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Vendredi de la quatorzième Semaine du Temps Ordinaire — Année Impaire

Posté par diaconos le 9 juillet 2021

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# Le Lis est une parabole de Jésus-Christ retranscrite dans l’Évangile selon Matthieu. Elle décrit la générosité divine pour les peuples s’attachant aux valeurs données par Dieu. Elle rappelle le psaume 34, verset 10: Mais ceux qui cherchent l’Éternel ne sont privés d’aucun bien. Jean Chrysostome, dans son homélie XXII consacrée à cette parabole, dit: « Que si Dieu donne à ces herbes ce qui ne leur était point nécessaire, puisque cet éclat qu’elles ont ne sert nullement à nourrir le feu qui les brûle ; comment vous refuserait-il à vous ce qui vous est nécessaire ?
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Après avoir paré les moindres choses de tant d’ornements superflus, seulement pour montrer sa toute-puissance, comment vous négligerait-il, vous, qui êtes le chef-d’œuvre de ses créatures ? Comment vous refuserait-il ce qui vous est nécessaire pour le soutien de la vie ? Après donc qu’il a ainsi montré aux hommes jusqu’où s’étend sa providence, il juge à propos de les réprimander, mais il ne le fait qu’avec beaucoup de retenue, et au lieu. Simone Weil, philosophe française, révèlent son mysticisme chrétien et sa recherche passionnée de la justice sociale.
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« Le Christ nous a proposé comme modèle la docilité de la matière en nous conseillant de regarder les lis des champs qui ne travaillent ni ne filent. C’est -à-dire qu’ils ne se sont pas proposé de revêtir telle ou telle couleur, ils n’ont pas mis en mouvement leur volonté ni disposé des moyens à cette fin, ils ont reçu tout ce que la nécessité naturelle leur apportait. S’ils nous paraissent infiniment plus beaux que de riches étoffes, ce n’est pas qu’ils soient plus riches, c’est par docilité. Dieu a créé l’univers, et son Fils, notre frère premier-né, en a créé la beauté pour nous. La beauté du monde, c’est le sourire de tendresse du Christ pour nous à travers la matière. Il est réellement présent dans la beauté universelle. L’amour de cette beauté procède de Dieu descendu dans notre âme et va vers Dieu présent dans l’univers. » — Simone Weil. Attente de Dieu, Paris, Fayard, 1996, p. 86 et 1121.

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 De l’évangile selon Matthieu

16 « Voici que moi, je vous envoie comme des brebis au milieu des loups. Soyez donc prudents comme les serpents, et candides comme les colombes. 17 Méfiez-vous des hommes : ils vous livreront aux tribunaux et vous flagelleront dans leurs synagogues. 18 Vous serez conduits devant des gouverneurs et des rois à cause de moi : il y aura là un témoignage pour eux et pour les païens. 19 Quand on vous livrera, ne vous inquiétez pas de savoir ce que vous direz ni comment vous le direz : ce que vous aurez à dire vous sera donné à cette heure-là. 20 Car ce n’est pas vous qui parlerez, c’est l’Esprit de votre Père qui parlera en vous.

21 Le frère livrera son frère à la mort, et le père, son enfant ; les enfants se dresseront contre leurs parents et les feront mettre à mort. 22 Vous serez détestés de tous à cause de mon nom ; mais celui qui aura persévéré jusqu’à la fin, celui-là sera sauvé. 23 Quand on vous persécutera dans une ville, fuyez dans une autre. Amen, je vous le dis : vous n’aurez pas fini de passer dans toutes les villes d’Israël quand le Fils de l’homme viendra. » (Mt 10, 16-23)

Persécutions encourues

Envoyés sans défense au milieu d’ennemis redoutables, ils durent joindre à la prudence la simplicité. Ils furent traduits devant les autorités, mais ne durent pas s’inquiéter de leur défense ; l’Esprit parla en eux. La haine dont ils furent l’objet jeta la division jusqu’au sein des familles : persévérer malgré tout fut la condition du salut Jésus leur commanda de fuir la persécution de ville en ville et les assura qu’ils n’eurent pas fait le tour des villes d’Israël que le fils de l’homme fut.

« La pensée que c’est moi qui vous envoie dans le danger doit vous donner l’assurance que vous serez préservés. Mais vous aussi, puisque ce danger est si grand, soyez donc, dans votre conduite, dans la connaissance des hommes, dans le choix des moyens, prudents comme les serpents et simples, sans ruse, purs d’intention comme les colombes . » Ces deux vertus opposées l’une à l’autre ne furent pas naturellement réunies chez l’homme, l’Esprit de Dieu seul peut lui donner de les posséder en une égale mesure.

Les hommes, en général, non seulement de ceux qui leurs furent hostiles dès l’abord : « Appliquez dans vos rapports avec tous la prudence et la simplicité, car vous allez dans un monde auquel vous n’appartenez pas et qui vous haïra » . Voici tous les pouvoirs du monde ligués contre la vérité et ses témoins : d’abord, les tribunaux civils ou sanhédrins, qui firent de la conviction religieuse un délit ;puis les synagogues, pouvoir spirituel, exerçant la discipline à sa manière ;puis les gouverneurs de provinces, proconsuls, procurateurs, auxquels les principaux des Juifs ou les émeutes populaires livrèrent les disciples de Jésus ;enfin, les rois, les Hérode les empereurs romains.

Toutes ces persécutions eurent lieu à cause de moi, ajouta Jésus dans le sentiment de sa royauté divine et de la vie nouvelle qu’il apportait au monde. Et toutes ces souffrances endurées pour lui furent un témoignage de Jésus, de sa vérité, de son œuvre.  Ce témoignage puissant fut destiné à produire la conviction chez plusieurs (selon l’interprétation de Chrysostome), mais pour d’autres, il aggrava leur jugement. Ces paroles prophétiques dépassèrent l’horizon de cette première mission des apôtres mais il ne fut pas nécessaire d’en conclure, avec une certaine critique, que Matthieu les plaça par anticipation.

En plusieurs paraboles et dans d’autres discours, Jésus montra qu’il connut les destinées de son règne.  Motif puissant de consolation et d’assurance au sein de difficultés et de dangers dont la seule pensée aurait accablé l’âme des disciples.Ces deux choses dont  s’inquiétèrent les disciples : comment ils parlèrent et ce qu’ils dirent. Afin de donner à cette promesse une actualité plus énergique : « Vous n’aurez pas à souffrir la persécution seulement de la part des autorités ou de la part de personnes étrangères et hostiles ; dans votre propre famille, parmi vos plus proches parents, se trouveront des ennemis pour vous livrer. »

Telle fut la puissance absolue du christianisme, qu’il devait dominer et transformer tous les rapports naturels de la famille, soit par l’amour qu’il inspire aux croyants, soit par la haine qu’il excite dans les incrédules. L’histoire de l’Église et l’expérience de tous les temps justifient pleinement cette prédiction.

Être haïs de tous est une expression hyperbolique destinée à montrer l’universalité de cette inimitié naturelle du cœur de l’homme contre le nom de Jésus. C’est que ce nom ne révèle tous les trésors de la miséricorde divine qu’après avoir convaincu l’homme de péché. Avec quelle tristesse Jésus prononça ces paroles ! Mais voici la consolation des siens, le motif de leur persévérance jusqu’à la fin : être sauvés, ne pas périr avec le monde. Qu’est-ce que la fin ? Pour tout chrétien, c’est le jour de sa mort ; pour l’Église, c’est le retour du Christ..

Cette fuite, non seulement permise, mais commandée, eut pour motif le devoir d’enlever aux adversaires l’occasion de commettre un crime, et d’autre part, de conserver les témoins de la vérité pour d’autres qui reçurent leur message.  Ces paroles  présentèrent disciples un motif d’encouragement à obéir au précepte qui vint de leur être donné. Ils pouvaient se dire : « À quoi bon fuir dans une autre ville ? »  Puisque partout le même sort les attendit et qu’ils eurent parcouru les villes d’Israël. Jésus déclara : « Vous n’aurez pas  achevé lde parcourir les villes d’Israël, que le fils de l’homme ne soit venu. » .

L’encouragement que Jésus donna aux disciples, ce fut qu’ils n’eurent pas longtemps à souffrir, mais que bientôt il sera venu. Chrysostome et Bèze pensèrent qu’il faut interpréter « venu…à leur secours ». nt et l’on est ramené ainsi au second sens. Si l’on se refuse à voir dans notre passage le châtiment d’Israël par la destruction de Jérusalem, il faut en revenir au premier sens indiqué, celui de l’établissement du règne de Christ dans les cœurs.

Diacre Michel Houyoux

Liens avec d’autres sites web chrétiens

◊ Père Gilbert Adam : cliquez ici pour lire l’article →   Vendredi de la 14e semaine, année impaire

◊ Dom Armant Veilleux -  Abbaye Notre Dame de Scourmont (Belgique): cliquez ici pour lire l’article →   HOMÉLIE POUR LE VENDREDI DE LA 14ÈME SEMAINE DU TEMPS ORDINAIRE

  Lectio Divina : « Ce n’est pas vous qui parlerez, c’est l’Esprit de votre Père »

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Fünfzehnter ordentlicher Sonntag im Jahreskreis B

Posté par diaconos le 9 juillet 2021

Jesus schickte die Zwölf auf eine Mission

la missione dei dodici apostoli

Der Missionsbefehl oder die Weltmission ist eine Anweisung, die Jesus von Nazareth nach seiner Auferstehung an elf seiner zwölf Apostel gab. In dieser Episode, die in den letzten fünf Versen des Matthäus-Evangeliums nacherzählt wird, erscheint Jesus seinen Jüngern auf einem Berg in Galiläa und bittet sie, « im Namen des Vaters und des Sohnes und des Heiligen Geistes » alle Völker der Welt zu taufen. Dieser Abschnitt folgt auf die Kreuzigung und Auferstehung Jesu. Élian Cuvillier stellt fest, dass er keinen Appell an Gottes Gericht enthält: Die Aussendung in die Mission und das Zusammenführen neuer Jünger scheinen hier Vorrang vor Vorstellungen von Sünde oder Strafe zu haben.4 Die Aussendung in die Mission wird unter die Schirmherrschaft der Kirche gestellt. Die Aussendung zur Mission wird unter das Zeichen der Dreifaltigkeit gestellt und erinnert an die Taufe Christi, wo der Geist auf Jesus herabkommt in dem Moment, in dem die göttliche Stimme die kindliche Beziehung zum Vater herstellt (Mt 3,16-17). Gleichzeitig ist « Ich bin bei euch alle Tage bis an das Ende der Welt » eine Fortsetzung von « Emmanuel », dem « Gott mit uns » von Mt 1,23. Das Matthäusevangelium ist durch eine ständige Dualität zwischen jüdischem Partikularismus und Universalismus gekennzeichnet und schließt hier mit einer Ausdehnung der Frohen Botschaft auf alle Völker der Erde.

Der « Missionsbefehl » sollte auch in der Perspektive der Bergpredigt gesehen werden, deren Höhepunkt er ist. Die Verkündigung dieses Auftrags enthält die eigentliche Substanz des Evangeliums: Der Auferstandene hat die Macht über die Welt, und seine Jünger müssen seine Lehre allen Völkern weitergeben, bis das Reich Gottes kommt. Diese Zeit des Endes hat der Autor nicht als unmittelbar bevorstehend beschrieben. Der « Große Auftrag » ist zu unterscheiden vom « Kleinen Auftrag » oder der « Aussendungsrede », die früher im gleichen Evangelium nach Matthäus, in Kapitel 10, erscheint.

Andererseits erinnert er an andere Perikopen der kanonischen Evangelien, darunter die Einsetzung der zwölf Apostel, die in den drei Synoptikern vorkommt. Die Einsetzung der Apostel findet jedoch während des Lebens Jesu statt, vor der Kreuzigung, während der « Große Auftrag » nach der Auferstehung stattfindet. Das Lukasevangelium, das zur gleichen Zeit wie das Matthäusevangelium geschrieben wurde, etwa um das Jahr 80, enthält eine Szene, die dem von Matthäus beschriebenen  » Großen Auftrag  » nahe kommt und ebenfalls nach der Kreuzigung und Auferstehung stattfindet. Jesus bittet seine Jünger, von Jerusalem aus allen Völkern die Umkehr zu predigen, die zur Vergebung der Sünden führt. Das Thema taucht in der Apostelgeschichte, die ebenfalls von Lukas geschrieben wurde, wieder auf: Im Moment der Himmelfahrt verspricht Jesus seinen Aposteln, dass der Heilige Geist ihnen bei der Ausführung ihrer Mission helfen wird. Das Evangelium nach Markus, das den beiden anderen Synoptikern vorausgeht und aus den Jahren 65-75 stammt,13 enthält in seinem « langen Schluss » eine dem « Missionsbefehl » des Matthäus vergleichbare Passage.

Die Aussendung zur Mission wird unter das Zeichen der Dreifaltigkeit gestellt, was ein Echo auf die Taufe Christi ist, wo der Geist auf Jesus in dem Moment herabkommt, in dem die göttliche Stimme die kindliche Beziehung zum Vater herstellt (Mt 3,16-17). Gleichzeitig ist « Ich bin bei euch alle Tage bis an das Ende der Welt » eine Fortsetzung von « Emmanuel », dem « Gott mit uns » von Mt 1,23. Das Matthäusevangelium ist durch eine ständige Dualität zwischen jüdischem Partikularismus und Universalismus gekennzeichnet und schließt hier mit einer Ausdehnung der Frohen Botschaft auf alle Völker der Erde. Der « Missionsbefehl » sollte auch in der Perspektive der Bergpredigt gesehen werden, deren Höhepunkt er ist. Die Verkündigung dieses Auftrags enthält die eigentliche Substanz des Evangeliums: Der Auferstandene hat die Macht über die Welt, und seine Jünger müssen seine Lehre allen Völkern weitergeben bis zum Kommen des Reiches Gottes. Diese Zeit des Endes hat der Autor nicht als unmittelbar bevorstehend beschrieben.

Der « Große Auftrag » ist zu unterscheiden vom « Kleinen Auftrag » oder « Aussendungspredigt », der früher im selben Evangelium nach Matthäus, in Kapitel 10, erscheint. Andererseits erinnert sie an andere Perikopen der kanonischen Evangelien, darunter die Einsetzung der zwölf Apostel, die in den drei Synoptikern vorkommt. Die Einsetzung der Apostel findet jedoch während des Lebens Jesu statt, vor der Kreuzigung, während der « Große Auftrag » nach der Auferstehung stattfindet. Das Lukasevangelium, das zur gleichen Zeit wie das Matthäusevangelium geschrieben wurde, etwa um das Jahr 80, enthält eine Szene, die dem von Matthäus beschriebenen  » Großen Auftrag  » nahe kommt und ebenfalls nach der Kreuzigung und Auferstehung stattfindet. Jesus bittet seine Jünger, von Jerusalem aus allen Völkern die Umkehr zu predigen, die zur Vergebung der Sünden führt. Das Thema taucht in der Apostelgeschichte, die ebenfalls von Lukas geschrieben wurde, wieder auf: Im Moment der Himmelfahrt verspricht Jesus seinen Aposteln, dass der Heilige Geist ihnen bei der Ausführung ihrer Mission helfen wird. Das Evangelium nach Markus, das den beiden anderen Synoptikern vorausgeht und aus den Jahren 65-75 stammt, enthält in seinem « langen Schluss » eine dem « Missionsbefehl » des Matthäus vergleichbare Passage.

Jesus schickt seine Jünger zu zweit auf Mission

Eine der ersten Handlungen Jesu zu Beginn seines öffentlichen Lebens war es, zwölf Mitarbeiter auszuwählen. In den ersten Kapiteln des Markusevangeliums werden sie als Begleiter Jesu gezeigt. Und auf der heutigen Seite des Evangeliums ruft Jesus sie zum ersten Mal und sendet sie zu zweit auf Mission aus (Mk 6,7). Zum ersten Mal sind sie allein, ohne Jesus, für die Verkündigung zuständig; es ist bereits die Zeit der Kirche, die beginnt.

Jesus schickt sie zu zweit in die Mission: Diese Vorgehensweise erleichtert die gegenseitige Hilfe und Unterstützung, besonders in schwierigen Zeiten. Aber das ist nicht das Wichtigste. Das Wichtigste ist, dass die Botschaft mit einer Stimme weitergegeben wird. Es ist die ganze Gemeinschaft, die aufgerufen ist, in Solidarität Zeugnis für das von Jesus Christus geoffenbarte Evangelium zu geben. Die erste Regel des Apostolats ist, ein Team zu sein. Das brüderliche Leben ist bereits eine Verkündigung der Liebe, noch bevor man darüber spricht. Als Christen, als Glieder des lebendigen Christus, haben wir die Pflicht, zu evangelisieren.

Was nützt mir der Glaube an den wahren Gott, wenn ich nie darüber spreche? Gott sendet uns, um die gute Nachricht des Evangeliums zu den Menschen um uns herum zu bringen. Er sendet uns, das Wort zu verkünden, was eine Änderung des Lebens, eine Bekehrung, erfordert. Er bittet uns, das Böse zu bekämpfen und im Namen der Armen zu handeln.

Bekehrung ist der erste Inhalt der Predigt der Jünger: Ändere dein Leben… Bekehr dich! Das ist eine so radikale Option, dass sie heftigen Widerstand hervorruft. Im Durchschnitt ändern die Menschen nicht gerne ihr Leben. Lasst uns in Ruhe! Gott stört! Er fordert uns auf, uns zu einem neuen Leben zu verpflichten. Es geht darum, den Kurs zu ändern. Der Glaube ist eine neue Lebensweise, die sich von der der anderen abhebt.

Wir müssen ihn in unserer Familie und in unserer Nachbarschaft leben, bei der Arbeit oder im Urlaub. Wir müssen nicht nach großen Wegen suchen. Was Jesus von uns erwartet, ist nur unser Zeugnis. Wir sind in der Lage, das Böse zu überwinden, wo wir sind, und als befreite Menschen zu leben. Das ist es, was uns befähigen wird, Zeugen Christi vor anderen zu sein.

Wie der Prophet Amos (erste Lesung) und wie die Zwölf (Evangelium) sind wir eingeladen, unser Bestes für dieses Zeugnis zu geben, das der Herr uns anvertraut. Indem wir an der Messe und durch die Eucharistie teilnehmen, schöpfen wir aus der Quelle.

Diejenige, die als erste den Weg zur Evangelisierung, zur Mission, eröffnet hat, ist die Jungfrau Maria. Bitten wir die selige Jungfrau Maria, die Mutter Jesu, dass sie uns hilft, durch unser ganzes Leben zu authentischen Trägern des Lichts, der Liebe und der Wahrheit zu werden, für die Menschen um uns herum.

Diakon Michel Houyoux

Links zu anderen christlichen Websites

◊ Steiler Missionare : klicken Sie hier, um den paper zu lesen  →  Einer für alle – alle für einen !

◊Markusevangelium  Übersicht : klicken Sie hier, um den paper zu lesen  →  Aussendung der Zwölf

Pfarrer David Keller : « Predigt über den Fischzug von Petrus »

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