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Mardi de la douzième Semaine du Temps Ordinaire — Année Impaire

Posté par diaconos le 22 juin 2021

 Mardi de la douzième Semaine du Temps Ordinaire — Année Impaire dans comportements luc-6.31

# L’éthique est une discipline philosophique portant sur les jugements moraux et dont le concept est donc très proche de celui de la morale. C’est une réflexion fondamentale de tout peuple afin d’établir ses normes, ses limites et ses devoirs. Dans les pays laïcs, l’éthique est étroitement liée à la philosophie politique qui la sous tend, mais elle peut aussi être liée à la culture, la religion, les croyances et les traditions d’un pays, d’un groupe social, ou d’un système idéologique.
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Pour des philosophes tel qu’Aristote ou Kant, l’éthique a pour but de définir ce qui doit être. L’éthique exprime des énoncés normatifs, prescriptifs ou encore évaluatifs parmi lesquels on trouve des impératifs catégoriques. La démarche éthique se distingue ainsi de la démarche scientifique qui elle se base sur des jugements de fait formulés dans des énoncés descriptifs, parmi lesquels on trouve des impératifs hypothétiques4.
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En absence d’impératif catégorique, une formulation éthique relève d’une faute de logique nommée paralogisme naturaliste. L’éthique comprend plusieurs champs d’application tel que l’éthique normative qui s’intéresse principalement aux concepts du bien et du bon que véhicule les théories de justice sociale et doctrines telles que l’utilitariste, l’égalitariste et l’libertarianiste, etc. À la suite de cela, l’éthique appliquée ou l’éthique déontologique s’intéresse alors à la mise en pratique des principes moraux. On appel par exemple.
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L’éthique descriptive et comparative s’intéresse quant à elle à la description et à la comparaison des différents codes moraux, alors que méta-éthique s’intéresse pour sa part au sens même des concepts mobilisés par l’éthique tel que le bien le mal, le juste, etc. Les rapports entre morale et éthique sont délicats, car la distinction entre ces deux termes eux-mêmes est différente selon les penseurs. Dans un sens « ordinaire», le terme éthique est synonyme de morale, et désigne une pratique ayant pour objectif de déterminer une manière conforme de vivre dans un habitat en correspondant aux fins ou aux rôles de la vie de l’être humain (exemple : recherche du bonheur ou de la vertu).
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La dichotomie Morale/Éthique sera explicitée par le philosophe Stéphane Sangral, dans Fatras du Soi, fracas de l’Autre, comme, pour la morale, un ensemble de valeurs et de règles arbitraires et propres à chaque groupe, « un linceul crasseux qui recouvre le vivre-ensemble », et comme, pour l’éthique, un ensemble de valeurs et de règles universelles (duquel la morale parfois s’inspire, mais parfois seulement) liées à l’empathie, « un drap blanc sur lequel repose la cohérence du vivre-ensemble ». La notion d’éthique personnelle ne qualifiant alors que le degré d’appropriation personnelle de l’éthique universelle[réf. n
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Tout ce que vous voudriez que les autres fassent pour vous, faites-le pour eux

 Ne donnez pas aux chiens ce qui est sacré ; ne jetez pas vos perles aux pourceaux, de peur qu’ils ne les piétinent, puis se retournent pour vous déchirer. Donc, tout ce que vous voudriez que les autres fassent pour vous, faites-le pour eux, vous aussi : voilà ce que disent la Loi et les Prophètes. Entrez par la porte étroite.

Elle est grande, la porte, il est large, le chemin qui conduit à la perdition ; et ils sont nombreux, ceux qui s’y engagent. Mais elle est étroite, la porte, il est resserré, le chemin qui conduit à la vie ; et ils sont peu nombreux, ceux qui le trouvent. (Mt 7, 6.12-14)

Le devoir de ne pas juger a ses limites

Le devoir de ne pas juger a ses limites, il n’exclut pas celui de discerner. Tel est le seul rapport admissible entre cette parole et celles qui précèdent. Les choses saintes sont les vérités de la Parole de Dieu, les expériences produites dans l’âme par l’Évangile et que Jésus compara à des perles précieuses.

Il ne faut pas les présenter à des hommes si corrompus que Jésus put les comparer à des animaux impurs. Ils ne purent que les profaner et elles ne firent qu’exciter leur haine et leurs violentes persécutions.

Sommaire de la loi  Faire aux autres ce que nous attendons d’eux.Difficulté d’entrer dans la vie : la porte est étroite, le chemin resserré, tandis que la porte large et le chemin spacieux mènent à la perdition.Faux prophètes et fausses apparences. Tenez-vous en garde contre les faux prophètes, ces loups déguisés en brebis. Vous les reconnaîtrez à leur fruit, car tel arbre tel fruit.

Tous ceux qui me disent : Seigneur ! N’appartiennent pas au royaume des cieux, mais ceux qui font la volonté de mon Père. Au jugement dernier plusieurs se prévaudront des discours prononcés et des actes accomplis en mon nom et je leur dirai : Je ne vous ai jamais connus, vous qui faites l’iniquité.

Exhortation finale sous forme de parabole

Celui qui met ces paroles en pratique est semblable à l’homme prudent qui a bâti sa maison sur le roc ; celui qui ne les met pas en pratique est semblable à l’insensé qui bâtit sur le sable. Les foules étaient dans l’étonnement, car elles sentaient l’autorité de cet enseignement si différent de celui des scribes.

Le grand commandement de l’amour du prochain a sa source dans l’amour pour Dieu, et que celui-ci, à son tour, n’est inspiré à notre coeur que par l’amour de Jésus.

Diacre Michel Houyoux

Compléments

◊ Diacre Michel Houyoux : cliquez ici pour lire l’article → La perdition éternelle

◊ Diacre Michel Houyoux : cliquez ici pour lire l’article → Pour entrer dans le royaume des Cieux, il faut faire la volonté de mon Père

Liens avec d’autres sites Web chrétiens

◊ Père Gilbert Adam : cliquez ici pour lire l’article →  Mardi de la 12e année impaire

◊ Témoignage chrétien : cliquez ici pour lire l’article →    Dieu fait un miracle pour une famille qui s’attendait à lui

  Père Luiz FERREIRA du Secteur de Bédarrides-Châteauneuf du Pape

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Tredicesima Domenica del Tempo Ordinario – Anno B

Posté par diaconos le 22 juin 2021

Liturgia della XIII Domenica del T.O. Anno B - www.maranatha.it

La donna sanguinante è un miracolo di Gesù Cristo raccontato in tre Vangeli. È il simbolo della fede, proprio come il miracolo sulla figlia di Giairo, descritto nello stesso capitolo. Per San Pietro Crisologo, i due miracoli raccontati contemporaneamente (quello della donna sanguinante e quello della figlia di Giairo), sono entrambi simboli della fede1. La fede dimostrata da questa donna che si trova degna di toccare il fondo della veste di Cristo; e, la fede data da Gesù nel compiere segni evidenti che dimostrano il suo legame divino, e, con questo fatto, l’esistenza di Dio. Per Thierry Murcia, la questione dello sfondo storico dei racconti evangelici. Due guarigioni in un giorno di Kippur: l’emorragia e la resurrezione della figlia di Giairo e il posseduto di Gerasa/Gadara, nel giudaismo antico.

Dal Vangelo secondo Marco

21 Gesù tornò dall’altra parte sulla barca, e una grande folla si radunò intorno a lui. Era in riva al mare. 22 Arrivò uno dei capi della sinagoga, di nome Giairo. Quando vide Gesù, cadde ai suoi piedi 23 e lo pregò: « Mia figlia, che è ancora così giovane, è alla fine della sua vita. Vieni a imporre le tue mani su di lei, affinché si salvi e viva.  » 24 Gesù andò con lui, e la folla che lo seguiva era così grande che lo sopraffece.

25 Ora c’era una donna che sanguinava da dodici anni. 26 Aveva avuto molti problemi con le cure di molti medici, e aveva speso tutte le sue ricchezze, e non aveva ottenuto il minimo miglioramento; al contrario, le sue condizioni erano peggiorate… 27 Questa donna, dunque, quando udì ciò che si diceva di Gesù, si avvicinò dietro di lui tra la folla e gli toccò la veste. 28 Poiché ella disse a se stessa: « Se solo potessi toccare la sua veste, sarei salvata ». 29 Immediatamente l’emorragia si fermò, ed ella sentì nel suo corpo che era guarita dalla sua malattia. 30 Immediatamente Gesù si rese conto che un potere era uscito da lui. Si girò tra la folla e chiese: « Chi ha toccato i miei vestiti? « 

31 I suoi discepoli risposero: « Voi vedete la folla che vi schiaccia e chiedete: « Chi mi ha toccato? ». 32 Ma egli si guardò intorno per vedere colui che aveva fatto questo.  33 Allora la donna, presa da timore e tremore, sapendo cosa le era successo, venne e cadde ai suoi piedi e gli raccontò tutta la verità. 34 Gesù le disse: « Figlia, la tua fede ti ha salvata. Vai in pace e guarisci dal tuo male. « 

35 Mentre parlava ancora, vennero alcune persone dalla casa di Giairo, il capo della sinagoga, e gli dissero: « Tua figlia è appena morta ». A cosa serve disturbare ancora il Maestro?  » 36 Gesù, sentendo queste parole, disse al capo della sinagoga: « Non temere, ma credi ».  » 37 Non lasciò che nessuno lo accompagnasse, tranne Pietro, Giacomo e Giovanni, il fratello di Giacomo.

38 Arrivarono alla casa del capo della sinagoga. Gesù vide la confusione e la gente che piangeva e gridava a squarciagola. Egli entrò e disse loro: « Cos’è questa agitazione e questo pianto? La bambina non è morta: sta dormendo.  » 40 Ma essi risero di lui. Allora mise tutti fuori, prese il padre e la madre del bambino e quelli che erano con lui, ed entrò dove giaceva il bambino.

41 Egli prese la mano della bambina e le disse: « Talitha koum », che significa: « Signorina, ti dico, alzati!  » 42 Immediatamente la ragazza si alzò e cominciò a camminare – aveva davvero dodici anni. Furono colpiti da grande stupore. 43 E Gesù ordinò loro fermamente di non farlo sapere a nessuno; poi disse loro di farla mangiar  (Mc 5, 21-43)

La tua fede ti ha salvato !

Marco riunisce qui in un unico racconto due storie intrecciate. Matteo e Luca hanno seguito la stessa procedura. Prima di tutto, due figure sono in scena. Due figure femminili: una bambina e una donna. E in entrambi i casi la fede è al centro dei passi fatti con Gesù.

Nel caso della donna incurabile, non c’è richiesta. È un passo di fede e di speranza in Gesù da parte di questa donna che le porterà una guarigione immediata. E attraverso questa storia, capisco l’importanza di questo passo di fede e di speranza.

Vedete, è la fede che manca, disse il santo Curato d’Ars. Quando diciamo : Mio Dio, io credo, credo fermamente, cioè senza la minima esitazione, ci uniamo alla fede di questa donna di cui parla oggi il Vangelo.

Questa donna, che sanguinava da dodici anni e che aveva speso molto denaro senza alcun miglioramento e le cui condizioni erano piuttosto peggiorate, avendo sentito ciò che si diceva di Gesù, venne da dietro nella folla e toccò la sua veste.

In una delle sue omelie, il Curato d’Ars diceva della fede : « Credo che se avessimo fede, saremmo padroni delle volontà di Dio… non ci negherebbe nulla ! « 

L’emorroissa pensava che se avesse potuto toccare la veste di Gesù, sarebbe stata salvata. In quel preciso momento, l’emorragia si fermò e lei sentì nel suo corpo che era guarita dalla sua malattia cronica.

Marco, nel suo vangelo, ci mostra il potere della vita e della salvezza che opera in Gesù per le persone che hanno fede, mentre passa inosservato per i non credenti.

« La tua fede ti ha salvato !   » (Mt 9, 22c ; Mc 5, 34 ; Lc 8, 48) Questa parola di Gesù evidenzia il significato dell’evento: al di là della guarigione fisica ciò che è importante è la fede che salva. È importante che possiamo toccare Gesù oggi.

Sì, perché è in gioco il modo concreto in cui possiamo vivere il mistero della risurrezione. Tutto questo episodio dimostra che la fede in Gesù riesce persino a strappargli un miracolo totalmente involontario.

L’innalzamento della figlia di Giairo ai suoi piedi evoca la resurrezione di Gesù. Questa storia nei nostri vangeli sinottici è una testimonianza del potere sovrano di Gesù sulla vita e sulla morte. Gesù è davvero pienamente vittorioso sulle forze del male e della morte.

La parola di Dio suona uguale per tutti i cristiani riuniti, il corpo di Cristo distribuito nella comunione è uguale per tutti. Sono quell’uomo o quella donna che ascolta e tocca Gesù con fede ? Non basta aver incontrato Cristo a Messa, dobbiamo seguirlo e costruire la nostra vita con i mezzi che ci dà.

Diacono Michel Houyoux

Link ad altri siti web cristiani

◊ Qumran : clicca qui per leggere l’articolo →  XIII DOMENICA DEL TEMPO ORDINARIO (ANNO B)

  Omelia del Padre Fernando Armellini

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