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Quatrième dimanche du Temps Ordinaire — Année B

Posté par diaconos le 26 janvier 2021

Jésus enseignait en homme qui a autorité

Dieu ma joie: Jésus enseignait avec autorité

# L’évangile de ce dimanche nous montre Jésus « enseignant en homme qui a autorité, et non pas comme les scribes » dans la synagogue de Capharnaüm, le jour du sabbat. Pour nous qui ne connaissons son enseignement qu’à travers le témoignage de ceux qui l’ont fréquenté, en quoi ce que Jésus a dit autrefois fait-il autorité pour nous aujourd’hui ? Que veut dire « faire autorité » ? Dans l’Évangile, si la parole de Jésus fait autorité, c’est que Jésus est totalement accordé à sa parole.

Il n’y a aucune distance entre ce qu’il dit et ce qu’il est. Il est dans sa parole, il est la Parole. Aujourd’hui, la Parole de Dieu fait autorité pour moi en ce sens qu’elle conduit, dirige ma vie. C’est la méditation de cette Parole qui m’apporte les grandes orientations de mon existence. Cette Parole fait pour moi autorité en ce sens que je m’efforce humblement et même si c’est avec bien des ratés de m’y conformer. Cette Parole fait aussi autorité par la manière dont je la reçois, Nous avons aussi à la transmettre afin qu’elle puisse être un chemin pour d’autres.

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De l’Évangile de Jésus Christ selon saint Marc

Jésus et ses disciples entrèrent à Capharnaüm. Aussitôt, le jour du sabbat, il se rendit à la synagogue, et là, il enseignait. On était frappé par son enseignement, car il enseignait en homme qui a autorité, et non pas comme les scribes. Or, il y avait dans leur synagogue un homme tourmenté par un esprit impur, qui se mit à crier : « Que nous veux-tu, Jésus de Nazareth ? Es-tu venu pour nous perdre ?
Je sais qui tu es : tu es le Saint de Dieu. » Jésus l’interpella vivement : « Tais-toi ! Sors de cet homme. » L’esprit impur le fit entrer en convulsions, puis, poussant un grand cri, sortit de lui.
Ils furent tous frappés de stupeur et se demandaient entre eux : « Qu’est-ce que cela veut dire ? Voilà un enseignement nouveau, donné avec autorité ! Il commande même aux esprits impurs, et ils lui obéissent. » Sa renommée se répandit aussitôt partout, dans toute la région de la Galilée.  (Mc 1, 21-28)

Séjour à Capharnaüm

 Aussitôt après son arrivée à Capharnaüm, Jésus entra dans la synagogue ; ce fut un jour de sabbat, il enseigna, et tous furent surpris de sa doctrine, quand un homme possédé d’un esprit impur s’écria : « Es-tu venu pour nous perdre ? nous savons qui tu es : le Saint de Dieu. »  Jésus ordonna à l’esprit de se taire et de sortir de cet homme ; il obéit après avoir agité violemment le possédé et avoir poussé un grand cri. Cette guérison provoqua l’étonnement et les discussions des témoins. La renommée de Jésus se répandit.

Matthieu plaça cette remarque sur l’autorité de l’enseignement de Jésus-Christ à la suite du sermon sur la montagne, où l’application n’en fut pas moins appropriée. Luc fit une observation semblable à la même occasion que Marc. Les paroles du démoniaque commencèrent par cette exclamation : « Ha ! laisse-nous en repos. »  

Ne rien avoir à faire avec Jésus, venu pour perdre, détruire le royaume des ténèbres. Les démoniaques savaient cela, parce qu’ils savaient que Jésus est le Saint de Dieu, celui que Dieu  sanctifia : « Celui que le Père a sanctifié et envoyé dans le monde, vous lui dites: Tu blasphèmes! Et cela parce que j’ai dit: Je suis le Fils de Dieu. » (Jn 10, 36)

Ce fut  le contraste absolu qu’il y eut entre la sainteté de Jésus et les esprits impurs qui fit le tourment de ces derniers et il faut remarquer que celui-ci ne parle pas seulement en son propre nom, mais au nom de tous ses semblables : toi et nous ; nous savons.  Jésus adressa la parole au démon et le distingua positivement ainsi de l’homme que ce démon fit parler : sors de lui.

Si cette influence démoniaque n’eut été qu’un préjugé populaire, Jésus aurait évidemment partagé ce préjugé. Le silence que Jésus imposa au démon se rapporta à la confession que ce dernier fit : « Tu es le Saint de Dieu. »  Jésus rejeta ainsi un témoignage qui lui vint du royaume des ténèbres, et dont on tira parti contre lui.

Les scribes, qui furent descendus de Jérusalem, dirent : « Il est possédé par Béelzéboul ; c’est par le chef des démons qu’il expulse les démons. » (Mc 3, 22)

 Les spectateurs firent un rapprochement entre l’autorité de la parole et la puissance qui se montra dans l’acte. Ils conclurent que la manifestation de cette puissance, qui délivre les âmes du royaume des ténèbres, supposa un enseignement nouveau, une nouvelle révélation. Révélation et rédemption, prophétie et miracle furent pour des Israélites dans un rapport intime.

Diacre Michel Houyoux

Liens avec d’autres sites web chrétiens

◊ Regnum Christi : cliquez ici pour lire l’article →  Il enseignait en homme qui a autorité

◊ Père Yves Bériault, o.p. : cliquez ici pour lire l’article →  Il enseignait en homme qui a autorité

Il enseignait en homme qui a autorité  » – Lectio Divina

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Monday of the third week of Ordinary Time – Odd Year

Posté par diaconos le 25 janvier 2021

Go into the whole world to proclaim the Gospel

  Go into the whole world and proclaim the Gospel to every creature" | Gospel,  Creatures, Baseball cards

# Jansenism stems from a theological current within the framework of the Catholic Reformation, which emerged in the years following the Council of Trent but which draws its sources from older debates. Although it takes its name from Cornelius Jansen, it is linked to a long tradition of Augustinian thought. Jansenius, then a university student and later a professor, undertook the task of writing a theological summation aimed at solving the problem of grace by synthesising the thought of St Augustine.

This work, a manuscript of almost one thousand three hundred pages entitled « Augustinus », was almost completed when its author, who had become Bishop of Ypres, died suddenly in 1638. In it he states, in accordance with the Augustinian doctrine of Sola gratia, that since original sin, the will of man without divine help is capable only of evil. Only effective grace can make him prefer heavenly delight to earthly delight, that is to say, divine will rather than human satisfaction. This grace is irresistible, but it is not granted to all men. Here Jansen joins the predestination theory of John Calvin, himself a very Augustinian.

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From the Gospel of Jesus Christ according to Saint Mark

At that time, the resurrected Jesus said to the eleven Apostles : « Go into all the world. Proclaim the Gospel to all creation. He who believes and is baptised will be saved; he who refuses to believe will be condemned. These are the signs that will accompany those who will become believers: in my name they will cast out demons; they will speak in new tongues; they will take serpents in their hands, and if they drink deadly poison, it will not harm them; they will lay hands on the sick, and the sick will be well. » (Mk 16, 15-18)

Faith as a condition of salvation

Faith, the condition of salvation: unbelief, the cause of condemnation, is the great principle of the whole Gospel in its application to all men: « He who believes in the Son has eternal life; he who does not believe in the Son shall not see life, but the wrath of God abides upon him. « (Jn 3, 36)

If Mark added baptism to faith, it is because this word would replace the command to baptize reported by Matthew : « Go ! Make disciples of all nations : baptize them in the name of the Father, and of the Son, and of the Holy Spirit » (Mt 28, 19). This symbol, however, will only contribute to salvation if it is administered to the one who believes.

« They shall take up serpents, and though they drink any deadly drink, it shall not harm them; they shall lay hands on the sick, and they shall be healed. « The enumeration of these signs or gifts of miracles, promised to those who believed, is not found elsewhere in Jesus’ speeches.

Many of these miracles even seem foreign to the sobriety that distinguishes the Gospels. Nothing proves this better than the need for some exegetes to explain in a spiritual sense those gifts which they could not hear to the letter. Jesus gave them this power : « And when he had called his twelve disciples, he gave them power to cast out unclean spirits and to heal every disease and every infirmity » (Mt 10, 1).

Speaking new languages means speaking languages not learned in a natural way. It is not the gift of speaking in tongues in a state of ecstasy : « All were filled with the Holy Spirit: they began to speak in other tongues, and each one spoke according to the gift of the Spirit. « (Acts 2, 4)

Seizing snakes could have been a repetition of Jesus’ promise, which was fulfilled for Paul in Malta; unless one prefers to give these words a figurative meaning: Jesus would have given his people the power to brave all dangers. The ability to take a deadly drink without suffering any harm can be understood in both directions.

Deacon Michel Houyoux

Links to other Christian websites

◊ Faith Equip : click here to read the paper →   The Condition of Salvation

◊ Fr. Josep GASSÓ i Lécera  click here to read the paper → Homily for Monday of the 3rd Week in Ordinary time

Fr. Rudolf V. D’Souza : « Go into the whole world and proclaim the Gospel. »

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Lundi de la troisième semaine du Temps ordinaire – Année impaire

Posté par diaconos le 25 janvier 2021

Allez dans le monde entier pour proclamer l’Évangile

 "Allez dans le monde entier proclamez l'évangile"

# Le jansénisme est issu d’un courant théologique s’inscrivant dans le cadre de la Réforme catholique, apparu dans les années qui suivent le Concile de Trente mais qui puise ses sources dans des débats plus anciens. S’il tire son nom de Cornelius Jansen, il se rattache à une longue tradition de pensée augustinienne. Jansenius, alors étudiant à l’université puis professeur, entreprend la rédaction d’une somme théologique visant à régler le problème de la grâce en faisant une synthèse de la pensée de saint Augustin.

Ce travail, un manuscrit de près de mille trois cents pages intitulé « Augustinus », est presque achevé lorsque son auteur, devenu évêque d’Ypres, meurt brusquement en 1638. Il y affirme, en conformité avec la doctrine augustinienne de la Sola gratia, que depuis le péché originel, la volonté de l’homme sans le secours divin n’est capable que du mal. Seule la grâce efficace peut lui faire préférer la délectation céleste à la délectation terrestre, c’est-à-dire les volontés divines plutôt que les satisfactions humaines. Cette grâce est irrésistible, mais n’est pas accordée à tous les hommes. Jansen rejoint ici la théorie de la prédestination de Jean Calvin, lui-même très augustinien.

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De l’Évangile de Jésus Christ selon saint Marc

En ce temps-là, Jésus ressuscité dit aux onze Apôtres : «Allez dans le monde entier. Proclamez l’Évangile à toute la création. Celui qui croira et sera baptisé sera sauvé ; celui qui refusera de croire sera condamné. Voici les signes qui accompagneront ceux qui deviendront croyants : en mon nom, ils expulseront les démons ; ils parleront en langues nouvelles ; ils prendront des serpents dans leurs mains et, s’ils boivent un poison mortel, il ne leur fera pas de mal ; ils imposeront les mains aux malades, et les malades s’en trouveront bien.» (Mc 16, 15-18)

La foi, condition du salut

La foi, condition du salut :  l’incrédulité, cause de la condamnation, tel est le grand principe de tout l’Évangile dans son application pour tous les hommes :« Celui qui croit au Fils a la vie éternelle; celui qui ne croit pas au Fils ne verra point la vie, mais la colère de Dieu demeure sur lui. » (Jn 3, 36)

Si Marc ajoutais à la foi le baptême, c’est que cette parole remplacerait l’ordre de baptiser que rapporta Matthieu : « Allez ! De toutes les nations faites des disciples : baptisez-les au nom du Père, et du Fils, et du Saint-Esprit, » (Mt 28, 19) Ce symbole ne contribuera cependant au salut que pour autant qu’il sera administré à celui qui croira.

« Ils saisiront des serpents ; quand même ils boiraient quelque breuvage mortel, il ne leur nuira point ; ils imposeront les mains aux malades, et ils seront guéris. » : l’énumération de ces signes ou dons des miracles, promis à ceux qui crurent, ne se trouve pas ailleurs dans les discours de Jésus.

Plusieurs de ces prodiges paraissent même étrangers à la sobriété qui distingue les évangiles. Rien ne le prouve mieux que la nécessité où se trouvent certains exégètes d’expliquer dans un sens spirituel ces dons qu’ils ne purent entendre à la lettre. Chasser les démons fut un pouvoir réellement exercé quelquefois par les apôtres ;Jésus le leur conféra : « Puis, ayant appelé ses douze disciples, il leur donna le pouvoir de chasser les esprits impurs, et de guérir toute maladie et toute infirmité » (Mt 10, 1)

Parler des langues nouvelles, c’est parler des langues non apprises d’une manière naturelle. Il ne s’agit pas du don de parler en langues dans un état d’extase : « Tous furent remplis d’Esprit Saint : ils se mirent à parler en d’autres langues, et chacun s’exprimait selon le don de l’Esprit. » (Ac 2, 4)

Saisir des serpents put être une répétition de la promesse de Jésus, qui fut accomplie pour Paul à Malte ; à moins qu’on ne préfère donner à ces paroles un sens figuré : Jésus aurait conféré aux siens le pouvoir de braver tous les dangers. La faculté de prendre un breuvage mortel sans en éprouver aucun mal peut de même s’entendre dans les deux sens.

Diacre Michel Houyoux

Liens avec d’autres sites web chrétiens

◊ Hozana : cliquez ici pour lire l’article → Allez dans le monde entier. Proclamez l’Évangile à toute les nations

◊ KT42: cliquez ici pour lire l’article → Jésus a dit : « Allez dans le monde entier

Abbé Pierre Desroches : « L’Ascension du Christ doit nous inciter à aller proclamer son message »

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Quarta domenica del Tempo Ordinario – Anno B

Posté par diaconos le 25 janvier 2021

Gesù insegnava come un uomo di autorità

Dieu ma joie: Jésus enseignait avec autorité

# Il Primo ministero in Galilea di Gesù inizia quando, dopo il suo Battesimo, ritorna in quella regione dal deserto in Giudea. In questo primo periodo, egli predica in giro per la Galilea e recluta i primi discepoli, che iniziano a viaggiare con lui e vengono poi a costituire il nucleo della prima Chiesa, include la vocazione dei dodici apostoli e si sviluppa lungo quasi tutto il corso del ministero di Gesù in Galilea. Il Ministero finale di Gesù in Galilea inizia dopo la morte di Giovanni Battista, mentre Gesù si prepara ad andare a Gerusalemme. Nel Successivo ministero in Giudea Gesù inizia il suo ultimo viaggio a Gerusalemme attraversando la Giudea.

Mentre Gesù si dirige verso Gerusalemme, nel Successivo ministero in Perea, circa ad un terzo di percorso dal Mare di Galilea (in realtà un lago di acqua dolce) lungo il fiume Giordano, egli ritorna nella zona dove fu battezzato. Il Ministero finale a Gerusalemme, che viene a volte chiamato la Settimana di Passione, inizia con l’entrata trionfale di Gesù a Gerusalemme. I Vangeli forniscono più particolari circa il ministero finale che non degli altri periodi, dedicando approssimativamente un terzo dei loro testi all’ultima settimana della vita di Gesù a Gerusalemme.

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Dal Vangelo di Gesù Cristo secondo San Marco

Gesù e i suoi discepoli entrarono a Cafarnao. Subito il giorno di sabato entrò nella sinagoga e lì insegnò. Erano stupiti del suo insegnamento, perché insegnava come un uomo di autorità e non come gli scribi. Ora c’era un uomo nella loro sinagoga, tormentato da uno spirito immondo, che cominciò a gridare : « Cosa vuoi da noi, Gesù di Nazareth ? Sei venuto a perderci ? « 

Io so chi sei: tu sei il Santo di Dio. Gesù lo sfidò bruscamente : « Taci ! Esci dall’uomo. «  Lo spirito immondo lo convulse, ed egli gridò a gran voce. Erano tutti stupiti e si chiedevano tra loro : « Cosa significa questo ? Questo è un insegnamento nuovo e autorevole ! Egli comanda anche agli spiriti immondi, ed essi gli obbediscono.  »  Subito la sua fama si diffuse ovunque, in tutta la regione della Galilea.  (Mc 1, 21-28)

Soggiorno a Cafarnao

Subito dopo il suo arrivo a Cafarnao, Gesù entrò nella sinagoga ; ed era un giorno di sabato, mentre insegnava e tutti erano stupiti della sua dottrina, quando un uomo posseduto da uno spirito immondo gridò, dicendo : « Sei venuto a distruggerci ? Noi sappiamo chi sei : il Santo di Dio. »  

Gesù ordinò allo spirito di tacere e di uscire dall’uomo, ed egli obbedì dopo aver agitato violentemente l’uomo posseduto e aver emesso un forte grido. Questa guarigione causò stupore e discussioni tra i testimoni. La fama di Gesù si diffuse.

Matteo ha posto questa osservazione sull’autorità dell’insegnamento di Gesù Cristo dopo il Discorso della Montagna, dove non era meno appropriato applicarla. Luca ha fatto un’osservazione simile nella stessa occasione di Marco. Le parole del diavolo iniziarono con questa esclamazione : « Ah, riposiamoci. » 

Non avere niente a che fare con Gesù, che è venuto a perdere, a distruggere il regno delle tenebre. Gli indemoniati lo sapevano, perché sapevano che Gesù è il Santo di Dio, colui che Dio ha santificato : « Colui che il Padre ha santificato e mandato nel mondo, voi gli dite : ‘Tu bestemmi ! E questo perché ho detto : ‘Io sono il Figlio di Dio’. Io sono il Figlio di Dio » (Gv 10, 36).

Fu il contrasto assoluto tra la santità di Gesù e gli spiriti immondi che causò il tormento di questi ultimi, e bisogna notare che egli non parla solo in nome proprio, ma in nome di tutti i suoi simili: voi e noi; noi sappiamo.  E Gesù parlò al diavolo e lo distinse positivamente dall’uomo che il diavolo faceva parlare: Esci da lui.

Se questa influenza demoniaca fosse stata solo un pregiudizio popolare, Gesù avrebbe ovviamente condiviso questo pregiudizio. Il silenzio che Gesù impose al diavolo era legato alla confessione che il diavolo fece : « Tu sei il Santo di Dio. » Gesù rifiutò così una testimonianza che gli venne dal regno delle tenebre e che fu presa contro di lui.

E gli scribi che scendevano da Gerusalemme dicevano : « È posseduto da Belzebù ; scaccia i demoni per mezzo del principe dei demoni.  » (Mc 3, 22).  Gli spettatori facevano una connessione tra l’autorità della parola e il potere che veniva mostrato nell’atto. Hanno concluso che la manifestazione di questo potere, che libera le anime dal regno delle tenebre, presupponeva un nuovo insegnamento, una nuova rivelazione. Rivelazione e redenzione, profezia e miracolo erano per gli israeliti intimamente legati.

Il Diacono Michel Houyoux

Link ad altri siti web cristiani

◊ Qumran : clicca qui per leggere l’articolo → Testi – IV Domenica del Tempo Ordinario (Anno B)
◊ Maranatha (Italia)  : clicca qui per leggere l’articolo → Liturgia della IV Domenica del T.O. Anno B

♥  Omelia del padre Fernando Armellini : « 

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