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Fortification par les sacrements

Posté par diaconos le 15 mai 2022

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Fortification par les sacrements !

Nous sommes nombreux à être offusqués de ce que des catholiques réguliers à la messe dominicale, participant activement aux activités de la paroisse ne changent pas, paraissent méchants, ont du mal à pardonner aux autres. Les sacrements, malgré leur puissance sanctificatrice, n’ont aucun effet sur eux comme les médicaments sur un mort clinique. Depuis le péché originel, l’homme vient au monde configuré au Malin, c’est ce que le bienheureux apôtre Paul appelle la vie de la chair.

Il nous faut attendre le second cycle spirituel de la religion catholique appelé la Grâce pour que nous passions de l’immortification par les sacrements à la mortification par les sacrements. On parle de mortification par les sacrements quand ceux-ci tuent la vie de la chair à ce catholique. La transition spirituelle se fera par la mise en œuvre de la catéchèse post baptismale à venir. Car c’est son fruit appelé la vertu de la charité qui donnera une irrésistible puissance sanctificatrice aux sacrements. Conclusion : un avenir radieux s’annonce pour les fidèles parmi les catholiques !

Compléments

L’Eucharistie est appelée le sacrement par excellence  : cliquez ici pour lire l’article → Le Temps de Grâce de la mère Église catholique

◊ Don du Christ qui se donne lui-même en nourriture : cliquez ici pour lire l’article → Fête du Saint Sacrement (Fête-Dieu)

◊ cherchez à obtenir ce qu’il y a de meilleur : cliquez ici pour lire l’article → La charité est le tout de la vie chrétienne

Liens avec d’autres sites web chrétiens

◊ En avouant ses faiblesses, il fait grandir sa foi. : cliquez ici pour lire l’article → Comment le sacrement de la confession fortifie la foi

◊ Traditions monastiques   : cliquez ici pour lire l’article → Les sacrements, sacramentaux et les bénédictions  

♥ La foi prise au mot

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Lundi de la cinquième semaine du Temps pascal dans l’année C

Posté par diaconos le 15 mai 2022

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Évangile de Jésus Christ selon Jean

En ce temps-là, Jésus disait à ses disciples : «  Celui qui reçoit mes commandements et les garde, c’est celui-là qui m’aime ; et celui qui m’aime sera aimé de mon Père ; moi aussi, je l’aimerai, et je me manifesterai à lui. »  Jude – non pas Judas l’Iscariote – lui demanda : «  Seigneur, que se passe-t-il ? Est-ce à nous que tu vas te manifester, et non pas au monde ? » Jésus lui répondit : «  Si quelqu’un m’aime, il gardera ma parole ; mon Père l’aimera, nous viendrons vers lui et, chez lui, nous nous ferons une demeure.

Celui qui ne m’aime pas ne garde pas mes paroles. Or, la parole que vous entendez n’est pas de moi : elle est du Père, qui m’a envoyé. Je vous parle ainsi, tant que je demeure avec vous ; mais le Défenseur, l’Esprit Saint  que le Père enverra en mon nom, lui, vous enseignera tout, et il vous fera souvenir de tout ce que je vous ai dit. » (Jn 14, 21-26)

Gardez la Parole de Jésus, c’est y demeurer

Jé­sus pro­clama une de ces vé­ri­tés pro­fondes qui ren­ferment des tré­sors de conso­la­tion et d’es­pé­rance. Garder sa parole, c’est y demeurer, en faire l’­élé­ment de votre vie in­té­rieure, la pra­ti­quer dans toute votre conduite :  Jésus lui répondit : « Si quelqu’un m’aime, il gardera ma parole, et mon Père l’aimera ; nous viendrons à lui, et nous ferons notre demeure chez lui. Celui qui ne m’aime pas ne garde point mes paroles. Et la parole que vous entendez n’est pas de moi, mais du Père qui m’a envoyé. «  (Jn 14, 23-24)

Qui­conque vit de cette pa­role, pos­sède la vie éter­nelle : il ne verra jamais la mort. Pour Jé­sus la mort du corps n’est pas la mort mais un som­meil. Jésus leur  dit : « Retirez-vous ; car la jeune fille n’est pas morte, mais elle dort. Et ils se moquaient de lui » (M 9, 24),  le pas­sage à la plé­ni­tude de la vie. La mort vraie, com­plète, est celle de l’âme sa sé­pa­ra­tion d’a­vec Dieu, or une telle mort est de­ve­nue im­pos­sible pour ce­lui qui pos­sède en Dieu la vie éter­nelle.

Les Juifs, pre­nant le mot de mort dans un sens pu­re­ment ma­té­riel, s’af­fer­mirent dans leur opi­nion in­ju­rieuse que Jé­sus fut fou, qu’il parla sous l’in­fluence d’un démon. Les plus grands hommes de Dieu :  « Abraham, les prophètes furent morts ; et toi, tu pré­tends avoir la puis­sance d’exemp­ter de la mort ! Qui prétends-tu être ? « 

Jé­sus ré­pondit à ceux qui l’ac­cusèrent de s’é­le­ver lui-même jus­qu’à pré­tendre dé­li­vrer de la mort : « Si c’est moi, moi seul, qui me glorifie, cette gloire est vaine ; mais je la puise tout en­tière dans mon unité avec mon Père. Ce fut lui, dont vous dirent : il est notre Dieu, qui me glorifie. S’il fut vrai­ment votre Dieu, vous crurent en moi ; mais votre opposition eut contre­dit vos pa­roles. »

Mal­gré la ré­vé­la­tion de Dieu dans sa Pa­role, ils furent dans cette pro­fonde igno­rance, à cause de leur aveu­gle­ment mo­ral. Mais Jé­sus le connut et il garda sa parole, car il fut avec lui dans une com­plète unité de vo­lonté et d’a­mour. Ce fut à ce ca­rac­tère que les Juifs durent re­con­naître la vé­rité di­vine de ses pa­roles. In­di­gné de leur ré­sis­tance à cette vé­rité, Jésus leur rap­pela l’es­prit de mensonge qui en fut la cause et qu’il leur eut déjà si­gnalé : « Et il est écrit dans votre loi que le témoignage de deux hommes est vrai.  » (Jn 8, 17)

Jé­sus, après s’être jus­ti­fié du re­proche de se glo­ri­fier lui-même, aborda la ques­tion po­sée par les Juifs : « Es-tu plus grand qu’A­bra­ham ?  » Jésus répondit : « Oui, je le suis »  puisque il fut l’ob­jet de l’es­pé­rance et de la joie de ce pa­triarche. L’é­vé­ne­ment après le­quel sou­pi­ra Abra­ham, et que Jé­sus ap­pela mon jour, ne put être que l’ap­pa­ri­tion du Sau­veur sur la terre, pour ac­com­plir la ré­demp­tion du monde :   »Et il dit aux disciples: Des jours viendront où vous désirerez voir l’un des jours du Fils de l’homme, et vous ne le verrez point.  » (Lc 17, 22)

Mais quand fusse qu’A­bra­ham eut tressailli dans l’es­pé­rance de voir ce jour de Christ ? Et quand le vit-il et s’en fut réjoui ? Car ce furent ces deux joies suc­ces­sives que Jé­sus attribua à Abraham. Les Pères de l’Église et les ré­for­ma­teurs rapportèrent gé­néra­le­ment ce fait à la vie d’A­bra­ham sur la terre et l’ex­pliquèrent par sa foi aux pro­messes de Dieu, soit par une vi­sion pro­phé­tique : « C’est dans la foi qu’ils sont tous morts, sans avoir obtenu les choses promises; mais ils les ont vues et saluées de loin, reconnaissant qu’ils étaient étrangers et voyageurs sur la terre.  »  (He 11, 13)

De ce qu’A­bra­ham vit le jour de Christ, il pa­rut ré­sul­ter que Christ eut dû voir Abraham, c’est-à-dire avoir existé deux mile ans avant son temps. Quelle ab­sur­dité pour des Juifs ! Bien que Jé­sus n’eût que trente et quelques an­nées, les Juifs dirent :  » Tu n’as pas encore cinquante ans », afin d’être sûrs de dé­pas­ser son âge dans leur es­ti­ma­tion. Ils voulurent dire :  » Tu n’es pas en­core un vieillard »   Voici ce qui concerne les Lévites. Depuis l’âge de vingt-cinq ans et au-dessus, tout Lévite entrera au service de la tente d’assignation pour y exercer une fonction. Depuis l’âge de cinquante ans, il sortira de fonction, et ne servira plus.  (Nb 8, 24-25)

Le devenir ap­par­tient à tout ce qui est créé ; l’être ab­solu, éter­nel, ap­par­tient à Dieu seul, et c’est dans ce sens que Jé­sus-Christ parla ici. Ils com­prirent. De­vant cette ré­ponse, il ne res­ta aux Juifs qu’à ado­rer, … ou à la­pi­der . Jé­sus se cacha dans la foule qui l’en­tou­ra et où ses dis­ciples purent fa­ci­li­ter son éva­sion. Ainsi il sortit du temple pour se sous­traire aux des­seins meur­triers de ses en­ne­mis. C’est ici le terme de la lutte la plus vio­lente que Jé­sus eut à sou­te­nir en Ju­dée.

Diacre Michel Houyoux

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◊ Père Gilbert Adam : cliquez ici pour lire l’article → Lundi de la 5e semaine de Pâques

♥ Le plus grand des commandements

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Cinquième dimanche du temps pascal dans l’année C

Posté par diaconos le 15 mai 2022

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De l’évangile selon Jean

Au cours du dernier repas que Jésus prenait avec ses disciples, quand Judas fut sorti du cénacle, Jésus déclara : « Maintenant le Fils de l’homme est glorifié, et Dieu est glorifié en lui.     Si Dieu est glorifié en lui, Dieu aussi le glorifiera ; et il le glorifiera bientôt. Petits enfants, c’est pour peu de temps encore que je suis avec vous. Je vous donne un commandement nouveau : c’est de vous aimer les uns les autres. Comme je vous ai aimés, vous aussi aimez-vous les uns les autres. À ceci, tous reconnaîtront que vous êtes mes disciples : si vous avez de l’amour les uns pour les autres. » (Jn 13, 31-33a.34-35)

Auteur  Père Marie Landry Bivina

En ce dimanche, Seigneur, je te prie pour tous les chrétiens dispersés dans le monde entier qui, aujourd’hui, seront unis par la célébration de l’Eucharistie. Que ma prière s’unisse à la leur ! Répands tes grâces sur tous ceux qui en ont aujourd’hui le plus besoin.  Ô mon Dieu, toi qui as envoyé ton Fils pour me sauver et pour faire de moi ton enfant d’adoption, regarde ma vie avec la bonté du Père que tu es. Donne-moi la grâce de la vraie liberté et de la vie éternelle. Je te le demande pour moi et pour tous les hommes.

Aujourd’hui Jésus nous invite à nous aimer les uns les autres. Même dans ce monde si compliqué où nous devons vivre, compliqué à cause du bien et du mal qui s’y mêlent et s’y amalgament. Fréquemment, nous sommes tentés de le regarder comme une fatalité, une mauvaise nouvelle, alors que nous, les chrétiens, sommes censés apporter la Bonne Nouvelle de Jésus-Christ dans notre monde violent et injuste. En effet, Jésus nous dii de nous aimer les uns les autres, comme Il nous a aimés.  (Jn 13, 34).

Auteur +PÈRE MARIE LANDRY C +MPS

Et une bonne façon de nous aimer, de mettre en pratique la Parole de Dieu, c’est d’annoncer, à tout heure, en tous lieux, la Bonne Nouvelle, l’Évangile, que n’est que Jésus-Christ lui-même. « Mais ce trésor, nous, les Apôtres, nous le portons en nous comme dans des poteries sans valeur » (2Co 4,7). Quel est ce trésor ? La Parole, Dieu Lui-même, et nous, nous sommes les poteries sans valeur. Mais ce trésor est une richesse que nous ne pouvons pas garder pour nous, car nous devons la répandre : « Allez donc! De toutes les nations faites des disciples (…), et apprenez-leur à garder tous les commandements que je vous ai donnés.

Et moi, je suis avec vous tous les jours jusqu’à la fin du monde. (Mt 28,19-20). Jean Paul II a écrit : « Celui qui a vraiment rencontré le Christ ne peut le garder pour lui-même, il doit l’annoncer »Annonçons, donc, l’Evangile avec confiance ; faisons-le, n’importe où, par tout les moyens dont nous disposons: en paroles, en œuvres et en pensée, par le journal, par l’Internet, au travail et auprès de nos amis : « Que votre sérénité soit connue de tous les hommes. Le Seigneur est proche » (Ph 4, 5).

Ô mon Dieu, toi qui as envoyé ton Fils pour me sauver et pour faire de moi ton enfant d’adoption, regarde ma vie avec la bonté du Père que tu es. Donne-moi la grâce de la vraie liberté et de la vie éternelle. Je te le demande pour moi et pour tous les hommes.

Aujourd’hui Jésus nous invite à nous aimer les uns les autres. Même dans ce monde si compliqué où nous devons vivre, compliqué à cause du bien et du mal qui s’y mêlent et s’y amalgament. Fréquemment, nous sommes tentés de le regarder comme une fatalité, une mauvaise nouvelle, alors que nous, les chrétiens, sommes censés apporter la Bonne Nouvelle de Jésus-Christ dans notre monde violent et injuste. En effet, Jésus nous dit «de nous  Ô mon Dieu, toi qui as envoyé ton Fils pour me sauver et pour faire de moi ton enfant d’adoption, regarde ma vie avec la bonté du Père que tu es. Donne-moi la grâce de la vraie liberté et de la vie éternelle. Je te le demande pour moi et pour tous les hommes.

Viens grandir en moi, Jésus, dans mon esprit, dans mon cœur, dans mes idées, dans mes sens. Viens grandir en moi, Jésus, dans ta bonté, dans ta pureté, dans ton humilité, dans ton zèle et ton amour. Viens aimer en moi tous mes frères les hommes. En effet, Jésus nous dit «de nous aimer les uns les autres, comme Il nous a aimés» (Jn 13,34). Et une bonne façon de nous aimer, de mettre en pratique la Parole de Dieu, c’est d’annoncer, à tout heure, en tous lieux, la Bonne Nouvelle, l’Évangile, que n’est que Jésus-Christ lui-même.

«Mais ce trésor, nous, les Apôtres, nous le portons en nous comme dans des poteries sans valeur» (2Co 4,7). Quel est ce trésor? La Parole, Dieu Lui-même, et nous, nous sommes les poteries sans valeur. Mais ce trésor est une richesse que nous ne pouvons pas garder pour nous, car nous devons la répandre: «Allez donc! De toutes les nations faites des disciples (…), et apprenez-leur à garder tous les commandements que je vous ai donnés. Et moi, je suis avec vous tous les jours jusqu’à la fin du monde» (Mt 28,19-20). Jean Paul II a écrit— «Celui qui a vraiment rencontré le Christ ne peut le garder pour lui-même, il doit l’annoncer».

Annonçons, donc, l’Evangile avec confiance; faisons-le, n’importe où, par tout les moyens dont nous disposons: en paroles, en œuvres et en pensée, par le journal, par l’Internet, au travail et auprès de nos amis : « .Que votre sérénité soit connue de tous les hommes. Le Seigneur est proche »   Ph 4,5). Par conséquent, comme le Pape Jean Paul II le souligne, il faut employer les nouvelles technologies, sans ménagement, sans aucune honte, pour faire connaître aujourd’hui les Bonnes Nouvelles de l’Église, sans oublier que ce n’est que si nous sommes des personnes de bonne volonté et changeons notre cœur, que nous réussirons à transformer aussi notre monde.

Quand il fut sorti, Jésus déclara : « Maintenant le Fils de l’homme est glorifié, et Dieu est glorifié en lui. Si Dieu est glorifié en lui, Dieu en retour lui donnera sa propre gloire ; et il la lui donnera bientôt. Mes petits enfants, je suis encore avec vous, mais pour peu de temps, et vous me chercherez. Je vous donne un commandement nouveau: c’est de vous aimer les uns les autres. Comme je vous ai aimés, vous aussi aimez-vous les uns les autres. Ce qui montrera à tous les hommes que vous êtes mes disciples, c’est l’amour que vous aurez les uns pour les autres..

En effet, Jésus nous dit de nous aimer les uns les autres, comme Il nous a aimés. Une bonne façon de nous aimer, de mettre en pratique la Parole de Dieu, c’est d’annoncer, à tout heure, en tous lieux, la Bonne Nouvelle, l’Évangile, que n’est que Jésus-Christ lui-même. «Mais ce trésor, nous, les Apôtres, nous le portons en nous comme dans des poteries sans valeur.. Quel est ce trésor ? La Parole, Dieu Lui-même, et nous, nous sommes les poteries sans valeur.

Mais ce trésor est une richesse que nous ne pouvons pas garder pour nous, car nous devons la répandre : « Allez donc! De toutes les nations faites des disciples (…), et apprenez-leur à garder tous les commandements que je vous ai donnés. Et moi, je suis avec vous tous les jours jusqu’à la fin du monde» (Mt 28,19-20). Jean Paul II a écrit : « Celui qui a vraiment rencontré le Christ ne peut le garder pour lui-même, il doit l’annoncer ». Annonçons, donc, l’Evangile avec confiance ; faisons-le, n’importe où, par tout les moyens dont nous disposons en paroles, en œuvres et en pensée, au travail et auprès de nos amis. : « Que votre sérénité soit connue de tous les hommes. Le Seigneur est proche » (Ph 4,5).

Par conséquent, comme le Pape Jean Paul II le souligne, il faut employer les nouvelles technologies, sans ménagement, sans aucune honte, pour faire connaître aujourd’hui les Bonnes Nouvelles de l’Église, sans oublier que ce n’est que si nous sommes des personnes de bonne volonté et changeons notre cœur, que nous réussirons à transformer aussi notre monde. En ce dimanche, Seigneur, je te prie pour tous les chrétiens dispersés dans le monde entier qui, aujourd’hui, seront unis par la célébration de l’Eucharistie. Que ma prière s’unisse à la leur ! Répands tes grâces sur tous ceux qui en ont aujourd’hui le plus besoin.

Ô mon Dieu, toi qui as envoyé ton Fils pour me sauver et pour faire de moi ton enfant d’adoption, regarde ma vie avec la bonté du Père que tu es. Donne-moi la grâce de la vraie liberté et de la vie éternelle. Je te le demande pour moi et pour tous les hommes.

Contact  Marie Landry Bivina

♥ L’amour fraternel

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