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Jeudi de la neuvième Semaine du Temps Ordinaire — Année Impaire

Posté par diaconos le 3 juin 2021

Il n’y a pas de commandement plus grand que ceux-là

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# La charité est synonyme de justice dans le judaïsme, selon le Commandement divin, et s’inscrit dans le principe de la Tsédaka. Elle désigne, selon la théologie chrétienne, l’amour de l’homme pour Dieu, pour lui-même et dans l’amour du prochain comme créature de Dieu. La charité est en outre définie comme l’une des trois vertus théologales du christianisme (aux côtés de la foi et de l’espérance). Dans le langage ordinaire, la charité est une vertu qui porte à désirer et à faire le bien pour autrui. Elle rend donc service aux gens en des actes inspirés par l’amour du prochain.

Le concept de hessed (charité, bonté, amour de Dieu et du prochain) apparaît 246 fois dans la Torah. Pour autant, le hessed s’inscrit dans le principe juif plus large de Tsedaka qui signifie « justice » et « droiture », et qui est une mitsva (c’est-à-dire un Commandement et une bonne action) que le Juif doit accomplir tout au long de sa vie4. Il relève de l’ensemble des Gemilut Hassadim (de gamol « accomplir, payer » et de hessed) qui constituent les « actes de bienfaisance » dont le Juif doit s’acquitter. La charité est la vertu reine des vertus : l’amour de Dieu et du prochain. Dans une perspective chrétienne, elle est la vertu théologale par laquelle on aime Dieu par-dessus toute chose pour lui-même, et son prochain comme soi-même pour l’amour de Dieu.

Elle assure et purifie la puissance humaine d’aimer et l’élève à la perfection surnaturelle de l’amour divin. Paul de Tarse en a donné une définition dans la Première épître aux Corinthiens au chapitre 13. Dans la tradition iconographique chrétienne, l’allégorie de la Charité est souvent celle d’une jeune femme allaitant des nourrissons. Les peintres italiens de la Renaissance représentent également la Charité sous les traits d’une jeune femme donnant le sein à un vieillard décharné, ce qui correspond au thème de la Charité romaine.

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De l’évangile selon Marc

28 Un scribe qui avait entendu la discussion, et remarqué que Jésus avait bien répondu, s’avança pour lui demander : « Quel est le premier de tous les commandements ? » 29 Jésus lui fit cette réponse : « Voici le premier : Écoute, Israël : le Seigneur notre Dieu est l’unique Seigneur.  30 Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme, de tout ton esprit et de toute ta force.

31 Et voici le second : Tu aimeras ton prochain comme toi-même. Il n’y a pas de commandement plus grand que ceux-là. » 32 Le scribe reprit : « Fort bien, Maître, tu as dit vrai : Dieu est l’Unique et il n’y en a pas d’autre que lui. 33 L’aimer de tout son cœur, de toute son intelligence, de toute sa force, et aimer son prochain comme soi-même, vaut mieux que toute offrande d’holocaustes et de sacrifices. » 34 Jésus, voyant qu’il avait fait une remarque judicieuse, lui dit : « Tu n’es pas loin du royaume de Dieu. » Et personne n’osait plus l’interroger. » (Mc 12, 28b-34)

Le commandement de l’amour

Selon Matthieu, un scribe serait venu à Jésus, envoyé par les pharisiens et lui aurait proposé sa question pour le tenter ou l’éprouver. Quant à la citation, faite par Jésus, du grand commandement de l’amour, Marc seul la fit précéder de ces mots : « Écoute, Israël, le Seigneur notre Dieu est un seul Seigneur. » Ces paroles, empruntées à Deutéronome 6.4-5, s’y trouvent dans le même rapport avec le  devoir d’aimer Dieu. C’est qu’un Dieu unique peut seul être l’objet de l’amour suprême.

À ces trois termes, de tout ton cœur, de toute ton âme, de toute ta pensée, qui se trouvent dans Matthieu, Marc ajouta : de toute ta force, conformément à l’hébreu, qui, par contre, ne renferme pas le mot de pensée.  Le commandement concernant l’amour du prochain est cité ici d’après Lévitique 19, 18. La réponse du scribe et l’approbation que Jésus lui donna ne se trouvent que dans Marc.

Le scribe releva le principe de l’unité de Dieu, rappelée par Jésus. Dans son énumération des facultés de l’âme qui toutes doivent être pénétrées de l’amour de Dieu, le scribe remplaça le mot de pensée  par celui d’intelligence, par où il entendit cette raison supérieure et morale qui pénètre et embrasse tout entier le rapport de l’homme et de Dieu, unis par l’amour.

Jésus, qui lisait dans le cœur de ce scribe et connaissait la sincérité et le sérieux des paroles qu’il venait de prononcer, pouvait, afin de l’encourager, lui rendre ce  témoignage, et il le lui rendit avec d’autant plus de joie et d’amour que son interlocuteur appartenait à une classe d’hommes généralement opposés à son enseignement. N’être pas éloigné du royaume de Dieu, c’est en être proche, mais n’y être pas entré encore.

Matthieu  fit cette même observation à la suite de la question sur l’origine du Christ. Marc la plaça à la suite de l’entretien sur le plus grand commandement. Cet entretien fit une vive impression sur les adversaires, puisque l’un des leurs venait de se déclarer  d’accord avec Jésus sur le point central de la vraie religion.

Diacre Michel Houyoux

Complément

◊ Diacre Michel Houyoux : cliquez ici pour lire l’article → En mémoire de Charles Lwanga et de ses compagnons martyrs (3 juin)

Liens avec d’autres cites Web chrétiens

◊ Père Gilbert Adam : cliquez ici pour lire l’article → Quel est le premier de tous les commandement ?

◊ Pasteur John Piper  : cliquez ici pour lire l’article →  Comment pouvons-nous nous aider les uns les autres à combattre les désirs impurs ?

   Il n’y a pas de commandement plus grand que ceux-là » – Lectio Divina

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Fest des Allerheiligsten Sakraments im Jahr B

Posté par diaconos le 3 juin 2021

Dies ist mein Körper

Fête du Saint Sacrement dans l'année B dans Catéchèse adoration-eucharistique

# Das Allerheiligste Sakrament ist ein Name, den die katholische Kirche der Eucharistie und damit auch der konsekrierten Hostie gibt. Die Anbetung des Allerheiligsten ist die Verehrung der konsekrierten Hostie, die in einer Monstranz oder einem Tabernakel dargeboten wird (am Gründonnerstag bei der Aufbewahrung). Das Fest des Allerheiligsten Sakraments ist ein religiöses Fest (katholisch und anglikanisch), das am Donnerstag nach dem Fest der Heiligen Dreifaltigkeit gefeiert wird. Das Offizium des Allerheiligsten Sakraments ist ein liturgisches Offizium, das von Thomas von Aquin verfasst wurde.

Religiöse Gruppen Die Kongregation des Allerheiligsten Sakraments wurde 1856 in Frankreich von Pierre-Julien Eymard gegründet. Die Dienerinnen des Allerheiligsten Sakraments (S.S.S.) sind eine katholische Ordensgemeinschaft, die am 25. Mai 1858 von Pater Pierre-Julien Eymard in Frankreich gegründet wurde. Die Anbeterinnen des Allerheiligsten Sakraments sind eine katholische Ordensgemeinschaft, die 1882 von Francesco Spinelli in Italien gegründet wurde. Der Orden der Ewigen Anbeterinnen des Allerheiligsten Sakraments wurde in Italien von Caterina Sordini (1770-1824) gegründet, in der Religion Maria Magdalena von der Menschwerdung.

Die Kongregation der Schwestern vom Allerheiligsten Sakrament ist eine katholische Ordensgemeinschaft, die von Louis Agut (1695-1778) in Macon gegründet wurde. Die Kongregation der Schwestern vom Allerheiligsten Sakrament von Valence ist eine katholische Ordensgemeinschaft von Frauen, die 1715 von Pierre Vigne auf dem Kalvarienberg von Boucieu le Roi gegründet wurde. Die Gesellschaft vom Allerheiligsten Sakrament ist eine katholische Geheimgesellschaft, die 1630 von Henri de Lévis gegründet wurde. Mutter María Luisa Josefa vom Allerheiligsten Sakrament (1866-1937), mexikanische Ordensfrau, ehrwürdige Katholikin, Gründerin der Karmelitinnen-Kongregationen. Dominikus vom Allerheiligsten Sakrament, spanischer Seliger.

Der Stadtteil Saint-Sacrement ist ein Viertel in Quebec City. Saint-Sacrement ist auch der Name einer großen historischen Domäne in Toulon (Var, Frankreich), die lange Zeit für mehrere Ordensgemeinschaften reserviert war (Vorort von Saint-Jean du Var). In der Kunst: Raffaels « Streit um das Allerheiligste », das vierte Fresko im Saal der Signatur, wurde zwischen 1509 und 1510 gemalt.

#Aus dem Evangelium nach Markus

12 Am ersten Tag des Festes der ungesäuerten Brote, als das Passahlamm geschlachtet wurde, sagten die Jünger Jesu zu ihm: « Wo sollen wir hingehen und Vorbereitungen treffen, damit ihr das Passah essen könnt? « 13 Er sandte zwei seiner Jünger und sagte zu ihnen: « Geht in die Stadt; ein Mann mit einem Wasserkrug wird euch begegnen. Folgt ihm, 14 und wo er hineingeht, sagt dem Besitzer: « Der Meister hat euch gesandt, um zu sagen: ‘Wo ist der Raum, wo ich mit meinen Jüngern das Passah essen kann?’  » 15 Er wird dir einen großen Raum im Obergeschoss zeigen, der bereits eingerichtet und für das Mahl vorbereitet ist. Dort sollst du die Vorbereitungen für uns treffen.  » 16 Die Jünger gingen in die Stadt und fanden alles so vor, wie Jesus es ihnen gesagt hatte, und sie bereiteten das Passahfest vor.

22 Während sie aßen, nahm Jesus das Brot, sprach den Segen, brach es und gab es ihnen und sagte: « Nehmt, das ist mein Leib. « 23 Dann nahm er den Kelch und sprach das Dankgebet, und sie tranken alle daraus. 24 Dann sagte er zu ihnen: « Das ist mein Blut des Bundes, das für viele vergossen wird. 25 « Amen, ich sage euch: Ich werde nicht mehr von der Frucht des Weinstocks trinken bis zu dem Tag, an dem ich sie von neuem trinke im Reich Gottes.  » 26 Als sie die Psalmen gesungen hatten, machten sie sich auf den Weg zum Ölberg.  » (Mk 14,12-16.22-26)
Das Passahmahl

Als das Passahfest kam, suchten die Hohenpriester und Schriftgelehrten einen Weg, ihn zu ergreifen und zu töten, aber sie wollten nicht, dass es während des Festes geschah, aus Angst vor Aufruhr.  Als Jesus mit Simon, dem Aussätzigen, in Bethanien zu Tisch war, kam eine Frau mit einem Alabasterkrug voller teurem Parfüm, und sie zerbrach den Krug und goss das Parfüm auf Jesu Kopf. Einige von ihnen tadelten diese sinnlose Verschwendung: Dieses Parfüm, sagten sie, hätte für dreihundert Denare verkauft werden können, um den Armen zu helfen. Jesus warf ihnen vor, die Frau zu verletzen.

Er sagte, dass sie eine gute Tat für ihn vollbracht habe. Sie waren immer in der Lage, den Armen Gutes zu tun, während er nicht immer in der Lage war, ihnen Gutes zu tun. Den Tod Jesu, den sie liebte, spürend, tat sie, was sie konnte; machtlos, ihn zu retten, erwies sie ihm die letzte Ehre, indem sie ihm das Kostbarste opferte, was sie hatte. Wo immer das Evangelium gepredigt wird, wird erzählt, was sie tat.

Judas, einer der Zwölf, ging zu den Hohenpriestern, um Jesus an sie auszuliefern. Sie empfingen ihn freudig und versprachen ihm Geld. Judas suchte nach einer Gelegenheit, Jesus zu verraten.

Diakon Michel Houyoux

Links zu anderen christlichen Websites

◊ Ein strenges Leben ist reich an Freuden : kick hier, um deb Atikel zu lesen →  Norbert von Xanten

◊  Dies ist mein Körper  : kick hier, um deb Atikel zu lesen → Das Abendmahl als Pessachmahl

  Michael Sieber : « Passah-Feier nach jüdischer Tradition

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