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Mardi de la cinquième semaine du temps pascal

Posté par diaconos le 4 mai 2021

Je vous donne ma paix

Mardi de la cinquième semaine du temps pascal dans Enseignement je-vous-laisse-la-paix-je-vous-donne-ma-paix-je-ne-vous-donne-pas-comme-le-monde-donne-que-votre-coeur-ne-se-trouble-point-et-ne-s-alarme-point-jean-1427

# Le Saint-Esprit est et la troisième entité de la Trinité dans le christianisme. L’Esprit saint est une personne différente du Père et du Fils, et formant avec eux un seul Dieu. Le dogme de la Trinité fut formulé progressivement, lors des conciles anciens, en particulier à partir du premier concile de Nicée. Cette interprétation repose sur l’usage dans la Bible hébraïque et les écrits juifs du terme ruach ha-kodesh esprit saint pour désigner l’esprit de YHWH Le Saint-Esprit dans le judaïsme se réfère généralement à l’aspect divin de la prophétie et de la sagesse. Il se réfère également à la force divine, à la qualité et à l’influence du Dieu sur l’univers ou sur ses créatures, dans des contextes donnés.

L’Esprit saint est un terme qui apparaît, via le syriaque, aussi dans les écrits pré-islamiques et dans le Coran. Ce terme est polysémique. . Le mot Esprit traduit dans le Nouveau Testament le mot grec Pneuma (littéralement Souffle). C’est pourquoi l’étude du Saint-Esprit est appelée la pneumatologie. L’objectif principal de l’œuvre du Saint-Esprit dans la Bible est la communication de la paix et de la vie surnaturelle de Dieu dans et à travers la vie de l’être humain, homme et femme, afin d’accomplir ce pour quoi il est venu : Glorifier le Fils Jésus-Christ.

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De l’Évangile de Jean

27 Je vous laisse la paix, je vous donne ma paix ; ce n’est pas à la manière du monde que je vous la donne. Que votre cœur ne soit pas bouleversé ni effrayé.

28 Vous avez entendu ce que je vous ai dit : Je m’en vais, et je reviens vers vous. Si vous m’aimiez, vous seriez dans la joie puisque je pars vers le Père, car le Père est plus grand que moi.

29 Je vous ai dit ces choses maintenant, avant qu’elles n’arrivent ; ainsi, lorsqu’elles arriveront, vous croirez.

30 Désormais, je ne parlerai plus beaucoup avec vous, car il vient, le prince du monde. Certes, sur moi il n’a aucune prise,

31 mais il faut que le monde sache que j’aime le Père, et que je fais comme le Père me l’a commandé. Levez-vous, partons d’ici.» (Jn 14, 27-31a)

Dernières consolations

Jésus, pressentant toutes les difficultés et toutes les craintes qui assaillirent le cœur de ses disciples, leur fit part d’une grâce suprême, d’un bien sans lequel il n’y eut pas de bonheur, avec lequel nous ne saurions jamais être malheureux : la paix. Jésus fit allusion dans ces paroles à la formule de salutation par laquelle les Israélites s’abordaient ou se quittaient.

Huit jours plus tard, les disciples se trouvaient de nouveau dans la maison, et Thomas était avec eux. Jésus vient, alors que les portes étaient verrouillées, et il était là au milieu d’eux. Il dit : « La paix soit avec vous ! »

La plupart des commentateurs allemands prirent le mot de paix dans le sens de l’hébreu schalôm, bien-être, prospérité, salut, et pensèrent que Jésus présent aux siens tous les fruits objectifs de son œuvre, en un mot, le salut éternel. Mais non, ce qu’il leur donna, ce fut la paix intérieure d’une âme remplie d’une douce confiance en son Dieu Sauveur.

Il leur laissa la paix, comme le plus précieux des legs à son départ. Il fit plus : « Tl leur donna réellement sa paix », la paix inaltérable et profonde dont il jouissait lui-même et qu’il puisait constamment dans la communion de son Père. Ce fut ainsi qu’il leur fit part encore de sa joie, car tout ce qui fut à lui appartint à ses rachetés.

Le monde en fut réduit à de vains souhaits, à de trompeuses promesses, souvent intéressées. Jésus donna réellement, abondamment et par l’amour le plus pur. Ces paroles inspirèrent aux disciples la plus entière confiance en lui. Jésus, à la fin du discours, revint à son point de départ ; ce fut après avoir donné aux siens tous les secours les plus puissants pour dissiper le trouble et les craintes qui purent encore assaillir leur cœur.

Les disciples n’avaient que trop bien entendu cette parole : « je m’en vais », mais ils avaient moins bien saisi celle-ci : « Je reviens à vous » ; de là leur tristesse et leur trouble. Ce fut pourquoi Jésus, plongeant un regard dans leur cœur, voulut leur faire sentir que leur amour pour lui dut leur faire de son élévation auprès du Père un motif de joie.

Ils prirent part à la joie qu’il éprouva lui-même de quitter ce monde de péché et de souffrance pour retourner auprès du Père et partager sa félicité et sa gloire. Ce fut le seul passage des évangiles où Jésus pensa à lui-même, et tira de son propre repos le motif d’une exhortation.  « Que vous croyiez que je m’en suis réellement allé à mon Père, et que vous compreniez la nature spirituelle de mon règne. »

Ces promesses si positives de Jésus, bientôt rendues vivantes dans leur cœur par le Saint-Esprit, leur furent expliquées par les grands événements de sa mort, de sa résurrection et de son retour dans la gloire. Alors ils crurent. Le prince du monde vint, s’approcha. Jésus le vit venir dans les misérables instruments dont il se servit pour accomplir son œuvre de ténèbres.

Mais il ajouta :  » Tout prince du monde qu’il est, il n’a rien en moi, ni droit, ni pouvoir. » La mort même à laquelle Jésus se soumit fut parfaitement libre et volontaire ; ce fut le sacrifice de son dévouement et de son amour. Pour parler ainsi, il fallut que Jésus eût la conscience de sa parfaite sainteté.

Diacre Michel Houyoux

Liens avec d’autres sites Web chrétiens

◊ Schweizer Dominikanerprovinz  : cliquez ici pour lire l’article → Mardi de la 5ème Semaine du Temps Pascal

◊ Abbaye de Tournay : cliquez ici pour lire l’article →  Mardi de la 5ème semaine du Temps Pascal

  Frère Jean-Stéphane Bonte de la paroisse de Saint Ruf, : « Je vous donne ma paix »

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VI Domenica di Pasqua Anno B

Posté par diaconos le 4 mai 2021

Non c’è amore più grande che dare la vita per quelli che ami

6 DOMENICA DI PASQUA

# L’11 luglio 2017, Papa Francesco ha introdotto l’offerta della vita come uno dei casi nel processo di beatificazione e canonizzazione. Il motu proprio prende il titolo dalle parole di Gesù riportate nel Vangelo secondo San Giovanni: « non c’è amore più grande che dare la vita per coloro che si ama » (Gv 15,13). Certamente, l’offerta eroica della propria vita, suggerita e sostenuta dalla carità, esprime una vera, piena ed esemplare imitazione di Cristo, e per questo merita quell’ammirazione che la comunità dei fedeli è solita riservare a coloro che hanno accettato volontariamente il martirio del sangue o hanno esercitato le virtù cristiane a livello eroico.

Maiorem hac dilectionem (latino per « [Non c'è] amore più grande ») è una lettera apostolica in forma di motu proprio emessa l’11 luglio 2017 da Papa Francesco. Introduce l’ »offerta della vita » come uno dei casi nella procedura di beatificazione e canonizzazione. Riguarda i cristiani che « hanno offerto volontariamente e liberamente la loro vita per gli altri e hanno perseverato in questa intenzione fino alla morte ».

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Dal Vangelo di Gesù Cristo secondo San Giovanni

09 Come il Padre ha amato me, così io ho amato voi. 10 Se osserverete i miei comandamenti, rimarrete nel mio amore, come io ho osservato i comandamenti del Padre mio e rimango nel suo amore. 11 Questo vi ho detto, affinché la mia gioia sia in voi e la vostra gioia sia piena. 12 Questo è il mio comandamento: Amatevi gli uni gli altri come io ho amato voi. 13 Nessuno ha un amore più grande di questo: dare la vita per coloro che si amano.

14 Voi siete miei amici se fate quello che vi comando.
15 Non vi chiamo più servi, perché un servo non sa quello che fa il suo padrone; vi chiamo amici, perché tutto quello che ho udito dal Padre mio l’ho fatto conoscere a voi. 16 Voi non avete scelto me, ma io ho scelto voi e vi ho reso responsabili, perché andiate e portiate frutto e il vostro frutto rimanga. Allora qualsiasi cosa chiederete al Padre nel mio nome, ve la darà. 17 Questo vi comando: amatevi gli uni gli altri. «  (Gv 15,9-17)

Dio è amore

« Dio è amore. » Queste tre piccole parole ci rivelano la vera natura di Dio. Dio è amore, prima di tutto all’interno della sua stessa natura divina composta da tre persone che non cessano di comunicare tra loro, che non fanno altro che amarsi.

Dio ci ha creato a sua immagine e somiglianza. Siamo esseri fatti per amare e per essere amati. La tragedia è proprio quando questo amore manca, quando è mal dato o mal ricevuto. I media sono pieni di queste storie d’amore iniziate male o finite male…

Gesù ci ha lasciato, come un testamento, due grandi affermazioni : « Come il Padre ha amato me, così io ho amato voi e Amatevi gli uni gli altri come io ho amato voi ». Che immensa verità! Che enorme felicità !

Per questo Gesù può dire ai suoi discepoli : « Amatevi gli uni gli altri », Amatevi gli uni gli altri con quell’amore che ricevete dal Padre e che io vi ho mostrato attraverso le mie parole, le mie azioni e tutta la mia vita, compresa la mia morte e risurrezione.

Come amarsi l’un l’altro ?

In questo settore, non ci sono ricette pronte. I Vangeli ci mostrano l’amore del Signore per gli uomini: il suo amore è universale, cioè è offerto a tutti senza alcuna esclusione. Quando amiamo veramente e quando sappiamo di essere amati, cresciamo e l’altra persona si sente sistemata nella vita. Sta a noi fare lo stesso !

Guardiamo come l’amore scende da Dio: il Padre ama Gesù, Gesù ci ama e noi, su sua richiesta (Vangelo), cui fa eco Giovanni (Seconda Lettura), cerchiamo di amarci gli uni gli altri. Cerchiamo di farlo alla maniera di Dio, come Dio stesso e suo Figlio hanno fatto con noi. Questo significa amarsi l’un l’altro abbondantemente, come fece Gesù, anche fino a dare la vita se necessario.

Amare fino al punto di dare la vita. « Questo è il mio corpo dato, il mio sangue versato; fate questo in memoria di me, fate questo come me! « La misura dell’amore è dare senza misura ». Amatevi l’un l’altro…. . Chi devo amare ? Per chi sono responsabile ? Chi si aspetta qualcosa da me ? Qual è il mio atteggiamento verso chi mi circonda, la mia famiglia, i miei colleghi di lavoro ?

L’apostolo Pietro (prima lettura) fu il primo a stupirsi, insieme agli ebrei che lo accompagnavano, nel vedere che il centurione dell’esercito reale si gettava in ginocchio e che anche i pagani ricevevano il dono dello Spirito in abbondanza. Dio dà senza meschinità, generosamente, abbondantemente e ci invita a fare lo stesso.

Siamo chiamati, con quello che siamo e dove siamo, a dare, a donarci e a perdonare… e a ricominciare senza mai fermarci. Che il nostro cuore sia la misura del cuore di Dio! E che la nostra mano, se possibile, sia la stessa! Non ci pentiremo mai di essere stati buoni e anche troppo buoni. Ma ci pentiremo sempre di aver chiuso la nostra mano e il nostro cuore quando gli altri li hanno aperti per ricevere da noi.

« Come il Padre ha amato me, così io ho amato voi… Amatevi gli uni gli altri come io ho amato voi ».

Diacono Michel Houyoux

Link ad altri siti web cristiani

◊ Maranantha (Italia) : clicca qui pereggere l’articolo → VI Domenica di Pasqua Anno B 

◊  Qumran  : clicca qui pereggere l’articolo →  Testi – VI Domenica di Pasqua (Anno B)

 Padre Fernando Armellini

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