• Accueil
  • > Archives pour le Jeudi 17 juin 2021

Jeudi de la onzième semaine du Temps Ordinaire — Année Impaire

Posté par diaconos le 17 juin 2021

Vous donc, priez ainsi

Vous donc, priez ainsi » (Mt 6, 7-15)

# Le Notre Père (en latin Pater Noster ; original grec Πάτερ ἡμῶν) est une prière chrétienne à Dieu considéré comme le père des hommes. Il s’agit de la prière la plus répandue parmi les chrétiens, car, d’après le Nouveau Testament, elle a été enseignée par Jésus lui-même à ses apôtres. Prononcée par les catholiques et les orthodoxes en particulier durant chaque célébration eucharistique, par les anglicans pendant les offices divins, par les protestants luthériens et réformés à chaque culte, cette prière, appelée parfois « oraison dominicale », est, avec le sacrement du baptême, ce qui unit le plus fermement les différentes traditions chrétiennes.
x
Cela explique qu’elle soit dite lors des assemblées œcuméniques. Selon le Nouveau Testament, Jésus, en réponse à une question des disciples sur la façon de prier, leur déclare : « Quand vous priez, dites : “Notre Père…” » Le texte se trouve, avec quelques variantes, dans les évangiles selon Matthieu (6:9-13) et selon Luc (11:2-4). En Matthieu, la prière, qui est mentionnée à la suite du Sermon sur la montagne, comprend sept versets ; en Luc, elle n’en compte que cinq. Le Notre Père se compose de deux parties. Il présente au début des points communs avec le Kaddish juif (prière de sanctification du Nom de Dieu) puis s’en écarte en reprenant des extraits d’autres textes juifs, notamment celui de la Amida juive (prière de bénédictions).
x
Le Notre Père est inspiré en grande partie de plusieurs prières juives, en particulier le Kaddish et la Amida, et d’autres textes juifs existant au temps de Jésus de Nazareth6. Dans l’Ancien Testament comme dans la tradition orale du judaïsme, Dieu est le « Père » des hommes, notamment dans la Torah (« Vous êtes les fils de l’Éternel votre Dieu », Dt 14:1) et chez les prophètes : « Dieu te dit : je veux te faire une place parmi mes enfants. Tu m’appelleras : mon Père, et tu ne t’éloigneras plus de moi » (Jr 3:20). Colette Kessler rappelle que ce « Père qui est au ciel » est invoqué dans les bénédictions qui précèdent le Shema Israël : « Notre Père, notre Roi, enseigne-nous ta doctrine », avec la formule : « Notre Père, Père miséricordieux »
x
Dans la Amida, prière dite trois fois par jour tout au long de l’année, Dieu est appelé « Père » à deux reprises : « Fais-nous revenir, notre Père, vers la Torah », et : « Pardonne-nous, notre Père, car nous avons péché contre toi. » Le Kaddish, prière de sanctification, unit le « Nom » de Dieu et son « Règne » dans les deux premières demandes8. Ces deux demandes, « Que soit magnifié et sanctifié Son grand Nom » et « Qu’il fasse régner Son Règne », correspondent aux deux premières demandes du Notre Père (« Que ton règne vienne » et « Que ton nom soit sanctifié ».
x

 De l’évangile selon Marc

07 Il appela les Douze ; alors il commença à les envoyer en mission deux par deux. Il leur donnait autorité sur les esprits impurs, 08 et il leur prescrivit de ne rien prendre pour la route, mais seulement un bâton ; pas de pain, pas de sac, pas de pièces de monnaie dans leur ceinture. 09 « Mettez des sandales, ne prenez pas de tunique de rechange. »

10 Il leur disait encore : « Quand vous avez trouvé l’hospitalité dans une maison, restez-y jusqu’à votre départ. 11 Si, dans une localité, on refuse de vous  accueillir et de vous écouter, partez et secouez la poussière de vos pieds : ce sera pour eux un témoignage. » 12 Ils partirent, et proclamèrent qu’il fallait se convertir.

13 Ils expulsaient beaucoup de démons, faisaient des onctions d’huile à de nombreux malades, et les guérissaient. 14 Le roi Hérode apprit cela ; en effet, le nom de Jésus devenait célèbre. On disait : « C’est Jean, celui qui baptisait : il est ressuscité d’entre les morts, et voilà pourquoi des miracles se réalisent par lui. » 15 Certains disaient : « C’est le prophète Élie. » D’autres disaient encore : « C’est un prophète comme ceux de jadis. »  (Mt 6, 7-15)

Mission des douze

Jésus, parcourant lui-même le pays en enseignant, envoya pour la première fois ses apôtres, deux à deux, après leur avoir donné pouvoir sur les esprits impurs. Il leur donna diverses instructions sur leur équipement et sur la conduite qu’ils durent tenir là où ils furent reçus et là où ils ne le furent pas.

Les apôtres prêchèrent la repentance et guérirent les malades.  Dans l’évangile se Matthieu, ce récit est précédé des noms des douze apôtres, la mission que Jésus leur confia fut préparée par une description de la détresse profonde où Jésus trouva le peuple, semblable à des brebis sans berger. « La moisson, disait-il, est grande, mais il y a peu d’ouvriers ». Il envoya ses disciples pour soulager toutes ces misères.

Deux à deux, trait particulier de Marc ; mesure de sagesse et d’amour de la part de Jésus. Par là il s’accommoda à la faiblesse de ses disciples, il répondit à des besoins profonds de leur âme, il prévint les dangers de l’isolement et ceux d’une domination personnelle et exclusive dans leur œuvre. Pouvoir ou autorité :  Matthieu et Luc ajoutèrent à ce pouvoir de guérir les démoniaques celui de guérir les maladies.

Il y a quelque chose de plus grand que de prêcher, c’est de faire des prédicateurs ; il y a quelque chose de plus grand que de faire des miracles, c’est de communiquer le pouvoir d’en faire. (Godet) 

Il est clair que, pour communiquer à ses apôtres le pouvoir de guérir, il dut leur communiquer aussi une nouvelle mesure de l’Esprit de Dieu ; car, sans une puissance spirituelle, ils n’auraient exercé aucune action semblable. Nous avons donc ici une première indication du don de l’Esprit que Jésus confirma plus tard (Jean 20.22), et que le jour de la Pentecôte rendit complet.(Olshausen)

Jésus ne se borna pas à conférer à ses disciples ces pouvoirs miraculeux, mais qu’il les envoyait avant tout pour  prêcher le royaume de Dieu. Exhorter les hommes à se repentir n’était pas tout le contenu de la prédication des apôtres ; par là dut commencer toujours et partout le renouvellement de la vie religieuse et morale.

Oindre d’huile était un moyen curatif très fréquemment employé en Orient ; ce qui ne veut pas dire que les apôtres opérassent les guérisons uniquement par ce moyen, puisque Marc raconta une action miraculeuse, les apôtres employassent pas cette huile dans le simple but de réveiller l’attention des malades, ou comme signe de leur guérison. Elle servit plutôt de moyen de communication aux puissances spirituelles qui opéraient la guérison.

C’est dans le même but que Jésus lui-même se servait quelquefois de la salive ou d’un attouchement pour opérer une guérison.  La renommée de Jésus parvint à Hérode ; tandis que d’autres dirent que Jésus fut Élie ou un prophète, Hérode affirma qu’il  fut Jean ressuscité. Marc raconta à ce propos l’issue tragique du Baptiste. Jean avait été emprisonné parce qu’il blâmait l’union d’Hérode avec Hérodias, la femme de son frère.

Le jour de naissance d’Hérode offrit à Hérodias une occasion propice. Sa fille dansa au festin qu’Hérode offrit à ses grands. Hérode enivré lui promit avec serment ce qu’elle voudrait. La jeune fille, après être allée consulter sa mère, demanda la tête de Jean-Baptiste. Le roi, tout attristé qu’il fût, n’osa refuser. Il envoya un garde décapiter Jean dans sa prison. Le garde apporta la tête de Jean sur un plat et la donna à la jeune fille, qui l’apporta à sa mère.

Diacre Michel Houyoux

Complément

◊ Diacre Michel Houyoux : cliquez ici pour lire l’article → Je veux que, tout de suite, tu me donnes sur un plat la tête de Jean le Baptiste

Liens avec d’autres sites Web chrétiens

◊ Père Gilbert Adam : cliquez ici pour lire l’article →  Jeudi de la 11e semaine, année impaire

  Lectio Divina :  » Vous donc, priez ainsi « 

Image de prévisualisation YouTube

 

Publié dans Catéchèse, Dieu, Disciples de Jésus, Prières, Religion, Temps ordinaire | Pas de Commentaire »

Zwölfter Sonntag der gewöhnlichen Zeit – Jahr B

Posté par diaconos le 17 juin 2021

Wer ist es, dass ihm sogar der Wind und das Meer gehorchen ?

# Die Stillung des Sturms ist ein Wunder, das Jesus Christus zugeschrieben wird. Es wird in allen drei synoptischen Evangelien erwähnt. Es ist ein Symbol dafür, dass Christus kam, um einer Menschheit, die in den stürmischen Wellen des Lebens gefangen war, Frieden zu bringen. Diese Episode soll am See Genezareth oder am See Tiberias, am See Genezareth oder am See Kinneret stattgefunden haben.

Réveillé, il menaça le vent et dit à la mer : « Silence, tais- toi ! » Le vent tomba, et il se fit un grand calme

Es ist ein Süßwassersee mit einer Fläche von 160 km2 im Nordosten Israels zwischen den Golanhöhen und Galiläa. Christus schläft im Sturm, ist ein Öl auf Leinwand, 51 × 61 cm, von Eugene Delacroix um 1853, im Metropolitan Museum of Art, New York.

Delacroix malte mindestens sechs Versionen dieser neutestamentlichen Passage: Von seinen verängstigten Jüngern geweckt, tadelt Christus sie für ihr mangelndes Vertrauen in die Vorsehung.

Diese Episode wird das Wunder der Sturmstillung genannt. Der See Genezareth oder Tiberiassee, auch See Genezareth oder Kinneret genannt, ist ein Süßwassersee mit einer Fläche von 160 Quadratkilometern im Nordosten Israels zwischen den Golanhöhen und Galiläa. In den frühen Werken ist die Seelandschaft wichtiger, in späteren Werken, wie hier, ist das Boot Christi wichtiger.

Ein weiteres Werk aus der gleichen Zeit, von ähnlicher Komposition, Öl auf Leinwand, 46 × 54 cm, befindet sich im Portland Art Museum. Eine andere Ansicht, weiter entfernt, befindet sich im Walters Art Museum. Auch hier handelt es sich um ein Öl auf Leinwand, 60 × 73 cm, aus dem Jahr 1854.

# Die Beruhigung des Sturms ist eines der Wunder Jesu in den Evangelien, die in Matthäus8 :23-27, Markus4 :35-41 und Lukas8 :22-25 (die synoptischen Evangelien) berichtet werden. Diese Episode unterscheidet sich von Jesu Gang auf dem Wasser, der ebenfalls ein Boot auf dem See beinhaltet und später in der Erzählung erscheint. Nach den Evangelien waren Jesus und seine Jünger eines Abends in einem Boot auf dem See Genezareth unterwegs.

Plötzlich kam ein wütender Sturm auf, und die Wellen brachen über das Boot, so dass es fast überschwemmt wurde. Jesus schlief auf einem Kissen im Heck des Bootes, und die Jünger weckten ihn und fragten: « Lehrer, kümmert es dich nicht, wenn wir ertrinken? Im Markusevangelium heißt es dann: « Er wachte auf, bedrohte den Wind und sagte zum Meer: « Ruhe! Sei still!  « Da legte sich der Wind, und es herrschte eine Totenstille. Er sagte zu ihnen: « Warum habt ihr Angst? Habt ihr immer noch keinen Glauben? « Und sie wurden von großer Furcht erfüllt und sagten zueinander,

 » Wer ist denn dieser, dass ihm sogar der Wind und das Meer gehorchen?  » Der Autor Michael Keene kommentierte, dass der See Genezareth für seine plötzlichen und heftigen Stürme bekannt war und dass die Juden Landbewohner waren, die sich auf dem Meer generell unwohl fühlten, zumal sie glaubten, das Meer sei voller furchterregender Kreaturen. Der Kanzelkommentar schreibt diese plötzlichen Stürme den Winden zu, die auf den Gipfeln des Berges Hermon im Antilibanon-Gebirge im Norden entstehen.

Der anglikanische Geistliche John Clowes kommentierte, dass Jesus mit der Frage « Warum habt ihr solche Angst? Der anglikanische Geistliche John Clowes kommentierte, dass Jesus seine Jünger mit der Frage « Warum habt ihr solche Angst? » aufforderte, in ihrem eigenen Geist die Ursache und den Ursprung der Angst zu erforschen, damit sie erkennen würden, dass alle Angst ihre Wurzeln in natürlicher Zuneigung und Gedanken hat, getrennt von geistiger Zuneigung und Gedanken. Und indem er fragte: « Habt ihr immer noch keinen Glauben? « wies Jesus offenkundig auf einen Mangel in ihren geistlichen Prinzipien hin. Clowes kommentierte weiter, dass Jesus durch diese letzte Frage seine Jünger und durch sie alle zukünftigen Generationen der Menschheit offensichtlich belehrte, dass Furcht das ständige Ergebnis des Mangels an himmlischen Prinzipien im menschlichen Geist ist.

                                                                                                        lwf0003web.gif

Aus dem Evangelium nach Markus

35 Als es an jenem Tag Abend wurde, sagte er zu seinen Jüngern: « Lasst uns auf die andere Seite gehen.    » 36 Sie verließen die Menge und nahmen Jesus, so wie er war, mit in das Boot, und andere Boote begleiteten ihn. 37 Ein heftiger Sturm erhob sich. Die Wellen schlugen gegen das Boot, so dass es bereits vollgelaufen war. 38 Er schlief hinten auf dem Polster. Die Jünger weckten ihn und sagten: « Meister, wir sind verloren; kümmert es dich nicht ? « 

39 Als er aufwachte, bedrohte er den Wind und sagte zum Meer : « Halt den Mund !  » Der Wind legte sich, und es entstand eine große Stille. 40 Jesus sagte zu ihnen : « Warum habt ihr solche Angst? Habt ihr immer noch keinen Glauben ? « 41 Sie fürchteten sich sehr und sagten zueinander : « Wer ist dieser, dass ihm sogar der Wind und das Meer gehorchen ?  » (Mk 4, 35-41)

Wir dürfen uns nicht fürchten !

An jenem Tag, als es Abend wurde, sagte Jesus zu seinen Jüngern :  » Lasst uns hinübergehen auf die andere Seite  » (Mk 4, 35). Dieser Tag war kein gewöhnlicher Tag ; Petrus erinnerte sich sein ganzes Leben lang daran. Es wurde Abend, nicht nur die Süße des einbrechenden Abends, sondern auch die Stunde aller Gefahren, die Stunde der Prüfungen (Mk 14, 17). Das andere Ufer, nicht nur das gegenüberliegende Ufer des Sees, sondern auch jener große Übergang zum anderen Ufer, der die Bestimmung eines jeden Menschen ist, der Abend seines Lebens, und der sein großer Tag ist, der Tag Gottes, auf den ihn alle anderen Tage vorbereiten.

Du lädst mich ein, Herr, zum anderen Ufer hinüberzugehen, meine Scheu zu überwinden, um die Frohe Botschaft des Evangeliums zu verkünden, mich in den Dienst meiner Brüder zu stellen, mit meinen schlechten Gewohnheiten zu brechen.

Bei der Überquerung des Sees von Galiläa schlief Jesus hinten im Boot ein. Der Wind erhob sich und nahm so stark zu, dass ihr Boot zu sinken drohte :  » Es kam ein heftiger Sturm, mit Wellen, die über das Boot schlugen, so dass es schon mit Wasser gefüllt war.   » (Mk 4, 37)

Der See von Tiberias ist berühmt für seine unerwarteten und heftigen Stürme, die von den Golanhöhen herunterkommen. Aber man muss nicht auf dem Meer sein, um die Stürme zu erleben. Alle Sprachen der Welt benutzen dieses Wort, um die plötzliche Prüfung zu bezeichnen, die jemandem widerfährt : Spott, Unfall, Versagen und Rückfall, Angst, seine Arbeit zu verlieren, eine schwere Krankheit, die diagnostiziert….

Seine Gefährten weckten ihn auf und riefen : « Wir sind verloren; kümmert es dich nicht ?   » (Mk 4, 38b) Das ist ein schönes Gebet, das wir in unseren Zeiten der Prüfung beten können. Was sind meine Stürme ? Wird Gott sie beruhigen ? Du scheinst zu schlafen, Herr, ich kämpfe allein, beunruhigt dich das nich ?

 » In den Himmel hinaufgetragen, stürzten sie in den Abgrund, und es wurde ihnen übel. In ihrer Not schrien sie zum Herrn, und er führte sie aus ihrer Not, er brachte den Sturm zum Schweigen, er brachte die Wogen zum Schweigen  » (Ps 107,26-29)  Mitten im Sturm erinnerte der Herr Hiob daran, dass er der Herr ist, der Grenzen setzen und den Stolz der Wellen aufhalten kann. Da beugte sich Hiob im Glauben.

Die Jünger Jesu, erfahrene Fischer, hatten große Angst, sich zu verirren. In Wirklichkeit fehlte ihnen nur der Glaube, das heißt das Vertrauen der Liebe, nachdem sie Christus zweifellos auf unsere eigene Weise verstanden hatten. (2. Lesung) Es ist nicht irgendein Glaube, der unsere inneren Stürme besänftigt, es ist der Glaube an Jesus Christus, den Toten und Auferstandenen. Jesus ist uns nahe, unsichtbar. Natürlich nimmt er uns die Schwierigkeiten nicht ab, aber er gibt uns die innere Kraft, sie zu ertragen : « Wo das Böse überhand nimmt, da fließt meine Gnade über ».

Durch sein ganzes Leben hindurch hat Jesus uns gezeigt, dass unser Zustand ihn nicht gleichgültig lässt. Er verspricht uns das Glück. Unsere Zeit ist kurz, lasst uns das nicht vergessen. Vertrauen wir darauf, dass Jesus uns helfen wird, am Hafen der Ewigkeit anzudocken, wo die Liebe mit Freude feiert. Die große Botschaft dieses Evangeliums ist, dass Jesus inmitten des Sturms bei uns, bei seiner Kirche, ist. Er lässt uns nie im Stich, auch wenn er scheinbar schläft und gleichgültig gegenüber dem ist, was geschieht.

Um uns zu helfen, das zu verstehen, hier ein Kommentar des Heiligen Augustinus : « Wenn wir sagen, dass Gott schläft, sind wir es, die schlafen; und wenn wir sagen, dass Gott aufsteht, sind wir es, die aufwachen. In der Tat schlief der Herr im Boot, und wenn es geschüttelt wurde, dann deshalb, weil Jesus schlief. Ihr Boot ist Ihr Herz. Und Jesus, im Boot, ist der Glaube in Ihrem Herzen. Wenn du dich an deinen Glauben erinnerst, wird dein Herz nicht erschüttert, aber wenn du deinen Glauben vergisst, schläft Christus ein und du riskierst, Schiffbruch zu erleiden… »

Zögern wir nicht, Christus inmitten unserer Stürme energisch zu rufen. Die Jünger taten dies. Zweifeln wir nie an der Gegenwart des Herrn, auch wenn alles schief geht. Lasst uns vertrauen ! Lasst uns keine Angst haben! Danken wir dem auferstandenen Herrn, der im Herzen unseres Lebens und unserer Stürme immer gegenwärtig ist.

Diakon Michel Houyoux

Links zu anderen christlichen Websites

◊ Steyler Missionare : klicken Sie hier , um den Artikel zu lesen →   Zwölter Sonntag im Jahreskreis (B)

◊  Vatican : klicken Sie hier , um den Artikel zu lesen → GENERALAUDIENZPAPST FRANZISKUS

  Darf ich Menschen enttäuschen? Glaube.Leben.

Image de prévisualisation YouTube

Publié dans La messe du dimanche, Page jeunesse, Religion, Temps ordinaire | Pas de Commentaire »

 

Passion Templiers |
CITATIONS de Benoît XVI |
La pastorale Vauban |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | chrifsossi
| La Mosquée de Méru
| Une Paroisse virtuelle en F...