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Ne crains pas le Seigneur ton Dieu

Posté par diaconos le 1 novembre 2021

Art 1736 : " Qui s'élève sera abaissé ; qui s'abaisse sera élevé. " - Ce  blog " Nos années collège", retrouve l'...

Michel Houyoux

# Le psaume 23 décrit Dieu comme un berger nourrissant et menant son troupeau. La houlette et le bâton sont également des instruments du berger. Certains commentateurs voient la métaphore du berger dans tout le psaume : Tu dresses devant moi une table ferait référence à une tradition ancienne des bergers orientaux d’utiliser de petites tables pour nourrir les moutons. De même, Tu parfumes d’huile ma tête peut faire référence à un ancien onguent appliqué sur les plaies pour repousser les mouches. MacMillan nota que le bien et la bonté lui rappellent les deux chiens de berger venant derrière le troupeau. .Une longue tradition attribue ce psaume au Roi David qui a été selon les Écrits Hébraïques lui-même berger dans sa jeunesse.

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Le Psaume 23 est habituellement chanté par les Juifs en hébreu pendant le troisième repas du Chabbat, le samedi midi. Il est également chanté pendant le Yizkor. Les Séfarades et certains Juifs hassidiques le chantent aussi pendant la célébration du vendredi après-midi, soir du Sabbath et pendant les repas. Il est lu lors des funérailles. Le texte standard en hébreu du judaïsme est le texte massorétique qui a été fixé entre le VIIe siècle et Xe siècle.
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Pour les chrétiens, l’image de Dieu comme berger renvoie non seulement à David mais également à Jésus décrit comme le Bon Berger dans l’évangile selon Jean. La référence à la vallée de la mort est souvent vue comme une allusion à la vie éternelle promise par Jésus. Les Orthodoxes incluent ce psaume dans les prières de préparation à l’Eucharistie.
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Dans les monastères, ce psaume était hebdomadairement exécuté lors de l’office de matines du dimanche, depuis la règle de saint Benoît fixée vers 530 et qui attribuait les psaumes 21 à 109 aux matines, par ordre numérique. Les protestants ont grandement poussé à rendre la Bible disponible dans les langues vernaculaires. La version du psaume la plus courante en anglais est celle de la Bible du roi Jacques (1611). Certaines églises chrétiennes utilisent le Psaume 23 lors des funérailles ; par exemple, le Livre de la prière commune place ce psaume dans les funérailles anglicanes.
 Post de Richard Rouleau
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Abbé Paul de l’Église Sainte Martine (Québec, Canada)

Du Livre du Deutéronome

« Tu craindras le Seigneur ton Dieu. Tous les jours de ta vie, toi, ainsi que ton fils et le fils de ton fils, tu observeras tous ses décrets et ses commandements, que je te prescris aujourd’hui, et tu auras longue vie. Écoute, Israël : le Seigneur notre Dieu est l’Unique. Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme et de toute ta force. Ces paroles que je te donne aujourd’hui resteront dans ton cœur. »

Jusque-là, un grand nombre de prêtres se sont succédé parce que la mort les empêchait de rester en fonction. Jésus lui, parce qu’il demeure pour l’éternité, possède un sacerdoce qui ne passe pas. C’est pourquoi il est capable de sauver d’une manière définitive ceux qui par lui s’avancent vers Dieu, car il est toujours vivant pour intercéder en leur faveur.

C’est bien le grand prêtre qu’il nous fallait : saint, innocent, immaculé ; séparé maintenant des pécheurs, il est désormais plus haut que les cieux. Il n’a pas besoin, comme les autres grands prêtres, d’offrir chaque jour des sacrifices, d’abord pour ses péchés personnels, puis pour ceux du peuple ; cela, il l’a fait une fois pour toutes en s’offrant lui-même.

La loi de Moïse établit comme grands prêtres des hommes remplis de faiblesse ; mais la parole du serment divin, qui vient après la Loi, établit comme grand prêtre le Fils, conduit pour l’éternité à sa perfection. » (Dt 6, 2, 6)

De l’Évangile de Jésus-Christ selon saint Marc

En ce temps-là, un scribe s’avança pour demander à Jésus : « Quel est le premier de tous les commandements ? » Jésus lui fit cette réponse : « Voici le premier : ‘Écoute, Israël : le Seigneur notre Dieu est l’unique Seigneur. Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme, de tout ton esprit et de toute ta force.’

Et voici le second : ‘Tu aimeras ton prochain comme toi-même.’ Il n’y a pas de commandement plus grand que ceux-là. » Le scribe reprit : « Fort bien, Maître, tu as dit vrai : Dieu est l’Unique et il n’y en a pas d’autre que lui. L’aimer de tout son cœur, de toute son intelligence, de toute sa force, et aimer son prochain comme soi-même, vaut mieux que toute offrande d’holocaustes et de sacrifices. « 

Jésus, voyant qu’il fit une remarque judicieuse, lui dit : « Tu n’es pas loin du royaume de Dieu. » Et personne n’osa plus l’interroger.

L’Abbé Paul dit avoir un lien privilégié, réservé avec le Seigneur

Paul est-ce que tu m’aimes ? Paul dit qu’il aimait sa mère en premier lieu. Le Seigneur veut plus que cela : « Totalement » Dieu est l’Unique et il y en a pas d’autre que lui. Parce qu’il nous aime et nous l’aimons de tout notre coeur, de toute notre âme, de tout notre esprit et de toute notre force.

Le fait de la croyance en la Spirituelle de Dieu , le premier servi, le prochain comme toi-même. Je fais mon prochain comme je veux moi-même ! Voici ce qui en ait ! le centre du chrétien !

Lettre 36, à la reine Jeanne de Naples

« Tu aimeras le Seigneur de tout ton cœur, de toute ton âme, de toute ta force »

Glorieuse et très chère Mère, madame la Reine, votre indigne Catherine, la servante et l’esclave des serviteurs de Jésus Christ, vous écrit dans son précieux sang, avec le désir de vous voir la vraie fille et l’épouse choisie de Dieu.

Je vous supplie instamment au nom du Christ Jésus de consacrer tout votre cœur, toute votre âme, toutes vos forces à aimer et servir ce doux et cher Père, cet Époux qui est Dieu, la Vérité suprême, éternelle, qui nous a tant aimés sans être aimé. Oui, qu’aucune créature ne résiste, quel que soit son rang, sa grandeur, sa puissance : toutes les gloires du monde ne sont-elles pas vaines ; ne passent-elles pas comme le vent ?

Qu’aucune créature ne s’éloigne de ce véritable amour, qui est la gloire, la vie, le bonheur de l’âme ; et alors nous montrerons que nous sommes des épouses fidèles. Et aussi, quand l’âme n’aime que son Créateur, elle ne désire rien hors de lui. Ce qu’elle aime, ce qu’elle fait, c’est pour lui, et tout ce qu’elle voit on dehors de sa volonté, comme les vices, les péchés, les injustices, elle le déteste ; et la sainte haine qu’elle a conçue contre le péché est si forte, qu’elle aimerait mieux mourir que de violer la foi qu’elle doit à son éternel Époux.

Soyons, soyons fidèles, en suivant les traces de Jésus crucifié, en détestant le vice, en embrassant la vertu, en faisant de grandes choses pour lui. Je suis l’épouse de celui les Anges servira en tremblant toute l’éternité. La lune et le soleil disent ses louanges, admirer sa beauté. Il a orné ma main de perles sans pareil, il a orné mon cou de colliers coûteux. Les riches diamants que nous voyons dans mes oreilles sont un don du Christ.

Il a déjà placé son signe sur mon visage, afin qu’aucun amant n’ose m’approcher. Je me sens soutenu par la grâce divine de mon Aimable Roi. Avec son sang précieux mes joues se colorent, je crois que j’ai déjà goûté aux délices du Ciel, parce que je peux recueillir sur ses lèvres sacrées et du lait et du miel. Alors je ne crains rien, ni fer ni flamme, non, rien ne peut troubler ma paix ineffable.

Et le feu de l’amour qui consume mon âme ne s’éteindra jamais ! Quand j’aime le Christ et quand je le touche, mon cœur devient plus pur, je suis encore plus chaste.La virginité embrasse sa bouche m’a donné le trésor. Il m’a tout orné de pierres précieuses, brille déjà à mon doigt sa bague nuptiale. Il a daigné couvrir de perles lumineuses mon manteau vierge. Son empire est le Ciel, sa nature est divine ; la Vierge Immaculée pour Mère Il se choisit, son Père est le vrai Dieu qui n’a pas d’origine, C’est un pur Esprit.

Le Christ est mon Amour, Il est toute ma vie, C’est le Fiancé qui seul ravit mes yeux. Alors je peux déjà entendre sa douce harmonie les sons mélodieux. Sainte Thérèse de l’Enfant Jésus et de la Sainte Face. Que la paix soit avec toi ! Qui que vous soyez !Que le Seigneur vous bénisse et vous garde ! Que le Seigneur fasse briller son visage sur toi et te fasse grâce ! Que le Seigneur tourne son visage vers toi et te donne sa paix ! Amen !

Mon cœur est soutenu par la divine grâce. De mon aimable Roi. De son sang précieux mes joues sont colorées. Je crois goûter déjà les délices du ciel ! Car je puis recueillir sur ses lèvres sacrées. Aussi je ne crains rien, ni le fer, ni la flamme, non, rien ne peut troubler mon ineffable paix. Et le feu de l’amour qui consume mon âme ne s’éteindra jamais. Aussi je ne crains rien, ni le fer, ni la flamme, non, rien ne peut troubler mon ineffable paix

Contact Richard Rouleau

Lectio Divina : « Ne vous faites pas de souci pour demain »

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Trente-deuxième dimanche du Temps Ordinaire — Année B

Posté par diaconos le 1 novembre 2021

Marc 12 38 44aw

De l’évangile selon Marc

38 Dans son enseignement, il disait : « Méfiez-vous des scribes, qui tiennent à se promener en vêtements d’apparat et qui aiment les salutations sur les places publiques, 39 les sièges d’honneur dans les synagogues, et les places d’honneur dans les dîners. 40 Ils dévorent les biens des veuves et, pour l’apparence, ils font de longues prières : ils seront d’autant plus sévèrement jugés. »

41 Jésus s’était assis dans le Temple en face de la salle du trésor, et regardait comment la foule y mettait de l’argent. Beaucoup de riches y mettaient de grosses sommes. 42 Une pauvre veuve s’avança et mit deux petites pièces de monnaie. 43 Jésus appela ses disciples et leur déclara : « Amen, je vous le dis : cette pauvre veuve a mis dans le Trésor plus que tous les autres. 44 Car tous, ils ont pris sur leur superflu, mais elle, elle a pris sur son indigence : elle a mis tout ce qu’elle possédait, tout ce qu’elle avait pour vivre. » (Mc 12, 38-44)

 La pite de la veuve

De longues robes auxquelles tenaient tant les scribes, ces salutations qu’ils recherchaient dans les places publiques, étaient chez eux le signe certain de la vanité qu’ils tiraient de leur rang, de leur profession, de leur secte. Le fait qu’ils prétendaient aux premiers sièges dans les synagogues, aussi bien qu’aux premières places dans les festins, dénotait cet orgueil qui voulut briller et dominer dans les cérémonies religieuses comme dans la vie civile.

En raison de l’amphibologie qui s’attacherait au terme de manger, Jésus fit allusion aux repas somptueux que les pharisiens se faisaient servir chez ces femmes, en remplissant auprès d’elles l’office de directeurs de conscience. Ils étaient les Tartufes de l’époque.

 Jésus, assis vis-à-vis du trésor, observa ce que les gens y mettaient. Il vit une pauvre veuve qui donna deux pites (des pièces de monnaie de peu de valeur). Il appela à lui ses disciples et leur déclara que cette femme, qui mit dans le tronc tout ce qu’elle avait pour vivre, donna plus que les autres qui y mirent leur superflu.

Le trésor du temple se trouvait dans le parvis des femmes et consistait, selon les rabbins, en treize coffres ou troncs, auxquels on donnait le nom de trompettes à cause de leur forme semblable à cet instrument. Le premier établissement de ce trésor est mentionné dans 2 Rois 12.9. C’est là qu’on déposait les offrandes volontaires pour le temple et le culte.

Jésus, assis dans cette dépendance du temple, regardait avec attention, contemplait. Ce regard ne s’arrêtait pas à la main qui donnait, mais pénétrait jusqu’au cœur.

 La pauvre veuve avait réellement mis dans le trésor plus que tous les autres, toutes proportions gardées ; car leur offrande était prise dans le superflu, tandis que la sienne provenait d’une pauvreté que Marc s’efforça de faire sentir par trois expressions différentes : de son indigence, de son déficit, de son manque, tout ce qu’elle avait, toute sa subsistance.

Ce qui constitua la supériorité de son offrande sur celles des autres, ce furent ses motifs, dont Jésus pénétra la valeur morale. Elle ne fit pas une aumône, mais un don pour le culte divin, inspiré uniquement par l’amour pour Dieu, à qui elle donna ainsi son cœur et sa vie.Son amour, sa confiance sans bornes en Dieu, à qui elle remit le soin d’un avenir absolument destitué de tout.

Diacre Michel Houyoux

Complément

◊ Diacre Michel Houyoux : cliquez ici pour lire l’article → Cette pauvre veuve a mis dans le Trésor plus que tous les autres

Liens avec d’autres sites chrétiens

◊ Père Gilbert Adam : cliquez ici pour lire l’article →  32e dimanche du temps ordinaire, année B

◊ Service de la catéchèse (Toulon) : cliquez ici pour lire l’article → Trente-deuxième dimanche Ordinaire, année B

Monseigneur Cattenoz : « Cette pauvre veuve a mis dans le Trésor plus que tous les autres »

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