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Jeudi de la quinzième du Temps Ordinaire — Année Impaire

Posté par diaconos le 15 juillet 2021

Je suis doux et humble de cœur

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# Jésus de Nazareth est un Juif de Galilée, né entre l’an 7 et l’an 5 av. J.-C.. Il apparaît dans le cercle de Jean le Baptiste avant de s’engager, entouré de quelques disciples, dans une courte carrière de prédication itinérante de deux à trois ans, essentiellement en Galilée, en pratiquant guérisons et exorcismes. Il suscite engouement et ferveur, s’attirant la méfiance des autorités politiques et religieuses, avant d’être arrêté, condamné et crucifié vers l’an 30 à Jérusalem pendant la fête juive de la Pâque, sous l’administration du préfetPonce Pilate.
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L’annonce de sa résurrection par ses disciples, qui le reconnaissent comme le Messie ou Christ et transmettent son histoire et ses enseignements, donne naissance au christianisme. Pour les chrétiens, Jésus-Christ est le Fils de Dieu, le Messie annoncé dans l’Ancien Testament et envoyé aux hommes pour les sauver. Dans l’islam, Jésus de Nazareth, appelé ʿĪsā, est considéré comme un prophète majeur. Le retentissement de son message, transmis par les différentes Églises chrétiennes, et les interprétations auxquelles il a donné lieu, ont influencé différentes cultures et civilisations au cours de l’Histoire.
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Il a inspiré une importante production théologique, littéraire et artistique. Sa naissance est prise comme origine conventionnelle des calendriers julien — depuis le VIe siècle — et grégorien, et le dimanche, devenu jour de repos hebdomadaire en célébration de sa résurrection, adopté au-delà de la chrétienté. Cette importance contraste avec la brièveté de sa prédication et le peu de traces historiques conservées à son sujet, essentiellement au travers de la littérature néotestamentaire. Ainsi, lorsqu’il aborde la question de Jésus de Nazareth, l’historien « sait qu’il n’est nullement en mesure de révéler ce qui a vraiment été fait ou ce qui a vraiment été dit par ce personnage »
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Jésus est nommé de multiples façons dans la littérature néotestamentaire, chacun de ses noms et titres suggérant une façon dont ont pu l’appréhender ou le considérer ses différents interlocuteurs : « Rabbi », ou le terme proche en araméen « Rabbouni »n 7, qui signifie au Ier siècle le « maître » pharisien, au sens « maître et philosophe » d’un groupe pharisien21 ; on trouve également « Maître » au sens d’« enseignant », « Prophète », « Serviteur », « Juste », « Saint », « Fils de David », déjà employés pour des personnages de la Bible hébraïque, « Grand prêtre », « juge », « pasteur », « Rédempteur » ou encore « Sauveur ».
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L’Évangile selon Jean rapporte que la croix de son exécution était surmontée d’un titulus qui portait l’inscription INRI signifiant « Jésus le nazôréen, Roi des Juifs »n 8,22. On trouve plusieurs fois l’expression « Fils de l’homme » que s’attribue Jésus lui-même dans les évangiles23. Elle se trouve précédemment dans la littérature hébraïque, dans le Livre des Psaumes24, où elle désigne l’homme ordinaire. .
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 De l’évangile selon Matthieu

28 « Venez à moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau, et moi, je vous procurerai le repos. 29 Prenez sur vous mon joug, devenez mes disciples, car je suis doux et humble de cœur, et vous trouverez le repos pour votre âme. 30 Oui, mon joug est facile à porter, et mon fardeau, léger. » (Mt 11, 28-30)

Appel à ceux qui sont fatigués et chargés

« Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et moi je vous soulagerai. » (Mt 11, 28) : douce et précieuse invitation,  offerte sans autre condition, que de se sentir fatigués et chargés ! Travail auquel un homme se livre en vain pour satisfaire aux exigences de sa conscience souffrante et de la loi qui l’accuse, et ce lourd fardeau de misère morale et de peines amères que porte celui qui mène une vie sans Dieu.

Ce fardeau était rendu plus accablant encore par les prescriptions légales et pharisaïques de la propre justice  :  « Maintenant donc, pourquoi tentez-vous Dieu, en mettant sur le cou des disciples un joug que ni nos pères ni nous n’avons pu porter? (Ac 15, 10)  Ce que Jésus offre (et moi, par opposition à tout autre), c’est le soulagement ou le repos en d’autres termes, la paix, doux et précieux fruit du pardon et de l’affranchissement. Un joug est l’image de la soumission, de l’obéissance. Jésus vint de promettre le soulagement, le repos. Il rappela la condition de cette délivrance.

Après avoir promis un repos heureux aux pauvres consciences misérablement travaillées, il admoneste qu’il est leur libérateur à cette condition qu’elles se rangent sous son joug. (Calvin)

Qu’est-ce que se charger de ce joug ? : c’est apprendre de Jésus, être instruit par sa parole, et imiter son exemple, vivre de sa vie. Il faut entrer dans cette voie sans hésiter, dit Jésus, parce qu!il est doux, et humble de cœur. Ce motif peut être entendu  comme un encouragement : ne craignez pas de vous mettre à mon école, je suis plein de support, de patience, mon joug n’est pas difficile à porter ; ou comme indication du seul moyen de se charger de son joug, qui est d’apprendre de Jésus la douceur et l’humilité qu’il avait lui-même.

Pour les orgueilleux qui cherchent leur propre justice, ce joug sera intolérable, il ne sera bon, bienfaisant que pour ceux qui seront doux et humbles de cœur.

Comment se fera-t-il qu’un chacun y ploya et baissa le col volontiers et paisiblement, sinon qu’étant revêtu de douceur, il fut conformé à Christ ? (Calvin)

Diacre Michel Houyoux

Liens avec d’autres sites web chrétiens

◊ Père Gilbert Adam : cliquez ici pour lire l’article → Jeudi de la 15e semaine, année impaire

◊ vie chrétienne : cliquez ici pour lire l’article → L’ANTIDOTE AU DÉCOURAGEMENT

  Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés!

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Sechzehnter Sonntag in der gewöhnlichen Zeit – Jahr B

Posté par diaconos le 15 juillet 2021

Sie waren wie Schafe ohne einen Hirten

 Seizième dimanche du Temps Ordinaire — Année B dans Catéchèse brebis_sans_berger

# Das Gleichnis vom verlorenen Schaf, auch bekannt als das « Gleichnis vom guten Hirten » oder « vom guten Hirten », das Jesus von Nazareth zugeschrieben wird, findet sich in zwei kanonischen Evangelien des Neuen Testaments. Es wird von Matthäus (Mt 18,12-13) und Lukas (Lk 15,3-7) berichtet. Es findet sich auch im apokryphen Thomas-Evangelium, Logion 107. Mögliche Parallelen im Alten Testament sind Hes 34,6.12 und Ps 119,176.

Aus dem Gleichnis ist der Ausdruck « verlorenes Schaf » entstanden, der sich, wie der « verlorene Sohn » in einem unmittelbar darauf folgenden Gleichnis bei Lukas, auf die Person bezieht, die moralisch verloren ist, oder, ebenfalls bei Lukas, auf die verlorene Drachme. Die ersten beiden Gleichnisse, und manchmal auch alle drei, dienen als Grundlage für die Überlegungen von Theologen und Predigern über die Notwendigkeit, das verlorene Schaf zu suchen und es zurück in die Herde zu bringen, im Falle des unfreiwilligen Verlustes, oder den reuigen Sünder mit Gnade aufzunehmen, im Falle des freiwilligen Verlustes.

Der gute Hirte ist einer der Titel « , mit denen sich Jesus identifiziert (Joh 10,11). Es ist eines der sieben Worte « Ich bin… », die nur im Johannesevangelium zu finden sind, und bezieht sich auf einen Aspekt der Mission Jesu: derjenige, der sammelt, führt, (die Verlorenen) sucht und sein Leben für andere hingibt. Er weidet seine Schafe oder bringt die verlorenen Schafe zurück. Dies ist der Ursprung des Wortes « Hirte », das im Christentum verwendet wird.

Das ikonografische Thema des Guten Hirten wurde zuerst in der antiken griechischen Kunst weit verbreitet, wo es auf den Kryophorus Hermes (aus dem Griechischen κριος, « Widder » und φόρος, « der trägt »), aber auch auf die Träger von Opfergaben angewandt wurde, und dann in der römischen Kunst, wo es besonders im Bereich der Bestattungen verwendet wurde, nach Formeln, die die entstehende christliche Kunst voll inspirierten1. 1 Dieses Thema soll sumerische Vorbilder gehabt haben. Die christliche Ikonographie stellt Christus zunächst als « das Lamm Gottes » dar, das von Johannes dem Täufer getragen wird, und dann wird Jesus zum Guten Hirten, der die verlorenen Schafe einsammelt. Er wird traditionell mit einer Augenbinde dargestellt, in Exomide gekleidet und hält einen Stab, ein Melkgefäß (die Mulctra) oder eine Spritze. Dieses Thema hat viele christliche Künstler inspiriert.

Aus dem Evangelium nach Markus

30 Die Apostel kamen zu Jesus und berichteten ihm alles, was sie getan und gelehrt hatten. 31 Er sagte zu ihnen: « Kommt an einen verlassenen Ort und ruht eine Weile aus. Denn es waren viele Menschen, die kamen und gingen, und es war nicht einmal Zeit, etwas zu essen. 32 Da fuhren sie in einem Boot an einen einsamen Ort, ganz allein.

33 Das Volk sah sie gehen, und viele verstanden ihre Absicht. So liefen sie zu Fuß aus allen Städten dorthin und kamen vor ihnen an. 34 Als Jesus an Land kam, sah er eine große Menschenmenge. Er hatte Mitleid mit ihnen, denn sie waren wie Schafe, die keinen Hirten haben. So begann er, sie ausführlich zu lehren.  (Mk 6 ,30-34)

Weg in die Einsamkeit, Ruhe !

Jesus schickt seine Jünger jeweils zu zweit aus. Das macht es einfacher, sich gegenseitig zu helfen und zu unterstützen, besonders in schwierigen Zeiten. Aber das ist nicht das Wichtigste. Das Wichtigste war, dass die Botschaft mit einer Stimme übermittelt wurde. Es ist die ganze Gemeinschaft, wir alle, die berufen sind, in Solidarität Zeugnis zu geben für das von Jesus Christus geoffenbarte Evangelium. Die erste Regel des Apostolats ist, ein Team zu sein. Das brüderliche Leben ist bereits eine Verkündigung der Liebe, noch bevor wir darüber sprechen. Als Glieder des lebendigen Christus haben wir die Pflicht, zu evangelisieren.

Was nützt mir der Glaube an den wahren Gott, wenn ich nie darüber spreche? Gott sendet uns, um die gute Nachricht des Evangeliums zu den Menschen um uns herum zu bringen. Er sendet uns, das Wort zu verkünden, was eine Änderung des Lebens, eine Bekehrung, erfordert. Er bittet uns, das Böse zu bekämpfen und im Namen der Armen zu handeln.

Bekehrung war der erste Inhalt der Predigt der Jünger: Ändere dein Leben… Bekehr dich! Diese Option war so radikal, dass sie bei den Zuhörern heftigen Widerstand hervorrief. Im Durchschnitt ändern die Menschen nicht gerne ihr Leben. Lasst uns in Ruhe! Gott ist störend! Doch Jesus besteht darauf und bittet uns, uns auf ein neues Leben einzulassen: Es geht um einen Kurswechsel. Der Glaube ist eine neue Lebensweise, die sich von der Lebensweise der anderen unterscheidet.

Im Evangelium dieses Sonntags erzählt uns Markus, dass die Apostel von ihrer apostolischen Reise zurückkehrten und sich mit Jesus trafen, um ihm einen ausführlichen Bericht über ihre Arbeit und Lehre zu geben. Sie erlebten die Kraft des Evangeliums, aber vor allem erlebten sie Widerstand, Ablehnung, Gleichgültigkeit… Außerdem hatte Jesus sie gewarnt, dass sie nicht immer angenommen werden würden: « Wenn jemand sich irgendwo weigert, euch aufzunehmen und euch zuzuhören, dann geht weg und schüttelt den Staub von euren Füßen; das wird ein Zeugnis für sie sein. » (Mk 6, 11)

Dies ist der wichtige Moment in der Geschichte. Sie haben gehandelt und nun ziehen sie mit Jesus Bilanz : « Sie erzählten ihm alles, was sie getan und gelehrt hatten » (Mk 6,  11). Es ist wichtig, eine Bilanz einer Aktion, einer Mission zu ziehen, um sie besser zu verstehen und sie bei zukünftigen Einsätzen zu verbessern. Wir tun dies regelmäßig in unseren Betriebsversammlungen, in der P.O. der Schulen und in unseren Pfarrversammlungen, es sollte auch ernsthaft getan  werden.
Heute treffen wir uns in der Tat oft. Viele Christen haben erkannt, wie viel stärker ihr Glaube wäre, wenn sie mit anderen Christen zusammenkommen könnten, um das Evangelium zu diskutieren und zu teilen.  Das ist schon der Sinn des Besuchs der Sonntagsmesse: Nach einer Woche, die wir bei der Arbeit und in unserem eigenen Umfeld gelebt haben, treffen wir uns am Sonntag mit Jesus.

Habe ich ihm dann etwas zu erzählen? Was will ich ihm von meiner Woche erzählen? Die Mission der Apostel war sehr lehrreich und sie waren wirklich müde, erschöpft und brauchten dringend Ruhe. Jesus erkannte das und sagte zu ihnen: « Kommt an einen verlassenen Ort und ruht euch eine Weile aus ». Jesus schlug seinen Freunden, die von ihrer Arbeit erschöpft waren, eine Zeit der Entspannung, eine Zeit der Ruhe vor.

Jesus möchte, dass Männer und Frauen ausgeglichen, gelassen und friedlich sind.  Es ist wichtig, eine Pause zu machen, besonders in unserer hektischen Welt. Wir hören oft Klagen wie: « Ich bin müde, ich bin am Ende meiner Kräfte, ich kann nirgendwo mehr hin, ich habe die Nase voll… ». Wie viel Ruhe lege ich freiwillig in meine Tage, meine Wochen? Wie verbringe ich meine Ferien? Nutzen wir die Ferien, um uns durch Lektüre und Gebet in die Vertrautheit mit Christus, dem Erlöser, zu versenken.

In der Abgeschiedenheit, in der Einsamkeit, in der Ruhe! Das innere Leben erfordert Besinnung. Äußere Aufregung bringt nichts Gutes hervor. Jedes ernsthafte Leben pendelt zwischen Zeiten der Aktivität im Außen und Zeiten der Besinnung im Inneren: sehen, urteilen, handeln. Sehen, urteilen, wieder handeln. Es gibt kein solides christliches Leben ohne diesen doppelten Rhythmus: inneres Leben und äußere Aktivität.

Nehme ich mir jemals eine Auszeit von meinem Tag, um zu beten? Sich in die Intimität mit Jesus zurückzuziehen, bedeutet nie, dass wir uns von anderen abschneiden; sie werden selbst auf die Suche nach uns gehen. Als Jesus sah, dass sich die Menge zu ihnen gesellt hatte, schickte er sie nicht weg. Er sah, was ihnen fehlte. Er hatte Mitleid mit der Menge. Beten heißt, dass wir aufmerksamer für andere werden, damit wir ihre wahren Bedürfnisse besser wahrnehmen und besser auf sie eingehen können. Möge jeder von uns das Wort, das Gott heute zu uns persönlich gesprochen hat, in seinem Herzen bewahren.

Diakon Michel Houyoux

Links zu anderen christlichen Websites

◊ Pfarrer Karl  Sendker : klicken Sie hier, um den Artikel zu lesen → 15. Sonntag B

  Der gute Hirte ist da

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