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Vendredi de la première semaine du Carême-Année B

Posté par diaconos le 26 février 2021

Prendrais-je donc plaisir à la mort du méchant, et non pas plutôt à ce qu’il se détourne de sa conduite et qu’il vive ?

Une pause par jour – 23 février 2018 | «Notre-Dame des 3 Vallées

# Le sacrement de pénitence et de réconciliation, est, dans l’Église catholique, dans les Églises orthodoxes et dans l’Église anglicane, l’un des sept sacrements. Il a pour objectif que Dieu puisse pardonner les péchés au pénitent. C’est au IIIe siècle environ que le sacrement se répandit, sous la forme d’un acte public, effectué après l’aveu de la faute à l’évêque.Selon saint Augustin, confesser, cela signifie « faire la vérité », et implique surtout la discipline et l’humilité de la vérité .

Aux environs du VIIe siècle, une nouvelle discipline se répandit à partir des monastères celtes et anglo-saxons : le prêtre entendit la confession en privé, et donna des pénitences adaptées à la faute. L’absolution ne fut accordée qu’à l’issue de ces pénitences. Vers la fin du XIIe siècle, l’aveu prit de l’importance : il tendit à suffire pour permettre l’absolution, donnée immédiatement à l’issue de la confession. Le canon 21 du concile de Latran IV (1215) prescrit la confession annuelle : « Tout fidèle de l’un ou l’autre sexe parvenu à l’âge de discrétion doit lui-même confesser loyalement tous ses péchés au moins une fois l’an à son curé, accomplir avec soin la pénitence à lui imposée et recevoir avec respect, au moins à Pâques, le sacrement de l’eucharistie ».

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Du livre du prophète Ézékiel

Ainsi parle le Seigneur Dieu : Si le méchant se détourne de tous les péchés qu’il a commis, s’il observe tous mes décrets, s’il pratique le droit et la justice, c’est certain, il vivra, il ne mourra pas. On ne se souviendra d’aucun des crimes qu’il a commis, il vivra à cause de la justice qu’il a pratiquée. Prendrais-je donc plaisir à la mort du méchant  oracle du Seigneur Dieu ,  et non pas plutôt à ce qu’il se détourne de sa conduite et qu’il vive ?
Mais le juste, s’il se détourne de sa justice et fait le mal en imitant toutes les abominations du méchant, il le ferait et il vivrait ? Toute la justice qu’il avait pratiquée, on ne s’en souviendra plus : à cause de son infidélité et de son péché, il mourra !
Et pourtant vous dites : « La conduite du Seigneur n’est pas la bonne. » Écoutez donc, fils d’Israël : est-ce ma conduite qui n’est pas la bonne ? N’est-ce pas plutôt la vôtre ? Si le juste se détourne de sa justice, commet le mal, et meurt dans cet état, c’est à cause de son mal qu’il mourra.
Si le méchant se détourne de sa méchanceté pour pratiquer le droit et la justice, il sauvera sa vie. Il a ouvert les yeux et s’est détourné de ses crimes. C’est certain, il vivra, il ne mourra pas.  (Ez 18, 21-28) 

Faire grâce au retour du pécheur

Restaient les cas où le changement moral eut lieu non dans la vie de la race, d’une génération à l’autre, mais dans le même individu, à différents moments de son existence. Comment la justice divine agira-t-elle envers cet homme-là ? Ici encore Ézéchiel  donna des exemples très frappants, celui de la punition d’Ézéchias pour une faute commise à la fin de sa vie, et du pardon accordé à Manassé lorsqu’il fut rentré en lui-même.

Le motif pour lequel la grâce l’emporta dans ce cas : ce ne fut qu’à contre-cœur que Dieu fit périr. Quand donc il trouva dans le retour du pécheur un motif de lui faire grâce il le saisit avec empressement. Le plus grand pécheur peut revenir à lui avec la certitude d’être reçu en raison de ce retour même : «  Je me lèverai, j’irai vers mon père, et je lui dirai: Mon père, j’ai péché contre le ciel et contre toi,  je ne suis plus digne d’être appelé ton fils; traite-moi comme l’un de tes mercenaires. Et il se leva, et alla vers son père. Comme il était encore loin, son père le vit et fut ému de compassion, il courut se jeter à son cou et le baisa. » (Lc 15, 18-20)

Le cas du juste qui vint à se corrompre : ses justices passées se perdirent dans sa corruption finale. Car Dieu juge un homme non d’après ce qu’il a pu faire, mais d’après ce qu’il est. « Mais vous dites : La voie du Seigneur n’est pas droite. Écoutez, maison d’Israël, est-ce ma voie qui n’est pas droite ? Ne sont-ce pas vos voies qui ne sont pas droites » (Ez 18, 25)

L’objection n’est pas développée. Voici probablement en quoi elle consistait : il n’est pas complétement juste d’oublier ainsi le passé pour le présent, en ne tenant pas compte, soit à celui qui revient au bien, de ses fautes passées, soit à celui qui se corrompt, de ses justices premières. Ce ne sont pas les œuvres isolées qui pèsent dans la balance divine, c’est la disposition intérieure qui les produit.

Voilà pourquoi l’homme est jugé d’après l’état moral dans lequel il est trouvé. Dans ce qu’est l’homme au moment suprême, se concentre le résultat moral de sa vie entière. Ne sont-ce pas vos voies… ?  L’inintelligence de cette vérité, si claire pour le cœur droit, prouvèrent  que les auditeurs du prophète Ézéchiel furent eux-mêmes entraînés dans une fausse direction.

Diacre Michel Houyoux

Compléments

◊ Diacre Michel Houyoux : cliquez ici pour lire l’article →  Va d’abord te réconcilier avec ton frère

◊ Diacre Michel Houyoux  : cliquez ici pour lire l’article →   Où est ton frère ?

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◊ evangeli.net : cliquez ici pour lire l’article →  Temps du Carême – 1e Semaine: Vendredi

    Vendredi 1ère semaine de Carême

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Zweiter Fastensonntag – Jahr B

Posté par diaconos le 26 février 2021

Dies ist mein geliebter Sohn

 Deuxième dimanche de Carême — Année B dans Carême

# Der Ort der Verklärung ist der Berg Tabor, in der Nähe des Sees Tiberias. Dieser Ort wurde in byzantinischer Zeit wegen seiner Nähe zu Nazareth und dem See Tiberias gewählt. Einige Exegeten verorten das Ereignis auf dem Berg Hermon, da die Episoden des Evangeliums, die es einrahmen, in dieser Region angesiedelt sind. Für die Maroniten fand die Verklärung in der Region von Bcharré, auf dem Berg Libanon, statt. Der Berg der Verklärung verweist auf den Berg Horeb und den Berg Sinai, zwei symbolische Orte im Alten Testament, wegen der Anwesenheit von Mose und Elia neben Christus, deren Missionen mit ihnen verbunden sind.

Die Wolke, aus der die Stimme des Vaters kommt, erinnert an die Wolke, die die Hebräer während des Exodus und ihrer Durchquerung der Wüste einhüllte. Der Vorschlag des Petrus, drei Zelte zu errichten, bezieht sich nach Meinung einiger Beobachter auch auf das Zelt der Begegnung im Alten Testament. Diese Verklärung ist auch eine Ankündigung der « wunderbaren Adoption, die alle Gläubigen zu Söhnen Gottes machen wird ». Seine Verklärung ist keine Vorwegnahme der Auferstehung – in der sein Leib zu Gott verwandelt werden wird -, sondern im Gegenteil die Gegenwart des dreieinigen Gottes und der ganzen Heilsgeschichte in seinem für das Kreuz vorherbestimmten Leib ».

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Aus dem Evangelium von Jesus Christus nach dem Heiligen Markus

Zu dieser Zeit nahm Jesus Petrus, Jakobus und Johannes mit sich und führte sie allein auf einen hohen Berg. Und er wurde vor ihren Augen verklärt. Seine Kleidung wurde so glänzend, so weiß, dass niemand auf Erden eine solche Weiße erreichen kann. Und Elia erschien ihnen mit Mose, und sie redeten beide mit Jesus. Da sprach Petrus und sagte zu Jesus : « Rabbi, es ist gut, dass wir hier sind! Lasst uns also drei Zelte machen: eins für euch, eins für Mose und eins für Elia.  »
In der Tat wusste Petrus nicht, was er sagen sollte, so groß war ihre Angst. Eine Wolke kam und bedeckte sie mit ihrem Schatten, und aus der Wolke hörte man eine Stimme : « Dies ist mein geliebter Sohn; hört ihn!  » Als sie sich plötzlich umschauten, sahen sie nur Jesus, der allein mit ihnen war.

Sie stiegen vom Berg herab, und Jesus gebot ihnen, niemandem zu sagen, was sie gesehen hatten, bis der Menschensohn von den Toten auferstanden war. Und sie hielten sich an diese Worte und fragten sich untereinander, was es bedeutet, von den Toten auferweckt zu werden.  (Mk 9, 2-10)

Licht von Christus

Wenn uns jemand anlächelt, verändert sich sein Gesicht.  Das ist schön zu sehen ! Wie können wir andere nicht gerne zum Lächeln bringen? Dann stellt sich eine Komplizenschaft ein, eine Gemeinschaft, die frei und wahr ist und einen Hauch von Glück vermittelt. Jesus wird verklärt und die Jünger, Petrus, Jakobus und Johannes sehen Jesus: Sein inneres Licht, seine unendliche Liebe, strömt unaufhörlich aus seinem Herzen… Sein Körper wird davon durchstrahlt.  Jesus auf dem Berg wurde nicht von außen durch ein Licht erleuchtet, sondern er war in seinem Körper das Licht.

Was ist dieses Licht ? Es ist das eigentliche Geheimnis von Jesus. Elias und Mose erscheinen im Licht. Sind sie da, um den Aposteln die Person und das Werk von Jesus zu bestätigen ?  Das außergewöhnliche Licht Christi und die Anwesenheit der höchsten Gestalten in der Geschichte Israels schenken den Jüngern ein ungeheures Glück.  Dann verstehen wir den Ausruf des Petrus : « Rabbi, es ist gut, dass wir hier sind. « Sie wollen drei Zelte bauen … große Freude vor Gottes Projekt, das nun zu Ende geht.  » (Mk 9,5)

Die Verklärung des Herrn ist Teil der Frohen Botschaft. Wenn die Liebe regiert, verklärt sie die Wesen. Die aus Gott geschöpfte Liebe blüht auf und stimuliert. Auf der anderen Seite, ohne Liebe oder von der Leidenschaft überfallen, werden Menschen schnell von Eifersucht, Gier und chronischer Unzufriedenheit beherrscht. Leidenschaft verhärtet, macht blind und trübt die Augen. Ein Blick, der verletzend und erniedrigend wird, ein Blick, der zerstört !

Der Evangelist bemerkt, dass « er nicht wusste, was er sagen sollte, so groß war ihre Angst ». Fröhlichkeit oder Angst ? Vor dem Geheimnis Gottes gibt es tatsächlich diese beiden Gefühle. Glück, zu verstehen, Glück, zu entdecken, Glück, zu empfangen, was im Herzen des Geheimnisses Gottes liegt. Die Angst bleibt jedoch bestehen. Petrus versteht in diesem außergewöhnlichen Moment nicht viel; er ist ein Zeuge, der nichts erfindet.

Er wird später schreiben : « Das sind keine erfundenen Fabeln … wir sahen ihn in seinem ganzen Glanz, als wir ihn auf dem heiligen Berg sahen … wir selbst hörten diese Stimme vom Himmel kommen, als wir mit ihm auf dem heiligen Berg waren : Dies ist mein geliebter Sohn, an dem ich Wohlgefallen habe » (2. Petrusbrief, Kapitel 2, Verse 16 bis 18). Das ist das Herz der Persönlichkeit Jesu, das ist der Grund für diese Ausstrahlung seiner selbst, die Lebensquelle seines Wesens: Jesus wird von seinem Vater geliebt, er ist sein Sohn, sein Geliebter.

Die Verklärung endet mit einer Empfehlung: Sagen Sie nichts vor der Auferstehung. So kündigt Jesus an, dass diese Liebe, die ihn mit seinem Vater verbindet, erst dann wirklich gehört und verstanden wird, wenn das Kreuz gesehen wurde. Dann werden alle fähig sein, das ewige Geheimnis der Liebe Gottes zu allen Menschen zu hören, zu hören und zu empfangen.

Anmerkung: Wir wissen fast nichts über das Leben des Apostels Petrus seit dem Konzil von Jerusalem im Jahr 49 n. Chr. (siehe: Apostelgeschichte in Kapitel 15), bis er diesen Brief aus Rom schrieb, etwa 64 n. Chr., kurz vor seinem Tod.

Diakon Michel Houyoux

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◊  Erzbistum Köln : klicken Sie hier , um den Artikel zu lesen  →  Lesejahr B | 2. Fastensonntag | Erzbistum Köln

◊  Heribert Graab  : klicken Sie hier , um den Artikel zu lesen  →   Zweiter Fastensonntag im Lesejahr B

  Prof. Dr. theologie  Abt. Josef Spindelböck,

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