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Saint Pierre et Saint Paul — Solennité

Posté par diaconos le 29 juin 2021

Sois le berger de mes agneaux, sois le berger de mes brebis

Vendredi 7 juin 2019  « Sois le berger de mes agneaux. Sois le pasteur de mes brebis »

# La Solennité des saints Pierre et Paul est une fête liturgique célébrée le 29 juin en l’honneur du martyre des saints Pierre et Paul. Selon le calendrier catholique des saints, elle est célébrée comme une solennité. Dans le calendrier romain général de 1962, elle est définie comme une fête de première classe. En Angleterre et au Pays de Galles, elle est fêtée comme une journée de précepte, ce qui n’est pas le cas aux États-Unis et au Canada.

À Malte, c’est un jour férié. Dans la tradition catholique, c’est le jour de l’année liturgique où les métropolitains nouvellement créés, reçoivent des mains du pape le pallium, symbole principal de leur titre. Depuis le 29 janvier 2015, le pape François décide que ce n’est plus le pape qui imposera le pallium sur le nouvel archevêque métropolitain, mais le nonce apostolique dans la cathédrale de l’archevêque.

Les nouveaux archevêques continueront par contre à se rendre le 29 juin à Rome pour assister dans la basilique Saint-Pierre à la bénédiction des nouveaux pallium et recevoir en privé des mains du pape François le pallium pour se le voir imposer par la suite. Pour les orthodoxes ainsi que les chrétiens orientaux, cette fête marque aussi la fin du jeûne des apôtres. Il est considéré comme un jour pendant lequel les chrétiens doivent assister à une veillée nocturne ou aux Vêpres, ainsi qu’à la Divine Liturgie.

Dans la tradition orthodoxe russe, le miracle de Macaire d’Ounja aurait eu lieu pendant le jeûne des Apôtres et de la fête des saints Pierre et Paul qui l’a suivie. Au cours des dernières décennies, cette fête, ainsi que celle de Saint André, est importante pour le mouvement œcuménique moderne.

C’est une occasion pendant laquelle le pape et le patriarche de Constantinople officient pour l’intercommunion et la proximité de leurs Églises. Ce fut particulièrement le cas lors du pontificat du pape Jean-Paul II, tel que reflété dans son encyclique Ut Unum Sint. De même qu’en 2008, le pape Benoît XVI invite le patriarche Bartholomée Ier de Constantinople lors de la cérémonie d’ouverture de l’année paulinienne.

De l’évangile selon Jean

15 Quand ils eurent mangé, Jésus dit à Simon-Pierre : « Simon, fils de Jean, m’aimes-tu vraiment, plus que ceux-ci ? » Il lui répond : « Oui, Seigneur ! Toi, tu le sais : je t’aime. » Jésus lui dit : « Sois le berger de mes agneaux. » 16 Il lui dit une deuxième fois : « Simon, fils de Jean, m’aimes-tu vraiment ? » Il lui répond : « Oui, Seigneur ! Toi, tu le sais : je t’aime. » Jésus lui dit : « Sois le pasteur de mes brebis. »

17 Il lui dit, pour la troisième fois : « Simon, fils de Jean, m’aimes-tu ? » Pierre fut peiné parce que, la troisième fois, Jésus lui demandait : « M’aimes-tu ? » Il lui répond : « Seigneur, toi, tu sais tout : tu sais bien que je t’aime. » Jésus lui dit : « Sois le berger de mes brebis. 18 Amen, amen, je te le dis : quand tu étais jeune, tu mettais ta ceinture toi-même pour aller là où tu voulais ; quand tu seras vieux, tu étendras les mains, et c’est un autre qui te mettra ta ceinture, pour t’emmener là où tu ne voudrais pas aller. » 19 Jésus disait cela pour signifier par quel genre de mort Pierre rendrait gloire à Dieu. Sur ces mots, il lui dit : « Suis-moi. »  (Jn 21, 15-19)

Pierre éprouvé et réhabilité

Simon Pierre traversa une crise morale d’où il sortit complètement guéri. Ses rapports avec Jésus, profondément troublés par son reniement, durent être rétablis en leur entier. Tel fut le but de Jésus, dans cet entretien. Il fit subir à Pierre un examen de conscience et de cœur que celui-ci n’oublia jamais. Jésus ne l’interrogea pas sur sa foi, qui n’avait pas défailli. ; mais sur son amour, qui était devenu suspect par son infidélité.

L’amour de Jésus est l’âme de la vie chrétienne et de tout apostolat véritable. Ce ne fut pas sans intention que Jésus ne désigna pas son disciple par le nouveau nom qu’il lui avait donné, celui de Pierre, ou de Céphas ; mais par son ancien nom : Simon, fils de Jona, trois fois prononcé, et qui rappelait à son disciple son état d’homme naturel et de pécheur.

Quelques exégètes prétendirent que cette appellation répétée n’avait d’autre but que de donner plus de solennité à l’entretien ; cette opinion fut également soutenue par des interprètes tels que R. Stier, Hengstenberg, MM. Luthardt et Godet.

Toutefois, si la question de Jésus pouvait être humiliante pour Pierre, elle prouva que Jésus n’avait pas cessé de l’aimer ; ce fut l’amour qui rechercha l’amour. Et c’était là, en même temps, la manière la plus délicate d’assurer Pierre qu’il lui pardonnait son coupable reniement.

« M’aimes-tu, plus que ne font tes condisciples présents à cet entretien. » dit Jésus.  C’était là une allusion évidente et humiliante pour Pierre, à sa parole présomptueuse. Puisqu’il s’y était ainsi engagé, Pierre devait l’aimer plus que tous les autres. Pierre, sûr de sa sincérité, affirma résolument son amour pour Jésus.

Instruit par sa triste expérience, se défiant de lui-même, il en appela à Jésus qui seul connut son cœur et put juger de son amour : « Tu sais que je t’aime. » Puis, tandis que Jésus en lui disant : M’aimes-tu ? Se servit d’un verbe qui désigne l’amour profond et religieux de l’âme, Pierre employa un terme qui signifie l’affection du cœur, sentiment purement humain, n’osant pas affirmer plus que cela.

Enfin, il se garda de se comparer avantageusement à d’autres, et il ne releva pas ces mots : plus que ceux-ci. Sa chute et sa repentance produisit l’humilité. Par ces paroles  Jésus réintégra Pierre dans ses rapports avec lui et dans son apostolat. Quelques exégètes (M. Weiss, entre autres) n’admirent pas qu’il s’agisse de la réintégration de Pierre dans l’apostolat, attendu qu’il avait déjà été réhabilité avec tous ses condisciples par la parole de Jésus, et que l’apostolat n’est jamais comparé à l’office d’un berger.

La troisième question de Jésus dans les termes où elle était formulée, ne lui rappelait pas seulement son péché, mais elle paraissait exprimer une certaine défiance, qui subsistait malgré toutes ses affirmations. Aussi Pierre, humilié, mais pénétré d’un amour sincère pour Jésus , en appela avec confiance à la connaissance parfaite que Jésus avait du cœur de son disciple : « Seigneur, tu sais toutes choses, tu connais que je t’aime ! »

Pierre sortit vainqueur de cette rude épreuve. Pour la troisième fois, le Seigneur lui confia le soin de son troupeau, le réintégra dans son apostolat et lui rendit la consolante assurance d’une pleine réconciliation avec lui. Mais lui, de son côté, n’oublia jamais que ce troupeau dont la conduite lui fut confiée ne lui appartint pas, mais appartient à Jésus, qui trois fois eut dit clairement mes agneaux, mes brebis

Jésus continua l’entretien avec Pierre ; et par cette déclaration solennelle, qui appartient exclusivement au quatrième Évangile : « En vérité, en vérité », il lui annonça ce qui lui arriva dans cette vocation où il le réintégra.  Ce fut dans de grandes épreuves que Pierre fut appelé à témoigner à Jésus l’amour qu’il lui déclara par trois fois.

Cette prédiction revêt la forme d’une image vivante : Pouvoir se ceindre soi-même, rattacher autour des reins, pour la marche ou le travail, le long costume oriental ; aller on l’on veut, c’est la marque de l’indépendance, de l’activité de la force. Tel était alors Pierre : « Quand tu étais plus jeune » montrent que Jésus se plaça au point de vue de cet avenir qu’il lui annonça.

Pierre usait abondamment de cette liberté, selon la nature de son caractère ardent et prompt. Quand Jésus lui parlait ainsi il n’était plus un jeune homme, puisqu’il était marié. Bien rapidement vint la vieillesse qui le mit dans la dépendance d’un autre, et le força à renoncer à sa volonté, à son activité propres. Pour un homme du caractère de Pierre, une telle abdication devait être déjà un pénible sacrifice.

Mais voici qui est plus grave encore : il sera réduit à étendre ses mains et à se livrer passivement à cet autre qui le ceindra, le liera et le mènera de force (grec portera) où il ne voudra pas, c’est-à-dire à la mort (verset 19). Alors il prouvera, à lui-même et aux autres, qu’il aime le Sauveur, auquel il saura faire le sacrifice de sa vie.

Les interprètes se divisèrent sur la signification de ces mots : tu étendras tes mains. Les uns, depuis les Pères jusqu’à de Wette, Tholuck, Hengstenberg, Ewald, prirent cette expression dans un sens littéral signifiant que Pierre souffrira le supplice de la croix. Nous aurions donc ici la prédiction précise du fait rapporté par Tertullien, Origène, Eusèbe (Histoire Ecclésiastique III, 1), que Pierre fut crucifié.

D’autres exégètes (Meyer MM. Weiss, Luthardt, Godet) pensent que ces mots : tu étendras tes mains ne peuvent désigner l’attitude de l’homme qui se laisse clouer sur la croix, car ils précèdent ceux qui dépeignent l’apôtre saisi et conduit au supplice, qu’ils appartiennent donc simplement à l’image par laquelle Jésus représente la passivité qui n’oppose aucune résistance.

Parmi les chrétiens des premiers siècles, glorifier Dieu était devenu synonyme de souffrir le martyre. Suis-moi dans cette voie où tu t’es engagé, dont je viens de te prédire l’issue, et qui, pour toi comme pour moi, aboutira à la mort.

Il ne résulte pourtant pas de là que le sens de l’ordre : suis-moi, soit purement extérieur. Il est clair que par ce premier pas Pierre rentre dans cette voie de l’obéissance envers Jésus qui le conduira au terme tragique de son apostolat. C’est ainsi que le sens supérieur se lie naturellement à l’inférieur, aussi bien que Jean 1.44. Ce symbolisme fait le fond de l’Évangile de Jean tout entier. (Godet)

Diacre Michel Houyoux

Liens avec d’autres sites web chrétiens

◊  Solennité des saints Pierre et Paul : cliquez ici pour lire l’article →  Églises orientales et orthodoxes

◊  Catholique.org. : cliquez ici pour lire l’article →La mort et l’au-delà

  Homélie du Père Jean-Luc Guillotel

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Quattordicesima domenica del Tempo Ordinario – Anno B

Posté par diaconos le 29 juin 2021

N'est-il pas le charpentier, le fils de Marie ? | Don Bosco Salesian Portal

Non è forse il figlio del falegname ?

# Giuseppe è un personaggio ebreo che appare per la prima volta nel Vangelo secondo Matteo e nel Vangelo secondo Luca: si tratta di brani aggiunti probabilmente più tardi e chiamati i vangeli dell’infanzia di Gesù (Mt 1,18 e Lc 2,3). Giuseppe appare anche in un testo più tardo, il Protevangelo di Giacomo, composto a metà del secondo secolo; questa versione è incompatibile in alcuni aspetti con quella dei Vangeli canonici.

Secondo i Vangeli sinottici, e poi secondo gli autori cristiani e soprattutto i Padri della Chiesa, Giuseppe è un lontano discendente di Abramo e del re Davide (Mt 1, 1-17) della tribù di Giuda. Era fidanzato con Maria quando lei rimase incinta per azione dello Spirito Santo. Poi sposa Maria e, accettando il bambino, diventa il padre adottivo di Gesù, che appartiene così alla sua stirpe, quella di Davide.

I Vangeli sinottici insistono su questo punto, perché per loro Gesù è « il Messia figlio di Davide ». Giuseppe è presentato come un « uomo giusto » che ha accettato Maria e il suo bambino seguendo il messaggio dell’Angelo del Signore (Dio). Testi ebraici controversi come i passaggi censurati del Talmud o le Toledot Yeshu presentano Gesù come nato fuori dal matrimonio.

In Mt 13, 55 si dice che Giuseppe è un « falegname », anche se non è chiaro se questo termine sia da prendere nel suo senso originale o come « uomo saggio ». Giuseppe è menzionato per l’ultima volta durante il pellegrinaggio della famiglia a Gerusalemme quando Gesù, all’età di dodici anni, viene trovato nel Tempio (Lc 2,41-50).

La tradizione cristiana e alcuni critici storici hanno dedotto che morì prima che Gesù entrasse nella vita pubblica. Giuseppe è chiamato « Giuseppe il promesso sposo (di Maria) » nella tradizione ortodossa o più generalmente « San Giuseppe ». È diventato una figura della tradizione cristiana. Il mese di marzo è dedicato a lui, specialmente il 19 marzo quando viene celebrato da tutta la Chiesa cattolica.

Il 1° maggio è dedicato a San Giuseppe, il lavoratore. La Chiesa cattolica riprende una tradizione orale, legata a Girolamo di Stridone, che racconta che Giuseppe si era dedicato a Dio prima di conoscere la Vergine Maria, e spiega così che i termini « fratelli e sorelle » di Gesù citati nei Vangeli sono da intendersi come cugini stretti per sangue, affetto e relazione, secondo l’uso di queste parole.

La Chiesa ortodossa insegna che Giuseppe era vedovo quando si fidanzò con Maria; si dice che abbia avuto figli dal suo primo matrimonio, compreso Giacomo il Giusto. Questa tradizione si basa sul Vangelo di Giacomo, dove si dice che Maria è consacrata al Signore dai suoi genitori (Protev. Giacomo 4,1) e che un sacerdote ordina a Giuseppe di sposarla, nonostante la sua riluttanza: « Io ho dei figli, sono un uomo vecchio, e lei è una ragazza molto giovane. Non diventerò forse lo zimbello dei figli d’Israele ?  » (Proverbi 9, 1-2).

Dal Vangelo di Gesù Cristo secondo San Marco

 In quel periodo Gesù andò nella sua città natale e i suoi discepoli lo seguirono.  Di sabato cominciò a insegnare nella sinagoga. Molti di quelli che lo ascoltavano erano stupiti e dicevano: « Da dove viene questo?  Cos’è questa saggezza che gli è stata data, e questi grandi miracoli che sono fatti dalle sue mani?  Non è forse il falegname, il figlio di Maria e il fratello di Giacomo, Jose, Giuda e Simone ?

Le sue sorelle non sono qui con noi? « Ed erano profondamente scioccati da lui. Gesù disse loro: « Un profeta non è disprezzato se non nel suo paese, nella sua famiglia e nella sua casa. « E lì non poteva fare alcun miracolo; guariva solo alcuni malati imponendo loro le mani. Ed era sorpreso dalla loro mancanza di fede. Poi Gesù andò in giro a insegnare nei villaggi circostanti. (Mc 6, 1-6)

Gesù di Nazareth

Nella prima lettura, il profeta Ezechiele è stato chiamato dal Signore a far rivelare la Parola di Dio nella sua potenza. Ma viene avvertito in anticipo che si troverà di fronte a una covata ribelle: Ho sentito il Signore che mi parlava, dicendo : « Figlio dell’uomo, io ti mando dai figli d’Israele, da questo popolo ribelle che si è ribellato a me.  » (Ez 2, 2)

Nella seconda lettura, anche San Paolo fece questa scoperta che cambiò completamente la sua vita. Le debolezze dell’apostolo servono solo per evidenziare la forza di Dio all’opera in lui. Come tutti i profeti, divenne totalmente dipendente dalla Parola di Dio. Il suo triste fallimento ad Atene non gli impedì di scrivere ai Corinzi : « Accetto debolezze, insulti, costrizioni, persecuzioni e situazioni penose con tutto il cuore per Cristo. Perché quando sono debole, allora sono forte.  » (2 Co 12, 10)

E il vangelo di oggi ci mostra Gesù che affronta il fallimento nel suo ministero. È troppo conosciuto. La gente di Nazareth, il suo villaggio, ha trascorso l’infanzia con lui; ha esercitato il suo mestiere di falegname con Giuseppe; alcuni di loro hanno sicuramente beneficiato del suo lavoro e dei suoi servizi. Molto vicino alla gente, era anche molto vicino a Dio. Questo è dimostrato nei suoi miracoli e nei suoi discorsi. Per la gente di Nazareth questo è qualcosa di totalmente nuovo.

Scoprono in lui qualcuno che comincia a parlare e ad agire in nome di Dio.  Chi si crede di essere? I suoi connazionali non possono accettare questo cambiamento. Non hanno scoperto la sacralità nascosta nella sua vita quotidiana. Per loro non è possibile. Questo vangelo ci chiama a fare un altro passo sulla strada della conversione; siamo tutti invitati a uscire dalle nostre certezze e a lasciarci alle spalle ciò che pensiamo di sapere su Dio e su Gesù.

La fede non è principalmente una questione di conoscenza o di sapere; è soprattutto una perpetua domanda : « Chi è Gesù per me ?  La risposta sarà data ai piedi della croce dal centurione romano : « In verità, quest’uomo era il Figlio di Dio. »

Cristo vorrebbe raggiungerci. E mette sulla nostra strada le persone giuste: un vicino, un collega, un anziano o un giovane, persone semplici. È attraverso di loro che Dio viene a sfidarci. Saremo in grado di vedere in loro persone mandate da Dio? Quando Dio vuole parlarci, non va a cercare qualcuno all’altro capo del mondo.

E noi stessi siamo inviati a coloro che ci circondano, le nostre famiglie, i nostri villaggi e i nostri quartieri. Possiamo trovarci di fronte alla derisione o all’indifferenza. Ma come il profeta Ezechiele, non siamo mandati per portare la gente a credere, ma per parlare la Parola di Dio. Attenzione, la cosa principale potrebbe non essere avere successo ! « Dio non ci chiede di avere successo, ma di lavorare.  » (San Giovanni Crisostomo)

Chiediamo al Signore di liberarci da certezze troppo radicate. Ci impediscono di riconoscere e amare il Signore. E soprattutto ci impediscono di amarlo. Alla fine della messa, saremo inviati come testimoni del Vangelo. Che il Signore ci dia la grazia di superare lo scoraggiamento, di sopportare le critiche, di sopportare le situazioni penose. È importante sapere come riprendersi dopo un fallimento.  Abbiamo fede in Gesù, il maestro della missione, che agisce attraverso coloro che invia.

Diacono Michel Houyoux

Link ad altri siti web cristiani

◊ Qumran  : clicca qui per leggere l’articolo → XIV DOMENICA DEL TEMPO ORDINARIO (ANNO B)

◊ Famoglia christiana : clicca qui per leggere l’articolo → Il frutti parlano chiaro: lì la fede splende e la vita cambia

  Padre Giuseppe de Carlo : XIV domenica del Tempo Ordinario, anno B

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