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Mardi de la vingt-sixième Semaine du Temps Ordinaire — Année Impaire

Posté par diaconos le 28 septembre 2021

 Jésus, le visage déterminé, prit la route de Jérusalem

RELECTURE ADRESSE AUX SENIORS EN CE TREIZIÈME DIMANCHE 2019 - Espace pour  mieux Chercher

 

# Nazareth est une ville du nord d’Israël, en Galilée. C’est la plus grande ville arabe du pays avec 75 700 habitants en 2015, principalement musulmans et chrétiens. À compter de 1956, les autorités israéliennes ont créé, à côté de Nazareth, une ville nouvelle appelée d’abord Nazareth Haute qui changea son nom en 2019 et qui est devenue Nof Hagalil. Cette ville nouvelle avait pour but de  judéiser le secteur de Nazareth, qui était, après la création de l’État d’Israël en mai 1948, un secteur entièrement peuplé d’Arabes, chrétiens à plus de 66 % à l’époque et le restant étant musulman.
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La région métropolitaine de Nazareth compte 210 000 habitants, dont 85 000 juifs. La tradition chrétienne fait de Nazareth la ville de Joseph et de Marie. À Nazareth, la basilique de l’Annonciation (catholique) est la plus grande des églises du Moyen-Orient. Elle a été inaugurée en 1964 par le pape Paul VI et consacrée en 1969 sur le site d’églises plus anciennes, elles-mêmes édifiées sur une grotte identifiée comme celle de l’Annonciation.
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Malgré son importance dans les traditions se rapportant à Jésus « de Nazareth », le village de Nazareth n’est pas devenu immédiatement un lieu de pèlerinage chrétien. C’est après la conversion de l’Empire et du développement consécutif de pèlerinages que l’on voit apparaître les premières constructions chrétiennes. Le premier lieu de dévotions y est construit aux alentours du IVe siècle par Hélène, la mère de l’empereur Constantin Ier.
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Le village de cette époque fut modeste, centré sur une activité agricole, et s’étendant sur environ 4 hectares40. Les tombes des périodes romaines et byzantines respectivement à l’ouest et à l’est de l’actuelle église de l’Annonciation délimitent ce territoire et laissent penser à la présence d’une population d’environ 400 habitants. Au VIe siècle, un pèlerin anonyme de la ville de Plaisance décrivit la visite qu’il fit à la synagogue de Nazareth où se trouve un banc miraculeux sur lequel Jésus se serait assis ainsi qu’un tome de la Loi qui lui aurait servi de livre de lecture.
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Celle-ci est identifiée par certains spécialistes comme un lieu de culte judéo-chrétien ou « nazaréen » et, à tout le moins, semble en tout cas témoigner de la coopération entre juifs et chrétiens locaux au profit de l’industrie touristique engendrée par les pèlerins . Un siècle plus tard, le pèlerin Arculfe y décrivit deux églises très vastes. L’une, au milieu de la ville, bâtie sur deux voûtes, fut construite en ce lieu où fut nourri le Sauveur.
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L’autre église fut bâtie au lieu où était la maison dans laquelle l’archange Gabriel vint trouver Marie pour lui annoncer la naissance du Christ. La tradition y fixa la maison de Marie et correspond à la basilique de l’Annonciation dans laquelle on trouva trace des restes de mosaïques byzantines portant des inscriptions en grec. Lors de la première croisade, Nazareth fut la proie d’âpres combats avant d’être conquise par les croisés en 1099.

De l’évangile selon Luc

51 Comme s’accomplissait le temps où il allait être enlevé au ciel, Jésus, le visage déterminé, prit la route de Jérusalem. 52 Il envoya, en avant de lui, des messagers ; ceux-ci se mirent en route et entrèrent dans un village de Samaritains pour préparer sa venue. 53 Mais on refusa de le recevoir, parce qu’il se dirigeait vers Jérusalem. 54 Voyant cela, les disciples Jacques et Jean dirent : « Seigneur, veux-tu que nous ordonnions qu’un feu tombe du ciel et les détruise ? » 55 Mais Jésus, se retournant, les réprimanda. » (Lc 9, 51-56)

De la Galilée à Jérusalem

Comme le temps de son retour dans la gloire approchait, Jésus prit l’énergique résolution de se rendre à Jérusalem. Des messagers que Jésus envoya dans une bourgade samaritaine pour lui préparer un logement  furent repoussés. Jacques et Jean proposèrent de faire descendre sur elle le feu du ciel. Jésus leur reprocha l’esprit dont ils furent  animés. Ils allèrent ailleurs.

Un homme s’offrit à suivre Jésus. Jésus lui rappela les renoncements qu’impliquait une telle résolution. À un second, Jésus ordonna de le suivre et comme il demanda la permission d’aller d’abord ensevelir son père, Jésus la lui refus a. Un troisième se proposa  de suivre Jésus, mais voudrait auparavant prendre congé des siens. Jésus lui déclara que nul ne fut propre au royaume de Dieu, s’il n’eut pris une décision irrévocable.

« Or il arriva, comme les jours de son élévation s’accomplissaient, que lui-même prit la résolution d’aller à Jérusalem. » (Lc 9, 51)  Jésus disait, en employant un autre terme : « Et moi, quand j’aurai été élevé de la terre, j’attirerai tous les hommes à moi » (Jn 12.32). Il fallait à Jésus la résolution héroïque du dévouement pour prendre le chemin de Jérusalem, car il savait tout ce qui l’y attendait.

Luc marqua en ces mots la fin du ministère de Jésus dans la Galilée proprement dite. Mais, dans la suite de son récit, il nr  présenta Jésus se rendant directement en Judée et à Jérusalem. Jésus fut empêché de traverser la Samarie qui se trouvait sur son chemin et employant dès lors les derniers mois de sa vie à des excursions missionnaires dans la Galilée méridionale sur les confins de la Samarie et en Pérée.

Luc donna de temps en temps des indications destinées à rappeler que Jésus fut en marche vers cette Jérusalem ;  sa narration présente certaines données chronologiques et géographiques qui rendent difficile d’y retrouver un itinéraire suivi. Wieseler prétendit retrouver l’indication des trois voyages rapportés par Jean. Jésus interrompit sa tournée d’évangélisation pour faire une excursion à Jérusalem, après laquelle il vint reprendre son travail dans la Galilée méridionale et la Pérée et l’y poursuivre jusqu’à la fête de Pâque.

Matthieu et Marc, après le récit de la transfiguration, ne relatèrent plus que quelques faits et quelques paroles.   La transfiguration eut lieu dans le courant de l’été. De l’intervalle de huit à neuf mois qui la sépara de la Pâque.  Ce récit de Luc servit de lien entre celui des évangiles de Matthieu et de Marc. qui racontent seulement l’activité de Jésus sur les bords du lac de Génézareth et celui de Jean, qui se borne aux séjours à Jérusalem ; il présentent Jésus à l’œuvre dans les contrées intermédiaires.

Jésus étant suivi des douze et d’un cortège d’autres disciples, il ne fut pas facile de trouver place pour tous dans de petites localités.  Une antique haine nationale existait entre les Juifs et les Samaritains, ceux-ci étant une population mélangée, qui n’adorait pas à Jérusalem et qui ne recevait, de tout l’Ancien Testament, que les cinq livres de Moïse. Jésus saisissait toutes les occasions de réagir contre ces préjugés..  Mais, cette fois, ils furent plus forts que sa charité. Quelques interprètes (Meyer) supposèrent que Jésus fut repoussé, non comme Israélite, mais parce que ses messagers l’avaient annoncé comme le Messie.

Diacre Michel Houyoux

Liens avec d’autres sites web chrétiens

◊ Père Gilbert Adam : cliquez ici pour lire l’article →  Mardi de la 26e semaine, année impaire

◊ Regnum Christi  : cliquez ici pour lire l’article → Méditation du jour

 David Brown, un journaliste anglais de 74 an !:  » Sur les traces de Jésus : de Nazareth à Jérusalem… à pieds »

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Ventisettesima domenica del Tempo Ordinario – Anno B

Posté par diaconos le 28 septembre 2021

Quadro "Love - Matteo 19:6" - Rettangolare piccolo (RTN127): CLC Svizzera

La Chiesa non proibisce la separazione dei coniugi per motivi gravi, a condizione che non ci sia un nuovo matrimonio ; la separazione « semplice » non impedisce quindi l’accesso ai sacramenti. L’adulterio in quanto tale non impedisce nemmeno l’accesso ai sacramenti, ma solo il risposarsi, che è considerato un’installazione duratura nell’adulterio1 Per la Chiesa cattolica, il sacramento del matrimonio è indissolubile.

Nel caso in cui i coniugi si separino, il loro eventuale risposo civile è considerato gravemente peccaminoso. I coniugi separati sono considerati, durante la vita del primo coniuge, inadatti a qualsiasi ulteriore vita matrimoniale legittima. Il principio dell’indissolubilità del matrimonio si basa sul Nuovo Testamento, in particolare Matteo 5:31-32, Matteo 19:1-9, Marco 10:2-12, Luca 16:18 e 1 Corinzi 7:11. Questi testi vietano il ripudio e il risposarsi.

Il Vangelo di Matteo, in due luoghi (5,3-22 e 19,9), menziona un motivo di proibizione del matrimonio preso in considerazione dalla Chiesa cattolica, cioè quell’unione illegittima mentre ilotex dà « fornicazione » di cui un coniuge sarebbe colpevole se il matrimonio fosse riconosciuto come valido. Ci sono altri casi in cui l’unione non è valida (illegittima), nel qual caso la Chiesa può anche pronunciare una dichiarazione di nullità del matrimonio, attraverso la sentenza di un tribunale ecclesiastico.

Il matrimonio non è quindi sciolto, ma si considera che non sia mai esistito. È poi possibile rinnovare il consenso in chiesa. Tuttavia, il semplice fatto che il matrimonio sia fallito non è sufficiente per ottenere questa dichiarazione. I motivi più comuni per dichiarare nullo un matrimonio sono la mancanza di discernimento o una situazione di costrizione al momento del matrimonio.

Anche un matrimonio che non è stato consumato (cioè che non ha dato luogo a rapporti sessuali) è considerato nullo. Ogni anno, circa 55.000 domande di dichiarazione di nullità sono presentate ai tribunali ecclesiastici (circa 500 in Francia). Risultano in una dichiarazione di nullità in più del 90% dei casi. Va notato che la Chiesa cattolica considera indissolubile anche il matrimonio civile tra due persone non battezzate o tra una persona non battezzata e una battezzata, con due eccezioni.

Un matrimonio tra due persone non battezzate può essere sciolto da un vescovo se un coniuge accede al battesimo e l’altro si rifiuta (questo è il « privilegio paolino », basato su 1 Corinzi 7, 11); un matrimonio tra un coniuge battezzato e un coniuge non battezzato può essere sciolto dal Papa (questo è il « privilegio petrino ») se il coniuge non battezzato mette in pericolo la fede del coniuge battezzato, che desidera avere un coniuge battezzato. E lo scioglimento di un tale matrimonio può essere effettuato su sola richiesta di uno dei coniugi, anche contro la volontà dell’altro

 

Dal Vangelo secondo Marco

02 Alcuni farisei gli si avvicinarono e, per metterlo alla prova, gli chiesero : « È lecito a un marito mandare via la propria moglie ? » 03 Gesù rispose loro: « Cosa vi ha ordinato Mosè? » 04 Gli risposero : « Mosè permetteva di mandare via la propria moglie a condizione che fosse redatto un atto di ripudio ». 05 Gesù rispose: « A causa della durezza dei vostri cuori, ha fatto questa regola per voi.

06 Ma all’inizio della creazione Dio li fece maschio e femmina. 07 Per questo l’uomo lascerà suo padre e sua madre, 08 e si unirà a sua moglie, e i due diventeranno una sola carne. Così non sono più due, ma una sola carne. 09 Pertanto, ciò che Dio ha unito, nessuno lo separi. 10 Quando i discepoli tornarono a casa, gli chiesero di nuovo di questo. 11 Egli disse loro : « Chiunque manda via sua moglie e sposa un’altra donna commette adulterio con lei ».

12 Se una donna che ha mandato via il marito sposa un altro, diventa un’adultera. 13 Alcune persone presentarono dei bambini a Gesù perché imponesse loro le mani; ma i discepoli li allontanarono di corsa. 14 Quando Gesù vide questo, si arrabbiò e disse loro : « Lasciate che i bambini vengano a me; non ostacolateli, perché il regno di Dio appartiene a quelli come loro ». 15 « In verità io vi dico: chi non riceve il regno di Dio come un bambino, non vi entrerà ». 16 Li baciò, li benedisse e impose loro le mani ». (Mc 10,2-16)

Ciò che Dio ha unito, l’uomo non separi !

« È lecito per un uomo divorziare da sua moglie? (Mr 10, 2) Qual era la tentazione a cui i farisei volevano sottoporre Gesù ? La loro domanda generale doveva avere una risposta affermativa, poiché il divorzio era permesso dalla legge in certe circostanze e Gesù stesso lo aveva permesso in caso di adulterio.

Erano a conoscenza delle dichiarazioni di Gesù contro il divorzio e speravano di metterlo in contraddizione con la legge di Mosè e la loro tradizione. « Mosè permise di scrivere una lettera di divorzio e ripudio » (Mc 10,4). Secondo Matteo, Gesù rifiuta il divorzio, ricordando il disegno primitivo di Dio, che ha creato un uomo e una donna per diventare una sola cosa in un’unione indissolubile; e sono gli oppositori che si appellano alla legge di Mosè come obiezione al principio stabilito da Gesù, poiché questa legge autorizza il divorzio.

Secondo Marco, al contrario, fu Gesù che per primo si appellò alla legge ; e poiché questa legge sembrava favorevole ai farisei, Gesù ne spiegò la ragione, la durezza del cuore; poi spiegò la destinazione dell’uomo e della donna nel piano della creazione. La sostanza dell’insegnamento è rimasta la stessa, ma queste discrepanze nei resoconti di Matteo e Marco mostrano quanto fossero indipendenti l’uno dall’altro.

Gesù ha citato testualmente « li fece maschio e femmina » da Genesi 1, 27, il racconto della creazione dell’uomo e della donna, che segnò l’intenzione di Dio nella loro unione, e poi la parola di Adamo (Genesi 2, 24), che si appropriò e sancì con la sua autorità. Aggiunge, come conclusione : « Così non sono più due che possono essere separati, ma una sola carne, un solo essere » (Mt 19, 4-6)

Questa dichiarazione fa ancora parte del discorso ai farisei. Il Vangelo di Matteo menziona anche una domanda che i discepoli fecero a Gesù (senza indicare che era in casa), ma questa domanda riguardava l’opportunità del matrimonio (Matteo 19, 10-12).

In Marco il pensiero è molto diverso. Essa presupponeva una reciprocità e un’uguaglianza tra i due coniugi che non esisteva tra gli ebrei né nella legge né nella morale e che si trovava solo in Grecia e a Roma. Alcuni interpreti concludono che ha adattato il discorso riportato da Gesù a queste usanze straniere, o che Gesù ha voluto stabilire in anticipo una regola per la sua Chiesa.

Ma anche se una donna che allontanava il marito era inaudito tra gli ebrei, non era possibile che Gesù stesse alludendo a ciò che era appena successo nella famiglia di Erode ? L’uguaglianza della donna e dell’uomo davanti alla legge e davanti a Dio emergerà certamente dal Vangelo, ma in un modo del tutto sconosciuto nell’antichità. « Matteo, Marco e Luca registrano questa storia istruttiva e commovente, ma tutti e tre non hanno alcuna connessione apparente con ciò che precede e segue. Che potesse toccarli, può indicare in questi pii genitori il pensiero che, se solo quest’uomo di Dio toccasse i loro figli, ne risulterebbe una benedizione per loro.

Per ricevere il Vangelo che ci introduce ad esso e la vita dall’alto che è la sua essenza, dobbiamo aver recuperato, per opera della grazia divina, le caratteristiche che distinguono il piccolo bambino: il sentimento della sua debolezza, della sua assoluta dipendenza, l’umiltà, il candore. Il bambino non ha pregiudizi e quindi riceve con semplicità di cuore ciò che gli viene presentato come verità.

La tenerezza di Gesù per i piccoli e i deboli spiega perché era indignato contro i suoi discepoli che volevano tenerli lontani da lui.  Gesù li benedisse imponendo loro le mani.  Questo gesto non era un simbolo vano e vuoto, ma il mezzo con cui Gesù comunicava la benedizione. La benedizione divina è rimasta su questi bambini.

Diacono Michel Houyoux

Link ad altri siti web cristiani

◊ Scuola di Canto Gregoriano (Italia) : clicca qui per leggere l’articolo → ANNO LITURGICO ciclo B – Ventisettesima Domenica del Tempo Ordinario

◊Qumran : clicca qui per leggere l’articolo →  Testi – XXVII Domenica del Tempo Ordinario (Anno B

Omelia del Padre Fernando Armellini : « 27a Domenica del Tempo Ordinario anno B »

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