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Troisième dimanche du Carême de l’année C

Posté par diaconos le 27 février 2022

 Le début de la foi de Maria Valtorta  (1897-1961)  dans Accueil sur mon blog Maria-Valtorta-un-don-de-Dieu-validé-par-la-science

De l’Évangile de Jésus Christ selon Luc

Un jour, des gens rapportèrent à Jésus l’affaire des Galiléens que Pilate avait fait massacrer, mêlant leur sang à celui des sacrifices qu’ils offraient. Jésus leur répondit : «  Pensez-vous que ces Galiléens étaient de plus grands pécheurs que tous les autres Galiléens, pour avoir subi un tel sort ? Eh bien, je vous dis : pas du tout ! Mais si vous ne vous convertissez pas, vous périrez tous de même. Et ces dix-huit personnes tuées par la chute de la tour de Siloé, pensez-vous qu’elles étaient plus coupables que tous les autres habitants de Jérusalem ?

   Eh bien, je vous dis : pas du tout ! Mais si vous ne vous convertissez pas, vous périrez tous de même.  »   Jésus disait encore cette parabole : « Quelqu’un avait un figuier planté dans sa vigne. Il vint chercher du fruit sur ce figuier, et n’en trouva pas. Il dit alors à son vigneron : « ‘Voilà trois ans que je viens chercher du fruit sur ce figuier, et je n’en trouve pas. Coupe-le. À quoi bon le laisser épuiser le sol ?’ Mais le vigneron lui répondit : ‘Maître, laisse-le encore cette année, le temps que je bêche autour pour y mettre du fumier.    Peut-être donnera-t-il du fruit à l’avenir. Sinon, tu le couperas.’ (Lc 13, 1-9)x

Maria Valtorta , une mystique catholique italienne

. À 37 ans, elle fut clouée au lit et y demeura 27 ans, jusqu’à sa mort qui mit un terme à ses visions constituant un panorama précis de la vie de Jésusqu’elle décrivit en 15 000 pages.Depuis sa fondation, le Christ renouvela constamment son Église : d’effusions successives de l’Esprit en conciles, de grands réformateurs en puissantes révélations privées… De tous temps, l’Esprit-Saint nous remémore ce que Jésus nous a légué et nous invite à en saisir graduellement toute la portée pour aller plus en profondeur.
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À plusieurs époques, des mystiques eurent la vision des scènes de l’Évangile, la plupart vécurent la Passion de diverses manières. Il en fut ainsi pour Marie d’Ágreda au XVIIe siècle ou d’Anne-Catherine Emmerich au XIXe. Maut des visions aussi complètes et aussi précises que Maria Valtorta. Dans d’autrfurentes cas, les hommes, croyant bien faire, voulurent perfectionner la perfection  selon le mot de Jésus à Maria Valtorta. Mais en modifiant ainsi ce que le Ciel avait si parfaitement confié aux voyantes, ces hommes ont gravement altéré les révélations primitives. Les visions de MariaValtorta  de pure source : c’est là leur valeur, une valeur à préserver. 
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Qui fut Maria Valtorta ? Née le 14 mars 1897 à Caserte (Campanie), près de Naples, en Italie du Sud, Maria Valtorta fut une mystique laïque catholique. Fille unique issue d’une famille cultivée mais modeste, elle suivit des études secondaires classiques pour une fille de son époque, mais ne poursuivit pas au-delà sur injonction de sa mère. Il n’en fut pas de même de sa spiritualité qui se développa à la lecture de Thérèse de Lisieux et lui fit entrevoir son chemin d’abandon confiant à l’Amour miséricordieux. En 1920, le jour de son 23e anniversaire, un jeune anarchiste lui brisa les reins d’un coup de barre de fer.
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En 1943, elle crut sa mort proche et l’accueille avec sérénité. Son confesseur, frappé de sa grandeur d’âme, lui demanda d’écrire sa biographie, ce qu’elle fit en deux mois. Alors elle reçut sa première vision de la vie de Jésus en Palestine, il y a 2000 ans. Ses visions durèrent jusqu’en 1947, constituant un panorama précis des 1 218 jours de la vie publique de Jésus dont elle décrivitt un jour sur trois. Ce fut un descriptif minutieux et vivant complété par des scènes de l’Évangile de l’enfance, de la jeunesse de Marie etrs temps de l’Église.
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Dans le même temps, son intimité avec le Christ la rendit dépositaire de leçons pour notre temps. Elle écrivit 15 000 pages sur 122 cahiers d’une traite et sans rature, puis les visions qu’elle  rapporta cessèrent brutalement, mais l’intimité avec Jésus demeura. Son œuvre complète, tous titres confondus, fut diffusée à ce jour à plus de qu des premieatre millions de volumes dans le monde entier, dans 27 langues.
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Inconnue de son vivant, Maria Valtorta mourut le 12 octobre 1961 à Viareggio, en Toscane, près de Lucques (Italie du Nord) quelques années après la publication, alors anonyme, de ses écrits, il y eut 60 ans. Elle fut enterrée à Florence dans la basilique de la Santissima Annunziata, haut-lieu des Servites de Marie (elle était membre du tiers-ordre de la congrégation). En avril 2001, ceux-ci demandèrent l’introduction de sa cause en béatification. Le 15 octobre 2011, la messe du 50e anniversaire de sa mort fut présidée à Florence par un ancien nonce apostolique.
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Une œuvre en butte aux contradictions. Son œuvre principale finit par être publiée sous le titre de L’Évangile tel qu’il me fut révélé. Ce titre fut repris de la façon familière dont elle désignait ses visions et non pas de l’affirmation anathème d’un nouvel Évangile. Ce livre fut en butte à de nombreuses controverses dont la plus étonnante fut sa mise à l’index. Ce n’e fut pas une surprise car, à la même époque, le Saint-Office condamnait les révélations de sainte Faustine et persécutait Padre Pio selon le mot d’une de ses biographes. La surprise vint plutôt de ce que la mise à l’index frappa une publication encouragée par Pie XII lui-même après la lecture personnelle qu’il en avait faite.
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Il avait conclu son audience  par cet imprimatur, verbal il est vrai, mais attesté par les témoins :  » Publiez l’œuvre telle quelle. Il n’y a pas lieu de donner une opinion quant à son origine, qu’elle soit extraordinaire ou non. Ceux qui liront, comprendront. »  La mise à l’index n’intervint qu’après la mort du Souverain Pontife et qu’elle ne fit pas l’unanimité. La seconde contradiction vint de l’ignorance où l’œuvre fut longtemps cantonnée, officiellement considérée comme  une vie romancée de Jésus. Pourtant pas moins de trois recteurs d’universités pontificales attestèrent de la valeur dogmatique et exégétique de ces écrits.
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Deux saints et deux bienheureux en recommandèrent la lecture]. Mère Teresa l’emmenait dans ses déplacements avec sa Bible et son bréviaire. L’Église du Kerala, en Inde, salua unanimement la traduction de l’œuvre en sa langue et les évêques chinois appelèrent à poursuivre la traduction dans la leur. A l’usage, on s’aperçut de la puissance de cette révélation privée sur ses lecteurs qui redécouvrirent ainsi la beauté de l’Évangile éternel, retournèrent à Dieu, voire même se convertirent.
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Peut-on redécouvrir l’Évangile à l’occasion d’une révélation privée ? Oui, ce fut dit dans son Catéchisme : « Le rôle des révélations privées, même reconnues, n’est pas « d’améliorer ou de compléter » la Révélation définitive du Christ, mais d’aider à en vivre plus pleinement à une certaine époque de l’histoire . Même si elles n’appartiennent pas au dépôt de la Foi, elles ne doivent en aucun cas être dépréciées, dit saint Paul qui enjoignit de les examiner pour les discerner et en garder le meilleur. .
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Peut-on redécouvrir l’Évangile à l’occasion d’une révélation privée ? Oui, ce fut dit dans son Catéchisme : « Le rôle des révélations privées, même reconnues, n’est pas « d’améliorer ou de compléter » la Révélation définitive du Christ, mais d’aider à en vivre plus pleinement à une certaine époque de l’histoire . Même si elles n’appartiennent pas au dépôt de la Foi, elles ne doivent en aucun cas être dépréciées, dit saint Paul qui enjoignit de les examiner pour les discerner et en garder le meilleur. .
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Que peut donc apporter de telles révélations privées, et notamment les visions de Maria Valtorta ?  D’abord et principalement la confirmation de l’Évangile éternel tel qu’il nous est transmis par la tradition. Les écrits de Maria Valtorta balayèrent toutes les hypothèses hostiles qui, sous couvert de rectitude scientifique, veuoulurent en faire une révélation manipulée, dégénérée, affabulée ou incomplète.
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Ils les balayèrent non par le recours à l’autorité du Magistère, que l’incroyance contesta, mais par l’arme même qui servit à l’attaquer : l’approche scientifique. Désormais, avec l’accès collectif aux ressources en ligne, tout put se vérifier et se vérifier par tous. Dans les dernières années, plusieurs études furent été publiées, mettant à jour des connaissances surprenantes des récits de Maria Valtorta dans des domaines aussi divers que l’archéologie, l’histoire, la géographie, la géologie, la botanique, la zoologie, la chronologie, les us et coutumes…
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L’humble Maria Valtorta, grabataire, ne disposa, en aucun cas, de toutes ces connaissances rares vérifiées sur 12 000 données de l’œuvre.La mise en situation du lecteur qui devient un disciple parmi les disciples : il est pèlerin, à travers le temps et l’espace, à la suite de Jésus. La lecture, pourtant longue (5 000 pages en dix volumes) se fait captivante : l’œuvre se lit et se relit, sans épuisement.
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Un éclaircissement sur des points qui semblèrent contradictoires ou obscurs, mais qui ne le furent pas : dans Maria Valtorta, les récits de l’Évangile furent tous d’une simplicité évangélique. De multiples exemples purent illustrer ce propos. On se reportera avec profit à l’épisode de la Cananéenne dans lequel Jésus fit montre, dans l’Évangile, d’une dureté qui n’eut rien à voir avec le reste de son attitude  L’explication est lumineuse et riche d’enseignements dans Maria Valtorta
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Une restauration de l’Évangile authentique écorné parfois par le temps et de multiples traductions qui actualisent le texte initial au point que plusieurs versions sont nécessaires pour restituer la lumière primitive des textes. Il en est ainsi du « Sabbat second premier » (Lc VI, 1) que mentionne la Vulgate, mais qui a disparu des bibles contemporaines, mises à part les bibles protestantes qui n’en explicitent pas le sens, si évident dans Maria Valtorta.
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L’invitation à lire. Jésus révéla à un mystique, Don Michelini, que l’œuvre de Maria Valtorta fut appelée à un grand avenir dans l’Église renouvelée». L’exemple des saints qui s’en nourrirent, démontre qu’on ne peut prendre cette prophétie à la légère. Il n’y a pas d’obligation à ouvrir la première page de cette œuvre, seulement une invitation, celle d’un Pape qui refermait la vie de Jésus de Maria Valtorta en concluant :  » Qui lira, comprendra »
 
Pour voir les notes bibliographiques : cliquez ici →https://www.notrehistoireavecmarie.com/…/maria…/
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✝️    L’ÉVANGILE DU JOUR
« Si vous ne vous convertissez pas, vous périrez » (Lc 13, 1-9)Un jour, des gens rapportèrent à Jésus l’affaire des Galiléens que Pilate avait fait massacrer, mêlant leur sang à celui des sacrifices qu’ils offraient. Jésus leur répondit :  » Pensez-vous que ces Galiléens étaient de plus grands pécheurs que tous les autres Galiléens, pour avoir subi un tel sort ?Eh bien, je vous dis : pas du tout !
Mais si vous ne vous convertissez pas, vous périrez tous de même.
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Et ces dix-huit personnes tuées par la chute de la tour de Siloé,pensez-vous qu’elles étaient plus coupables que tous les autres habitants de Jérusalem ?Eh bien, je vous dis : pas du tout !Mais si vous ne vous convertissez pas, vous périrez tous de même. « Jésus disait encore cette parabole : »Quelqu’un avait un figuier planté dans sa vigne.Il vint chercher du fruit sur ce figuier, et n’en trouva pas.“Voilà trois ans que je viens chercher du fruit sur ce figuier, et je n’en trouve pas.  Coupe-le. À quoi bon le laisser épuiser le sol ?” Il dit alors à  son Mais le vigneron lui répondit :“Maître, laisse-le encore cette année, le temps que je bêche autour pour y mettre du fumier.Peut-être donnera-t-il du fruit à l’avenir.Sinon, tu le couperas.”
✝️MÉDITER AVEC LES CARMES
Dans cette page d’Évangile, Luc regroupe trois paroles de Jésus, plus exactement deux paroles et une parabole, qui pointent toutes dans la même direction : toutes trois soulignent la nécessité de se convertir quand il est temps, quand il est encore temps. Au point de départ : trois situations assez différentes : les Galiléens sont morts à cause de la cruauté de Pilate ; les dix-huit personnes ensevelies dans les décombres de la tour de Siloé, à Jérusalem, sont mortes par malchance : elles se sont trouvées au mauvais endroit au mauvais moment ; mais le figuier, lui, va mourir, coupé, de guerre lasse, par le propriétaire, parce qu’il est resté improductif durant quatre années, parce qu’il « occupait le terrain pour rien ».

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L’enseignement de Jésus est tout en nuances. Pour le premier épisode, Jésus réagit à une mauvaise nouvelle qu’on lui annonce, et il pose lui-même la question : « Croyez-vous que ces Galiléens fussent de plus grands pécheurs que les autres Galiléens, pour avoir subi pareil sort ? » La réponse suit immédiatement, en deux temps : d’une part personne ne peut dire : telle souffrance, telle mort a été pour tel homme un châtiment ; d’autre part personne ne peut ôter à Dieu le pouvoir de rendre à chacun selon ses œuvres.
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Pour le second épisode, Jésus renchérit lui-même en rappelant la catastrophe de Siloé ; et l’enseignement est le même : leur dette n’était pas plus grande ; ne voyez pas dans leur mort un châtiment, mais vous, acceptez la conversion.xQuant à la parabole du figuier, elle ne fait état ni d’une cruauté ni d’une catastrophe ; elle décrit nos lenteurs, et la stérilité de l’Évangile à certains moments de notre vie.
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Nous occupons le sol, nous épuisons la terre, pour quelle fécondité ? Le maître, de temps à autre, vient chercher des fruits pour son Église, les fruits de la charité active ou les fruits du vrai silence, et qu’avons-nous à lui donner ?Nous profitons du terreau de l’Église, des sacrements de la foi, des richesses de la vie fraternelle et du dévouement des frères et des sœurs ; pour quelles fleurs de paix, pour quels fruits de joie ?
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La question du Seigneur, comme dans toutes ses paraboles, est à la fois douce et radicale.Si radicale que nous ne cesserons jamais de l’entendre jusqu’au moment de la grande rencontre et quelles que soient la vigueur et l’authenticité de notre réponse quotidienne. Mais dans cette exigence même le Seigneur nous révèle toutes les ressources de sa douceur. Et c’est là que la parabole complète les deux paroles précédentes en apportant un élément essentiel pour notre espérance : le sursis.  Nous sommes en sursis, nous restons en sursis tout au long de notre vie, en vue d’un sursaut de vigueur, d’un renouveau de fécondité, parce que Dieu ne se résigne jamais à la mort.
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Jésus vigneron s’attelle lui-même au travail de notre conversion : il bêche sa vigne, souvent, et il ajoute à chaque fois quelque poignées d’un engrais dont il a le secret, un engrais spirituel à base d’humilité, de simplicité et de courage, avec une bonne dose de confiance.
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Demandons à la Vierge toute sainte, les uns pour les autres, en vue de ce travail de vérité et de conversion, l’aide de sa prière. En elle « la grâce de Dieu n’a pas été stérile ». Nous la chantons, au Carmel, comme la Vigne fleurie, la Vigne généreuse. Qu’elle nous aide à dire oui, le oui qui rend nos vies porteuses de Dieu, fécondes pour Dieu.
Diacre Michel

 Maria Valtorta : Le don extraordinaire pour notre temps

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Mercoledi della Ceneri

Posté par diaconos le 27 février 2022

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Dal libro del profeta Gioele

Ora – dice il Signore – tornate a me con tutto il cuore, nel digiuno, nelle lacrime e nel lutto! Strappate i vostri cuori e non le vostre vesti, e restituite al Signore il vostro Dio, perché Egli è tenero e misericordioso, lento all’ira e pieno d’amore, rinunciando al castigo. Chi lo sa? Egli può tornare, può rinunciare al castigo e lasciare la sua benedizione: allora potete presentare offerte e libagioni al Signore vostro Dio.

Suonate la tromba a Sion : prescrivete un santo digiuno, annunciate una festa solenne, radunate il popolo, fate una santa assemblea, radunate gli anziani, radunate i bambini e i neonati! Che lo sposo lasci la sua casa, che la sposa lasci la sua stanza! Tra la porta e l’altare, i sacerdoti, servi del Signore, andranno a piangere e diranno: « Abbi pietà, Signore, del tuo popolo, non esporre chi ti appartiene agli insulti e alle beffe dei pagani ! iciamo : « Dov’è il loro Dio ? E il Signore si commosse per il suo Paese, ebbe pietà del suo popolo. » (Jl 2, 12-18)

Commento

Questo messaggio del profeta Gioele ci introduce pienamente in questo tempo di Quaresima che ci prepara alla festa di Pasqua. Ogni anno la Chiesa ci concede il tempo sacramentale, quaranta giorni, per vivere più profondamente in intimità con lui nella preghiera, nell’elemosina e nel digiuno. Tutto questo per ricostruire la nostra dignità di figli di Dio sfigurati dal male.

Il male del nostro tempo è l’impostazione della struttura dell’egoismo da parte di ideologie populiste sempre più in voga. I falsi profeti si sollevano giorno dopo giorno per rinchiudere il mondo in apparati ideologici che rifiutano la logica della diversità culturale. Questo è un vero e proprio Virus che sembra distruggere nel profondo tutta l’aspirazione alla fraternità di ogni persona: dove stiamo andando con la promozione di una tale mentalità nel nostro mondo ? Cosa possiamo fare in questo contesto ?

Cambiando il modo in cui guardiamo l’altro, guardando l’altro in modo pacifico, il mondo può cambiare a partire da dove viviamo. Di fronte a questo male che invade la nostra società, non nascondiamoci come Adamo ed Eva dopo il loro peccato (Gen 3,6); ma apriamoci alla grazia di Dio che solo ci purifica. Da qui il sacramento della Confessione, che dovremmo vivere in questa stagione quaresimale. L’elemosina ci aiuterà a collaborare con la divina provvidenza che ci permette di diventare occasioni di generosità per i nostri fratelli.

Attraverso il digiuno siamo più disponibili a ricevere il dono di Dio dentro di noi. Forse questa è la vera Quaresima oggi. L’usanza di strappare i vestiti in segno di lutto è molto antica : « Giacobbe si strappò i vestiti, si mise un sacco di tela di sacco sui lombi e pianse per il figlio per molti giorni. » Allora Giobbe si alzò, si strappò la veste, si rase la testa, cadde a terra e si adorava. «  (Lavoro 1, 20).

Poiché è un segno di crepacuore, non ha prezzo davanti a Dio se non è accompagnato da questo atto interiore. Questa descrizione del carattere di Dio si basa sulla rivelazione che Dio stesso ne ha dato a Mosè.

Chissà se lui…: ci sono cose che Dio vuole in modo assoluto; è riguardo a queste che si dice di lui) che non è un uomo da mentire, né un figlio dell’uomo da pentirsi; ma ci sono promesse e minacce che fa condizionalmente, e dal cui adempimento si ritira, se non si realizzano le condizioni morali che presuppongono : « A volte, a proposito di un popolo o di un regno, parlo di sradicare, massacrare e distruggere. Ma se quella gente abbandona il male che ho condannato, allora cambio idea sul male che volevo fare loro. A volte, a proposito di un altro popolo o di un altro regno, parlo di costruire e piantare. Ma se quella gente non mi ascolta e non fa quello che c’è di sbagliato nei miei occhi, allora cambio idea sul bene che ho promesso di fare loro. «   (Jer 7, 10)

Invito ai sacerdoti a convocare le diverse classi del popolo. L’uso della tromba ha un significato completamente diverso in questo contesto rispetto al versetto 1. I bambini non dovevano mancare alla chiamata, sia perché partecipavano al peccato generale del popolo, sia perché la loro presenza e innocenza dovevano parlare al cuore di Dio. Gli « sposi » che festeggiavano dovevano unirsi al dolore pubblico.

Il baldacchino ha coperto il letto matrimoniale durante la settimana del matrimonio. Sono stati soprattutto i sacerdoti a dare l’esempio e in qualche modo a dare il tono a tutto il popolo. Che spettacolo è stato vedere i sacerdoti in piedi tra il portico del tempio e l’altare degli olocausti, tendere le mani al cielo con supplica! Perché le nazioni dovrebbero dire: « Dov’è il loro Dio? Mostrate a questi ♥, davanti ai nostri occhi, che esigete un resoconto dell’assassinio dei vostri servi ! (Sal 79, 10)

Il ritorno della grazia divina è un frutto dell’atto di umiliazione e di preghiera appena descritto. Si svolge prima di tutto in modo ravvicinato e preliminare, poi in modo definitivo e perfetto. Come nella prima parte, il giudizio è stato presentato prima come una punizione di avvertimento (capitolo 1), poi come un giudizio di completa distruzione (capitolo 2), quindi è con la benedizione. E prima, come benedizione a venire. La maggior parte degli interpreti oggi considera i due versetti 18 e 19 come una nota storica, con la quale Joel faceva conoscere al lettore il risultato del solenne digiuno che veniva pubblicato.

Il diacono Michel Houyoux

Link ad altri siti cristiani

◊ Famiglia criqtiana.it : clicca qui per legere l’articolo →  Mercoledì delle Ceneri : perché oggi inizia col mercoledì delle Ceneri

◊ Qumran : clicca qui per legere l’articolo →  Testi – Ricerca parole : mercoledi delle ceneri

♥ Mercolledi della Ceneri

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Mercredi des Cendres

Posté par diaconos le 27 février 2022

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Le mercredi des cendres est le premier jour du carême. À quoi le carême nous fait-il penser ? Pour beaucoup de personnes,  le carême serait une période comprenant des pratiques obligatoires  et de contraintes : jeûner, faire pénitence, des sacrifices.  notre époque, le carême ne se vit plus de la même  manière qu’autrefois mais il garde toujours son sens.

C’est une période pendant laquelle on pourrait se sentir plus triste. La couleur liturgique du carême est le violet. Cette couleur, utilisée dans la liturgie,  symbolise la tristesse, voire même le deuil.

Le carême n’est pas un temps de tristesse

 C’est une période pour ressentir une certaine joie qui monte dans notre cœur, pour préparer la route qui nous conduit à la fête de Pâques. Un peu comme le début du printemps, la sève monte dans les arbres jusque dans les branches, et c’est déjà pour annoncer que les bourgeons vont s’ouvrir.

  • Le carême est un temps qui nous rassemble, qui nous rend plus proches les uns des autres et aussi plus proches de Dieu.

C’est un moment favorable pour rencontrer le Seigneur. Comme le dimanche est un temps favorable pour se rencontrer en famille, entre parenté ou entre amis. C’est un moment favorable pour rencontrer le Seigneur. Comme le dimanche est un temps pendant lequel nous devrions ressentir une certaine joie qui monte dans notre cœur, pour préparer la route qui nous conduit à la fête de Pâques.

Un peu comme le début du printemps, la sève monte dans les arbres jusque dans les branches pour se rencontrer en famille, entre parenté ou entre amis.

Que signifie le mot carême ?  Il vient du latin qui vent dire quarante.

Quelle est sa durée dans l’année liturgique de l’Église ? Le carême commence le  mercredi des cendres et se termine la veille de Pâques. Si l’on compte bien cela fait 46 jours ; mais comme les 6 dimanches du temps de carême ne sont pas comptés, cela fait bien au total 40 jours. Dans la bible, 40 est un nombre symbolique ; il rappelle les 40 ans du peuple Hébreu resté au désert, ainsi que les 40 jours que Jésus a passé au désert, et l’Église a fixé aussi à 40 jours la durée du carême.

Quelle démarche allons-nous faire ?

Chacun peut le vivre à sa manière. Pour nous guider, l’évangile de Matthieu, au chapitre cinq (Mt5, 1-12) propose trois pistes :  l’aumône, la prière et le jeûne. Ce sont trois moyens qui nous permettront de mieux vivre ce temps de carême.

Extrait de l’évangile de Matthieu, au chapitre cinq

Comme les disciples s’étaient rassemblés autour de Jésus, sur la montagne, il leur disait : « Si vous voulez vivre comme des justes, évitez d’agir devant les hommes pour vous faire remarquer. Autrement, il n’y a pas de récompense pour vous auprès de votre Père qui est aux cieux. Ainsi, quand tu fais l’aumône, ne fais pas sonner de la trompette devant toi, comme ceux qui se donnent en spectacle dans les synagogues et dans les rues, pour obtenir la gloire qui vient des hommes.

Amen, je vous le déclare : ceux-là ont touché leur récompense. Mais toi, quand tu fais l’aumône, que ta main gauche ignore ce que donne ta main droite, afin que ton aumône reste dans le secret ; ton Père voit ce que tu fais dans le secret : il te le revaudra. Et quand vous priez, ne soyez pas comme ceux qui se donnent en spectacle : quand ils font leurs prières, ils aiment à se tenir debout dans les synagogues et les carrefours pour bien se montrer aux hommes. Amen, je vous le déclare : ceux-là ont touché leur récompense.

Mais toi, quand tu pries, retire-toi au fond de ta maison, ferme la porte, et prie ton Père qui est présent dans le secret ; ton Père voit ce que tu fais dans le secret : il te le revaudra. Et quand vous jeûnez, ne prenez pas un air abattu, comme ceux qui se donnent en spectacle : ils se composent une mine défaite pour bien montrer aux hommes qu’ils jeûnent. Amen, je vous le déclare : ceux-là ont touché leur récompense.

Mais toi, quand tu jeûnes, parfume-toi la tête et lave-toi le visage ; ainsi, ton jeûne ne sera pas connu des hommes, mais seulement de ton Père qui est présent dans le secret ; ton Père voit ce que tu fais dans le secret : il te le revaudra.

Actions pour bien vivre le temps du carême

  1. L’aumône, c’est orienter ses relations avec les autres, c’est le partage, aider les personnes qui nous entourent ; surtout les plus défavorisées. Concrètement qu’allons-nous décider de partager et avec qui ? Par exemple, être plus généreux, être à l’écoute, voir quels sont les besoins dans notre entourage, savoir rendre un  service à quelqu’un.

  2. La prière, concerne notre relation personnelle avec Dieu, nous tourner vers notre Père du ciel. Combien de temps allons-nous consacrer à la prière ou à la lecture biblique ? Prendre le temps de lire un texte de la bible, ou une méditation, participer davantage aux offices pour être plus à l’écoute de la parole.

  3. Le troisième moyen de vivre ce temps de carême est le jeûne, c’est le souci de sa propre personne, c’est se regarder soi-même, faire son examen de conscience. C’est se  tourner vers soi-même sans pour autant être égoïste. Ainsi nous avons le choix, c’est à chacun de nous d’y réfléchir.

Soit que tu t’orientes plus vers le partage, ou la prière ou le jeûne.

Cela, tu peux le faire dans ta famille, discrètement dans ton milieu de travail, dans ton  entourage, dans ta communauté paroissiale.  Pendant le carême, tout chrétien est invité à faire une démarche de foi pour aller plus encore vers Dieu et vers les autres. C’est une sorte d’évaluation de chacun; faire le point sur notre chemin de foi.

Nous sommes invités à le faire d’une manière personnelle, d’une manière plus discrète, un peu comme si nous étions dans le désert, sortons de nos soucis matériels, de nos préoccupations inutiles, laissons-nous agir par le Seigneur.

Le moment est venu d’y réfléchir !

Le carême est un temps de combat pour nous ; de même que Jésus a lutté pendant 40 jours au désert contre les forces du mal qui tentaient de le détourner de sa mission, ainsi nous chrétiens, nous sommes invités à lutter contre  le mal et d’éviter de nous laisser entraîner dans ce qui est mal.

Pendant le carême, nous sommes appelés à la conversion et laissons-nous réconcilier avec Dieu..

Vous pouvez suivre les réponses à cet article par le fil Flux des commentaires. Vous pouvez laisser un commentaire. Éditer cet article.

 Diacre Michel Houyoux

Liens avec d’autres sites chrétiens

◊ Sanctuaire Louis et Zélie d’Alen9on : cliquez ici pour lire l’article →  Un carême triste est un triste carême.

◊   Carême 2022 : cliquez ici pour lire l’article →   Carême : date 2022, origine et questions sur ce temps de Carême…

                                                                                                                               ♥ Le Carême est un temps de charité

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Premier dimanche du Carême de l’année C

Posté par diaconos le 27 février 2022

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De l’Évangile de Jésus Christ selon saint Matthieu

En ce temps-là, Jésus, arrivé dans la région de Césarée-de-Philippe, demandait à ses disciples : «  Au dire des gens, qui est le Fils de l’homme ? «    Ils répondirent : « Pour les uns, Jean le Baptiste ; pour d’autres, Élie ; pour d’autres encore, Jérémie ou l’un des prophètes. » Jésus leur demanda :  »Et vous, que dites-vous ? Pour vous, qui suis-je ? «  Alors Simon-Pierre prit la parole et dit : « Tu es le Christ, le Fils du Dieu vivant ! 

Prenant la parole à son tour, Jésus lui dit : «  Heureux es-tu, Simon fils de Yonas : ce n’est pas la chair et le sang qui t’ont révélé cela, mais mon Père qui est aux cieux. Et moi, je te le déclare : Tu es Pierre, et sur cette pierre je bâtirai mon Église ; et la puissance de la Mort ne l’emportera pas sur elle. Je te donnerai les clés du royaume des Cieux : tout ce que tu auras lié sur la terre sera lié dans les cieux, et tout ce que tu auras délié sur la terre sera délié dans les cieux. » (Mt 16, 13-19)

Notes

# Pierre (saint Pierre pour les catholiques et les orthodoxes), de son vrai nom Siméon Bar-Yonah (traduit par « Simon, fils de Jonas ») selon le témoignage des Évangiles, aussi appelé Kephas (le « roc » en araméen) ou Simon-Pierre, est un Juif de Galilée ou de Gaulanitide connu pour avoir été l’un des disciples de Jésus de Nazareth. Il est répertorié parmi les apôtres, au sein desquels il semble avoir tenu une position privilégiée du vivant même de Jésus avant de devenir, après la mort de ce dernier, l’un des dirigeants majeurs des premières communautés paléochrétiennes.

Il est né vraisemblablement au tournant du Ier siècle av. J.-C. et serait mort selon la tradition chrétienne entre 64 et 68 à Rome. La tradition catholique en fait le prince des apôtres, le premier évêque de Rome et l’Église catholique revendique sa succession apostolique pour affirmer une primauté pontificale, que lui contestent les autres confessions chrétiennes et dont l’actuel pape est le représentant. Il a suscité un grand nombre d’œuvres artistiques, en particulier dans l’Occident latin.

Fuyant la persécution, Pierre gagna Antioche ; selon S. Mimouni, la chronologie d’Eusèbe de Césarée, qui date ce départ de 42, cadre mal avec celle tirée des Actes des Apôtres, qui situent Pierre en 42 à Jérusalem, et ce jusqu’en 43-44 . La tradition de l’Église catholique attribue à Pierre la direction de l’Église d’Antioche. Premier évêque de cette ville, la fête de la chaire de saint Pierre à Antioche est célébrée le 22 février depuis le IVe siècle jusqu’à la réforme du calendrier liturgique établie par le concile Vatican II qui la réunit à la chaire romaine. Pierre resta sept ans à Antioche.

 La tradition chrétienne attesta la présence de Pierre à Rome, mais la date de son arrivée et la durée de son séjour sont inconnues de manière précise . Selon l’historien Géza Vermes, Eusèbe affirma que d’Antioche, Pierre se rendit à Rome sous le règne de Claude (41-54), à la poursuite de son adversaire de l’époque samaritaine quand il prêchait en Samarie, Simon le Magicien débarrassa Rome du bonhomme et de son influence. Dans la capitale impériale, Pierre prêcha le message chrétien. Selon certains critiques qui se fondèrent sur l’Épître aux Corinthiens (1 Co 1, 12) de Paul de Tarse, Pierre aurait quitté Rome pour un voyage missionnaire qui le vit passer en Achaïe, et il a l’occasion de visiter Corinthe.

Dans la première moitié des années 50, au plus tôt en 48, il fut à Jérusalem. Là, lors des réunions qui furent par la suite appelées « Concile de Jérusalem », il proposa la solution qui fut adoptée par Jacques le Juste en conclusion de l’assemblée, sur les obligations que devaient suivre les chrétiens venant du polythéisme. Il fallait que ces derniers observèrent un minimum de préceptes de la Torah en s’abstenant des souillures de l’idolâtrie, de l’immoralité, de la viande étouffée et du sang. Selon la tradition, il aurait été présent à Rome lorsque Paul rédigea l’Épître aux Romains.

 Confession de Pierre

Jésus, après avoir prié dans la solitude, demanda à ses disciples quelle opinion régnait parmi le peuple à son sujet. Ils répondirent qu’on le tint pour Jean-Baptiste, Élie ou l’un des anciens prophètes. Il leur demanda alors leur propre sentiment. Pierre répondit : « Tu es le Christ de Dieu  »  Jésus leur défendit de le révéler et ajouta : « Il faut que le fils de l’homme souffre beaucoup, qu’il soit mis à mort et qu’il ressuscite le troisième jour « 

Puis il dit à tous : « Si quelqu’un veut être mon disciple, il faut qu’il me suive dans la voie du renoncement et de la croix. «  Vouloir sauver sa vie, c’est la perdre : la perdre, c’est la sauver. Or note salut vaut plus que la possession du monde entier, parce que, au jour de sa gloire, le fils de l’homme aura honte de celui qui aura eu honte de lui devant les gens. Plusieurs de ceux qui furent ici ne moururent pas avant d’avoir vu le règne de Dieu.

Luc fut celui de tous les évangélistes qui fit remarquer le plus fréquemment ces prières de Jésus dans la solitude. Seul il rapporta que Jésus se préparait en priant. Comme le remarqua Monsieur Godet, il fut probable qu’il associa à sa prière ses disciples et les plaça ainsi dans des dispositions appropriées aux circonstances. L’entretien entre Jésus et ses disciples, eut lieu dans la contrée de Césarée de Philippe. Luc rattacha sa narration à celle de la multiplication des pains. tandis que Matthieu ei Marc intercalèrent un grand nombre de récits qu’il passa entièrement sous silence.

Dans les trois évangiles, Pierre reconnaît le Seigneur Jésus comme le Christ ; mais chaque évangéliste formula cette idée à sa manière :Matthieu : le Christ, le Fils du Dieu vivant ;Marc : le Christ ;Luc : le Christ de Dieu. Dans les trois synoptiques, cette première annonce des souffrances de Christ suit immédiatement la confession de Pierre : « Tu es le Christ. » Jésus défendit à ses disciples de le faire connaître. Mais c’est Luc qui fit ressortir avec le plus de clarté et de force le sens de ce rapprochement. .

La raison de cette interdiction est que Jésus ne voulait pas entretenir les espérances charnelles que nourrissaient ses adhérents. Ceux-ci attendaient un Messie glorieux, tandis que lui allait souffrir. Il ne voulait pas non plus provoquer avant le temps la haine de ses adversaires.

Ce motif ressort avec plus d’évidence encore du récit de Jean : après le miracle de la multiplication des pains, Jésus dut se soustraire à l’enthousiasme de la foule, qui voulait le proclamer roi. Matthieu et Marc rapportèrent l’opposition faite par Pierre aux souffrances de Jésus et la sévère répréhension que celui-ci lui adressa. Luc omit ce détail, qui fut au désavantage de Pierre ; mais il passa sous silence les paroles de Jésus : «Tu es bien heureux, …tu es la pierre sur laquelle je bâtirai mon Église», qui furent à la louange de Pierre. Certains critiques concluent que Luc, disciple de Paul, avait des préventions contre Pierre.

Diacre Michel Houyoux

♥ La confession de Pierre

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