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Mercredi de la huitième Semaine du Temps Ordinaire — Année Impaire

Posté par diaconos le 26 mai 2021

Evangile, Saint et Homélie du Mercredi 25 mai 2016 - Chorale  Belgo-Burundaise CSFA

Voici que nous montons à Jérusalem. Le Fils de l’homme sera livré

# Le Fils de l’Homme est une figure eschatologique en usage dans les milieux apocalyptiques judaïques dès la période post-exilique. Cette expression apparaît notamment dans le Livre de Daniel. Dans les évangiles, c’est le titre que reprend le plus souvent Jésus lorsqu’il parle de lui-même. L’expression elle-même est la « traduction littérale du grec uios tou anthrôpou, décalque de l’araméen bar nasha, mots employés au temps de Jésus comme substitut linguistique pour « être humain » ou « homme », pour les pronoms indéfinis « quelqu’un » ou « on », et pour « je » »1.

Les interprétations auxquelles elle a donné lieu dans le christianisme ont fait glisser le sens initial vers l’humanité de Jésus. Sa plus ancienne attestation remonte au septième chapitre du Livre de Daniel, daté de la persécution d’Antiochos Épiphane, peu avant la révolte des Maccabées (vers 160 av. J.-C.).

Dans le Livre d’Ézéchiel déjà, Dieu s’adresse plusieurs fois au prophète en l’appelant « Fils d’homme », mais aucun sens ésotérique n’est ici attaché à l’expression. On trouve plus de quatre-vingt passages dans le Nouveau Testament où Jésus de Nazareth se nomme lui-même « Fils de l’homme » (qui est équivalent à ‘Fils d’Adam’). C’est le titre qu’il employa le plus fréquemment lorsqu’il parla de lui-même à la troisième personne. Il se présenta comme le futur juge eschatologique : Dans la théologie chrétienne ultérieure, le titre de « Fils de l’Homme » sera compris comme désignant l’humanité de Jésus, et le titre de « Fils de Dieu », sa divinité2, dans le cadre de la doctrine chalcédonienne des deux natures (vere deus, vere homo).

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De l’évangile selon Marc

32 Les disciples étaient en route pour monter à Jérusalem ; Jésus marchait devant eux ; ils étaient saisis de frayeur, et ceux qui suivaient étaient aussi dans la crainte. Prenant de nouveau les Douze auprès de lui, il se mit à leur dire ce qui allait lui arriver : 33 « Voici que nous montons à Jérusalem. Le Fils de l’homme sera livré aux grands prêtres et aux scribes ; ils le condamneront à mort, ils le livreront aux nations païennes,

34 qui se moqueront de lui, cracheront sur lui, le flagelleront et le tueront, et trois jours après, il ressuscitera. » 35 Alors, Jacques et Jean, les fils de Zébédée, s’approchent de Jésus et lui disent : « Maître, ce que nous allons te demander, nous voudrions que tu le fasses pour nous. » 36 Il leur dit : « Que voulez-vous que je fasse pour vous ? » 37 Ils lui répondirent : « Donne-nous de siéger, l’un à ta droite et l’autre à ta gauche, dans ta gloire. »

38 Jésus leur dit : « Vous ne savez pas ce que vous demandez. Pouvez-vous boire la coupe que je vais boire, être baptisé du baptême dans lequel je vais être plongé ? » 39 Ils lui dirent : « Nous le pouvons. » Jésus leur dit : « La coupe que je vais boire, vous la boirez ; et vous serez baptisés du baptême dans lequel je vais être plongé. 40 Quant à siéger à ma droite ou à ma gauche, ce n’est pas à moi de l’accorder ; il y a ceux pour qui cela est préparé. »

41 Les dix autres, qui avaient entendu, se mirent à s’indigner contre Jacques et Jean. 42 Jésus les appela et leur dit : « Vous le savez : ceux que l’on regarde comme chefs des nations les commandent en maîtres ; les grands leur font sentir leur pouvoir. 43 Parmi vous, il ne doit pas en être ainsi. Celui qui veut devenir grand parmi vous sera votre serviteur. 44 Celui qui veut être parmi vous le premier sera l’esclave de tous : 45 car le Fils de l’homme n’est pas venu pour être servi, mais pour servir, et donner sa vie en rançon pour la multitude. » (Mc 10, 32-45)

Ambition des disciples

 Ils étaient déjà en chemin lorsque Jésus fut interrompu par l’arrivée du riche. Maintenant ils poursuivirent leur route, montant à Jérusalem, où Jésus souffrit et mourut. Jésus, qui pourtant connaissait parfaitement tout ce qui  lui arriva,  comme un chef intrépide, marchait à la tête du cortège ; ceux de son entourage immédiat, voyant la détermination de Jésus, furent frappés d’épouvante et hésitèrent ou s’arrêtèrent ; d’autres, moins rapprochés de lui et qui le suivirent furent saisis de crainte.

Alors Jésus assembla autour de lui les douze pour leur dire ouvertement au-devant de quelle épreuve il s’avancèrent. Marc fut le seul qui exprima les impressions des gens qui accompagnèrent Jésus.  Bien que les disciples n’eussent pas compris jusqu’ici les prédictions que Jésus leur fit de ses souffrances, ils eurent le pressentiment du danger dont ils furent menacés.

Ce fut la troisième fois que Jésus initia ses disciples au secret de ses souffrances. Ces prédictions devinrent plus explicites et plus claires, Matthieu, Marc et Luc les conservèrent toutes avec soin et d’un commun accord. Jésus ut une vue très claire et précise de tout ce qui lui arriva ;l en marqua le moment exact par ces mots : « Voici, nous montons à Jérusalem. »

Manifestation émouvante d’un courage héroïque et de l’amour qui se dévoue ; preuve évidente de l’absolue nécessité morale de cette mort au-devant de laquelle il marcha volontairement. Si ce sacrifice ne fut pas la rédemption du monde, il aurait été une sorte de suicide.  Après la prédiction que Jésus leur donna, la démarche de Jacques et de Jean parut incompréhensible, si elle ne fut pas une preuve du fait que même les disciples les plus intelligents ne saisirent pas saisi cette prédiction.

Matthieu prouva que les disciples, malgré toutes les douloureuses perspectives que Jésus leur fit entrevoir, ne doutent pas qu’il ne parvint dans un avenir prochain à être le chef d’un royaume et d’un royaume glorieux. Quant aux idées fausses qu’ils s’en firent, rien ne fut plus propre à les dissiper que les instructions que Jésus leur donna à ce sujet.

Dans Matthieu, ce fut la mère de Jacques et de Jean, Salomé, qui d’abord adressa à Jésus cette demande pour ses fils, tandis que, selon Marc, ce furent  les deux disciples eux-mêmes qui la formulèrent. De ces deux images des souffrances de Christ : la coupe et le baptême, la première seule fut authentique dans Matthieu. Si la coupe, dans le langage symbolique de l’Écriture, est la mesure de biens ou de maux destinés à chacun, le baptême est une image encore plus générale et plus profonde de la souffrance dans laquelle il s’agit d’être tout entier plongé.

Jésus indiqua par là aux deux disciples le chemin qui  le conduisit à la gloire, et il leur demanda :  « Pouvez-vous m’y suivre ? » De plus, il vit ce moment de la souffrance comme étant déjà arrivé. Pour réprimer l’ambition de ses disciples, Jésus mit en contraste l’esprit de son royaume avec ce qui se passa dans les royaumes de ce monde. Pour cela, il se servit de termes significatifs. Et d’abord il dit des princes de ce monde  qu’ils pensèrent gouverner, ou furent censés, ou s’imaginèrent régner.

Que voulut dire Jésus ? Selon quelques interprètes, cela signifierait que ces princes songèrent surtout a établir et à faire valoir leur autorité, une autorité que les peuples reconnaissent. D’autre dirent que ces puissants de la terre paraissaient exercer une grande domination, tandis qu’eux-mêmes furent esclaves de leurs passions.

Jésus étant arrivé à Jéricho, au moment où il sortit de cette ville accompagné d’une grande foule, un aveugle nommé Bartimée, apprenant que ce fut Jésus qui passait, se mit à crier : « Fils de David, aie pitié de moi ! » Mais des gens voulurent l’empêcher d’importuner Jésus, mais, il cria encore plus fort : « Aie pitié de moi ! «   Jésus s’étant arrêté fit appeler l’aveugle qui, se levant en toute hâte et jetant son manteau, accourut vers Jésus. « 

« Que veux-tu que je te fasse ? «  lui demanda jésus. »  « Rabbouni, que je recouvre la vue ! »  Jésus lui dit : « Va, ta foi t’a sauvé. » Et aussitôt il recouvrit la vue et suivit Jésus.  Marc seul fit connaître par son nom, et même par le nom de son père, ce mendiant aveugle. Bartimée signifie fils de Timée, ces noms patronymiques, Bartholomée, Barjésus, Barsabas, tenaient lieu de noms propres. L’aveugle guéri par Jésus devint un chrétien connu dans l’Église apostolique ; c’est ainsi que son nom fut conservé par la tradition

Jésus fut ému  et fit s’arrêter à la tête de son nombreux cortège en entendant les cris de ce pauvre mendiant, cette compassion  pénétra dans les cœurs. Rien n’est plus contagieux que le vrai amour.

Diacre Michel Houyoux

Complément

◊ Diacre Michel Houyoux : cliquez ici pour lire l’article →  Saint Philippe Néri, prêtre – Mémoire (1515-1595)

Liens avec d’autres sites Web chrétiens

◊ Père Gilbert Adam : cliquez ici pour lire l’article → Mercredi de la 8e semaine, année impaire

◊ Abbaye Notre Dame de Scourmont (Belgique)   : cliquez ici pour lire l’article → HOMÉLIE POUR LE MERCREDI DE LA 8ÈME SEMAINE DU TEMPS ORDINAIRE

  Lectio DIvina : « Voici que nous montons à Jérusalem. Le Fils de l’homme sera livré » -

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Heilige Drievuldigheid Zondag in jaar B

Posté par diaconos le 26 mai 2021

https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/c/c7/Trinidad_-_Vicente_Requena_el_Joven.jpg

# In het Christendom is de Drie-eenheid (of Heilige Drie-eenheid) de ene God in drie personen : de Vader, de Zoon en de Heilige Geest, gelijkwaardig, deel hebbend aan dezelfde goddelijke essentie en toch fundamenteel verschillend. De term Trinitas (= tri + unitas) werd in het Latijn bedacht door Tertullianus (155-220). Het geloof in de Drie-eenheid is het basisprincipe dat de belangrijkste christelijke denominaties gemeen hebben: Katholicisme, Orthodoxie en Protestantisme. De grondslag van deze doctrine wordt uitgedrukt in het symbool van Nicea. Het begrip « Drie-eenheid » wordt in het Nieuwe Testament niet expliciet genoemd, maar de drie personen worden er herhaaldelijk genoemd en geopenbaard, zowel in hun onderscheid als in hun eenheid. Voor de christelijke theologie vormen deze drie personen, of hypostasen, de ene God in de vorm van de Drie-eenheid.

D
e leer van de Drie-eenheid Het dogma van de Drie-eenheid is, volgens de christelijke leer, het gevolg van de wijze waarop God zijn mysterie heeft geopenbaard : Na eerst aan het Joodse volk zijn bestaan en uniciteit te hebben geopenbaard, wat weerklank vindt in het Oude Testament, openbaart hij zich vervolgens als Vader, Zoon en Heilige Geest door de Zoon en de Heilige Geest te zenden, wat weerklank vindt in het Nieuwe Testament Het trinitaire begrip (triade in het Grieks) duikt voor het eerst op bij Theophilus van Antiochië, rond 180, om God, zijn Logos en zijn Wijsheid (Heilige Geest) aan te duiden. De geschriften van de kerkvaders: Justin van Nablus22 , Irenaeus van Lyon , Clemens van Alexandrië, Tertullianus, Origenes, getuigen van de discussies die de Kerk van de eerste drie eeuwen doorkruisten. Hetzelfde geldt voor de opeenvolgende veroordelingen van verschillende « ketterijen ». Als de Vader, de Zoon en de Heilige Geest inderdaad aanwezig zijn in het Nieuwe Testament, zijn we nog ver verwijderd van de precieze leer van de Drie-eenheid zoals die in de vierde eeuw zal worden gedefinieerd.

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Uit het Evangelie volgens Mattheüs

16 De elf discipelen gingen naar Galilea, naar de berg waar Jezus hun had opgedragen heen te gaan. 17 Toen zij hem zagen, bogen zij zich neer, maar sommigen twijfelden. 18 Jezus kwam naar hen toe en zei: « Mij is alle macht gegeven in de hemel en op aarde. Maak alle volken tot mijn leerlingen en doop hen in de naam van de Vader en van de Zoon en van de heilige Geest. 20 Leer hun alles in acht te nemen wat ik jullie opgedragen heb. En Ik ben met u al de dagen tot aan de voleinding der wereld. « (Mt 28,16-20)De leer van de Drie-eenheid Het dogma van de Drie-eenheid is volgens de christelijke leer het gevolg van de wijze waarop God zijn mysterie heeft geopenbaard: nadat Hij eerst aan het Joodse volk zijn bestaan en uniciteit heeft geopenbaard, wat weerklank vindt in het Oude Testament, openbaart Hij zich vervolgens als Vader, Zoon en Heilige Geest door de Zoon en de Heilige Geest te zenden, wat weerklank vindt in het Nieuwe Testament

Het trinitaire concept (triade in het Grieks) duikt voor het eerst op in Theophilus van Antiochië, rond 180, om God, zijn Logos en zijn Wijsheid (heilige Geest) aan te duiden21. De geschriften van de kerkvaders: Justin van Nablus22 , Irenaeus van Lyon23 , Clemens van Alexandrië, Tertullianus, Origenes, getuigen van de discussies die de Kerk van de eerste drie eeuwen doorkruisten. Hetzelfde geldt voor de opeenvolgende veroordelingen van verschillende « ketterijen ». Als de Vader, de Zoon en de Heilige Geest inderdaad aanwezig zijn in het Nieuwe Testament, zijn we nog ver verwijderd van de precieze leer van de Drie-eenheid zoals die in de vierde eeuw zal worden gedefinieerd. (Mt 28, 16, 20)

Jezus verschijnt aan de elf in Galilea

De elf gingen naar Galilea, naar de berg die Jezus had aangewezen. Zij bogen zich voor hem neer, maar sommigen hadden twijfels. Jezus zei dat alle macht aan hem toebehoorde; hij droeg zijn leerlingen op naar alle volken te gaan, hen te onderrichten, te dopen en te leren zijn geboden te onderhouden; hij beloofde met hen te zijn tot aan de voleinding van de wereld. Het schijnt dat toen hij zijn leerlingen opdroeg na zijn verrijzenis naar Galilea te gaan, hij tegelijkertijd een berg aanwees waar zij hem zouden ontmoeten.

De gebeurtenissen in Jezus’ leven, zoals de toespraak waarmee hij zijn koninkrijk als Messias inluidde, de manifestatie van zijn heerlijkheid door zijn transfiguratie, en zijn afscheidsrede, vonden plaats op bergen. Matteüs noemt alleen zijn apostelen, die door de dood van Judas tot dit aantal waren teruggebracht : « De zilveren munten in de tempel werpende, trok hij zich terug en ging heen en hing zich op. (Mt 27, 5)

Maar daar Jezus in Galilea vele leerlingen had, die zich haastten te verzamelen toen zij het nieuws van zijn opstanding vernamen van de apostelen die uit Jeruzalem waren teruggekeerd, meenden verscheidene uitleggers dat de elf niet alleen waren bij deze bijeenkomst op de berg, en zij identificeerden deze verschijning met die waarin Jezus, volgens het getuigenis van Paulus, door meer dan vijfhonderd broeders tegelijk werd gezien : « Toen verscheen hij aan meer dan vijfhonderd broeders tegelijk, van wie de meesten nog in leven waren, en sommigen dood waren.   » 1 C0 15, 6)

Het leek hun gemakkelijker de twijfels te verklaren die in deze veronderstelling genoemd worden.  Deze twijfels rezen ook in de kring van de apostelen.  Matteüs vermeldt niet de verschijningen van Jezus aan zijn leerlingen in Judea en de gesprekken die hij daar met hen voerde. Maar kon hij ze negeren? Heeft hij zelf niet melding gemaakt van Jezus’ ontmoeting met de vrouwen bij het graf en de woorden die hij tot hen sprak ? En waren niet alle gebeurtenissen in Jeruzalem tussen de verrezen Jezus en zijn discipelen onmiddellijk aan iedereen bekend ?

 » En toen zij Hem zagen, aanbaden zij Hem, maar sommigen twijfelden. Het geloof in de goddelijkheid van de Zoon van God, dat in de harten van velen nog onzeker en zwak was, werd zegevierend opgewekt bij het zien van Jezus, triomferend over de dood: « Thomas antwoordde Hem : Mijn Heer en mijn God! « (Joh 20, 28) « Leer alle volken. Dit was het doel van Gods barmhartigheid, die grenzeloos is ten opzichte van onze gevallen mensheid. Dit gebod was tegelijkertijd een belofte : « En omdat de ongerechtigheid toeneemt, zal de liefde van velen verkillen » (Mt 24, 12).

Hoe maken wij de volkeren tot discipelen ? Met deze drie middelen : onderricht, doopsel en de morele verplichting om al het onderricht van Jezus in praktijk te brengen. Onderricht werd gegeven aan alle volken: de doop werd toegediend aan hen die tot discipelen van de volken werden gemaakt. Het was aan deze gedoopte leerlingen dat de apostelen moesten onderwijzen om alles wat Jezus gebood in praktijk te brengen.

Diaken Michel Houyoux

Links naar andere christelijke websites

◊  Kinderwoorddienst : clik hier om het artikel te lesen →  Heilige Driervuldigheid Zondag

◊ Samuel Advies : clik hier om het artikel te lesen →  Zondag 30 mei 2021 – Hoogfeest van de H. Drie-eenheid

  Priester Bart Goossens : « Zondag van de Heilige Drievuldigheid »

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