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Mercredi de la dix-septième Semaine du Temps Ordinaire — Année Impaire

Posté par diaconos le 28 juillet 2021

Il va vendre tout ce qu’il possède, et il achète ce champ

Caté : La parabole du Trésor et de la perle

# La parabole de la perle de grand prix, est une parabole que Jésus utilisa pour expliquer la valeur du Royaume des Cieux, comme la parabole du trésor caché. L’archevêque Jean Chrysostome compara la perle de la parabole aux Évangiles : « Vous voyez donc, mes frères, que la parole et la vérité évangélique est cachée dans ce monde comme un trésor et que tous les biens y sont renfermés… Cette perle unique est la vérité qui est une et ne se divise pas. Celui qui a trouvé cette perle précieuse sait bien qu’il est riche, mais sa richesse échappe aux autres, parce qu’il la cache, et qu’il peut tenir dans sa main ce qui le fait riche.
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Il en est de même de la parole et de la vérité évangélique. Celui qui l’a embrassée avec foi, et qui la renferme dans son cœur comme son trésor, sait bien qu’il est riche ; mais les infidèles ne connaissent pas ce trésor, et ils nous croient pauvres parmi ces richesses » . Le docteur de l’Église ponctua son homélie en spécifiant qu’il fallait bel et bien suivre les valeurs du Christ et se comporter en suivant les vertus. Le trésor caché, ce sont les Évangiles pour Jean Chrysostome. Le plus important pour un homme est d’avoir la foi. Mais pas en la laissant seule, mais en la nourrissant d’actes qui suivent les valeurs défendues par Jésus comme la charité, le pardon, et surtout rester à l’écoute, spécifie-t-il. Il parle de cela en citant une autre métaphore : la parabole du filet.

 De l’évangile selon Matthieu

44 Le royaume des Cieux est comparable à un trésor caché dans un champ ; l’homme qui l’a découvert le cache de nouveau. Dans sa joie, il va vendre tout ce qu’il possède, et il achète ce champ. 45 Ou encore : Le royaume des Cieux est comparable à un négociant qui recherche des perles fines. 46 Ayant trouvé une perle de grande valeur, il va vendre tout ce qu’il possède, et il achète la perle.» (Mt 13, 44-46)

Paraboles du trésor, de la perle, du filet

Jésus compara le royaume des cieux à un trésor caché dans un champ ; un homme le trouva par hasard, et tout joyeux, il vendit tout ce qu’il avait pour acheter ce champ. Le royaume des cieux ressemble aussi à un marchand qui cherche des perles précieuses, et qui, en ayant trouvé une de grand prix, vendit tout ce qu’il possède, et l’acheta. Il compara encore son royaume à un filet jeté dans la mer, lequel se remplit de choses bonnes et de mauvaises, et que les pêcheurs amènent sur le rivage pour recueillir les unes et rejeter les autres. Telle sera la séparation, au jour du jugement.

Conclusion : Jésus demanda à ses disciples s’ils eurent compris ces paraboles. De leur réponse affirmative il conclut qu’ils devaient, imitant son exemple, tirer de leur trésor des choses nouvelles et des choses anciennes. Le sens littéral de cette parabole est simple : un homme a découvert un trésor caché, enfoui dans un champ ; il le cacha de nouveau, enterré, afin que nul ne se douta de sa trouvaille.

On peut soulever, à ce propos, une question de droit, qui, dans la vie ordinaire, ne serait certainement pas résolue en faveur d’un tel procédé. Mais Jésus n’eut pas à s’en occuper, parce que, dans la signification religieuse de son récit, cette question ne se présenta pas du tout. Toute l’attention se reporte sur le trésor, les richesses impérissables de l’Évangile de la grâce, qu’on peut acquérir sans faire tort à personne, mais que nul n’obtient sans faire le sacrifice de tout ce qu’il a en propre.

La parabole, tout en figurant le prix infini du royaume, enseigne l’obligation pour chacun de se l’approprier personnellement, et les conditions auxquelles il peut en prendre possession. Elle montre enfin ce qui rend l’homme capable du renoncement complet qu’il doit pratiquer pour acquérir ce trésor : c’est la joie de sa possession nouvelle, la joie du salut. Le cœur ne se dépouille jamais d’un amour que par un amour plus grand, plus puissant ! Une seule perle de grand prix ; voilà encore la cause du dépouillement volontaire.

Diacre Michel Houyoux

Compléments

◊ Diacre Michel Houyoux : cliquez ici pour lire l’article → Le Royaume des cieux est comparable à un trésor enfoui dans un champ

◊ Diacre Michel Houyoux : cliquez ici pour lire l’article →   Un cœur qui écoute

Liens avec d’autres sites web chrétiens

◊ Père Gilbert Adam  : cliquez ici pour lire l’article →    Mercredi de la 17e semaine, année impaire

◊ Dom Armand Veilleux – Abbaye Notre Dame de Scourmont (Belgique)  : cliquez ici pour lire l’article → Homélie pour le mercredi de la 17ème semaine du Temps ordinaire

  Pasteur Marc Pernot : « Six paraboles pour expliquer le Royaume des cieux

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Publié dans Catéchèse, Enseignement, Histoire du Salut, Page jeunesse, Religion, Temps ordinaire | Pas de Commentaire »

Eighteenth Sunday in Ordinary Time – Year B

Posté par diaconos le 28 juillet 2021

Whoever comes to me will never hunger, whoever believes in me will never thirst

I Am The Bread of Life; Whoever Comes To Me Will Never Hunger - John 6:30-35 - Bible Verse of the Day

The Body of Christ is a concept in Christian theology, linked to redemption, eternal life, sharing, brotherhood and the transmission of the divine word. In the Catholic Mass, the priest says during the Eucharistic prayer: « when he was delivered and freely entered into his passion, he took bread, gave thanks, broke it and gave it to his disciples, saying: ‘Take this, all of you, and eat it: this is my body given for you’  » This reference to the Last Supper, the meal before the crucifixion of Jesus Christ, is symbolic of the flesh given by the Messiah to save humanity from its sins.

A little later in the service, the priest says « remembering here the death and resurrection of your Son, we offer you, Lord, the bread of life ». Rather than the bread of life of the Roman Catholic Church, founded in 1976 by Pascal and Marie-Annick Pingault and dissolved by Monsignor Jean-Claude Boulanger on 9 April 2015, the bread, as the officiant says, is the bread of life, the symbol of the resurrection brought to mankind by Jesus. The Body of Christ is the Messiah’s gift of the forgiveness of sins, it is the new word given which implies the resurrection and above all the bread of life from this Christic word which must bring charity and brotherhood. Moses brought the people out of slaveryv; Jesus, through the gift of his body, through the sacrifice, seeks to make the cardinal and theological virtues reign. The Community of the Bread of Life was a new.

From the Gospel according to John

24 When the crowd saw that Jesus was not there, nor his disciples, the people got into boats and headed for Capernaum in search of Jesus. 25 When they found him on the other side of the river, they said to him, « Rabbi, when did you get here? « 26 Jesus answered them, « Truly, truly, I say to you, you seek me, not because you have seen signs, but because you have eaten loaves and been satisfied. 27 Do not labour for the food that is lost, but for the food that endures to eternal life, which the Son of Man will give you, whom God the Father has sealed with his seal. 28 Then they said to him, « What must we do to work the works of God? « 29 Jesus answered them, « The work of God is that you believe in him whom he has sent. »

30 Then they said to him, « What sign will you perform so that we may see him and believe you? What work will you do? 31 In the wilderness our fathers ate manna; as the Scripture says, « He gave them bread from heaven to eat. » 32 Jesus said to them, « Amen, amen, I say to you, Moses did not give you bread from heaven; it is my Father who gives you the true bread from heaven. 33 For the bread of God is that which comes down from heaven and gives life to the world.

34 Then they said to him, « Lord, give us this bread always. » 35 Jesus said to them, « I am the bread of life. Whoever comes to me will never hunger; whoever believes in me will never thirst ».  (Jn 6, 24-35)

Give us, Lord, your Bread of Life. Here are my outstretched hands

When the crowd realised that Jesus was not on the shore of Lake Tiberias (166 km2), nor were his disciples, the people took boats and headed for Capernaum, on the north-western shore of the lake, in the north of the state of Israel) in search of Jesus. There they found him. Jesus then said to this crowd : « You seek me, not because you have seen signs, but because you have eaten bread and been satisfied ».

What these people expected from Jesus were not signs of the Kingdom, but only material benefits. This diagnosis is very relevant today: we are certainly more material than those people who came to meet the one who had satisfied them during that famous multiplication of the loaves. If we allow ourselves to be challenged by this diagnosis, we will discover that we too are hungry. We are hungry for money, comfort, consideration, escape, security….

When Jesus solves our problems, we are ready to follow him without the slightest hesitation, but if he offers us disconcerting signs of his Kingdom that do not satisfy us, are we not ready to abandon him ? To truly find Jesus, we must seek him. What is our search for Jesus ? Is it the search of those Jews who sought a providential God who would feed them without them having to workc?

We ask for healings, successes, pleasures, immediate happiness, and we often forget to fulfil God’s legitimate desires, his commandment to love others as he loves himself. Only then can we truly enjoy what he wants to give us: his WORD, his BREAD OF LIFE, his PERSON through his BODY and his shed BLOOD, a true communion with him. Before we began to seek Jesus, he sought us. Let our prayer join him : Lord, we hunger for you! Show us your face! Let the fountain of your WORD flow !

Then we can be filled with your LOVE and bring it to all the people who cross our path, especially the poor and the abandoned. Jesus asked them to work for the food that is kept until eternal life, which the Son of Man will give you, which the Father has marked with his own mark. This request of Jesus concerns us all: let us work for this food from heaven that gives eternal life.   The essential food we need is Jesus himself: « I am the bread that came down from heaven ». Whoever eats of this bread will live forever. (Jn 6, 51).

If we hunger and thirst for his love, Jesus will fill our hearts with the sacrament of the Eucharist, in which he makes himself available to all. Now we understand the full meaning of the Eucharist : « Jesus became bread of life to satisfy our hunger for God, but fragile as bread so that we could respond to his love for us » (Mother Teresa).

In the second reading, Paul, Christ’s apostle, tells us about people who let themselves be led by nothing: Do not behave like the pagans who let themselves be led by nothing. Do not behave like the pagans who are led from nothing, but like the new man, created holy, just and in truth, in the image of God. Whoever comes to me, Jesus insists, will never be hungry again. What a pity if our pastries were enough. Give us, Lord, your bread of life. Here are my outstretched hands.

Deacon Michel Houyoux

Links to other Christian websites

◊ Loyola Press : click here to read the paper →   This Sunday’s Readings

◊ Father Hanly : click here to read the paper → Homily for 18th Sunday in Ordinary Time, Year B

  Father James : « Homily – 18th Sunday in Ordinary Time (Year B) »

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