• Accueil
  • > Archives pour le Mercredi 20 juillet 2022

Jeudi de la seizième semaine dans le Temps Ordinaire de l’année C

Posté par diaconos le 20 juillet 2022

Dimanche 16 juillet 2017 / « Le semeur sortit pour semer » (Mt 13, 1-23) / Messe chantée à 11h30

Le semeur sortit pour semer

La parabole du semeur est une parabole évangélique racontée dans les trois Évangiles synoptiques : Matthieu XIII, 1-23 ; Marc IV, 1-20 ; Luc VIII, 4-15 (ainsi que dans l’Évangile apocryphe selon Thomas. Le semeur, qui représente Jésus, jette les graines dont certaines tombent sur le bord du chemin, sur les roches et dans des buissons d’épines, et la semence est donc perdue; en revanche lorsqu’elles tombent dans de la bonne terre, elles produisent du fruit jusqu’au centuple.

L’Église orthodoxe utilise actuellement trois liturgies eucharistiques : celle de saint Basile (utilisée une dizaine de fois dans l’année, particulièrement durant le Grand Carême et pour la Saint-Basile), la liturgie des saints dons présanctifiés (en semaine, durant le Grand Carême), et la liturgie de saint Jean Chrysostome, utilisée tout le reste de l’année. Quelques églises locales utilisent encore aussi la liturgie de saint Jacques.

De l’Évangile de Jésus Christ selon Matthieu

En ce temps-là, les disciples s’approchèrent de Jésus et lui dirent : «  Pourquoi leur parles-tu en paraboles ? «  Il leur répondit : « À vous il est donné de connaître les mystères du royaume des Cieux, mais ce n’est pas donné à ceux-là. À celui qui a, on donnera, et il sera dans l’abondance ; à celui qui n’a pas, on enlèvera même ce qu’il a. Si je leur parle en paraboles, c’est parce qu’ils regardent sans regarder, et qu’ils écoutent sans écouter ni comprendre. Ainsi s’accomplit pour eux la prophétie d’Isaïe : Vous aurez beau écouter, vous ne comprendrez pas. Vous aurez beau regarder, vous ne verrez pas.

Le cœur de ce peuple s’est alourdi : ils sont devenus durs d’oreille, ils se sont bouché les yeux, de peur que leurs yeux ne voient, que leurs oreilles n’entendent, que leur cœur ne comprenne, qu’ils ne se convertissent, et moi, je les guérirai. Mais vous, heureux vos yeux puisqu’ils voient, et vos oreilles puisqu’elles entendent ! Amen, je vous le dis : beaucoup de prophètes et de justes ont désiré voir ce que vous voyez, et ne l’ont pas vu, entendre ce que vous entendez, et ne l’ont pas entendu. » (Mt 13, 10-17)

Accueille la Parole de Dieu dans ton cœur et tu porteras beaucoup de fruits

 Il y a 2000 ans, en Galilée (pays de Jésus), certaines personnes vivaient des travaux des champs comme le  semeur de ce récit. … À cette époque, on semait à la volée et la semence tombait un peu partout… De nos jours encore, dans des régions pauvres, des gens travaillent toujours de cette manière et les récoltes sont assez médiocres.  Le semeur de l’Évangile de Matthieu qui sème à tout vent, c’est Jésus qui, à travers cette histoire, nous parle de lui-même et de la mission qu’il accomplit au milieu des hommes. La mission de Jésus est de semer à temps et à contre temps car c’est ainsi que le royaume de Dieu s’approche des gens.

 Par cette histoire, Jésus nous enseigne que sa Parole et ses sacrements sont appelés à se développer en nous, à porter du fruit. Dans la graine semée, tout est déjà là pour que l’arbre prenne racine et grandisse… mais en même temps, il est nécessaire que le terrain soit préparé, arrosé, entretenu… Jésus attend de nous une réponse pleine d’amour. Notre réponse sera la vie que nous mènerons.  Cependant, dans la parabole du semeur, il y a quelque chose de tragique : que de semence perdue, que de paroles refusées ou combattue ! Le semeur aurait-il perdu son temps pour rien ?

  » D’autres sont tombés sur la bonne terre, et ils ont donné du fruit à raison de cent, ou soixante, ou trente pour un.  Celui qui a des oreilles, qu’il entende ! «   (Mt 13, 8-9)  C’est une extraordinaire leçon d’espérance que Jésus nous donne ici. Malgré tous les échecs, une récolte se fera. Papas et mamans, vous qui constatez tant de difficultés en vos enfants, ne renoncez pas à lancer la semence. Jeunes gens, jeunes filles qui n’avez pas encore réussi telle ou telle de vos entreprises, écoutez ce message optimiste et réaliste de Jésus. Notre monde, aujourd’hui, a toujours besoin de ce message prononcé il y a deux mille ans.

 Jésus sème avec obstination, il est sûr qu’en dépit des pertes inévitables, la semence donnera du fruit.  Pour recevoir le message de cet Évangile, il faut nous disposer à bien l’entendre. L’écouter c’est nous unir à toutes les personnes qui se rassemblent autour du Christ, attentives à sa Parole. Le plus grand obstacle à la réception du message évangélique est l’endurcissement du cœur. Prier, c’est nous unir à la Parole de Dieu qui nous est dite.

 Derrière la personne qui écoute la parole de Dieu, il y a un ennemi redoutable que Jésus appelle le mauvais : « Quand l’homme entend la parole du Royaume sans la comprendre, le Mauvais survient et s’empare de ce qui est semé dans son cœur : cet homme, c’est le terrain ensemencé au bord du chemin.  » (Mt 13, 19). Auprès de l’incroyant, la foi n’a pas commencé à germer. : « Celui qui a reçu la semence sur un sol pierreux, c’est l’homme qui entend la Parole et la reçoit aussitôt avec joie ;  mais il n’a pas de racines en lui, il est l’homme d’un moment » (Mt 13, 20-21a).

 C’est selon Jésus le croyant qui fait défection, c’est toute personne qui a abandonné sa foi comme le dit saint Luc dans son Évangile : « Ceux qui sont dans les pierres, lorsqu’ils entendent, ils accueillent la Parole avec joie ; mais ils n’ont pas de racines, ils croient pour un moment, et, au moment de l’épreuve, ils abandonnent. » (Lc 8, 13).  S’enthousiasmer pour Jésus quand tout va bien et l’abandonner quand tout va mal, c’est une situation assez fréquente, hélas !

La personne qui reçoit la semence dans les ronces est celle qui se laisse emporter par l’ambiance d’incroyance qui l’entoure. Ici, la foi est progressivement anémiée, étouffée : tout le reste a pris le dessus.  Enfin, il y a ceux qui ont reçu la semence dans la bonne terre : ce sont les personnes qui entendent la Parole de Dieu et la comprennent : « Celui qui a reçu la semence dans la bonne terre, c’est l’homme qui entend la Parole et la comprend ; il porte du fruit à raison de cent, ou soixante, ou trente pour un. » (Mt 13, 23) Le Seigneur a semé aujourd’hui chez vous. Mon souhait est que vous puissiez, vous aussi, porter du fruit en abondance.

Diacre Michel Houyoux

 Liens avec d’autres sites web chrétiens

◊ Catholique.org   : cliquez ici pour lire  pour lire l’article →  jeudi, 16ème semaine du temps ordinaire

◊Diocèse d’Arras (France)  : cliquez ici pour lire  pour lire l’article → Le semeur sortit pour semer

  Vidéo Oratoire du Louvres  :  » Un semeur sortit pour semer »

Image de prévisualisation YouTube

Publié dans Catéchèse, Page jeunesse, Religion, Temps ordinaire | Pas de Commentaire »

Apprenez à faire le bien : recherchez le droit

Posté par diaconos le 20 juillet 2022

Apprenez à faire le bien : recherchez le droit dans Carême eI4kH6Q9wZ3CP9K3hx1DrHiMsjc

Le Bien est, avec l’Un et le Vrai, l’un des trois transcendantaux de la Scolastique ; il est surtout de nos jours la valeur normative de la morale, avec comme opposé le Mal. La détermination de ce qui est bien ou mal peut se faire dans le cadre des règles de civilité, de l’honneur, de l’utilité collective, de l’intérêt public, ou au contraire particulier. Ces différents ordres peuvent être en contradiction : ce qui est bien dans un domaine, peut ne pas l’être sur un autre plan ; on parle alors soit de dilemme, soit de conflit d’intérêts.

Depuis l’origine de la pensée philosophique, des accentuations différentes sur le sens prédominant de la notion de Bien ont été successivement mises en avant comme le montre le plan du Dictionnaire des concepts  philosophiques1. Au point de vue d’une philosophie, la signification et la pertinence même des concepts de bien et de mal ont fait l’objet de nombreuses analyses divergentes. Selon les Définitions de Platon, le Bien est « ce qui n’a d’autre fin que soi-même

Employé comme nom en métaphysique, le Bien désigne ce qui est absolument désirable. Il est donc partie liée au désir, et plus particulièrement au désir défini comme positivité, c’est-à-dire comme générateur de valeur – et non ici comme négativité, comme manque. Il s’agit là du désir humain basé sur l’esprit contrairement au désir animal qui est basé sur les sens. Ainsi, quand Socrate dit que « celui qui commet une faute se montre mauvais archer de l’existence : il vise mal la cible qui est la même pour tous : le bien »[réf. nécessaire], il explique que le désir humain est de faire le bien mais il faut bien comprendre qu’il ne s’agit pas du désir animal qui au contraire pousse l’homme dans le monde des animaux, dans l’erreur.

Le « bien » est un terme qui figure dans de nombreuses œuvres philosophiques et dont les interprétations varient quelque peu. On différencie le « Bien », valeur catégorique, suprême, idéale, et le « bien » ou le « bon », état relatif et restreint (cela prend part aux distinctions typographiques propre à la philosophie, telle « Idée » et « idée » qui se réfèrent à des concepts distincts). Un acte annoncé « bien » est donc, s’il est à effectuer, une chose que l’on doit réaliser, et s’il a déjà été accompli, une chose approuvée. À ce sujet Spinoza indique : « J’entends par bien ce que nous savons, de toute certitude, nous être utile »

Dans la tradition grecque (chez Platon notamment) le bien (agathos) est ce dont la possession procure le bonheur (eudaimonia), qui est la fin ultime poursuivie par tout être humain. D’autre part, on parle aussi des biens extérieurs chez certains philosophes (Aristote, Sénèque). D’après Théophraste, Platon tendait à identifier l’Idée du Bien avec le dieu suprême.

Extrait du livre du prophète Isaïe au chapitre un

Écoutez la parole du Seigneur, vous qui êtes pareils aux chefs de Sodome ! Prêtez l’oreille à l’enseignement de notre Dieu, vous, peuple de Gomorrhe ! Lavez-vous, purifiez-vous, ôtez de ma vue vos actions mauvaises, cessez de faire le mal. Apprenez à faire le bien : recherchez le droit, mettez au pas l’oppresseur, rendez justice à l’orphelin, défendez la cause de la veuve.

Venez, et discutons, dit le Seigneur. Si vos péchés sont comme l’écarlate, ils deviendront aussi blancs que neige. S’ils sont rouges comme le vermillon, ils deviendront comme de la laine. Si vous consentez à m’obéir, les bonnes choses du pays, vous les mangerez ; mais si vous refusez, si vous vous obstinez, c’est l’épée qui vous mangera. Oui, la bouche du Seigneur a parlé. (  Is 1, 10. 16.20)

La fi­dé­lité dans le culte, loin d’ex­cu­ser le péché, le rendit plus odieux ; une re­pen­tance sin­cère, qui eut pour fruit la jus­tice, put seule pro­cu­rer la bé­né­dic­tion de Dieu. Ils ne dif­fé­rèrent de So­dome et de Go­morrhe que par le sort que la mi­sé­ri­corde de Dieu leur fit : « Mais leur vigne est du plant de Sodome Et du terroir de Gomorrhe ; Leurs raisins sont des raisins empoisonnés, Leurs grappes sont amères. » (Dt 32, 32)  La nou­velle, comme l’an­cienne al­liance, éta­blirent que Dieu ne put par­don­ner au pé­cheur qu’au­tant qu’il rompit in­té­rieu­re­ment avec le mal ; de cette rup­ture ré­sultèrent inévitablement dans la conduite de fortes amé­lio­ra­tions.

Ce qu’Isaïe ré­clama comme condi­tion du par­don, c’est exac­te­ment ce que Jean-Bap­tiste de­man­dait aux Is­raé­lites comme condi­tion de leur en­trée dans le royaume de Dieu : « Produisez donc des fruits dignes de la repentance, et ne vous mettez pas à dire en vous-mêmes: Nous avons Abraham pour père! Car je vous déclare que de ces pierres Dieu peut susciter des enfants à Abraham. » (Lc 3, 8) La loi recommanda la bien­veillance du peuple et sur­tout des ma­gis­trat à l’égard des or­phe­lins et des veuves :  « L’Éternel entre en jugement Avec les anciens de son peuple et avec ses chefs : Vous avez brouté la vigne ! La dépouille du pauvre est dans vos maisons !  De quel droit foulez-vous mon peuple, Et écrasez-vous la face des pauvres ? Dit le Seigneur, l’Éternel des armées.  » (Is 3, 14-15)

Venez, et discutons, dit le Seigneur. Pour­sui­vant son ap­pel à la conver­sion, le pro­phète Isaïe in­vita le peuple à se pré­sen­ter de­vant Dieu avec les dis­po­si­tions qu’Il ré­clama. Le peuple  entra dans la voie que Dieu lui traça, et il vit que le par­don et la bé­né­dic­tion di­vine lui furent ren­dus. Si vos péchés sont comme l’écarlate, ils deviendront aussi blancs que neige.

La blan­cheur de la neige est l’em­blème de la par­faite pu­reté :  » lui a été donné d’être vêtue de fin lin, éclatant et pur, car le fin lin, ce sont les justices des saints. » (Ap 19, 8) Blanchir re­pré­sente ici l’œuvre de la grâce qui pu­ri­fie l’âme par un par­don total. Si le peuple ré­pondit à l’ap­pel de Dieu, il jouirait de nou­veau des biens du pays, dont il fut privé. Mais s’il per­sistait  dans sa ré­bel­lion, la me­nace se réa­li­serait :  »Je ferai venir contre vous l’épée qui vengera l’Alliance. Vous vous grouperez alors dans vos villes, mais j’enverrai la peste au milieu de vous et vous serez livrés au pouvoir de l’ennemi. » (Lv 26, 25)

Diacre Michel Houyoux

Compléments

◊  T’choupi , un séminariste à,l’écoute de Dieu : cliquez ici pour lire l’article →  Cessez de faire le mal. Apprenez à faire le bien

◊ KT 42   : cliquez ici pour lire l’article →   Jésus a dit : « Aimez vos ennemis…donnez, pardonnez, et vous serez pardonnés »

  Vidéo Lectio Divina  » Pardonnez et vous serez pardonnés

Image de prévisualisation YouTube

 

 

 

Publié dans Catéchèse, Page jeunesse, Religion, Temps ordinaire | Pas de Commentaire »

Seventeenth Sunday in Ordinary Time of Year C

Posté par diaconos le 20 juillet 2022

Prayer: Insights from an LDS Mormon Apostle of the Lord Jesus Christ. -  YouTube

The efficacy of prayer has been studied since at least 1872, generally through experiments to determine whether prayer or intercessory prayer has a measurable effect on the health of the person for whom prayer is offered. Empirical research indicates that prayer and intercessory prayer have no discernible effects. While some religious groups argue that the power of prayer is obvious, others question whether it is possible to measure its effect Dr. Fred Rosner, an authority on Jewish medical ethics, has expressed doubt that prayer could ever be subject to empirical analysis.

Basic philosophical questions bear upon the question of the efficacy of prayer – for example, whether statistical inference and falsifiability are sufficient to « prove » or to « disprove » anything, and whether the topic is even within the realm of science. According to The Washington Post, « …prayer is the most common complement to mainstream medicine, far outpacing acupuncture, herbs, vitamins and other alternative remedies. » In comparison to other fields that have been scientifically studied, carefully monitored studies of prayer are relatively few. The field remains tiny, with about $5 million spent worldwide on such research each year.

Studies can verify that those who pray are affected by the experience, including certain physiological outcomes. An example of a study on meditative prayer was the Bernardi study in the British Medical Journal in 2001. It reported that by praying the rosary or reciting yoga mantras at specific rates, baroreflex sensitivity increased significantly in cardiovascular patients.[ A study published in 2008 used Eysenck’s dimensional model of personality based on neuroticism and psychoticism to assess the mental health of high school students based on their self-reported frequency of prayer. For students both in Catholic and Protestant schools, higher levels of prayer were associated with better mental health as measured by lower psychoticism scores. However, among pupils attending Catholic schools, higher levels of prayer were also associated with higher neuroticism scores.

Lourdes: hoping for a miracle : It has also been suggested that if a person knows that he or she is being prayed for it can be uplifting and increase morale, thus aiding recovery. (See Subject-expectancy effect.) Studies have suggested that prayer can reduce psychological stress, regardless of the god or gods a person prays to, a result that is consistent with a variety of hypotheses as to what may cause such an effect. According to a study by CentraState Healthcare System, « the psychological benefits of prayer may help reduce stress and anxiety, promote a more positive outlook, and strengthen the will to live. »[ Other practices such as Yoga, T’ai chi, and meditation may also have a positive impact on physical and psychological health.

Jesus taught the efficacy of prayer

# Christian prayer is a biblical exchange with God. According to the New Testament, the believer can speak to God as to a father, « in the name of the Lord Jesus Christ ». Christian prayer can be done alone, in a group, in any place and at any time. It takes different forms in different churches. The Lord’s Prayer is the prayer common to all Christians, taken directly from the Gospels (Matthew 6:9-13 and Luke 11:2-4) and taught by Jesus to his first disciples. Prayer based on the promises of the Bible is a fundamental act of the Christian faith, experienced as an action of grace and communion with God, a communion of spirits between God and His1.

It is God the Father whom the believer prays « in the name of the Lord Jesus Christ ». In the Bible, Jesus sometimes combined prayer with meditation, Bible readings, fasting and vigils. It is done individually or in common, anywhere and in church, sitting, standing, lying down or kneeling. In the Catholic and Orthodox Churches, prayer is addressed to God the Father, to Jesus Christ his Son, and to the Holy Spirit, and prayers addressed to the Saints and to the Virgin Mary5 are called prayers of intercession.

The community of saints or the Blessed Virgin Mary, Queen of Saints, is asked to pray to the Holy Trinity for those who ask for her intercession. Catholics and Orthodox do not pray to God the Father, Jesus the Son and the Holy Spirit in the same way as the saints or the Virgin Mary. They pray to the Father, Jesus or the Holy Spirit as God, and to the saints or the Blessed Virgin as a person who, being close to God, can intercede.

This distinction is not always visible or understandable at first sight. Prayer to the communion of saints is a specificity of the Catholic and Orthodox Christian faith. The use of objects of worship (crucifixes, icons, rosaries, statues, etc.) is common but not obligatory. Cultures and social contexts also have a great influence on ways of praying. They are based on specific liturgies and according to particular rites (sign of the cross with the hands, genuflection, prostration…).

In Protestantism, prayer is addressed only to God, in the name of Jesus. In the Anglican Communion and some Methodist churches, the Book of Common Prayer is used as a guide to prayer. In Catholic, Orthodox and Protestant churches, monks can dedicate their lives exclusively to prayer. In evangelical Christianity, miracles and faith healings are possible through faith and prayer, through the Holy Spirit18. Biblicism ensures that the miracles described in the Bible are still relevant and can be present in the believer’s life.

From the Gospel of Jesus Christ according to Luke

It happened that Jesus was praying in a certain place. When he had finished, one of his disciples asked him : « Lord, teach us to pray, as John the Baptist also taught his disciples. »  He answered them : « When you pray, say: ‘Hallowed be your name, your kingdom come. Give us the bread we need every day. Forgive us our sins, that we ourselves may forgive our debtors. And lead us not into temptation. « Jesus said to them : « , ‘Imagine that one of you has a friend and goes to him in the middle of the night and asks : ‘Friend, lend me three loaves, for a friend of mine has come home from a journey and I have nothing to offer him.

And if, from within.  » The other replies : ‘Do not disturb me ! «  The door is already closed; my children and I are in bed. I can’t get up to give you anything. Well, I tell you that even if he does not get up to give out of friendship, he will get up because of his friend’s cheekiness and give him whatever he needs. I say unto you : ask and it shall be given you; seek and you shall find; knock and it shall be opened unto you. For he who asks receives  ; he who seeks finds ; to him who knocks it will be opened. What father among you, when his son asks for a fish, gives him a snake instead of a fish ?

Or when he asks for an egg, does he give him a scorpion? If therefore you, who are evil, know how to give good things to your children, how much more will the Father who is in heaven give the Holy Spirit to those who ask him ! (Lk 11,1-13).

Jesus taught the efficacy of prayer

Luke gave the Lord’s prayer a completely different setting from that of Matthew. According to Matthew, it is part of the Sermon on the Mount, while according to Luke it was taught later at the explicit request of a disciple. Many excellent exegetes (Calvin, Ebrard, de Wette, Olshausen, Neander, Godet) have concluded that Matthew, according to his habit of grouping together some homogeneous teachings of Jesus, introduced this prayer into the Sermon on the Mount. In these instructions on the various manifestations of piety, almsgiving, prayer, fasting, after condemning hypocritical prayers, made with ostentation and vain repetition, Jesus adds.

And in the midst of the crowd that surrounded him, with his eyes raised to heaven, he uttered in a penetrating tone this prayer, so profound in its simplicity, so rich in its brevity : « You, my disciples, pray this way: Our Father who art in heaven, hallowed be thy name« .

Tholuck, Meyer, Stier, Gess and others saw a confirmation of their opinion in the fact that only Matthew preserved this model of prayer in its entirety. Jesus taught the efficacy of prayer, both by analogy and by contrast, as in the parable. This parable contains both a promise and an exhortation. The promise could be translated as follows : « If a man, out of pure selfishness and in order to free himself from a lawyer, grants his request, even at the most inopportune hour (midnight), how much more God, who knows all your needs and is love!  »

As for the exhortation, it was the lawyer himself who clarified it with his example: « Since, in the most unfavourable circumstances, but pressed by your needs, you do not fear to importune with insistence a man whom you know to be so ungenerous, why do you not do the same towards God, who, in his infinite mercy, is always ready to grant you more than any prayer of yours ? « . Ask, seek, knock, this is what the man in the parable did; it will be given to you, you will find, it will be opened to you, this was his experience; how much more certainly will it be yours with God !

God answers prayers. Of the gifts that the child asked his father for, Matthew pointed only to a loaf of bread and a fish: these were the provisions usually brought for the journey. Opposed to these three foods was a stone, cruel irony; a snake, very dangerous; a scorpion, even more harmful. Who is the father who will respond to his son’s request with such gifts? The question becomes even more surprising when, instead of any father, Jesus names the heavenly Father. What a contrast to the goodness and love of the Father in heaven !

Deacon Michel Houyoux

Links to other Christian websites

◊  Notre Dame -Newman :  click here to read the post →  Seventeenth Sunday in Ordinary Time – C 

◊ Father Hanly    click here to read the post →  17th Sunday in Ordinary Time, Year C

 Video Jesus taught the efficacy of prayer

Image de prévisualisation YouTube

Publié dans La messe du dimanche, Page jeunesse, Prières, Religion, tempo pasquale | Pas de Commentaire »

 

Salem alikoum |
Eazy Islam |
Josue |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | AEP Gresivaudan 4ieme 2007-08
| Une Paroisse virtuelle en F...
| VIENS ECOUTE ET VOIS