• Accueil
  • > Archives pour le Mercredi 2 juin 2021

Mercredi de la neuvième Semaine du Temps Ordinaire — Année Impaire

Posté par diaconos le 2 juin 2021

Il n’est pas le Dieu des morts, mais des vivants

32è dimanche ordinaire: Le DIEU des vivants

De l’évangile selon Marc

 18 Des sadducéens – ceux qui affirment qu’il n’y a pas de résurrection – viennent trouver Jésus. Ils l’interrogeaient : 19 « Maître, Moïse nous a prescrit : Si un homme a un frère qui meurt en laissant une femme, mais aucun enfant, il doit épouser la veuve pour susciter une descendance à son frère. 20 Il y avait sept frères ; le premier se maria, et mourut sans laisser de descendance.

21 Le deuxième épousa la veuve, et mourut sans laisser de descendance. Le troisième pareillement. 22 Et aucun des sept ne laissa de descendance. Et en dernier, après eux tous, la femme mourut aussi. 23 À la résurrection, quand ils ressusciteront, duquel d’entre eux sera-t-elle l’épouse, puisque les sept l’ont eue pour épouse ? » 24 Jésus leur dit : « N’êtes-vous pas en train de vous égarer, en méconnaissant les Écritures et la puissance de Dieu ?

25 Lorsqu’on ressuscite d’entre les morts, on ne prend ni femme ni mari, mais on est comme les anges dans les cieux. 26 Et sur le fait que les morts ressuscitent, n’avez-vous pas lu dans le livre de Moïse, au récit du buisson ardent, comment Dieu lui a dit : Moi, je suis le Dieu d’Abraham, le Dieu d’Isaac, le Dieu de Jacob ? 27 Il n’est pas le Dieu des morts, mais des vivants. Vous vous égarez complètement. »  (Mc 12, 18-27)

Homélie

Ignorer les Écritures et la puissance de Dieu, telle est la double source habituelle de l’erreur et de l’incrédulité. Jésus prouva la puissance de Dieu par le fait que sa parole créatrice saura rendre aux morts un corps glorifié, digne de leur existence nouvelle ; puis il démontra la vérité profonde des Écritures par la citation qu’il en fit et la conclusion qu’il en tira. Les sadducéens ne croyaient pas que les morts revivent, leur question se réduisit à une ironie.

La vie vient de Dieu et le désir d’être qui nous habite est sacré, il est l’empreinte de sa vocation à la vie divine. La plupart des religions et des philosophies proposent la modération du désir, un sage contentement de ce qui est humainement accessible. La mort du Christ sur la croix est la célébration de sa défaite. Elle est l’évènement où Dieu lui-même nous révèle que le sens profond de la vie va au-delà de la simple existence biologique et se trouve dans l’amour.

Dans l’Ancien Testament, la mort est un drame car elle nous coupe de toute possibilité de relation. Elle est la solitude extrême, l’isolement définitif. Nous avons parfois fait l’expérience qu’une vie pleine, celle que l’on voudrait prolonger indéfiniment, n’est pas celle des jours tristes d’ennui, de routine ou de solitude, mais celle des heures passées à aimer. La Résurrection que nous offre le Christ est la restauration et l’élévation de notre capacité d’aimer et d’entrer en relation, jusqu’à entrer en communion avec tous nos frères et Dieu lui-même.

« En ce temps-là, des sadducéens qui affirmèrent qu’il n’y eut pas de résurrection, vinrent trouver Jésus. » À la base de l’incrédulité des sadducéens et de nos contemporains au sujet de la Résurrection, il y a parfois une conception irrecevable de la vie après la mort. Si elle ne signifie qu’un prolongement infini de notre vie terrestre, elle est difficilement attirante. Seigneur, augmente ma foi en la Résurrection. Aide-moi à croire que la vie éternelle a déjà commencé en moi et que bientôt nous serons ensemble au ciel.

Diacre Michel Houyoux

Liens avec d’autres sites Web chrétiens

◊ Père Gilbert Adam : cliquez ici pour lire l’article →  Mercredi de la 9e semaine, année impaire

◊ Père Jean Compazieu : cliquez ici pour lire l’article → L’Évangile du jour

Lectio Divina : « Il n’est pas le Dieu des morts, mais des vivants »

Image de prévisualisation YouTube

Publié dans Catéchèse, Religion, Temps ordinaire | Pas de Commentaire »

Feast of the Blessed Sacrament in the year B

Posté par diaconos le 2 juin 2021

This is my body

Fête du Saint Sacrement dans l'année B dans Catéchèse adoration-eucharistique

# Blessed Sacrament is a name given to the Eucharist by the Catholic Church, and by extension to the consecrated host. Adoration of the Blessed Sacrament is the adoration of the consecrated host, presented in a monstrance or tabernacle (at the repository on Holy Thursday). The Feast of the Blessed Sacrament is a religious festival (Catholic and Anglican) celebrated on the Thursday following the Feast of the Holy Trinity. The Office of the Blessed Sacrament is a liturgical office composed by Thomas Aquinas.

Religious groups The Congregation of the Blessed Sacrament was founded in France in 1856 by Pierre-Julien Eymard. The Servants of the Blessed Sacrament (S.S.S.) is a Catholic religious congregation founded in France on 25 May 1858 by Father Pierre-Julien Eymard. The Adorers of the Blessed Sacrament are a Catholic religious congregation founded in Italy in 1882 by Francesco Spinelli. The order of the Perpetual Adorers of the Blessed Sacrament was founded in Italy by Caterina Sordini (1770-1824), in religion Mary Magdalene of the Incarnation.

The Congregation of the Sisters of the Blessed Sacrament is a Catholic religious congregation founded by Louis Agut (1695-1778) in Macon. The Congregation of the Sisters of the Blessed Sacrament of Valence is a Catholic religious congregation of women founded at the Calvary of Boucieu le Roi in 1715 by Pierre Vigne. The Company of the Blessed Sacrament is a Catholic secret society founded in 1630 by Henri de Lévis. Mother María Luisa Josefa of the Blessed Sacrament (1866-1937), Mexican nun, venerable Catholic, founder of Carmelite congregations. Dominic of the Blessed Sacrament, Spanish Blessed.

The Saint-Sacrement district is a neighbourhood in Quebec City. The Saint-Sacrement is also the name given to a vast historical domain in Toulon (Var, France) which was for a long time reserved for several religious congregations (suburb of Saint-Jean du Var). In the arts: Raphael’s Dispute of the Blessed Sacrament, the fourth fresco in the Hall of the Signature, was painted between 1509 and 1510.

From the Gospel according to Mark

12 On the first day of the Feast of Unleavened Bread, when the Passover lamb was being slain, Jesus’ disciples said to him, « Where do you want us to go and make preparations for you to eat the Passover? « 13 He sent two of his disciples, saying to them, « Go into the city; a man carrying a pitcher of water will meet you. Follow him, 14 and where he goes in, tell the owner, « The Master has sent you to say, ‘Where is the room where I can eat the Passover with my disciples?’ »15 He will point out to you a large room upstairs that has been set up and is ready for a meal. Make the preparations for us there. « 16 The disciples left and went into the city, and they found everything just as Jesus had told them, and they prepared the Passover.

22 While they were eating, Jesus took bread and said the blessing, broke it and gave it to them, saying, « Take, this is my body. « 23 Then he took a cup and gave thanks, and they all drank from it. 24 Then he said to them, « This is my blood of the covenant, shed for many. 25 « Amen, I tell you, I will not drink again of the fruit of the vine until that day when I drink it anew in the kingdom of God. « 26 When they had sung the psalms, they set out for the Mount of Olives. »  (Mk 14:12-16.22-26)

The Passover meal

When the Passover came, the chief priests and scribes sought a way to seize him and kill him, but they did not want it to be during the feast for fear of sedition.  When Jesus was at table with Simon the leper in Bethany, a woman came with an alabaster jar full of expensive perfume, and she broke the jar and poured the perfume on Jesus’ head. Some of them blamed this useless waste: this perfume, they said, could have been sold for three hundred denarii to benefit the poor. Jesus reproached them for hurting the woman.

He said that she was doing a good deed for him. They were always able to do good for the poor, while he was not always able to do good for them. Sensing the death of Jesus whom she loved, she did what she could; powerless to save him, she paid him the last duty by sacrificing to him what she had most precious. Wherever the Gospel is preached, what she did is told.

Judas, one of the twelve, went to the chief priests to deliver Jesus to them. They received him gladly and promised him money. Judas looked for an opportunity to betray Jesus.

Deacon Michel Houyoux

Additional information

◊ Deacon Michel Houyoux : click here to read the paper → Palm and Passion Sundays

Links to other Christian websites

◊ Fr. Tommy Lane : click here to read the paper → Promises of the Sacred Heart of Jesus

◊ The Passover meal   : click here to read the paper → The Passover sacrific

    Homily – Feast of the Holy Family (Year B)

Image de prévisualisation YouTube

Publié dans fêtes religieuses, Foi, La messe du dimanche, Religion, Temps ordinaire | Pas de Commentaire »

 

Passion Templiers |
CITATIONS de Benoît XVI |
La pastorale Vauban |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | chrifsossi
| La Mosquée de Méru
| Une Paroisse virtuelle en F...