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Monday of the third week of Ordinary Time – Odd Year

Posté par diaconos le 26 janvier 2021

Go into all the world and proclaim the gospel

...Go ye into all the world, and preach the gospel to every creature. Mark 16:15 # Shekhina is a Hebrew feminine word meaning Divine Presence, used to designate the presence of God among his people, the people of Israel, or the divine immanence in the world, particularly in the Temple of Jerusalem. In Biblical Hebrew, the word means to settle, dwell, or reside, and is frequently used in the Hebrew Bible. The first occurrence of this root in Jewish sources can be found in the Pentateuch, Book of Exodus, chapter 25, verse 8.

The prophet Isaiah relates that the Divine Presence manifested itself on Mount Zion in Jerusalem, on which the First and Second Temple were built. In midrashic literature: the Yalkut Shimoni, a compilation of allegories from the Talmud and attributed to Rabbi Shimon Ashkenazi Hadarshan of Frankfurt4 , mentioned that since the destruction of the Second Temple, wherever the people of Israel were exiled, the Shekhina accompanied them in their exile. For the Jewish liturgy: during the 17th blessing of the Amida prayer, the faithful bowed in silent prayer to God to bring his Presence back to Zion.

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From the Gospel of Jesus Christ according to Saint Mark

At that time, the resurrected Jesus said to the eleven Apostles: « Go into all the world. Proclaim the Gospel to all creation. He who believes and is baptised will be saved; he who refuses to believe will be condemned.    These are the signs that will accompany those who will become believers: in my name they will cast out demons; they will speak in new tongues; they will take serpents in their hands, and if they drink deadly poison, it will not harm them; they will lay hands on the sick, and the sick will be well. » (Mk 3, 31-35)

The father’s place belongs only to God

Mark remarked : Jesus, surrounded by the crowd, did not want to be interrupted in his speech, especially knowing the motives that brought his own people. They waited to bring their sick to him until the Sabbath had passed, because they thought that it would have been a violation of that day’s rest : « The Jews therefore said to him that was healed, It is the Sabbath; it is not lawful for thee to take up thy bed.  » (Jn 5, 10)

The evangelists distinguished the sick from the demonic : « When Jesus saw a great crowd around him, he gave the order to go to the other side. » Jesus did not speak of a father, citing the intimate relationship of the family, which was reformed, higher and holier, between those who did the will of God. In this spiritual sense, the place of father belongs only to God.

Deacon Michel Houyoux

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Links to other Christian websites

◊ Leah Baugh : click here to read the paper → 5 Ways God is Father to the Fatherless

◊ Mike Ledbetter : click here to read the paper → God The Father, His Son Jesus, and The Father’s Holy Spirit Speaks To Us All

Fr. Mike’s : « Only faith that is tested can become great”

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Lundi de la troisième semaine du Temps Ordinaire — Année Impaire

Posté par diaconos le 26 janvier 2021

Allez dans le monde entier, proclamez l’Évangile

"Allez dans le monde entier proclamez l'évangile"

# Shekhina est un mot féminin hébraïque signifiant Présence divine, utilisé pour désigner la présence de Dieu parmi son peuple, le peuple d’Israël ou l’immanence divine dans le monde, particulièrement dans le Temple de Jérusalem. En hébreu biblique, le mot signifie être installé,habiter, ou résider, et est fréquemment employé dans la Bible hébraïque. La première occurrence de cette racine dans les sources juives se trouve dans le Pentateuque, Livre de l’Exode, chapitre 25, verset 8.

Le prophète Isaïe relata, que la Présence divine se manifesta sur le Mont Sion de Jérusalem sur lequel furent construits le premier et le second Temple. Dans la littérature midrashique : le Yalkout Shimoni, compilation d’allégories issues du Talmud et attribuée au rabbin Shimon Ashkenazi Hadarshan de Francfort4, mentionna que depuis la destruction du Second Temple, partout où le peuple d’Israël fut exilé, la Shekhina l’accompagna dans son exil. Pour la liturgie juive : lors de la 17e bénédiction de la prière de la Amida, les fidèles s’inclinent en priant silencieusement Dieu de ramener sa Présence à Sion.

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De l’Évangile de Jésus Christ selon saint Marc

En ce temps-là, Jésus ressuscité dit aux onze Apôtres : « Allez dans le monde entier. Proclamez l’Évangile à toute la création. Celui qui croira et sera baptisé sera sauvé ; celui qui refusera de croire sera condamné.     Voici les signes qui accompagneront ceux qui deviendront croyants : en mon nom, ils expulseront les démons ; ils parleront en langues nouvelles ; ils prendront des serpents dans leurs mains et, s’ils boivent un poison mortel, il ne leur fera pas de mal ; ils imposeront les mains aux malades, et les malades s’en trouveront bien.» (Mc 3, 31-35)

La place de père n’appartient qu’à Dieu

Marc fit cette remarque : « Jésus,  entouré de la foule ne voulut pas être interrompu dans son discours, surtout connaissant les motifs qui amenèrent les siens. Ils attendirent, pour lui amener leurs malades, que le sabbat fût passé, parce qu’ils estimèrent que c’eût été violer le repos de ce jour : « Les Juifs dirent donc à celui qui avait été guéri: C’est le sabbat ; il ne t’est pas permis d’emporter ton lit. » (Jn 5, 10)

Les évangélistes distinguèrent les malades d’avec les démoniaques : « Jésus, voyant une grande foule autour de lui, donna l’ordre de passer à l’autre bord. » Jésus en citant les rapports intimes de la famille, qui se reformèrent, plus élevés et plus saints, entre ceux qui firent la volonté de Dieu, ne parla pas d’un père. Dans ce sens spirituel, la place de père n’appartient qu’à Dieu.

Diacre Michel Houyoux

Complément

◊ Diacre Michel Houyoux  : cliquez ici pour lire l’article →  Saints Timothée et Tite, évêques – Mémoire

Liens avec d’autres sites web chrétiens

◊ Croire : cliquez ici pour lire l’article →  Pourquoi un Dieu « Père » ?

◊ Vatican news  : cliquez ici pour lire l’article → Joseph, personnage discret et prophétique de l’histoire du christianisme

KTO : « Présence de Dieu »

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Quatrième dimanche du Temps Ordinaire — Année B

Posté par diaconos le 26 janvier 2021

Jésus enseignait en homme qui a autorité

Dieu ma joie: Jésus enseignait avec autorité

# L’évangile de ce dimanche nous montre Jésus « enseignant en homme qui a autorité, et non pas comme les scribes » dans la synagogue de Capharnaüm, le jour du sabbat. Pour nous qui ne connaissons son enseignement qu’à travers le témoignage de ceux qui l’ont fréquenté, en quoi ce que Jésus a dit autrefois fait-il autorité pour nous aujourd’hui ? Que veut dire « faire autorité » ? Dans l’Évangile, si la parole de Jésus fait autorité, c’est que Jésus est totalement accordé à sa parole.

Il n’y a aucune distance entre ce qu’il dit et ce qu’il est. Il est dans sa parole, il est la Parole. Aujourd’hui, la Parole de Dieu fait autorité pour moi en ce sens qu’elle conduit, dirige ma vie. C’est la méditation de cette Parole qui m’apporte les grandes orientations de mon existence. Cette Parole fait pour moi autorité en ce sens que je m’efforce humblement et même si c’est avec bien des ratés de m’y conformer. Cette Parole fait aussi autorité par la manière dont je la reçois, Nous avons aussi à la transmettre afin qu’elle puisse être un chemin pour d’autres.

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De l’Évangile de Jésus Christ selon saint Marc

Jésus et ses disciples entrèrent à Capharnaüm. Aussitôt, le jour du sabbat, il se rendit à la synagogue, et là, il enseignait. On était frappé par son enseignement, car il enseignait en homme qui a autorité, et non pas comme les scribes. Or, il y avait dans leur synagogue un homme tourmenté par un esprit impur, qui se mit à crier : « Que nous veux-tu, Jésus de Nazareth ? Es-tu venu pour nous perdre ?
Je sais qui tu es : tu es le Saint de Dieu. » Jésus l’interpella vivement : « Tais-toi ! Sors de cet homme. » L’esprit impur le fit entrer en convulsions, puis, poussant un grand cri, sortit de lui.
Ils furent tous frappés de stupeur et se demandaient entre eux : « Qu’est-ce que cela veut dire ? Voilà un enseignement nouveau, donné avec autorité ! Il commande même aux esprits impurs, et ils lui obéissent. » Sa renommée se répandit aussitôt partout, dans toute la région de la Galilée.  (Mc 1, 21-28)

Séjour à Capharnaüm

 Aussitôt après son arrivée à Capharnaüm, Jésus entra dans la synagogue ; ce fut un jour de sabbat, il enseigna, et tous furent surpris de sa doctrine, quand un homme possédé d’un esprit impur s’écria : « Es-tu venu pour nous perdre ? nous savons qui tu es : le Saint de Dieu. »  Jésus ordonna à l’esprit de se taire et de sortir de cet homme ; il obéit après avoir agité violemment le possédé et avoir poussé un grand cri. Cette guérison provoqua l’étonnement et les discussions des témoins. La renommée de Jésus se répandit.

Matthieu plaça cette remarque sur l’autorité de l’enseignement de Jésus-Christ à la suite du sermon sur la montagne, où l’application n’en fut pas moins appropriée. Luc fit une observation semblable à la même occasion que Marc. Les paroles du démoniaque commencèrent par cette exclamation : « Ha ! laisse-nous en repos. »  

Ne rien avoir à faire avec Jésus, venu pour perdre, détruire le royaume des ténèbres. Les démoniaques savaient cela, parce qu’ils savaient que Jésus est le Saint de Dieu, celui que Dieu  sanctifia : « Celui que le Père a sanctifié et envoyé dans le monde, vous lui dites: Tu blasphèmes! Et cela parce que j’ai dit: Je suis le Fils de Dieu. » (Jn 10, 36)

Ce fut  le contraste absolu qu’il y eut entre la sainteté de Jésus et les esprits impurs qui fit le tourment de ces derniers et il faut remarquer que celui-ci ne parle pas seulement en son propre nom, mais au nom de tous ses semblables : toi et nous ; nous savons.  Jésus adressa la parole au démon et le distingua positivement ainsi de l’homme que ce démon fit parler : sors de lui.

Si cette influence démoniaque n’eut été qu’un préjugé populaire, Jésus aurait évidemment partagé ce préjugé. Le silence que Jésus imposa au démon se rapporta à la confession que ce dernier fit : « Tu es le Saint de Dieu. »  Jésus rejeta ainsi un témoignage qui lui vint du royaume des ténèbres, et dont on tira parti contre lui.

Les scribes, qui furent descendus de Jérusalem, dirent : « Il est possédé par Béelzéboul ; c’est par le chef des démons qu’il expulse les démons. » (Mc 3, 22)

 Les spectateurs firent un rapprochement entre l’autorité de la parole et la puissance qui se montra dans l’acte. Ils conclurent que la manifestation de cette puissance, qui délivre les âmes du royaume des ténèbres, supposa un enseignement nouveau, une nouvelle révélation. Révélation et rédemption, prophétie et miracle furent pour des Israélites dans un rapport intime.

Diacre Michel Houyoux

Liens avec d’autres sites web chrétiens

◊ Regnum Christi : cliquez ici pour lire l’article →  Il enseignait en homme qui a autorité

◊ Père Yves Bériault, o.p. : cliquez ici pour lire l’article →  Il enseignait en homme qui a autorité

Il enseignait en homme qui a autorité  » – Lectio Divina

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