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Samedi de la douzième semaine du temps ordinaire -Année impaire

Posté par diaconos le 26 juin 2021

Beaucoup viendront de l’orient et de l’occident et prendront place avec Abraham, Isaac et Jacob

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# La Guérison d’un serviteur d’un centurion est un des miracles de Jésus. Il est cité dans l’Évangile de saint Matthieu (8:5-13) et dans l’Évangile de saint Luc (7:1-10). Certains théologiens disent que le miracle du fils d’un officier (Jn 4:46-54) est le même épisode de la vie du Christ. Dans les deux passages, l’important est la foi.

Pour Jean Chrysostome, dans son Homélie XXVI sur saint Matthieu, la foi est le moteur de l’acte miraculeux du Christ. Cette foi est admirable chez le centurion. Elle est due à son bon cœur. Pour saint Augustin qui commente sur saint Luc, la foi et l’humilité sont les dispositions du cœur de ce centurion qui ont poussé le Messie à accomplir cette guérison. Le docteur de l’Église compare cette guérison à celle que va réaliser le Christ sur la terre entière qui croira sans même l’avoir vu.

L’ancien souverain pontife saint Grégoire le Grand qui commente le passage de saint Jean sur la guérison du fils d’un officier, parle aussi de la foi qui est primordiale pour suivre le Christ et avancer dans son chemin de vie. Les vertus théologales et cardinales sont importantes pour le croyant.

De l’évangile selon Matthieu

05 Salmone, de son union avec Rahab, engendra Booz, Booz, de son union avec Ruth, engendra Jobed, Jobed engendra Jessé, 06 Jessé engendra le roi David. David, de son union avec la femme d’Ourias, engendra Salomon, 07 Salomon engendra Roboam, Roboam engendra Abia, Abia engendra Asa,

08 Asa engendra Josaphat, Josaphat engendra Joram, Joram engendra Ozias, 09 Ozias engendra Joatham, Joatham engendra Acaz, Acaz engendra Ézékias, 10 Ézékias engendra Manassé, Manassé engendra Amone, Amone engendra Josias, 11 Josias engendra Jékonias et ses frères à l’époque de l’exil à Babylone.

12 Après l’exil à Babylone, Jékonias engendra Salathiel, Salathiel engendra Zorobabel, 13 Zorobabel engendra Abioud, Abioud engendra Éliakim, Éliakim engendra Azor, 14 Azor engendra Sadok, Sadok engendra Akim, Akim engendra Élioud, 15 Élioud engendra Éléazar, Éléazar engendra Mattane, Mattane engendra Jacob,

16 Jacob engendra Joseph, l’époux de Marie, de laquelle fut engendré Jésus, que l’on appelle Christ. 17 Le nombre total des générations est donc : depuis Abraham jusqu’à David, quatorze générations ; depuis David jusqu’à l’exil à Babylone, quatorze générations ; depuis l’exil à Babylone jusqu’au Christ, quatorze générations.

18 Or, voici comment fut engendré Jésus Christ : Marie, sa mère, avait été accordée en mariage à Joseph ; avant qu’ils aient habité ensemble, elle fut enceinte par l’action de l’Esprit Saint. 19 Joseph, son époux, qui était un homme juste, et ne voulait pas la dénoncer pub» (Mt 8, 5-17)

La foi du centenier

Le centenier était un officier romain, commandant une compagnie de cent hommes. Né païen cet homme était parvenu à la foi au Dieu vivant et vrai pendant son séjour parmi les Juifs. Il eut une certaine connaissance de Jésus et de ses œuvres. Il montra une confiance sans bornes en sa puissance.

Luc désigna le malade par le terme de doulos, esclave, serviteur. La charité du centenier et son dévouement n’en ressortirent que mieux dans toute leur beauté. Luc remarqua que ce serviteur lui fut fort cher.

La maladie indiquée comme paralysie était un mal aigu qui causait de grandes souffrances au malade (il était cruellement tourmenté) et le mettait en danger de mort.

Le centenier ne tira pas la conclusion de cette admirable comparaison ; il sut que Jésus l’eut comprise. « Si moi, un homme, qui dois obéir à mes supérieurs, j’ai un tel pouvoir sur la volonté d’autres hommes, combien plus peux-tu, toi, commander à la maladie et à la mort. »

« Le motif invoqué par le centenier à l’appui de sa requête et l’accent qu’il donne à ces mots un homme sous autorité montrent qu’il se représente Jésus comme un être surhumain dominant sur des puissances ou sur des esprits qui, à son commandement, peuvent opérer la guérison. » (B. Weiss)

Jésus était en droit d’attendre en Israël une aussi grande foi, mais ne l’avait pas trouvée. Il ne fut pas étonné ni de la charité ni de l’humilité du centenier mais de sa foi qui produisit en lui tout le reste.

D’Orient et d’Occident, des contrées païennes les plus éloignées. Quelle connaissance de l’avenir de son règne !  Être assis à table, image de la possession des biens célestes, de la joie dans la communion d’Abraham et de tous les enfants de Dieu.

Les fils du royaume, les Juifs rejetant le salut : hébraïsme qui marqua un rapport intime avec quelqu’un ou quelque chose : « Fils de la résurrection », « fils de l’époux », ses amis de noce.  Les ténèbres du dehors : la salle du banquet, qui avait lieu la nuit, était resplendissante de lumière, mais au dehors, tout était ténèbres. Pleurs et grincements de dents, expression terrible de la douleur et du désespoir.

Le centenier croyait que Jésus pouvait guérir son serviteur, mais pouvait le guérir par une parole et à distance. Pour  encourager une telle foi, Jésus renonça à son dessein d’aller vers le malade et, par cette parole puissante : « Qu’il te soit fait ! » il accorda au centenier tout ce qu’il avait cru et demandé.  À l’instant où cette parole fut prononcée, le miracle fut accompli.

Pierre était de Bethsaïda, il alla demeurer avec sa famille à Capharnaüm. Le premier usage que cette femme fit des forces qui venaient de lui être rendues fut de le servir.  Le soir où Jésus fit encore toutes ces guérisons est celui du jour même où il venait de délivrer de la fièvre la belle-mère de Pierre. Jésus se montra infatigable à soulager et à guérir par une parole. Les souffrances des démoniaques furent attribuées à des esprits que Jésus chassa.

Dans la pensée du prophète  Isaïe,  il s’agissait de nos infirmités et de nos maladies morales, que le serviteur de l’Éternel prit et porta. Matthieu fit de ces paroles une application différente, autorisée par l’action de Jésus, qu’il décrivit. Jésus ôtait les maladies qu’il guérissait, et il les portait par cette profonde sympathie avec laquelle il s’était identifié à notre nature et par cette compassion que lui inspiraient les douleurs de chaque être souffrant.

Toutes nos maladies et nos souffrances sont d’ailleurs l’effet du péché, et c’est le mal dans toutes ses manifestations que Jésus était venu guérir. De Capharnaüm à l’autre rive du lac, Jésus, après avoir été longtemps entouré de ces foules, voulut chercher la solitude.

Diacre Michel  Houyoux

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Dreizehnter Sonntag der gewöhnlichen Zeit – Jahr B

Posté par diaconos le 26 juin 2021

Liturgia della XIII Domenica del T.O. Anno B - www.maranatha.it

Die blutende Frau ist das Wunder von Jesus Christus, das in den drei Evangelien erzählt wird. Es ist ein Symbol des Glaubens, genau wie das Wunder der Tochter des Jairus, das im selben Kapitel beschrieben wird. Für Petrus, den Chrysologen, sind beide gleichzeitig beschriebenen Wunder (das Wunder der blutenden Frau und das Wunder der Tochter des Jairus) Symbole des Glaubens.1 Der Glaube dieser Frau, die sich für würdig hielt, die Unterseite des Gewandes Christi zu berühren; und der Glaube Jesu, der klare Zeichen vollbrachte, die seine göttliche Verbindung und damit die Existenz Gottes beweisen. Für Thierry Murcia die Frage nach dem historischen Hintergrund der Evangeliengeschichten. Zwei Heilungen am selben Kippur-Tag: das Verbluten und die Auferstehung der Tochter des Jairus und der besessene Mann aus Gerasa/Gadara, im alten Judentum.

Aus dem Markusevangelium

21 Jesus kehrte in einem Boot an das andere Ufer zurück, und eine große Menschenmenge versammelte sich um ihn. Er war am Ufer. 22 Es kam einer von den Vorstehern der Synagoge, der hieß Jairus. Als er Jesus sah, fiel er ihm zu Füßen 23 und flehte ihn an: « Meine Tochter, die so jung ist, ist schon am Ende ihres Lebens. Komm und leg ihr die Hände auf, damit sie gerettet wird und lebt.   » 24 Jesus ging mit ihm, und die Menge, die ihm folgte, war so groß, dass sie ihn überwältigte.

25 Es gab eine Frau, die zwölf Jahre lang geblutet hatte. 26 Und sie war von vielen Ärzten behandelt worden und hatte ihr ganzes Vermögen ausgegeben und nicht die geringste Besserung erreicht; im Gegenteil, ihr Zustand hatte sich verschlimmert… 27 Als nun diese Frau hörte, dass von Jesus geredet wurde, ging sie hin und stellte sich hinter ihn in der Menge und rührte sein Gewand an. 28 Denn sie sagte zu sich selbst: Wenn ich nur sein Gewand anfassen könnte, würde ich gerettet werden.

29 Und alsbald hörte die Blutung auf, und sie fühlte an ihrem Leibe, daß sie von ihrer Krankheit geheilt war. 30 Sogleich merkte Jesus, dass Kraft von ihm ausging. Er wandte sich an die Menge und fragte: « Wer hat meine Kleider berührt?   » 31 Seine Jünger antworteten: « Ihr seht, die Menge drängt sich und fragt: ‘Wer hat mich berührt? 32 Er aber schaute sich um, um den zu sehen, der dies getan hatte.

33 Da kam die Frau, von Furcht und Zittern überwältigt, weil sie wusste, was mit ihr geschehen war, und fiel zu seinen Füßen nieder und sagte ihm die ganze Wahrheit. 34 Jesus spricht zu ihr: Meine Tochter, dein Glaube hat dich gerettet. Geh in Frieden und sei geheilt von deinem Übel.  35 Während er noch redete, kamen einige Leute aus dem Haus des Jairus, des Vorstehers der Synagoge, und sagten zu ihm: « Deine Tochter ist gerade gestorben.  » Warum belästigen Sie den Meister ?   »
36 Als Jesus das hörte, sprach er zu dem Obersten der Synagoge: Fürchte dich nicht, sondern glaube! « 37 Er wurde von niemandem begleitet außer von Petrus, Jakobus und Johannes, dem Bruder des Jakobus. 38 Sie kamen in das Haus des Obersten der Synagoge. Jesus sah einen Aufruhr, und die Menschen weinten und schrien lauthals. Er ging hinein und sagte zu ihnen: « Was ist das für ein Lärm und Geschrei?  Das Kind ist nicht tot, es schläft. « 

40 Aber sie lachten ihn aus. Dann holte er alle heraus, nahm den Vater und die Mutter des Kindes und die, die bei ihm waren, und ging hinein, wo das Kind lag. 41 Er nahm die Hand des Kindes und sagte zu ihr: « Talitha kum », was bedeutet: « Mädchen, ich sage dir: Steh auf!  » 42 Sofort stand das Mädchen auf und begann zu laufen – sie war tatsächlich zwölf Jahre alt. Sie waren von großem Erstaunen ergriffen. 43 Aber Jesus sagte ihnen streng, sie sollten es niemandem sagen; dann forderte er sie auf, zu essen (Markus 5, 21-43).

Ihr Glaube hat Sie gerettet

Markus verbindet hier zwei miteinander verwobene Geschichten zu einer Erzählung. Matthäus und Lukas folgen demselben Verfahren. Zunächst treten zwei Figuren auf den Plan. Zwei weibliche Figuren: ein Mädchen und eine Frau. Und in beiden Fällen liegt den Schritten, die Jesus tat, der Glaube zugrunde. Im Fall der unheilbaren Frau gibt es keine Einrede. Es ist ein Schritt des Glaubens und der Hoffnung auf Jesus seitens dieser Frau, der ihr sofortige Heilung bringen wird. Und durch diese Geschichte,

Ich verstehe, wie wichtig dieser Schritt des Glaubens und der Hoffnung ist. Sehen Sie, es ist der Glaube, der fehlt, sagte der heilige Kurfürst d’Ars. Wenn wir sagen: « Mein Gott, ich glaube, ich glaube fest, das heißt, ohne das geringste Zögern, dann schließen wir uns dem Glauben dieser Frau an, von der das Evangelium heute spricht. Diese Frau, die seit zwölf Jahren blutete und viel Geld ausgegeben hatte, ohne dass eine Besserung eingetreten war, deren Zustand sich vielmehr verschlimmert hatte, kam, als sie hörte, was über Jesus gesagt wurde, und stellte sich hinter die Menge und berührte sein Gewand.

In einer seiner Predigten sagte der Kurfürst von Ars über den Glauben: « Ich glaube, wenn wir Glauben hätten, würden wir den Willen Gottes beherrschen… Er würde uns nichts verweigern! « Die blutende Frau dachte, dass sie gerettet werden würde, wenn sie das Gewand Jesu berühren könnte. Sofort hörte die Blutung auf und sie spürte in ihrem Körper, dass sie von ihrer chronischen Krankheit geheilt war.

Markus zeigt uns in seinem Evangelium die Lebens- und Heilskraft, die in Jesus für gläubige Menschen wirkt, während sie für Ungläubige unbemerkt bleibt.  » Dein Glaube hat dich gerettet.     » (Mt 9, 22c ; Mk 5, 34 ; Lk 8, 48) Diese Worte Jesu unterstreichen die Bedeutung des Ereignisses: Jenseits der körperlichen Heilung ist es der Glaube, der rettet. Es ist wichtig, dass wir Jesus heute berühren können.

Ja, denn es gibt eine konkrete Art und Weise, in der wir das Geheimnis der Auferstehung leben können. Diese ganze Episode zeigt, dass der Glaube an Jesus es sogar schafft, ein völlig unfreiwilliges Wunder aus ihm herauszuquetschen. Das Aufstehen der Tochter des Jairus zu seinen Füßen erinnert an die Auferstehung Jesu. Diese Geschichte in unseren synoptischen Evangelien bezeugt die souveräne Autorität Jesu über Leben und Tod. Jesus hat tatsächlich den vollständigen Sieg über die Mächte des Bösen und des Todes.

Gottes Wort klingt für alle versammelten Christen gleich, der Leib Christi, der in der Kommunion ausgeteilt wird, ist für alle derselbe. Bin ich der Mann oder die Frau, die Jesus im Glauben hört und berührt? Es reicht nicht aus, Christus in der Messe zu begegnen, wir müssen ihm folgen und unser Leben mit den Mitteln aufbauen, die er uns gibt.

Diakon Michael Houyoux

Links zu anderen christlichen Websites

◊  Pater Guido Kreppold : klicken Sie hier, um den Artikel zu lesen →  Predigt zum Sonntag 27.06.2021

◊ predica.de  : klicken Sie hier, um den Artikel zu lesen →    Cyrill v. Alexandrien

  Predigt mit Markus Klein : « Tochter, dein Glaube hat dich gerettet ! »

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