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L’expérience pascale

Posté par diaconos le 12 avril 2022

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Jésus le vivant

Le Christ est mort pour nos péchés conformément aux Écritures, et il fut mis au tombeau ; il est ressuscité le troisième jour conformément aux Écritures, il est apparu à Pierre, puis aux Douze ; ensuite il est apparu à plus de cinq cents frères à la fois – la plupart sont encore vivants, et quelques-uns sont endormis dans la mort, ensuite il est apparu à Jacques, puis à tous les Apôtres. Et en tout dernier lieu, il est même apparu à l’avorton que je suis.(1 Co, 1-8)

La mort de Jésus serait restée un fait divers si des témoins n’avaient affirmé l’appariement  impossible et l’inattendu : Jésus est vivant. Luc dit dans les actes des Apôtres que c’est aux apôtres que Jésus s’était présenté vivant après sa mort (Ac 1, 3) Cette situation est attestée dans le premier discours de Pierre (Lc 2, 22-24)  : elle forme structure la plus ancienne de la confession de foi (1 Co 15, 3-5). Ce témoignage primitif de l’expérience pascale proclame que Jésus est vivant, qu’il a été vu par les apôtres et, à partir de cette expérience, les apôtres regardèrent avec des yeux nouveaux la vie historique de Jésus et sa passion  il est le Christ, il est le Messie.

L’expérience pascale n’ »est pas fondée sur la vision d’un miracle ou d’un prodige et ne parle pas de l’acte de la résurrection. Les textes les plus anciens sont des confession de foi et la prédication apostolique, contenue dans les Actes des apôtres, n’est pas un récit de l’évènement pascal mais l’annonce d’une Bonne Nouvelle  : les promesses de Dieu furent accomplies en Jésus de Nazareth. Les récits évangéliques furent des rédactions plus tardives, ils supposèrent connues les confessions de foi et les éléments fondateurs de la prédication des apôtres.

L’expérience pascale et la croix

Jésus avait, avec autorité, annoncé la venue du règne de Dieu et, pour s’y préparer, avait transformé radicalement les rapports avec Dieu. Jésus s’imposa vivant aux disciples incrédules. Cela signifie que Dieu en s’arrachant à la mort, approuve sa parole, son attitude,, sa liberté. La Résurrection de Jésus est pour une part, le sens de la croix.

Jésus n’est plus soumis aux conditions mortelles : il ne meurt plus ! Il n’est plus soumis à la loi de la mort, il est vivant de la vie de Dieu. Il ne fait pas réduire la vie nouvelle de Jésus à la puissance transformatrice de sa parole. La résurrection de Jésus est l’énergie toujours contemporaine de l’Esprit convertissant les hommes, les arrachant à leur esclavage pour les conduire à la liberté des enfants de Dieu. La résurrection de Jésus fut parfois imaginée comme l’abolition de ce qui fut : elle serait, dans ce cas, en discontinuité absolue avec son histoire. Ce dont les apôtres témoignèrent, ce fut que Jésus, le crucifié, est bien vivant : c’est dans la lumière de Pâques que Vendredi Saint prit pour eux une signification.

L’effort de réflexion des premiers chrétiens porta sur la relation entre la Croix et Pâques.  La résurrection de Jésus fut parfois imaginée comme l’abolition de ce qui fut : elle serait, dans ce cas, en discontinuité absolue avec son histoire. Ce dont les apôtres témoignèrent, ce fut que Jésus, le crucifié, est bien vivant : c’est dans la lumière de Pâques que Vendredi Saint prit pour eux une signification. L’effort de réflexion des premiers chrétiens porta sur la relation entre la Croix et Pâques. La communauté primitive découvrit dans l’Écriture ancienne des figures ou des catégories plus adaptées pour comprendre le destin contradictoire de Jésus.

La mort de Jésus a une fonction sociale : il est mort pour nous. Une des plus anciennes profession de foi,, Il l’‘exprime bien : Christ est mort pour nos péchés ( 1Co, 15-3). Cela signifie qu’aucune séparation ne devrait être opérée entre la Croix et Pâques : l’un et l’autre évènement donnent accès à Jésus, le Messie de Dieu. Vouloir prouver la résurrection de Jésus par les sciences historiques, c’est méconnaître la signification qu’elle n’acquit dans le témoignage apostolique.

Ce qui est historique, ce fut e témoignage des apôtres : d’incrédules désorientés, ils devinrent des croyants explicitant eux-mêmes  la raison de leur conversion : Jésus s’imposa à eux comme vivant. La vie, dont ils témoignèrent, fut l’ouverture d’un avenir insoupçonné :l’anticipation du Règne de Dieu qui vient. La résurrection de Jésus fut un évènement dont témoignèrent les apôtres sur la base d’une expérience bouleversante.

Compléments

◊ Serviteur de Dieu, il devient le serviteur des hommes : cliquez ici pour lire l’article →   Le service : Jésus serviteur

◊ Enjeux dans l’histoire des juifs : cliquez ici pour lire l’article →  Le procès de Jésus 

◊ Hypothèses de recherche : cliquez ici pour lire l’article  →  Témoignage de Jésus sur lui-même

◊ Témoignage de foi : cliquez ici pour lire l’article  →  Dieu l’a fait Seigneur et Christ

◊ En chemin vers le messie  : : cliquez ici pour lire l’article  →  On dit Jésus Messie mais…

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◊   Témoignage → Jésus est vivant – « Jésus lui dit : Je suis la résurrection et la vie.

Jésus, tu es le Christ, le Fils du Dieu vivant

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Mardi Saint

Posté par diaconos le 12 avril 2022

Mardi Saint dans Carême

L’un de vous me livrera. Le coq ne chantera pas avant que tu m’aies renié trois fois

En ce temps-là, au cours du repas que Jésus prenait avec ses disciples, il fut bouleversé en son esprit, et il rendit ce témoignage : « Amen, amen, je vous le dis : l’un de vous me livrera. » Les disciples se regardaient les uns les autres avec embarras, ne sachant pas de qui Jésus parlait. Il y avait à table, appuyé contre Jésus, l’un de ses disciples, celui que Jésus aimait. Simon-Pierre lui fait signe de demander à Jésus de qui il veut parler. Le disciple se penche donc sur la poitrine de Jésus et lui dit : « Seigneur, qui est-ce ? »

Jésus lui répond : « C’est celui à qui je donnerai la bouchée que je vais tremper dans le plat. » Il trempe la bouchée, et la donne à Judas, fils de Simon l’Iscariote. Et, quand Judas eut pris la bouchée, Satan entra en lui. Jésus lui dit alors : »Ce que tu fais, fais-le vite. » Mais aucun des convives ne comprit pourquoi il lui avait dit cela. Comme Judas tenait la bourse commune, certains pensèrent que Jésus voulait lui dire d’acheter ce qu’il fallait pour la fête, ou de donner quelque chose aux pauvres. Judas prit donc la bouchée, et sortit aussitôt.

Or il faisait nuit. Quand il fut sorti, Jésus déclara : « Maintenant le Fils de l’homme est glorifié, et Dieu est glorifié en lui. Si Dieu est glorifié en lui, Dieu aussi le glorifiera ; et il le glorifiera bientôt. Petits enfants, c’est pour peu de temps encore que je suis avec vous. Vous me chercherez, et, comme je l’ai dit aux Juifs : “Là où je vais, vous ne pouvez pas aller”, je vous le dis maintenant à vous aussi. » Simon-Pierre lui dit : « Seigneur, où vas-tu ? » Jésus lui répondit : « Là où je vais, tu ne peux pas me suivre maintenant ; tu me suivras plus tard. »

Pierre lui dit : « Seigneur, pourquoi ne puis-je pas te suivre à présent ? Je donnerai ma vie pour toi !  » Jésus réplique : «  Tu donneras ta vie pour moi ? Amen, amen, je te le dis : le coq ne chantera pas avant que tu m’aies renié trois fois. (Jn 13, 21-33.36-38)

 # Judas Iscarioth est, selon la tradition chrétienne, l’un des douze apôtres de Jésus de Nazareth. Selon les évangiles canoniques, Judas facilita l’arrestation de Jésus par les grands prêtres de Jérusalem, qui le menèrent ensuite devant Ponce Pilate. Figure controversée dans l’historiographie chrétienne, pour Jean-Pierre Lémonon, Judas reste une figure évanescente dont l’historicité peut à bon droit susciter le doute tant il ne paraît exister que pour sa place dans l’économie du Salut. Judas n’apparaît que trente fois dans les évangiles canoniques.

Le diminutif Jude semble avoir été privilégié pour les autres Judas des évangiles afin d’éviter la confusion avec le traître Judas. Il convient de ne pas confondre Judas Iscariote ni avec Jude, frère, de Jésus (Matthieu 13, 55), ni avec Judas de Jacques que celui-ci soit un frère de Jacques et donc le même que le précédent, ou qu’il soit le fils de Jacques, appelé Judas le Juste, dans la Liste des évêques de Jérusalem, où il fut le troisième de la liste. De même, il ne faut pas le confondre avec Jude Didyme Thomas, c’est-à-dire l’apôtre Thomas, tel qu’il est appelé dans l’évangile de Thomas ainsi que dans l’évangile selon Jean.

Éloignement de Judas

Après la sérieuse instruction que Jésus  donna à ses disciples, sa pensée se reporta avec douleur sur Judas, il en fut troublé en son esprit. Deux fois déjà, il  fit allusion au crime de ce malheureux ; maintenant le moment vint d’en avertir directement les disciples ; il le fit solennellement. Jésus rendit  un témoignage qu’il rend en ces termes si graves : En vérité, en vérité, puis il révèle ce fait inouï : l’un de vous me livrera. Cette révélation, nécessaire aux disciples, fut rapportée par les trois Matthieu, Marc et Luc, dans les mêmes termes.  (Matthieu 26.21 ; Marc 14.18 ; Luc 22.21). Preuve que Jean raconta le même souper que les synoptiques.

Chez les Orientaux, on se mettait à table à demi couché sur le côté gauche et appuyé sur les coussins d’un divan. Celui qui se trouvait à la droite de son voisin, était donc penché sur sa poitrine. Jean, évitant de se nommer, se désigna par ces mots : « Celui que Jésus aimait « .

Dans le repas de la Pâque, le père de famille donnait aux convives des morceaux de pain trempés dans un brouet de fruits cuits . En donnant ainsi le morceau à Judas, Jésus le désigna à Jean ; mais en même temps, il adressa un suprême appel à la conscience du traitre. Jésus parla à voix basse, de manière à n’être entendu que de Jean, et cela par ménagement pour Judas. Dans les autres évangiles, de même, Jésus désigna Judas en termes vagues. Des disciples qui demandèrent : « Est-ce moi, Seigneur ? »

Et quand Judas poussa l’hypocrisie jusqu’à dire aussi : « Est-ce moi ? » Jésus lui répondit ouvertement : « Tu l’as dit ! »   Jésus parla à voix basse, de manière à n’être entendu que de Jean, et cela par ménagement pour Judas. Dans les autres évangiles, de même, Jésus désigna Judas en termes vagues.  Des disciples qui demandèrent :  » Est-ce moi, Seigneur ?  » Et quand Judas poussa l’hypocrisie jusqu’à dire aussi  : « Est-ce moi ?  » Jésus lui répondit ouvertement : « Tu l’as dit ! «  

Judas, en cédant à ses passions, à l’avarice ouvrit son cœur à l’influence du démon ; puis, se voyant déçu dans son ambition, irrité de ne pas trouver en suivant Jésus ce qu’il avait espéré, il n’éprouva plus pour lui qu’une sorte de répulsion et de haine. Ce fut sous l’influence de l’esprit de ténèbres qu’il conçut l’idée horrible de sa trahison. Il s’endurcit et se livra ainsi à la puissance de l’esprit du mal. Ce repas ne put avoir lieu le soir du 14 Nisan, selon la chronologie des synoptiques ; car comment acheter ce qu’il fallait pour la fête, puisque la fête était commencée par son acte le plus important, et que, dès lors, des achats n’étaient plus être permis.

Les défenseurs de la date fournie par les synoptiques répondirent qu’il s’agissait de provisions pour toute la durée de la fête. Ils citèrent le passage Exode 12.16 d’après lequel la foi autorisait les familles israélites, même le 15 nisan, à  préparer la nourriture de chaque personne, et en conclurent qu’on pouvait même faire des achats. Ils objectèrent que si ce repas avait eu lieu le 13, les disciples ne penseraient pas qu’il fallût faire en toute hâte des approvisionnements pour la fête.

L’entretien touchant Judas, pendant lequel Jésus lui donna le morceau trempé, eut lieu avant l’institution de la cène, et ce disciple sortit aussitôt qu’il eut pris le morceau, il ne participa pas à la cène. Luc seul rapporta ces événements de manière à autoriser une conclusion différente. Pierre eut compris que Jésus les quitta pour être glorifié.

Diacre Michel Houyoux

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◊ La croix : cliquez ici pour lire l’article  → Mardi saint : « Jésus, que j’aimais tant, trois fois je t’ai lâché.

◊  Vie chrétienne : cliquez ici pour lire l’article → Mardi Saint – Homélie

♥ Mardi saint. L’un de vous me livrera

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Resurrezione del Signore nell’anno C

Posté par diaconos le 12 avril 2022

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La visita delle donne e la visita di Pietro alla tomba

Il primo giorno della settimana, alle prime luci dell’alba, le donne andarono alla tomba, portando le spezie che avevano preparato. Trovarono la pietra arrotolata sul lato della tomba. Entrarono, ma non trovarono il corpo del Signore Gesù. Mentre erano sconvolti, ecco che due uomini si presentarono davanti a loro in vesti sfolgoranti. Avevano paura e tenevano il viso chino a terra. Dissero loro: « Perché cercate il Vivente tra i morti? Non è qui, è risorto.

Ricordatevi di ciò che vi disse quando era ancora in Galilea : « Il Figlio dell’uomo deve essere consegnato nelle mani dei peccatori, essere crocifisso e il terzo giorno risorgere ». Poi si ricordarono delle parole che aveva detto. Quando tornarono dalla tomba, riferirono tutto questo agli undici e a tutti gli altri. Queste erano Maria Maddalena, Giovanna e Maria madre di Giacomo; le altre donne che erano con loro dissero la stessa cosa agli apostoli. Ma loro pensavano che fosse una follia e non ci credevano. Allora Pietro si alzò e corse alla tomba, ma quando si chinò vide i teli di lino, e solo loro. Tornò a casa stupito per quello che era successo. (Lc 24,1-12)

 La visita delle donne e la visita di Pietro alla tomba

Dopo aver osservato il riposo prescritto il sabato, le donne portarono le loro spezie alla tomba all’inizio del primo giorno della settimana, e la trovarono vuota. Due uomini in abiti chiari apparvero loro e dissero loro che Gesù era risorto, come aveva annunciato. Queste donne, di cui Luca fece i nomi, raccontarono agli undici ciò che avevano visto e sentito, ma non incontrarono altro che incredulità. Pietro corse alla tomba, guardò dentro e tornò stupito.

Le donne arrivarono alla tomba e la trovarono aperta e vuota. Videro un’apparizione di angeli che dissero loro che Gesù era risorto e che i suoi discepoli lo avrebbero visto in Galilea. Le donne andarono rapidamente a raccontare ai discepoli ciò che avevano visto e sentito.

Per quanto riguarda le apparizioni di Gesù ai discepoli, nella tradizione apostolica si erano formate due correnti che si riflettevano nei vangeli: una (Matteo e Marco) si limitava al colloquio solenne in Galilea ; l’altra (Luca) riportava in dettaglio le apparizioni di Gesù a Gerusalemme e dintorni il giorno della sua resurrezione. A questo si deve aggiungere che Giovanni ha raccontato apparizioni in Giudea e Galilea che i sinottici non menzionano.

I quattro vangeli concordano su questo doppio fatto: la pietra della tomba rotolata via e la tomba vuota. Solo Matteo ci dice che quando l’angelo apparve ci fu un terremoto e che la pietra fu rotolata via. Sempre e in mille modi, la fede oscurata cerca i vivi tra i morti. Solo Luca ha conservato questa parola sorprendente e profonda. Secondo Matteo e Marco, l’angelo invitò nuovamente le donne a vedere la tomba e ad assicurarsi che fosse vuota.

 Queste ripetute predizioni di Gesù, che i discepoli stessi non avevano voluto capire, avevano fatto così poca impressione sulle loro menti che non si aspettavano né la sua morte né la sua risurrezione. Ricordare loro questo era un modo efficace per ravvivare la loro fede vacillante. Allora le donne si affrettarono a portare loro questo messaggio degli angeli. Nella parola citata dall’angelo, Gesù era chiamato Figlio dell’Uomo, un nome che gli piaceva darsi ; ma dopo la sua risurrezione, non si chiamò più con quel nome.

Tutti gli altri erano i discepoli di Gesù che si erano uniti alla compagnia degli undici e che rimasero al loro fianco in quei giorni di afflizione e di lutto. Sebbene i discepoli non credessero al messaggio delle donne, Pietro, sempre ansioso e veloce ad agire, si alzò e corse alla tomba per vedere di persona. Il resto del racconto di Luca conferma l’autenticità della resurrezione di Gesù. Ha la testimonianza unanime dei manoscritti, delle versioni antiche e dei Padri, con le poche eccezioni indicate. Codex Sinaiticus, B omettere: a terra (greco sdraiato); Codex Sinaiticus.

Il Diacono Michel Houyoux

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◊  DON LUIGI BOSIO – OMELIE : clicca qui per leggere l’articolo  → Domenica di Pasqua – Resurrezione del Signore (Anno C)

◊   Parrochia Nostra Signora de la Salette  :  clicca qui per leggere l’articolo  → Domenica di Pasqua: Risurrezione del Signore – Anno C

♥ Omelia di don Alessio Bianchi

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