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La Parole de Dieu est créatrice

Posté par diaconos le 6 juin 2021

La foi en Dieu Heureux ceux qui écoutent la parole de Dieu, et qui la  mettent en pratique. - ppt video online télécharger

# La parabole du semeur est une parabole évangélique racontée dans les trois Évangiles synoptiques: Matthieu XIII, 1-23 [archive]; Marc IV, 1-20 ], Luc VIII, 4-15  (ainsi que dans l’Évangile apocryphe selon Thomas. Le semeur, qui représente Jésus, jette les graines dont certaines tombent sur le bord du chemin, sur les roches et dans des buissons d’épines, et la semence est donc perdue; en revanche lorsqu’elles tombent dans de la bonne terre, elles produisent du fruit jusqu’au centuple. Jean Chrysostome, Commentaire sur l’Évangile selon saint Matthieu, in « Œuvres complètes », traduction de M. Jeannin, Bar-Le-Duc, Éditions Guérin, 1865.
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Augustin d’Hippone, Sermon LXXIII « Le bon grain et l’ivraie », in « Sermons sur l’Écriture », traduction de l’abbé Jean-Baptiste Raulx, Éditions Robert Laffont, collection « Bouquins », 2014. Le Bon Grain et l’Ivraie est une parabole du Nouveau Testament. Elle fait allusion à l’origine du mal, au tri des âmes lors du jugement dernier et à l’importance de porter du bon fruit2 et de ne pas juger.
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La parabole du filet suit celle du bon grain et de l’ivraie dans le chapitre 13 de l’Évangile selon Matthieu. De lÉpître de Paul aux Romains : les personnes qui refusent de croire en Dieu malgré le témoignage de sa puissance créatrice. Ne se souciant pas de posséder la connaissance de Dieu, ils sont abandonnés. Dénomination de Dieu dans l’islam : deux versions ne relèvent pas de la parole du Prophète, que Dieu le bénisse et le salue. Elles ne relèvent que de la parole de certains Prédécesseurs.
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L’Évangile selon Jean affirme que Dieu parle, sa parole est son hypostase, sa Parole créatrice est aussi puissante. Pour Neale Donald Walsch : « Dieu communique avec tout le monde, tout le temps », « l’essence de Dieu est amour », « la pensée est créatrice », « chaque acte est un acte d’auto définition ». La foi juive s’appuie sur quelques mots qui furent formulés par les autorités rabbiniques médiévales. Ces principes furent établis comme soutènements fondamentaux inhérents à l’acceptation et à la pratique du judaïsme. Contrairement à la plupart des mouvances chrétiennes, et bien que ces fondements théoriques du judaïsme présentent un fonds idéologique commun, aucune communauté juive n’a développé ni fixé de « catéchisme ».
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 Une puissance de vie

 « À la cime d’un cèdre, tout à son sommet, je cueillerai un jeune rameau dit Dieu, je le planterai et il donnera du fruit » (Ez 17, 2-23). La Parole de Dieu est créatrice. Cet arbre magnifique, accueillant les oiseaux sur ses branches, symbolise le Christ qui étend son règne sur toute la création. Jésus compara son Église à un grand arbre où les oiseaux viennent s’abriter.

Ces paroles sont pour chaque personne un appel à la confiance, à la patience et à la persévérance. À  quoi pourrions-nous comparer le règne de Dieu ? Par quelle histoire, pourrions-nous le représenter ? Jésus en bon pédagogue, raconta deux petites histoires pour le faire comprendre : « Le règne de Dieu peut être comparé à ,un semeur qui jette de la graine sur son champ. Cette graine germera et la plante grandira et donnera des épis. Quand ils seront mûrs, ils seront récoltés.  » (Mc 4, 26-29)

Le champ ayant été préparé et les semis terminés, le cultivateur est confiant quant au résultat, car il sait par expérience que ses graines germeront et donneront à ter des épis. Une belle récolte en perspective après s’être bien occupé de son champ.

Le comportement de cet homme nous aide  comprendre le comportement de Dieu à notre égard. Dieu agit comme ce semeur. Il attend avec patience le temps de la moisson., il laisse mûrir la semence qu’il a jetée.

« Le gain de Dieu est comme un grand de moutarde : quand on la sème en terre, elle est a plus petite de toutes les semences du monde. Mais lorsqu’on la semée , elle grandit et dépasse en hauteur toues les plantes potagères ; et elle étend de longues branches, si bien que les oiseaux du ciel peuvent faire leur nid à son ombre » (Mc 4, 30-32)

Cette graine minuscule devenue une plante imposante est une belle image de l’action de Jésus qui put paraître insignifiante au cours de son ministère. Dans ces deux histoires , la petite graine est l’image de la Parole divine. La Parole divine possède en elle une puissance de vie qui lui permet de porter du fruit de manière spontanée.

Entre la Parole de Dieu et nous, il y a la même affinité qu’entre la terre et la semence. Dans les deux cas, il a fallu du temps pour atteindre la maturité. Ler semuer a été vigilant, patient et persévérant

Diacre Michel Houyoux

 

978-3-8416-9809-4-frontRéférence ISB : 13 978-3-8416-8809-4

   Auteur  Diacre Michel Houyoux   -  252 pages , publié en français  le 09 juillet 2012

Prix 49€

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Compléments

◊ Diacre Michel Houyoux : cliquez ici pour lire l’article → La graine a poussé, elle est devenue un arbre

◊ Diacre Michel Houyoux : cliquez ici pour lire l’article → Vendredi de la troisième Semaine du Temps Ordinaire — Année Impaire de la férie

  La parabole du semeur

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Fête du Saint Sacrement dans l’année B

Posté par diaconos le 6 juin 2021

Fête du Saint Sacrement dans l'année B dans La messe du dimanche pape-francois-saint-sacrement

Ceci est mon corps, ceci est mon sang

# La présence réelle est une doctrine de la théologie chrétienne selon laquelle Jésus-Christ est personnellement présent dans l’eucharistie. Elle s’oppose à l’interprétation de la présence du Christ sous forme d’un simple symbole ou d’une métaphore. Dans le langage courant, cette expression est le plus souvent comprise comme une affirmation de la doctrine catholique selon laquelle Christ est substantiellement présent sous les apparences du pain et du vin après la consécration des offrandes pendant la messe.
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Ce concept est toutefois plus vaste. Il peut être lié à la doctrine catholique de la transsubstantiation comme à celle, luthérienne, de la consubstantiation, ou encore à celle, calviniste, de la présence spirituelle, mais il ne se confond avec aucune d’entre elles. Différentes notions entrent en jeu et, depuis le XVIe siècle, ont contribué à creuser un écart entre le catholicisme et le protestantisme mais aussi, au sein de celui-ci, entre les principaux courants de la Réforme. La fin du XXe siècle a cependant vu ces divergences se relativiser, à défaut de disparaître, avec les progrès de l’œcuménisme.
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En particulier à la suite de la réflexion sur l’eucharistie menée par le concile Vatican II, de nombreux théologiens et philosophes catholiques soulignent que les fractures du XVIe siècle sont dues avant tout aux catégories conceptuelles de cette époque. Dès la fin du premier siècle, la Didachè, établit un lien entre l’Eucharistie et le passage du prophète Malachie qu’elle traduit 1: « Qu’en tout lieu et en tout temps, on m’offre un sacrifice pur. » (Malachie, 1, 11-14). Cette référence sacrificielle deviendra par la suite un classique chez les auteurs chrétiens des premiers siècles.
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Par ailleurs, le dogme de la présence réelle fut développé par plusieurs Pères de l’Église, dont Ignace d’Antioche2 (au tout début du second siècle) Justin de Naplouse3(milieu du second siècle) Irénée de Lyon4(fin du second siècle), Cyprien de Carthage5(milieu du troisième siècle), Jean Chrysostome, Ambroise de Milan (fin du quatrième siècle) et Augustin d’Hippone (à la charnière des quatrième et cinquième siècle). Au XIIe siècle apparaît le terme de « transsubstantiation » mais il faut attendre Thomas d’Aquin, un siècle plus tard, pour qu’en soit précisée la teneur6. La transsubstantiation, que Thomas d’Aquin nomme également « conversion substantielle », se réfère au concept philosophique de « substance » : la « réalité intelligible d’un être » au sens métaphysique, autrement dit non discernable par les sens.
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De l’Évangile selon saint Marc

Le premier jour de la fête des pains sans levain, où l’on immolait l’agneau pascal, les disciples de Jésus lui disent : « Où veux-tu que nous allions faire les préparatifs pour que tu manges la Pâque ? » Il envoie deux de ses disciples en leur disant : « Allez à la ville ; un homme portant une cruche d’eau viendra à votre rencontre. Suivez-le, et là où il entrera, dites au propriétaire : “Le Maître te fait dire : Où est la salle où je pourrai manger la Pâque avec mes disciples ?” Il vous indiquera, à l’étage, une grande pièce aménagée et prête pour un repas.

Faites-y pour nous les préparatifs. » Les disciples partirent, allèrent à la ville ; ils trouvèrent tout comme Jésus leur avait dit, et ils préparèrent la Pâque.Pendant le repas, Jésus, ayant pris du pain et prononcé la bénédiction, le rompit, le leur donna, et dit : « Prenez, ceci est mon corps. » Puis, ayant pris une coupe et ayant rendu grâce, il la leur donna, et ils en burent tous. Et il leur dit : « Ceci est mon sang, le sang de l’Alliance, versé pour la multitude. Amen, je vous le dis : je ne boirai plus du fruit de la vigne, jusqu’au jour où je le boirai, nouveau, dans le royaume de Dieu. » Après avoir chanté les psaumes, ils partirent pour le mont des Oliviers. (Mc 14, 12-16.22-26)
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Je t’adore, ô mon Dieu, tu es mon Seigneur. Par la présence réelle et perpétuelle de ton Fils dans le sacrement de l’autel, tu demeures souverain de nos vies tant éprouvées par les puissances des ténèbres. En toi, ô Dieu, nous jetons l’ancre et mettons tout notre effort pour maintenir le vaisseau de l’Église aux commandes de ton Esprit. Dieu, viens à mon aide, Seigneur, à notre secours. Gloire au Père, au Fils et au Saint-Esprit, pour les siècles des siècles. .
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Père, tu as donné ton Fils pour nous sauver. Accorde-nous de l’accueillir dans notre vie, par le don de ton Esprit, et de le suivre d’un cœur sans partage sur le chemin d’éternité, car il est notre Berger, notre Sauveur, notre Seigneur.

 Auteur  +PÈRE MARIE LANDRY C+MPS

Présence eucharistique du Christ parmi nous

 

Aujourd’hui nous célébrons solennellement la présence eucharistique du Christ parmi nous, le “Don par excellence”: «Ceci est mon corps (…). Ceci est mon sang» (Mc 14, 22-24). Préparons-nous à susciter dans notre âme “l’étonnement eucharistique” (Saint Jean Paul II).Avec le repas pascal le peuple juif commémorait l’histoire du salut, les merveilles de Dieu pour son peuple, en particulier, sa libération de l’esclavage d’Égypte. Lors de cette commémoration, chaque famille mangeait l’agneau pascal. Jésus-Christ devient le véritable et définitif Agneau pascal sacrifié sur la croix et mangé comme Pain Eucharistique.
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L’Eucharistie est Sacrifice: c’est le sacrifice du corps immolé du Christ et de son sang versé pour nous tous. Ce sacrifice fut anticipé au moment de la Cène. Et tout au long de l’histoire, à chaque Eucharistie, il est actualisé. En fait, c’est dans l’Eucharistie que nous trouvons notre nourriture: le nouvel aliment qui donne vie et force au chrétien qui chemine vers le Père.L’Eucharistie est la présence du Christ au milieu de nous. Le Christ ressuscité et glorieux demeure parmi nous de façon mystérieuse mais réelle, dans l’Eucharistie.
Cette présence implique une attitude d’adoration de notre part et une attitude de communion personnelle avec Lui. La présence Eucharistique nous garantit qu’Il demeure chez nous et accomplit l’œuvre du salut. L’Eucharistie est un mystère de foi. Elle est le centre et la clé de la vie de l’Église. Elle est la source et la racine de l’existence chrétienne. Sans l’expérience eucharistique la foi chrétienne ne serait qu’une philosophie.Avec l’institution de l’Eucharistie Jésus nous donne le commandement de l’amour de charité.
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Il ne s’agit pas de la dernière recommandation de l’ami qui part au loin ou du père qui voit venir la mort. C’est l’affirmation d’une dynamique que Jésus met en nous. Par le Baptême nous commençons une nouvelle vie, nourrie par l’Eucharistie. Le dynamisme de cette vie nous amène à aimer les autres, et ce dynamisme grandit jusqu’à donner notre vie: à cela l’on reconnaîtra que nous sommes chrétiens. Le Christ nous aime parce qu’il reçoit la vie du Père. Nous aimerons en recevant du Père la vie, spécialement au moyen de l’aliment eucharistique.
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Merci et pardon, mon Jésus, pour ta délicieuse bonté, souvent incomprise et banalisée. Merci et pardon, mon Jésus, pour ta générosité à laquelle mon cœur rugueux et étriqué répond d’un écho estompé ou déformé. Merci et pardon, mon Jésus, pour ton indulgence qui trouve mon âme parfois impétueuse et inquiète. Dis seulement une parole, Seigneur, puisque je ne suis pas digne de te recevoir. Ta Parole me sauve, m’apaise et ouvre en moi la porte de l’esprit, pour accueillir ta douce présence. Amen.
Résolution.
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Compléments

◊  Diacre Michel Houyoux : cliquez ici pour lire l’article → Fête du Saint Sacrement dans l’année B

  Le père Samuel Volta, prêtre du diocèse de Bordeaux, vous présente un menu complet pour la fête de Pâques.

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