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Lunedì della trentaduesima settimana del Tempo Ordinario – Anno B

Posté par diaconos le 8 novembre 2021

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l perdono può essere inteso in modi diversi a seconda del contesto: religioso, filosofico, psicologico, sociale o politico. Nel senso biblico, il termine perdonare ha due aspetti e contesti: Un’azione divina; il perdono di Dio di un uomo o di uomini. Dio annulla o mette da parte la punizione per il peccato. Lo esprime o attraverso la mediazione di un prescelto ordinato o attraverso una manifestazione divina; un’azione umana di perdono. Gli uomini si trattano con amore cristiano perdonandosi a vicenda le loro colpe.

Poi cancellano i cattivi sentimenti verso coloro che li hanno offesi (Mt 5,43-45; 6,12-15 ; Lc 17,3-4). Il perdono è molto importante nel cristianesimo, ma è sempre usato per il bene spirituale della persona. Il perdono ha giocato un ruolo importante nel processo di riconciliazione tra neri e bianchi dopo la fine dell’apartheid in Sudafrica.

Entrambe le parti hanno dovuto perdonare le violenze commesse. Il perdono è stato reso possibile attraverso l’istituzione di una Commissione per la verità e la riconciliazione per ricostruire i legami sociali che erano stati recisi in quei tempi difficili. L’arcivescovo anglicano Desmond Tutu, premio Nobel per la pace e autore di una teologia della riconciliazione basata sul concetto africano di ubuntu, ha avuto un ruolo di primo piano in questo processo, essendo il presidente di questa commissione.

Dal Vangelo di Luca

01 Gesù disse ai suoi discepoli : « È inevitabile che ci siano scandali, che ci siano occasioni d’inciampo; ma guai a colui attraverso il quale ciò avviene! 02 È meglio che gli sia legata al collo una macina da mulino e sia gettato nel mare, piuttosto che sia occasione d’inciampo per qualcuno dei piccoli. 03 Fate attenzione a voi stessi ! Se il tuo fratello ha peccato, rimproveralo severamente, e se si pente, perdonalo. 04 Anche se pecca contro di te sette volte al giorno, e sette volte di seguito torna da te dicendo : ‘Mi pento’, tu lo perdonerai ».

05 Gli apostoli dissero al Signore : « Accresci la nostra fede ! » 06 Il Signore rispose: « Se tu avessi fede, grande come un granello di senape, avresti detto a questo albero: « Sradicati e vai a piantarti nel mare, e ti avrebbe obbedito ». (Lc 17,1-6)

Perdona tuo fratello

 Scandali È impossibile che non accadano. Guai a chi lo fa! Abbiate cura di voi !  Perdono delle offese Se tuo fratello pecca contro di te, rimproveralo e perdonalo anche per offese ripetute. Il potere della fede Di fronte a un tale obbligo, gli apostoli chiesero a Gesù di aumentare la loro fede. Gesù rispose che basta avere una fede grande come un granello di senape per trapiantare un gelso nel mare.  « Abbiate cura di voi stessi! Se il tuo fratello pecca, rimproveralo; e se si pente, perdonalo. (Lc 17,3) Questa esortazione alla vigilanza appartiene a quanto detto sopra: Poiché lo scandalo è inevitabile nel mondo, voi, miei discepoli, fate attenzione a non farlo nascere !

Perché in nessun luogo le nostre relazioni sono più difficili che con coloro che peccano e ci offendono. l dovere di perdonare le offese, che è un atto di vera carità, non ha limiti, perché la carità non ha limiti. Non dobbiamo fermarci alla supposizione iperbolica di un uomo così privo di carattere morale da offendere un altro uomo sette volte al giorno e chiedere perdono. Dobbiamo semplicemente ricordare questa verità, che la carità perdona sempre. Gli apostoli presero sul serio il dovere che Gesù prescriveva loro, ma lo trovarono impossibile da compiere.

Da qui la loro preghiera : « Accresci la nostra fede ». Erano abbastanza illuminati per sentire che una fede più potente della loro, che cambiava i loro cuori ed era operativa attraverso la carità, li rendeva capaci di perdonare, di perdonare sempre. Faresti ciò che sembra assolutamente impossibile, perché la fede si impadronisce della potenza stessa di Dio. E anche il minimo grado di questa vera fede vi darebbe questo potere. Gesù presumeva che i discepoli avessero abbastanza fede, che dovevano usarla; non importava se la loro fede era grande o piccola; se era come un granello di senape, dovevano solo usarla e avrebbero fatto meraviglie.

Diacono Michel Houyoux

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◊  Sacro cuoreboli (Italia)  : clicca qui per leggere l’articolo →Lunedì della Trentaduesima Settimana del Tempo Ordinario

◊ Chiesa di Milano   : clicca qui per leggere l’articolo →  Lunedì della XXXII settimana del Tempo Ordinario

PADRE PIO PERDONA I FRATELLI

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Lundi de la trente-deuxième semaine du Temps Ordinaire — Année B

Posté par diaconos le 8 novembre 2021

Si sept fois par jour ton frère revient à toi en disant : “Je me repens”, tu lui pardonneras

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Michel Houyoux

Michel Houyoux  Professeur de sciences du secondaire à Mons chez Collège saint Stanislas à Mons

Le pardon est le résultat de l’acte de pardonner, la rémission d’une faute. C’est tenir une offense, une faute, pour nulle (ou l’excuser) et renoncer soit – au plan personnel – à en tirer vengeance, soit – au plan institutionnel – à poursuivre et à punir les responsables. Le pardon ne doit pas cependant être confondu avec l’amnistie qui est une simple dispense de peine.

Le pardon peut s’entendre de manière différente selon le contexte : religieux, philosophique, psychologique, social ou politique. Au sens biblique, le terme pardonner revêt deux volets et contextes : Une action divine ; le pardon de Dieu, à un ou des hommes. Dieu annule ou écarte un châtiment pour le péché. Il l’exprime soit par médiation d’un élu ordonné, soit par manifestation divine ; Une action humaine de pardon. Des hommes se traitent avec un amour chrétien en se pardonnant leur fautes.
Ils effacent alors les mauvais sentiments à l’égard de ceux qui les ont offensés (Mt 5, 43–45 ; 6, 12–15 ; Lc 17, 3–4). Le pardon est très important dans le christianisme, mais est toujours mis au service du bien spirituel de la personne[réf. souhaitée]. Dans l’évangile, on voit souvent le Christ pardonner les péchés Le pardon a joué un grand rôle dans le processus de réconciliation entre les Noirs et les Blancs qui a suivi la fin de l’apartheid en Afrique du Sud.
Les uns et les autres devaient pardonner les violences commises. Le pardon a été possible grâce à la mise en place d’une Commission de la vérité et de réconciliation, afin de reconstruire les liens sociaux qui avaient été coupés dans ces périodes troubles. L’archevêque anglican MgrDesmond Tutu, prix Nobel de la paix, et auteur d’une théologie de la réconciliation s’appuyant notamment sur le concept africain d’ubuntu, y a joué un rôle de tout premier plan, puisqu’il a été président de cette com

De l’évangile selon Luc

01 Jésus disait à ses disciples : « Il est inévitable que surviennent des scandales, des occasions de chute ; mais malheureux celui par qui cela arrive ! 02 Il vaut mieux qu’on lui attache au cou une meule en pierre et qu’on le précipite à la mer, plutôt qu’il ne soit une occasion de chute pour un seul des petits que voilà.

03 Prenez garde à vous-mêmes ! Si ton frère a commis un péché, fais-lui de vifs reproches, et, s’il se repent, pardonne-lui. 04 Même si sept fois par jour il commet un péché contre toi, et que sept fois de suite il revienne à toi en disant : “Je me repens”, tu lui pardonneras. »

05 Les Apôtres dirent au Seigneur : « Augmente en nous la foi ! » 06 Le Seigneur répondit : « Si vous aviez de la foi, gros comme une graine de moutarde, vous auriez dit à l’arbre que voici : “Déracine-toi et va te planter dans la mer”, et il vous aurait obéi.» (Lc 17, 1-6)

Pardonne à ton frère

Les scandales  Il est impossible qu’ils ne se produisent. Malheur à qui en est l’auteur ! Prenez garde à vous !

Le pardon des offenses  Si ton frère pèche contre toi, reprends-le et pardonne-lui même des offenses réitérées.

La puissance de la foi  En face d’une telle obligation, les apôtres demandèrent à Jésus de leur augmenter la foi. Jésus répondit qu’il suffit d’en avoir gros comme un grain de sénevé pour transplanter un mûrier dans la mer.

 » Prenez garde à vous-mêmes ! Si ton frère pèche, reprends-le ; et s’il se repent, pardonne-lui.  » (Lc 17.3) Cette exhortation à la vigilance appartient à ce qui précède : Puisque le scandale est inévitable dans le monde, vous, mes disciples, prenez garde d’y donner lieu ! Car nulle part nos relations ne sont plus difficiles qu’avec ceux qui pèchent et qui nous offensent.

Le devoir du pardon des offenses, qui est un acte de la vraie charité, n’a pas de limites, parce que la charité n’en a pas. Il ne faut pas s’arrêter à cette supposition hyperbolique d’un homme assez dénué de caractère moral pour offenser un autre homme sept fois le jour et en demander le pardon. Il faut simplement retenir cette vérité, que la charité pardonne toujours.

Les apôtres prirent au sérieux le devoir que Jésus leur prescrivit ; mais ce devoir leur parut impossible à remplir. De là leur prière : « Augmente-nous la foi. » Ils furent assez éclairés pour sentir qu’une foi plus puissante que la leur, qui changea le cœur et qui fut opérante par la charité, les rendirent capables de pardonner, de pardonner toujours.

Vous feriez ce qui semble absolument impossible ; car la foi s’empare de la puissance même de Dieu . Et même le moindre degré de cette vraie foi vous donnerait ce pouvoir.

Jésus supposa que les disciples eurent assez de foi, qu’ils durent la mettre en œuvre ; peu importe que leur foi fut grande ou petite ; fût-elle comme un grain de sénevé, ils n’eurent qu’à se servir d’elle et ils accompliront des prodiges.

Diacre Michel Houyoux

Compléments

◊ Diacre Michel Houyoux : cliquez ici pour lire l’article → C’est ainsi que mon Père du ciel vous traitera, si chacun de vous ne pardonne pas à son frère

◊ Diacre Michel Houyoux : cliquez ici pour lire l’article  → Il est spacieux le chemin qui mène à la perdition

Liens avec d’autres sites chrétiens

◊ Diocèse catholique de Valleyfield  : cliquez ici pour lire l’article  → Lundi 32e semaine ordinaire

◊ Père Gilbert Adam  : cliquez ici pour lire l’article  → Lundi de la 32e semaine, année impaire

Pardonner, c’est ressusciter ! À l’école du Saint Esprit   par Frères de Saint Jean à Troussures

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Trente-troisième dimanche du Temps Ordinaire de l’année B

Posté par diaconos le 8 novembre 2021

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Michel Houyoux

La parousie est une notion chrétienne qui désigne la « seconde venue » du Christ sur la Terre dans sa gloire, la première étant sa naissance. Cette venue définitive, eschatologique (à la fin des temps), se distingue de la résurrection de Jésus qui comporte une double promesse, celle de la venue en gloire (sa parousie) et celle de la résurrection des morts.

La symbolisation varie entre le catholicisme, où le Christ est en gloire et en majesté, et l’orthodoxie, où l’attente est symbolisée par un trône vide. Le mot « parousie » vient du grec ancien παρουσία, parousía, terme signifiant « présence » et formé à partir de παρα (« près de », « à côté de ») et ουσία (« être »). Dans les premiers écrits chrétiens, notamment ceux de Paul de Tarse, ce mot signifie la venue du Christ parmi les hommes.
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Adolf Deissmann a démontré que ce terme apparaissait dès le IIIe siècle av. J.-C. pour désigner la visite officielle d’un prince ou d’un haut dignitaire dans une cité afin de prouver sa magnificence. . Dans la philosophie hellénistique, le mot décrit la présence effective de divinités. Platon l’emploie également pour désigner la présence des idées dans les choses .
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Le symbole de Nicée, au IVe siècle, professe la parousie en ces termes : « Sedet ad dexteram Patris. Et iterum venturus est cum gloria iudicare vivos et mortuos, cuius regni non erit finis. (Il est assis à la droite du Père, il reviendra dans la gloire pour juger les vivants et les morts et son règne n’aura pas de fin) Augustin d’Hippone, dans le livre XX de La Cité de Dieu, cite les textes de l’Ancien et du Nouveau Testament qui évoquent le jour du Jugement.
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Il confirme que le Christ reviendra d’abord pour le Jugement, après quoi les morts ressusciteront. La parousie inaugure les temps messianiques et l’avènement (la « seconde venue ») du Christ à la fin des temps. Dans la théologie chrétienne, la seconde venue est le retour glorieux de Jésus-Christ afin d’établir définitivement le Royaume de Dieu sur la Terre2. Cette seconde venue est annoncée par Jésus-Christ lui-même dans l’Évangile selon Jean .
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Dans la Dogmatique de Karl Barth, la parousie ne se limite pas à la seconde venue du Christ3. Karl Barth en distingue trois manifestations : la première figure de la parousie est pour lui l’événement pascal, autrement dit la Résurrection de Jésus ; la deuxième, ou « figure médiane », est le « don de l’Esprit saint » lors de la Pentecôte, l’effusion de l’Esprit à l’Église ; la troisième, la « dernière figure », est l’« arrivée de Jésus-Christ en tant que finalité de l’histoire de l’Église, du monde et de chaque homme ».
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C’est ainsi que Barth définit le « Jour dernier » : la « nouvelle venue » de ce qui est arrivé auparavant, le « nouvel être avec nous de celui qui était avec nous ». Cette triple manifestation de la parousie ne doit pas être décomposée en trois événements distincts ; elle doit au contraire être appréhendée dans son unité. .
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De l’évangile selon Marc

24 En ces jours-là, après une pareille détresse, le soleil s’obscurcira et la lune ne donnera plus sa clarté ; 25 les étoiles tomberont du ciel, et les puissances célestes seront ébranlées.

26 Alors on verra le Fils de l’homme venir dans les nuées avec grande puissance et avec gloire. 27 Il enverra les anges pour rassembler les élus des quatre coins du monde, depuis l’extrémité de la terre jusqu’à l’extrémité du ciel.

28 Laissez-vous instruire par la comparaison du figuier : dès que ses branches deviennent tendres et que sortent les feuilles, vous savez que l’été est proche. 29 De même, vous aussi, lorsque vous verrez arriver cela, sachez que le Fils de l’homme est proche, à votre porte.

30 Amen, je vous le dis : cette génération ne passera pas avant que tout cela n’arrive. 31 Le ciel et la terre passeront, mes paroles ne passeront pas. 32 Quant à ce jour et à cette heure-là, nul ne les connaît, pas même les anges dans le ciel, pas même le Fils, mais seulement le Père. (Mc 13, 24-31)

L’avènement du Seigneur

En ces jours-là, après cette affliction, il y aura des bouleversements cosmiques. Le fils de l’homme viendra sur les nuées ; il enverra ses anges rassembler de toutes parts ses élus. Jésus instruisit ses disciples, par une parabole tirée du figuier. : « Cette génération ne passera pas tant que tout ne soit arrivé. Le ciel et la terre passeront, mais mes paroles ne passeront pas » (Mt 24, 35).

Personne ne connaît l’heure, ni les anges, ni le Fils, mais le Père seul. Veillez donc, comme les serviteurs et le portier dont le maître est en voyage. Marc passa au dernier cycle de cette prophétie par une particule qui fait attendre un nouveau sujet. Pour marquer l’ordre des temps, il se servit de cette expression vague : en ces jours-là, après cette tribulation et évita ainsi l’expression de Matthieu : aussitôt après, dans laquelle l’exégèse trouva de grandes difficultés.

Cette distinction des temps parait surtout très claire dans Luc (Luc 21.24-25) qui, entre la ruine de Jérusalem et les signes précurseurs du retour de Christ rapportés par les trois évangiles, place cette prédiction remarquable : « Et Jérusalem sera foulée aux pieds par les païens, jusqu’à ce que les temps des païens soient accomplis ». (Lc 21, 24)

 » Et alors il enverra les anges, et il rassemblera ses élus, des quatre vents, depuis l’extrémité de la terre jusqu’à l’extrémité du ciel.  » (Mc 13, 27) Matthieu dit : « des quatre vents depuis une extrémité des cieux jusqu’à l’autre extrémité ». Marc exprima la même idée ; car par : l’extrémité de la terre et l’extrémité du ciel, il entendit, ainsi que Matthieu, l’horizon visuel formé par la jonction apparente de la terre et du ciel.

L’Église primitive a pour fondement Jésus-Christ lui-même qu’en tant qu’il avait laissé ignorer à ses disciples le jour et l’heure de son retour, afin de les maintenir dans une sainte vigilance. Dans ce même discours, il fixerait ce grand événement final comme devant s’accomplir dans sa génération même et coïncider avec la ruine de Jérusalem, trente-sept ans après ! Cette contradiction se retrouva dans toutes les prédictions de Jésus relatives à l’avenir lointain de son règne, en particulier dans la plupart de ses paraboles.

Diacre Michel Houyoux

 Compléments

◊ Diacre Michel Houyoux : cliquez ici pour lire l’article → A.D.A.L. 32ème dimanche ordinaire, année B

◊ Diacre Michel Houyoux : cliquez ici pour lire l’article → Trente-troisième dimanche du temps ordinaire, année B

Liens avec d’autres sites chrétiens

◊ Service de catéchèse (Toulon)   : cliquez ici pour lire l’article →Trente-troisième dimanche Ordinaire, année B

◊ Over blog     : cliquez ici pour lire l’article →  TRENTE TROISIEME DIMANCHE DU TEMPS ORDINAIRE DE  L’ANNÉE B

Frère Thibaut de Pontavice  : « La Parousie »

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