu es Simon, fils de Jean ; tu t’appelleras Céphas’ (ce qui veut dire: pierre) » (Jn 1, 42).
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Pierre! Simon, une pierre ? Aucun d’eux n’est préparé pour comprendre ces paroles. Ils ne savent pas que Jésus est venu bâtir son Église avec des pierres vivantes. Il a déjà choisi les deux premières, Jean et André, et Il a disposé que Simon sera le roc sur lequel tout l’édifice s’appuiera.
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Et avant de monter au Père, Il nous donnera la réponse à la question : «Rabbi, où demeures-tu ?». Bénissant son Église, Il dira : «Je serai avec vous jusqu’à la fin du monde» (Mt 28, 20).
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Seigneur, tu es venu à ma rencontre. Donne-moi la force de répondre à ton appel à te suivre afin de te connaître pour pouvoir ainsi t’aimer chaque jour un peu plus. Que ma vie de prière puisse me rapprocher de toi pour pouvoir moi aussi t’annoncer aux autres. Passons un peu de temps en présence de l’Eucharistie, pas tant pour parler, mais pour écouter le Seigneur.
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Contact   Marie Landry Bivina    - Écrivez un commentaire…

Compléments

◊ Diacre Michel Houyoux : cliquez ici pour lire l’article → Deuxième dimanche du Temps ordinaire de l’année B

◊ Diacre Michel Houyoux : cliquez ici pour lire l’article → Deuxième dimanche du temps ordinaire, année B

Abbé Pierre Desroches :  » Maître, où demeures tu ? « 

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