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Samedi de la vingt-huitième Semaine du Temps Ordinaire — Année Impaire

Posté par diaconos le 16 octobre 2021

L'Esprit Saint vous enseignera ce qu'il faudra dire 

 # Le péché contre l’Esprit, quelquefois appelé aussi blasphème contre l’Esprit saint, est un concept doctrinal chrétien issu d’une citation de Jésus commune aux trois évangiles synoptiques : « Mais quiconque aura parlé contre l’Esprit saint, cela ne lui sera remis ni en ce monde, ni dans l’autre. » (Mt 12, 31–32). Ce péché consiste pour l’essentiel à refuser la miséricorde de Dieu. Le Catéchisme de l’Église catholique affirme : « Il n’y a pas de limites à la miséricorde de Dieu, mais qui refuse délibérément d’accueillir la miséricorde de Dieu par le repentir rejette le pardon de ses péchés et le salut offert par l’Esprit Saint. Un tel endurcissement peut conduire à l’impénitence finale et à la perte éternelle. » Thomas d’Aquin parle d’un péché « irrémissible de par sa nature, parce qu’il exclut les éléments grâce auxquels est accordée la rémission des péchés ». Dans son encyclique Dominum et vivificantem sur l’Esprit saint, le pape Jean-Paul II a abordé cette question.

Le « blasphème » ne consiste pas exactement à offenser en paroles l’Esprit saint ; il consiste à refuser de recevoir le salut que Dieu offre à l’homme par l’Esprit saint agissant en vertu du sacrifice de la Croix. Si l’homme refuse la « manifestation du péché », qui vient de l’Esprit saint et qui a un caractère salvifique, il refuse en même temps la « venue » du Paraclet, en union avec la puissance rédemptrice du Sang du Christ, le Sang qui « purifie la conscience des œuvres mortes ». Le fruit d’une telle purification est la rémission des péchés. En conséquence, celui qui refuse l’Esprit et le Sang demeure dans les « œuvres mortes », dans le péché. Le blasphème contre l’Esprit saint est le péché commis par celui qui revendique le « droit » de persévérer dans le mal — dans le péché quel qu’il soit — et refuse par là même la Rédemption. L’homme reste enfermé dans le péché, rendant donc impossible, pour sa part, sa conversion et aussi, par conséquent, la rémission des péchés, qu’il ne juge pas essentielle ni importante pour sa vie.

Le péché contre le Saint Esprit est lié à la perte du sens du péché, évoqué dans l’Exhortation apostolique Reconciliatio et paenitentia8. C’est le refus de la « mise en évidence du péché » par l’Esprit saint qui est constitutif du péché contre l’Esprit. Paraclet, du latin paracletus, est un néologisme forgé par Jérôme de Stridon dans la traduction en latin de l’Évangile de Jean. Appliqué à l’Esprit saint, ce mot a le sens de « défenseur », d’« intercesseur », de « consolateur ». Jésus, lorsqu’il annonça et promit la venue de l’Esprit Saint, le nomma le « Paraclet », Jésus appela l’Esprit Saint « l’Esprit de Vérité » (Jn 16, 13). Tout péché et tout blasphème sera pardonné aux hommes, mais le blasphème contre l’Esprit ne sera pas pardonné. Quiconque parlera contre le Fils de l’homme, il lui sera pardonné ; mais quiconque parlera contre le Saint-Esprit, il ne lui sera pardonné ni dans ce siècle ni dans le siècle à venir.».

De l’évangile selon Luc

08 Je vous le dis : Quiconque se sera déclaré pour moi devant les hommes, le Fils de l’homme aussi se déclarera pour lui devant les anges de Dieu. 09 Mais celui qui m’aura renié en face des hommes sera renié à son tour en face des anges de Dieu. 10 Quiconque dira une parole contre le Fils de l’homme, cela lui sera pardonné ; mais si quelqu’un blasphème contre l’Esprit Saint, cela ne lui sera pas pardonné.

11 Quand on vous traduira devant les gens des synagogues, les magistrats et les autorités, ne vous inquiétez pas de la façon dont vous vous défendrez ni de ce que vous direz. 12 Car l’Esprit Saint vous enseignera à cette heure-là ce qu’il faudra dire. » » (Lc 12, 8-12)

Quiconque dira une parole contre le fils de l’homme, il lui sera pardonné

Dans les évangiles selon Matthieu et Luc, Jésus opposa à la crainte des hommes une courageuse confession de son nom. C’est cette crainte qui paralyse le cœur et les lèvres, quand il s’agit de se déclarer pour lui et pour sa cause. Matthieu dit :  » devant mon Père qui est aux cieux », parce qu’il s’agit du jugement éternel, auquel les anges prendront part. D’après Luc, Jésus ne dit pas qu’il reniera lui-même celui qui l’aura renié. Aujourd’hui encore en Orient on vend cinq petits passereaux pour deux sous.

Matthieu parla de deux passereaux qui se vendirent un sou. « Quiconque dira une parole contre le fils de l’homme, il lui sera pardonné ; mais à celui qui aura blasphémé contre le Saint-Esprit, il ne lui sera point pardonné. » (Lc 12, 10). Ce ne fut pas à ses disciples que Jésus adressa cet avertissement, mais à ses adversaires. Le reniement du nom de Christ peut conduire jusqu’au blasphème contre le Saint-Esprit. Matthieu et Marc assignèrent sa vraie place à cette sévère déclaration que Jésus dirigea contre ceux qui attribuèrent ses miracles au démon.

D’après Luc, cette même accusation fut formulée dans des circonstances différentes. Les synagogues sont les tribunaux juifs, les magistrats les juridictions païennes ; enfin, les autorités est un terme générique, désignant les divers pouvoirs devant lesquels les disciples pourront être traduits. Les paroles par lesquelles Jésus voulut rassurer ses disciples signifient littéralement : « Ne soyez point en peine comment ou de quoi vous ferez votre apologie, ou de quoi vous parlerez». Dans Matthieu, ces paroles font partie des instructions données aux apôtres envoyés en mission. C’est certainement là leur place naturelle et première.

Diacre Michel Houyoux

Liens avec d’autres sites web chrétiens

◊ Père Gilbert Adam : cliquez ici pour lire l’article → Le samedi 16 octobre 2021 ♦ Sainte Marguerite-Marie

◊  Christus Vivit : cliquez ici pour lire l’article →   Quel est le secret d’une vie chrétienne fructueuse

 Pasteure Béatrice Cléro-Mazire  : « Jésus et la maison de l’homme fort.« 

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Neunundzwanzigster Sonntag der gewöhnlichen Zeit im Jahr B

Posté par diaconos le 16 octobre 2021

Whoever wants to be great must be a servant

 

Wer der Erste unter euch sein will, wird der Sklave aller sein

# Das Ritual der katholischen Taufe ist das erste der drei Sakramente der christlichen Initiation, zusammen mit der Eucharistie (Kommunion) und der Firmung. Für Menschen in einem vernünftigen Alter (Kinder und Erwachsene) geht der Taufe eine Vorbereitungszeit voraus, die Katechumenat genannt wird und in der der zukünftige Täufling, der Katechumene, den Glauben entdeckt, für den er oder sie die Taufe erbittet. Bei Kleinkindern durchlaufen die Eltern eine Vorbereitung auf die Taufe, die ihnen hilft, die Bedeutung dieses Sakraments zu verstehen. Für Erwachsene findet die eigentliche Taufe oft in der Osternacht statt.

Eine Taufe, die sich auf das Ausgießen von Wasser mit der Taufformel beschränkt, ohne eine der anderen ergänzenden Formen, wird als « Nicht-Taufe » bezeichnet. Sie ist häufig Notfällen (Lebensgefahr) vorbehalten. Auch wenn sie kanonisch gültig ist, sollte sie durch die anderen Zeremonien im Anschluss daran ergänzt werden, wenn genügend Zeit zur Verfügung steht. Traditionell wurden in Frankreich in der Neuzeit die Kinder der königlichen Familie und der Blutprinzen bei der Geburt unbefleckt und somit als Säuglinge getauft.

Bluttaufe Die katholische Kirche kennt die Idee der Märtyrertaufe, auch bekannt als « Bluttaufe ». Jemand, der nicht mit Wasser getauft wurde, aber für seine christliche Überzeugung gestorben ist, gilt als getauft, ohne das Sakrament empfangen zu haben. Die « implizite Taufe des Verlangens » beruht auf der Vorstellung, dass man davon ausgehen kann, dass jemand, der aufrichtig, großzügig und echt ist, die Taufe mit Sicherheit angenommen hätte und somit gerettet wäre, wenn er oder sie Christus und das Evangelium gekannt hätte.

Die Verpflichtung zur Taufe wird also aufrechterhalten, aber in Wirklichkeit ist es eine Anerkennung, dass das Heil nicht durch die Ausführung eines Ritus, sondern durch die innere Haltung gewährleistet wird : Die implizite Heilstaufe ermöglicht es Millionen oder sogar Milliarden von Menschen, die manche für ewig verdammt hielten, sich im Jenseits in der gleichen Situation wie die Getauften wiederzufinden, getauft, ohne es zu wissen.

Die Ausdehnung des Begriffs der Taufe des Begehrens und damit der impliziten Taufe des Begehrens bedeutet einen Bruch mit der Theologie des heiligen Augustinus mit der Idee eines Heils, das von Christus der ganzen Menschheit in Zeit und Raum zugänglich gemacht wird und nicht nur den Getauften, obwohl diese Idee von Anfang an in der Kirche vorhanden war, da die Theorien des heiligen Augustinus kein Dogma der katholischen Kirche darstellen und nie in die orthodoxen Kirchen aufgenommen wurden. Durch die Taufe werden alle Sünden vergeben, die Erbsünde und alle persönlichen Sünden, sowie alle Strafen, die aus der Sünde resultieren.

 Für den Getauften bleiben jedoch einige vorübergehende Folgen der Sünde bestehen, wie Leiden, Krankheit, Tod oder die dem Leben innewohnenden Schwächen wie Charakterschwächen sowie die Neigung zur Sünde, die die Tradition Konkupiszenz nennt.

Aus dem Evangelium nach Markus

35 Jakobus und Johannes, die Söhne des Zebedäus, kamen zu Jesus und sagten zu ihm : « Meister, was wir dich jetzt bitten wollen, das möchtest du für uns tun. » 36 Er sprach zu ihnen : « Was wollt ihr, dass ich für euch tue ?  » 37 Sie antworteten ihm : « Gib uns einen Platz, einen zu deiner Rechten und einen zu deiner Linken, in deiner Herrlichkeit. « 

38 Jesus spricht zu ihnen : « Ihr wißt nicht, was ihr bittet. Kannst du den Kelch trinken, den ich gleich trinken werde, dich mit der Taufe taufen lassen, in die ich gleich eingetaucht werde ?  » 39 Sie antworteten ihm : « Wir können. » Jesus spricht zu ihnen : « Den Kelch, den ich trinken werde, sollt ihr trinken und mit der Taufe getauft werden, mit der ich untergetaucht werden werde. »

40 Was das Sitzen zu meiner Rechten oder zu meiner Linken angeht, so ist es nicht an mir, es zu gewähren; es gibt welche, denen es bereitet ist. 43 Aber bei euch soll es nicht so sein. Derjenige, der unter euch groß sein wird, soll euer Diener sein. 44 Wer unter euch der Erste sein will, soll aller Sklaven sein; 45 denn des Menschen Sohn ist nicht gekommen, dass er sich dienen lasse, sondern dass er diene und sein Leben gebe als Lösegeld für viele. (Mk 10, 35-45)

Der Ehrgeiz der Jünger

Und Jakobus und Johannes, die Söhne des Zebedäus, kamen zu ihm und sagten : « Meister, wir wollen, dass du alles tust, was wir von dir verlangen. » Nach der Prophezeiung, die Jesus ihnen gemacht hatte, schien die Annäherung von Jakobus und Johannes unverständlich, wäre sie nicht ein Beweis dafür, dass selbst die intelligentesten Jünger diese Prophezeiung nicht verstanden hatten.

Trotz aller schmerzlichen Aussichten, die Jesus ihnen gab, hatten die Jünger keinen Zweifel daran, dass er in naher Zukunft das Haupt eines Reiches sein würde, und zwar eines herrlichen Reiches. Was die falschen Vorstellungen angeht, die sie hatten, so war nichts besser geeignet, sie zu zerstreuen, als die Anweisungen, die Jesus ihnen gab.

Von diesen beiden Bildern des Leidens Christi, dem Kelch und der Taufe, ist bei Matthäus nur das erste authentisch. Wenn der Kelch in der Symbolsprache der Heiligen Schrift das Maß des Guten oder Bösen ist, das für jeden Menschen bestimmt ist, dann ist die Taufe ein noch allgemeineres und tieferes Bild für das Leiden, in das man in seiner Gesamtheit eingetaucht werden muss, entsprechend der etymologischen Bedeutung des Wortes.

 Von diesen beiden Bildern des Leidens Christi, dem Kelch und der Taufe, ist bei Matthäus nur das erste authentisch. Wenn der Kelch in der Symbolsprache der Heiligen Schrift das Maß für das Gute oder das Böse ist, das für jeden Menschen bestimmt ist, dann ist die Taufe ein noch allgemeineres und tieferes Bild für das Leiden, in das wir in seiner Gesamtheit eingetaucht werden müssen, entsprechend der etymologischen Bedeutung des Wortes.

Jesus zeigte den beiden Jüngern den Weg zur Herrlichkeit und fragte sie : « Könnt ihr mir dorthin folgen ?  »Außerdem sah er den Moment des Leidens bereits gekommen; und Markus macht es, wie es seine Gewohnheit ist, spürbar : den Kelch trinke ich, die Taufe nehme ich an. Bei Matthäus war es die Mutter von Jakobus und Johannes, Salome, die als erste diese Bitte im Namen ihrer Söhne an Jesus richtete, während es nach Markus die beiden Jünger selbst waren, die dies taten.

Matthäus fügt hinzu : von meinem Vater; Markus hat denselben Gedanken. Nur Gott bereitet eine Seele auf die hohe Bestimmung vor, nach der die beiden Jünger strebten. Um den Stolz seiner Jünger zu zügeln, stellte Jesus den Geist seines Reiches dem gegenüber, was in den Königreichen dieser Welt geschieht. Dazu benutzte er sehr bedeutungsvolle Worte. Erstens sagte er über die Fürsten dieser Welt, die meinten, sie würden herrschen oder herrschen wollen oder sich einbildeten, sie würden herrschen.

Was hat Jesus damit gemeint? Einigen Auslegern zufolge würde dies bedeuten, dass diese Herrscher vor allem daran dachten, ihre Autorität zu etablieren und zu behaupten, eine Autorität, die von den Menschen anerkannt wurde. Andere würden Jesus sagen lassen, dass diese mächtigen Menschen auf der Erde große Macht auszuüben schienen, während sie selbst Sklaven ihrer Leidenschaften waren. Sie wähnten sich zwar als oberste Macht, befanden sich aber in absoluter Abhängigkeit von Gott, durch den die Könige regierten ?

  »Diejenigen, die sich einbilden, das Volk zu beherrschen, tyrannisieren es, und die Großen unterdrücken es. » Als Jesus in Jericho ankam und mit einer großen Menschenmenge die Stadt verließ, begann ein Blinder namens Bartimäus zu schreien: « Sohn Davids, erbarme dich meiner! Als sie versuchten, ihn davon abzuhalten, Jesus zu stören, schrie er noch lauter: « Habt Mitleid mit mir!

Jesus blieb stehen und rief den Blinden, der schnell aufstand, seinen Mantel auszog und zu Jesus lief. « Was soll ich mit dir machen ? «  Jesus fragte ihn. « Rabbouni, lass mich noch einmal sehen. » Jesus sagte zu ihm : « Geh, dein Glaube hat dich gerettet. » Und alsbald erlangte er sein Augenlicht wieder und folgte Jesus nach.

Diakon Michel Houyoux

 

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◊ Steyler  : kliken Sie hier, um den Artikel zu lesen →    29 onntag im Jahreskreis (B)

◊  Kirchenbote  : kliken Sie hier, um den Artikel zu lesen →  Wer der Erste sein will, soll Sklave aller sein

Predigt : « Thema: Von der Kraft des Glaubens »

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