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L’histoire incroyable de la Madonnina

Posté par diaconos le 26 juillet 2021

Envoi de Richard Rouleau

Image dans Infobox.Dernièrement je suis allé à la Chapelle du Mont St Joseph à Carleton sur Mer en Gaspésie au Québec Canada. Le Père Ghislain Roy recommande de se consacrer aux trois Saints Cœurs de Jésus, Marie et Joseph, à tous les jours.

  ♥ Voici cette prière de Consécration

Sacré Cœur de Jésus, Cœur Immaculée de Marie et Très Chaste Cœur de Saint Joseph, Je vous consacre aujourd’hui mon esprit ( sur le front),Mes paroles ( sur les lèvres), mon corps ( sur la poitrine),m on cœur ( sous l’épaule gauche), et mon âme ( sous l’épaule droite), Afin que Votre Volonté puisse se faire à travers moi. Sacré Cœur de Jésus, Cœur Immaculée de Marie et Très Chaste Cœur de Saint Joseph,dans la Divine Volonté, je Vous consacre ma famille, ma maison et la Mission que vous avez sur moi maintenant et pour toujours dans les siècles des siècles ! Amen !

♥ La Madonnina, la Madone du Repos, la Madone à l’enfant ou encore la Madone des rues. Elle fait partie de ces images de piété que l’on rencontre partout et qui témoigne de l’authentique foi populaire. Et cette fameuse Madone a une histoire pour le moins incroyable. Tout commença en Vénétie (Italie) à la fin du XIXe siècle, quand le peintre italien Roberto Ferruzzi fit la rencontre d’une jeune fille de 13 ans, Angelina Cian.

Ému par la façon dont elle s’occupa de son petit frère, alors encore un tout petit bébé, le peintre décida de les représenter ensemble dans un beau tableau symbolisant la maternité. Contre toute attente, la toile, qui fut présentée à la Biennale de Venise, séduisit par sa douceur et reçut le premier prix en 1897. À partir de ce moment-là, le tableau connut un succès incroyable et on lui prêta une connotation religieuse.

Avec son visage plein de douceur et le bébé endormi dans ses bras, la jeune fille fait indéniablement penser à la Vierge Marie. Très vite, tout le monde l’appelle la « Madonnina » !

Mais l’histoire ne s’arrêta pas là. Angelina, la jeune fille du tableau, se maria quelques années plus tard à un vénitien et partit s’installer aux États-Unis. Ensemble, le couple eut dix enfants. Malheureusement, Angelina perdit son mari et se retrouva en grande difficulté financière avec ses jeunes enfants. Attristée, elle perdit petit à petit la raison et se retrouva hospitalisée dans un établissement psychiatrique où elle mourut en 1972.

Parmi ses dix enfants, une fille, Marie, devint religieuse et prit le nom de sœur Angela Maria. Désireuse d’en savoir plus sur sa famille et ses racines, elle se rendit en Italie. Là-bas, elle retrouva deux de ses tantes, les sœurs d’Angelina. Et à sa grande surprise, elle découvrit que l’image de la Vierge si connue en Italie, et que tant de fidèles prient depuis des années, est en réalité le portrait de sa mère bien-aimée lorsqu’elle était enfant.

Aujourd’hui, la Madonnina est toujours aussi célèbre et fait partie de ces images pieuses de la Vierge que tous les Italiens ont chez eux.

Source : https://fr.aleteia.org/…/letonnante-histoire-de-la Madodinna Découvrir plus sur mariedenazareth.com

✝️  L’ÉVANGILE DU JOUR

Il leur dit une autre parabole :« Le royaume des Cieux est comparable au levain qu’une femme a pris et qu’elle a enfoui dans trois mesures de farine, jusqu’à ce que toute la pâte ait levé. »Tout cela, Jésus le dit aux foules en paraboles, et il ne leur disait rien sans parabole,accomplissant ainsi la parole du prophète :J’ouvrirai la bouche pour des paraboles, je publierai ce qui fut caché depuis la fondation du monde.

Contact  Richard Rouleau

Merci Richard pour cette information intéressante. Michel Houyoux, diacre permanent

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Lundi de la dix-septième Semaine du Temps Ordinaire — Année Impaire

Posté par diaconos le 26 juillet 2021

 La graine de moutarde devient un arbre, si bien que les oiseaux du ciel font leurs nids dans ses branches

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#Le Parabole de la graine de moutarde est l’un des plus courts paraboles de Jésus. Il apparaît dans Matthieu (13:31–32), marque (4: 30–32), et Luke (13: 18–19). Dans les évangiles de Matthieu et de Luc, il est immédiatement suivi de la Parabole du levain, qui partage le thème de cette parabole de la Royaume du Paradis grandissant à partir de petits débuts. Il apparaît également dans le non-canonique Évangile de Thomas. Le Parabole de la graine de moutarde est l’un des plus courts paraboles de Jésus. Il apparaît dans Matthieu (13:31–32), marque (4: 30–32), et Luke (13: 18–19).

Dans les évangiles de Matthieu et de Luc, il est immédiatement suivi de la Parabole du levain, qui partage le thème de cette parabole de la Royaume du Paradis grandissant à partir de petits débuts. Il apparaît également dans le non-canonique Évangile de Thomas. Érudit du Nouveau Testament Adolf Jülicher considéra la parabole de la graine de moutarde comme une similitude, ou une comparaison / métaphore étendue, qui comporte trois parties: une partie d’image (Bildhälfte), une partie réalité (Sachhälfte), et un point de comparaison (comparaison avec le téritium).

La partie image est la graine de moutarde qui se transforme en une grande plante, la partie réalité est le royaume de Dieu, et le point de comparaison est la croissance du royaume à partir de petits débuts. Les oiseaux nicheurs peuvent se référer à des textes de l’Ancien Testament qui soulignent la portée universelle de l’empire de Dieu, tel que Daniel. Cependant, il est peu probable qu’une vraie plante de moutarde attire les oiseaux nicheurs, de sorte que Jésus sembla mettre délibérément l’accent sur la notion d’extravagance étonnante dans son analogie.

D’autres commentateurs suggérèrent que les oiseaux représentaient des Gentils cherchant refuge en Israël ou les pécheurs et les collecteurs d’impôts avec lesquels Jésus fut critiqué pour son association. Quelques commentateurs virent les oiseaux négativement, comme représentant de faux enseignants envahir l’église.. Certains identifièrent un subversif et scandaleux élément de cette parabole, en ce que la nature à croissance rapide de la plante de moutarde en fit une mauvaise herbe avec « propriétés de reprise dangereuses ».

Pline l’Ancien, dans son Histoire naturelle (publié vers 78 après Jésus-Christ. l’endroit libre de lui, comme la graine quand elle tomba germa aussitôt. Ben Witherington nota que Jésus aurait pu choisir un arbre authentique pour la parabole, et que la plante de moutarde démontre que bien que la domination paraisse petite comme une graine pendant le ministère de Jésus, elle se développerait inexorablement en quelque chose de grand et fermement enraciné, que certains trouveraient un abri dans et d’autres trouveraient odieux et essayeraient de se déraciner.

De l’évangile selon Matthieu

’31 Il leur proposa une autre parabole : « Le royaume des Cieux est comparable à une graine de moutarde qu’un homme a prise et qu’il a semée dans son champ. 32 C’est la plus petite de toutes les semences, mais, quand elle a poussé, elle dépasse les autres plantes potagères et devient un arbre, si bien que les oiseaux du ciel viennent et font leurs nids dans ses branches. » 33 Il leur dit une autre parabole : « Le royaume des Cieux est comparable au levain qu’une femme a pris et qu’elle a enfoui dans trois mesures de farine, jusqu’à ce que toute la pâte ait levé. »

34 Tout cela, Jésus le dit aux foules en paraboles, et il ne leur disait rien sans parabole, 35 accomplissant ainsi la parole du prophète : J’ouvrirai la bouche pour des paraboles, je publierai ce qui fut caché depuis la fondation du monde.» (Mt 13, 31-35)

Parabole de la graine de moutarde

La plante appelée sénevé, ou moutarde, provient d’une très petite semence, mais s’élève, en Orient, à une certaine hauteur, et devient touffue comme arbre, tout en restant dans l’espèce des légumes. Ce que Jésus voulut relever par cette image, c’est la petitesse du royaume des cieux dans son origine, ses commencements et ses moyens et la grandeur de ses développements et de ses effets. Ces caractères se vérifient dans toute l’histoire du règne de Dieu : Moïse, petit enfant dans son berceau de jonc, et son œuvre immense durant tant de siècles ; la crèche de Bethléem, et la création nouvelle accomplie dans notre humanité ; les douze apôtres, et l’établissement du règne de Dieu dans le monde.

Combien souvent l’évangélisation de tout un pays devenu chrétien, a-t-elle commencé par des moyens tout à fait inaperçus ! Toujours la très petite semence devenant un grand arbre. Rien de plus propre à affermir la foi et à relever les espérances dans les temps de découragement.  Cette parabole révèle aussi la croissance mystérieuse du règne de Dieu, mais au dedans, plus qu’à l’extérieur. Le levain caché dans la pâte, c’est la vie divine agissant lentement, mais constamment par la puissance qui lui est propre, jusqu’à ce que  toute la vie humaine, dans l’individu, la famille et la société, en fussent pénétrés et sanctifiés.

Ce prophète, c’est le psalmiste Asaph, à qui l’Ancien Testament donne aussi le titre de voyant, ou prophète. Plusieurs Pères, Clément d’Alexandrie, Eusèbe, Jérôme, que quelques manuscrits très anciens portaient : « par le prophète Ésaïe ». Ils nous apprennent même que Porphyre se prévalait de cette faute pour accuser Matthieu d’ignorance. Mais ces mêmes Pères renvoyèrent l’accusation à des copistes inintelligents, et presque tous les témoignages critiques actuellement connus, omirent le nom d’Ésaïe. Malgré cela, Tischendorf, qui l’avait toujours rejeté, l’eut admis dans sa huitième édition sur l’autorité du Sin.

 Jésus, dans ses paraboles, dévoila les  vérités du royaume de Dieu qui sont comme cachées, soit dans la nature, soit dans la vie humaine, où il puise les sujets de ses similitudes.

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Dix-huitième dimanche du Temps Ordinaire — Année B

Posté par diaconos le 26 juillet 2021

Celui qui vient à moi n’aura jamais faim, celui qui croit en moi n’aura jamais soif

Épinglé sur #laBible Jean

Le Corps du Christ est un concept de la théologie chrétienne, lié à la rédemption, à la vie éternelle, au partage, à la fraternité, ainsi qu’à la transmission de la parole divine. Lors de la messe catholique, le prêtre dit lors de la prière eucharistique : « au moment d’être livré et d’entrer librement dans sa passion, il prit le pain, il rendit grâce, il le rompit et le donna à ses disciples en disant: « Prenez et mangez en tous: ceci est mon corps livré pour vous » Ce rappel de la Cène, le repas avant la crucifixion de Jésus-Christ est le symbole de la chair donné par le Messie pour sauver l’humanité de ses péchés.
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Juste un peu plus tard dans l’office, le prêtre dit « faisant ici mémoire de la mort et de la résurrection de ton Fils nous t’offrons Seigneur le pain de vie.» Plus que le pardon, le pain comme le stipule l’officiant, est pain de vie, symbole de la résurrection apportée aux humains par Jésus. Le Corps du Christ c’est le don par le Messie du pardon des fautes, c’est la nouvelle parole donnée qui sous entend la résurrection et surtout le pain de vie par cette parole christique qui se veut porteuse de charité, de fraternité. Moïse sortit le peuple de l’esclavage; Jésus par le don de son corps, par le sacrifice, cherche à faire régner les vertus cardinales et théologales. La Communauté du Pain de Vie fut une communauté nouvelle de l’Église catholique romaine, fondée en 1976 par Pascal et Marie-Annick Pingault et dissoute par Monseigneur Jean-Claude Boulanger le 9 avril 2015

De l’évangile selon Jean

24 Quand la foule vit que Jésus n’était pas là, ni ses disciples, les gens montèrent dans les barques et se dirigèrent vers Capharnaüm à la recherche de Jésus. 25 L’ayant trouvé sur l’autre rive, ils lui dirent : « Rabbi, quand es-tu arrivé ici ? »  26 Jésus leur répondit : « Amen, amen, je vous le dis : vous me cherchez, non parce que vous avez vu des signes, mais parce que vous avez mangé de ces pains et que vous avez été rassasiés. 27 Travaillez non pas pour la nourriture qui se perd, mais pour la nourriture qui demeure jusque dans la vie éternelle, celle que vous donnera le Fils de l’homme, lui que Dieu, le Père, a marqué de son sceau. » 28 Ils lui dirent alors : « Que devons-nous faire pour travailler aux œuvres de Dieu ? » 29 Jésus leur répondit : « L’œuvre de Dieu, c’est que vous croyiez en celui qu’il a envoyé. »

30 Ils lui dirent alors : « Quel signe vas-tu accomplir pour que nous puissions le voir, et te croire ? Quelle œuvre vas-tu faire ? 31 Au désert, nos pères ont mangé la manne ; comme dit l’Écriture : Il leur a donné à manger le pain venu du ciel. » 32 Jésus leur répondit : « Amen, amen, je vous le dis : ce n’est pas Moïse qui vous a donné le pain venu du ciel ; c’est mon Père qui vous donne le vrai pain venu du ciel. 33 Car le pain de Dieu, c’est celui qui descend du ciel et qui donne la vie au monde. »

34 Ils lui dirent alors : « Seigneur, donne-nous toujours de ce pain-là. » 35 Jésus leur répondit : « Moi, je suis le pain de la vie. Celui qui vient à moi n’aura jamais faim ; celui qui croit en moi n’aura jamais soif.»  (Jn 6, 24-35)

Donne nous Seigneur ton Pain de vie. Voici mes mains tendues.

« La foule s’étant aperçue que Jésus n’était pas au bord du lac de Tibériade (166km2) , ni ses disciples non plus, les gens prirent des barques et se dirigèrent vers Capharnaüm sur la rive nord-ouest du lac au nord de l’État d’Israël) à la recherche de Jésus. C’est là qu’ils le trouvèrent. » Jésus s’adressa alors  à cette foule : « Vous me cherchez non pas parce que vous avez vu des signes, mais parce que vous avez mangé de pain et que vous avez été rassasiés »

  Ce que ces gens attendaient de Jésus, ce n’étaient pas les signes du Royaume, mais uniquement des avantages matériels. Ce diagnostic est très actuel : nous sommes certainement plus matérialisés que  ces gens venus  à la rencontre de celui qui les avait rassasiés lors de cette fameuse multiplication des pains. En acceptant de nous laisser remettre en cause par ce diagnostic, nous découvrirons que nous aussi nous avons faim. Nous avons faim d’argent, de confort, de considération, d’évasion, de sécurité…

Quand Jésus résout nos problèmes, nous sommes prêts à le suivre sans la moindre hésitation, mais s’il nous propose des signes déconcertants de son Royaume, qui ne nous conviennent pas, ne sommes-nous pas prêts à l’abandonner ? Pour trouver réellement Jésus, nous devons le chercher. Quelle est notre recherche de Jésus ? Est-elle celle de ces Juifs qui étaient à la recherche d’un Dieu Providence qui les nourrirait sans qu’ils doivent travailler ?

Nous demandons des guérisons, des succès, des plaisirs, du bonheur immédiat, et nous oublions souvent d’exaucer les désirs légitimes de Dieu, son Commandement d’aimer les autres comme il les aime lui-même. C’est alors, seulement, que nous pourrions profiter vraiment de ce qu’il veut nous donner : sa PAROLE, son PAIN DE VIE, sa PERSONNE à travers son CORPS et son SANG versé, une vraie Communion avec lui. Avant que nous nous mettions à la recherche de Jésus, lui, il nous a cherché. Que notre prière le rejoigne : Seigneur, nous avons faim de Toi ! Montre-nous ton Visage ! Fais couler la source de ta PAROLE !

Ainsi, nous pourrons nous rassasier de ton AMOUR et le porter à toutes les personnes  qui croisent nos routes, particulièrement aux pauvres et aux délaissés. Jésus leur demanda de travailler pour la nourriture qui se garde jusque dans la vie éternelle, celle que vous donnera le Fils de l’homme, lui que le Père a marqué de son empreinte. Cette demande de Jésus nous concerne tous : travaillons pour cette nourriture venue du Ciel et qui donne la vie éternelle.   Cette nourriture essentielle dont nous avons besoin, c’est Jésus lui-même : « Je suis le Pain descendu du ciel. Qui mange de ce pain vivra à jamais. » (Jn 6, 51).

 Si nous avons faim et soif de son amour Jésus comblera notre cœur par le sacrement de l’Eucharistie dans lequel il se fait tout à tous. Nous comprenons à présent tout le sens de l’Eucharistie : « Jésus s’est fait pain de  vie pour satisfaire notre faim de Dieu, mais fragile comme le pain pour que nous puissions répondre à l’amour qu’il nous porte. » (Mère Thérésa) Dans la deuxième lecture, Paul apôtre du Christ nous parle de gens qui se laissaient guider par le néant : ne vous conduisez pas comme des païens qui se laissent guider par le néant. Adoptez le comportement de l’homme nouveau, créé saint, juste et dans la vérité, à l’image de Dieu.

Celui qui vient à moi, nous dit Jésus avec insistance n’aura plus jamais faim. Quel dommage si nos pâtisseries arrivaient à nous suffire. Donne nous Seigneur ton Pain de vie. Voici mes mains tendues.

Diacre Michel Houyoux

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◊ Père Gilbert Adam :  cliquez ici pour lire l’article →  18e dimanche du temps ordinaire, année B

◊Œuvre de Soutien aux Églises de France et aux Prêtres   :  cliquez ici pour lire l’article →  « Ce Pain, c’est moi ! »

 

♥  Lectio Divina : « Moi, je suis le pain vivant, qui est descendu du ciel »

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