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Fête du Saint Sacrement dans l’année B

Posté par diaconos le 31 mai 2021

Ceci est mon corps, ceci est mon sang

Fête du Saint Sacrement dans l'année B dans Catéchèse adoration-eucharistique

# Saint-Sacrement est un nom donné à l’Eucharistie par l’Église catholique, et par extension à l’hostie consacrée. L’adoration du Saint-Sacrement est l’adoration de l’hostie consacrée, présentée dans un ostensoir ou un tabernacle (au reposoir le Jeudi saint). La Fête du Saint-Sacrement est une fête religieuse (catholique et anglicane) célébrée le jeudi qui suit la Fête de la Sainte Trinité. L’office du Saint-Sacrement est un office liturgique composé par Thomas d’Aquin.

Groupes religieux La congrégation du Très-Saint-Sacrement a été fondée en France en 1856 par Pierre-Julien Eymard. Les Servantes du Très-Saint-Sacrement (S.S.S.) forment une congrégation religieuse catholique fondée en France le 25 mai 1858 par le père Pierre-Julien Eymard. Les Adoratrices du Saint-Sacrement forment une congrégation religieuse catholique fondée en Italie en 1882 par Francesco Spinelli. L’ordre des Adoratrices perpétuelles du Saint-Sacrement a été fondé en Italie par Caterina Sordini (1770-1824), en religion Marie-Madeleine de l’Incarnation.

La congrégation des Sœurs du Saint-Sacrement est une congrégation religieuse catholique fondée par Louis Agut (1695-1778) à Mâcon. La congrégation des sœurs du Saint-Sacrement de Valence est une congrégation religieuse catholique féminine fondée au Calvaire de Boucieu le Roi en 1715 sous l’impulsion de Pierre Vigne. La Compagnie du Saint-Sacrement est une société secrète catholique fondée en 1630 par Henri de Lévis. Mère María Luisa Josefa du Saint-Sacrement (1866-1937), religieuse mexicaine, vénérable catholique, fondatrice de congrégations carmélitaines. Dominique du Saint-Sacrement, bienheureux espagnol.

Le quartier Saint-Sacrement est un quartier de la ville de Québec. Le Saint-Sacrement est également le nom donné à un vaste domaine historique de Toulon (Var, France) et qui fut durant longtemps réservé à plusieurs congrégations religieuses (faubourg de Saint-Jean du Var). Dans les arts : la Dispute du Saint-Sacrement de Raphaël, quatrième fresque de la salle de la Signature, est peinte entre 1509 et 1510.

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De l’évangile selon Marc

12 Le premier jour de la fête des pains sans levain, où l’on immolait l’agneau pascal, les disciples de Jésus lui disent : « Où veux-tu que nous allions faire les préparatifs pour que tu manges la Pâque ? » 13 Il envoie deux de ses disciples en leur disant : « Allez à la ville ; un homme portant une cruche d’eau viendra à votre rencontre. Suivez-le, 14 et là où il entrera, dites au propriétaire : “Le Maître te fait dire : Où est la salle où je pourrai manger la Pâque avec mes disciples ?” 15 Il vous indiquera, à l’étage, une grande pièce aménagée et prête pour un repas. Faites-y pour nous les préparatifs. » 16 Les disciples partirent, allèrent à la ville ; ils trouvèrent tout comme Jésus leur avait dit, et ils préparèrent la Pâque.

22 Pendant le repas, Jésus, ayant pris du pain et prononcé la bénédiction, le rompit, le leur donna, et dit : « Prenez, ceci est mon corps. » 23 Puis, ayant pris une coupe et ayant rendu grâce, il la leur donna, et ils en burent tous. 24 Et il leur dit : « Ceci est mon sang, le sang de l’Alliance, versé pour la multitude. 25 Amen, je vous le dis : je ne boirai plus du fruit de la vigne, jusqu’au jour où je le boirai, nouveau, dans le royaume de Dieu. » 26 Après avoir chanté les psaumes, ils partirent pour le mont des Oliviers.»  (Mc 14, 12-16.22-26)

Le repas de la Pâque

Lorsque la Pâque eut lieu, les grands prêtres et les scribes cherchèrent un moyen de s’emparer de lui et de le faire mourir, mais ils ne voulurent pas que ce fût pendant la fête, crainte d’une sédition.  Jésus était à table chez Simon le lépreux à Béthanie, une femme vint avec un vase d’albâtre plein d’un parfum de grand prix : elle brisa le vase et répandit le parfum sur la tête de Jésus. Quelques-uns blâmèrent cette perte inutile : ce parfum, dirent-ils, aurait pu être vendu trois cents deniers au profit des pauvres. Jésus leur reprocha de faire de la peine à cette femme.

Il déclara qu’elle fit une bonne action envers lui. Ils purent toujours faire du bien aux pauvres, tandis que lui, ils ne l’eurent pas toujours. Pressentant la mort de Jésus qu’elle aimait, elle  fit ce qui était en son pouvoir ; impuissante à le sauver, elle lui a rendit les derniers devoirs en lui sacrifiant ce qu’elle eut de plus précieux. Partout où l’Évangile sera prêché, ce qu’elle a fit est raconté.

Judas l’un des douze, alla trouver les grands sacrificateurs pour leur livrer Jésus. Ils le reçurent avec joie et lui promirent de l’argent. Judas chercha une occasion de livrer Jésus.

Diacre Michel Houyoux

Compléments

◊ Diacre Michel Houyoux : cliquez ici pour lire l’article → Dimanche des rameaux et de la passion

◊ ◊ Diacre Michel Houyoux : cliquez ici pour lire l’article →  Ma maison sera appelée maison de prière pour toutes les nations

Liens avec d’autres sites Web chrétiens

◊ Mouvement des francophones Curcillos du Canada  : cliquez ici pour lire l’article →   Fête du Saint Sacrement – B

◊ Regnum Christi  : cliquez ici pour lire l’article → Visitation de la Vierge Marie

♥  Le Saint Sacrement et la fête-Dieu

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Publié dans Catéchèse, fêtes religieuses, Religion, Temps ordinaire, Vierge Marie | Pas de Commentaire »

La Visitation de la Vierge Marie — Fête

Posté par diaconos le 31 mai 2021

D’où m’est-il donné que la mère de mon Seigneur vienne jusqu’à moi ?

2ème joie de Marie : “que la mère de mon Seigneur vienne jusqu’à moi”

La Visitation de la Vierge Marie est une fête chrétienne célébrée par les catholiques et les orthodoxes. Elle est fixée au 31 mai (2 juillet dans les calendriers de la période 1263–1969 et les calendriers modernes des régions allemandes) par les catholiques et au 30 mars par les orthodoxes. Le luthéranisme l’avait conservée avant de la retirer. La fête de la Visitation commémore un épisode de l’Évangile selon Luc : la visite que rend Marie, enceinte du Christ, à sa cousine Élisabeth, enceinte de Jean Baptiste.

Cette fête fut établie en 1263 par saint Bonaventure pour les franciscains. Elle fut étendue à toute l’Église en 1379 par le pape Urbain VI. Le concile de Bâle, lors de sa session du 10 juillet 1441, la confirma, car elle n’avait pas été initialement acceptée par certains États fidèles aux antipapes lors du Grand Schisme. Cette fête était autrefois célébrée le 2 juillet conformément à l’Évangile selon Luc qui rapporte que Marie serait restée chez Élisabeth jusqu’à la naissance de Jean le Baptiste (et en supposant qu’elle y soit restée les huit jours supplémentaires correspondant aux rites de l’imposition du nom). Toutefois, le calendrier liturgique a abandonné cette date traditionnelle, pour placer la fête au dernier jour du mois de mai, c’est-à-dire à la fin du mois marial. Symbolique de la fête de la Visitation.

Elle commémore la fête de deux enfants à naître, Jésus et son cousin Jean Baptiste. Par la fête de la Visitation, la mission de Jean Baptiste est confirmée, sa vocation prophétique est de préparer et d’annoncer la venue de Jésus parmi les hommes en tressaillant dans le sein de sa mère1. C’est aussi à cette occasion que Marie, remplie de l’Esprit-Saint prononce le Magnificat qui souligne le lien profond entre l’Espérance (vertu) et la Foi.

De l’évangile selon Luc

39 En ces jours-là, Marie se mit en route et se rendit avec empressement vers la région montagneuse, dans une ville de Judée. 40 Elle entra dans la maison de Zacharie et salua Élisabeth. 41 Or, quand Élisabeth entendit la salutation de Marie, l’enfant tressaillit en elle. Alors, Élisabeth fut remplie d’Esprit Saint, 42 et s’écria d’une voix forte : « Tu es bénie entre toutes les femmes, et le fruit de tes entrailles est béni.

43 D’où m’est-il donné que la mère de mon Seigneur vienne jusqu’à moi ? 44 Car, lorsque tes paroles de salutation sont parvenues à mes oreilles, l’enfant a tressailli d’allégresse en moi. 45  heureuse celle qui a cru à l’accomplissement des paroles qui lui furent dites de la part du Seigneur. » 46 Marie dit alors : « Mon âme exalte le Seigneur, 47 exulte mon esprit en Dieu, mon Sauveur ! 48 Il s’est penché sur son humble servante ; désormais tous les âges me diront bienheureuse.

49 Le Puissant fit pour moi des merveilles ; Saint est son nom ! 50 Sa miséricorde s’étend d’âge en âge sur ceux qui le craignent. 51 Déployant la force de son bras, il disperse les superbes. 52 Il renverse les puissants de leurs trônes, il élève les humbles. 53 Il comble de biens les affamés, renvoie les riches les mains vides. 54 Il relève Israël son serviteur, il se souvient de son amour, 55 de la promesse faite à nos pères, en faveur d’Abraham et sa descendance à jamais. » 56 Marie resta avec Élisabeth environ trois mois, puis elle s’en retourna chez elle. (Lc 1, 39-56)

La visite de Marie à Élisabeth

Marie s’en alla avec hâte dans une ville de Juda, chez Zacharie et Élisabeth. Au moment où elle salua Élisabeth, celle-ci sent son enfant tressaillir dans son sein et, remplie du Saint-Esprit, elle s’écria : Tu es bénie entre les femmes ! Elle exprima humblement son étonnement de ce que la mère de son Seigneur vienne à elle, elle la déclara bienheureuse d’avoir cru et lui annonça l’accomplissement de la promesse du Seigneur.Elle donne cours à ses sentiments de joie et de reconnaissance envers Dieu pour la grâce qu’il lui a faite (46-48).

Elle célébra la puissance, la sainteté, la miséricorde de Dieu, qui furent manifestées envers elle. Elle contempla la grande transformation qui s’accomplit dans le monde : les orgueilleux, les puissants, les riches abaissés, les humbles et les pauvres élevés. Elle rendit hommage à la fidélité de Dieu qui se souvint de sa miséricorde envers Abraham et sa postérité.Après être restée environ trois mois avec Élisabeth, Marie s’en retourna en sa maison.

En ces jours-là, c’est-à-dire immédiatement après le fait qui vint d’être raconté. Marie, sous l’impression de la révélation qu’elle eut reçue, portant dans son âme ces précieuses espérances,  éprouva le plus vif désir de revoir Élisabeth, sa parente, qui vint de faire des expériences analogues ; de là cette expression : « Elle s’en alla avec hâte. » Le lieu où habitait Élisabeth ne fut désigné que par deux termes très vagues : pays des montagnes et une ville de Juda.

Cette ville était Hébron, située à vingt-deux milles romains au sud de Jérusalem. Hébron avait été autrefois assignée aux sacrificateurs pour demeure  où sa situation fut indiquée par ce même terme : dans la montagne de Juda). D’autres pensèrent qu’il y eut primitivement dans le texte Jutta (désigné comme ville lévitique ; les copistes auraient changé ce nom peu connu en Juda. La promesse faite à Marie par le message de l’ange était-elle déjà réalisée en elle lors de sa visite à Élisabeth ?

Mais avec le sentiment si fin et si délicat qui réga dans toute cette narration, Luc passa cet événement sous silence. Moment solennel pour ces deux femmes ! Les mêmes expériences de la miséricorde de Dieu, la même foi, les mêmes espérances, le même amour unirent leurs âmes dans une communion intime. Marie, saluant Élisabeth dans cette rencontre unique, mit tout son cœur dans le schalom des Hébreux : « Que la paix soit avec toi ! »

 La sainte joie dont tressaillit Élisabeth dans son être le plus intime se communiqua à l’enfant qu’elle portait en son sein. L’extraordinaire ici, ce fut l’action de l’Esprit-Saint dont Élisabeth fut remplie et qui lui révéla en ce moment ce qui concernait Marie.

Le caractère de toute action de l’Esprit-Saint est d’élever l’homme au-dessus de ses impressions personnelles pour faire prédominer en lui la préoccupation des intérêts divins. C’est là le trait saillant de l’allocution d’Élisabeth. Avant tout, Marie et le fils de Marie ; après cela seulement, elle-même et son enfant, pour revenir aussitôt à Marie et à son bonheur. Nous retrouverons une marche analogue dans le cantique de Zacharie. ( Godet)

Élisabeth salua Marie avec un saint enthousiasme comme bénie entre les femmes, plus merveilleusement bénie, en effet, qu’aucune autre femme, puisqu’elle porta dans son sein Celui qui fut le Sauveur du monde. Les paroles d’Élisabeth prirent le ton et l’élévation d’un hymne ; elle chanta le bonheur de Marie qui  crut à ce qui lui fut annoncé de la part du Seigneur. Elle sut que toutes ces grandes promesses eurent leur accomplissement.  Ce fut jusque-là que s’éleva la foi qui fut commune à ces deux femmes.

Marie chanta les grandes choses que le Seigneur lui  fit, et, comme Élisabeth elle parla sous l’influence de l’Esprit-Saint. Son cantique, qui se divise en quatre strophes, est tout pénétré de la poésie de l’Ancien Testament et en particulier de celle qui respire dans le cantique d’Anne, mère de Samuel  (1 Samuel 2, 1-10). L’âme pieuse, dans les moments les plus solennels de sa vie intérieure, trouve toujours dans les paroles de l’Écriture l’expression la plus vraie de ses sentiments. Il y a même là une preuve de la vérité historique des récits de Luc.

Dès les premières phrases du cantique, cette forme de la poésie hébraïque, qu’on nomme le parallélisme, et qui consiste à rendre la même pensée par deux expressions différentes, mais avec une nuance délicate et importante. L’âme et l’esprit sont tour à tour le sujet de la phrase  Magnifier, mot que d’autres traduisirent par célébrer, louer, est un hébraïsme dont le sens signifie grandir. Une âme, élevée comme celle de Marie par l’Esprit, sentit et contempla la grandeur de Dieu et éprouva le besoin de la proclamer pour tous.

C’est ainsi que toutes les perfections de Dieu peuvent grandir parmi les personnes lorsqu’ils apprennent à les connaître mieux. C’est ce que nous lui demandons à l’égard de sa sainteté par cette prière : « Que ton nom soit sanctifié ».  : il se rapporte donc à un moment précis dont Marie conserve le souvenir, et l’on a supposé non sans raison, que ce moment est celui où elle reconnut que la promesse de Dieu était accomplie en elle.

Marie donna à Dieu deux noms : d’abord celui de Seigneur, qui est la traduction constante du nom de Jéhova dans les Septante. Ce nom se retrouve sans cesse dans les premiers récits de Luc.  Ensuite, elle nomma Dieu son Sauveur : le regard de sa foi pénétra plus loin que le moment présent et s’étendit jusqu’à ce salut du monde que Dieu allait accomplir.  L’humiliation sur laquelle Dieu a bien voulu porter son attention fut l’abaissement, la pauvreté où se trouvait Marie, bien que descendant des rois de Juda.

Élisabeth l’appela  bien-heureuse, et ces paroles, pleines d’un religieux enthousiasme, achevèrent d’affermir la foi de Marie en sa grande destinée. Marie célébra la puissance, la sainteté, la miséricorde de Dieu, trois perfections qui se manifestèrent dans les grandes choses qui lui furent faites. La toute-puissance se déploya dans l’incarnation, qui a la sainteté pour caractère principal, et qui fait éclater la miséricorde de Dieu.

Marie s’éleva, à la manière des prophètes, jusqu’à la contemplation de la grande révolution qui se réalisa par Jésus dont elle fut la mère. Si Dieu l’ appela, elle, la plus humble des filles de son peuple, à l’honneur de donner le jour au Messie, ce fut qu’il rejeta toutes les idées de grandeur humaine. Le principe du règne qu’il veut établir, et qui transformera le monde, sera « d’élever quiconque s’abaisse et d’abaisser quiconque s’élève. Quelques interprètes entendirent par les orgueilleux, les puissants, les riches, les païens, tandis que les humbles, et ceux qui eurent faim,furent les Israélites.+

Ils se fondirent pour cela sur les mots : «  Il a pris en sa protection Israël », qui leur parurent reproduire la même idée sous une autre forme. Mais Marie n’ignore pas que dans le peuple juif comme au sein des nations la miséricorde de Dieu est seulement pour « ceux qui le craignent. On ne doit prendre ces expressions : puissants, petits, riches, pauvres, ni exclusivement dans le sens social, ni exclusivement dans le sens spirituel. Dans tous ces termes sont réunies les deux notions spirituelle et temporelle.(Godet)

L’Éternel, voyant Israël, son serviteur, accablé sous l’oppression de sa misère, l’eut secouru, se chargea lui-même d’accomplir sa délivrance.  Dans cette délivrance, Marie vit la fidélité de Dieu qui se souvient de sa miséricorde éternelle envers Abraham et sa postérité, selon qu’elle  fut annoncée aux pères par les prophètes. Abraham et sa postérité sont représentés comme étant également les objets de la miséricorde de Dieu dans l’accomplissement des promesses qui avaient été déjà faites à ce patriarche.

Diacre Michel Houyoux

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  Homélie du Père Santiago Martin FM :  » La Visitation de la Vierge Marie »

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