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Le Bienheureux Bertrand de Garrigues fut évêque d’Aquilée (✝ 1350)

Posté par diaconos le 30 juillet 2022

Radio Don Bosco - Bienheureux Bertrand de Garrigues

Le Bienheureux Bertrand de Garrigues fut l’un des premiers compagnons de Saint Dominique. Il a été dit de lui qu’il était un véritable reflet de la sainteté de son maître. Son zèle, son industrie, sa sainteté, sa gentillesse envers les autres et sa sévérité envers lui-même furent fréquemment mentionnés par les auteurs de l’histoire dominicaine.

Biographie

Originaire de Garrigues près de Nîmes dans le Gard, il fut séduit par la sainteté et par le projet de Saint Dominique d’aller convertir les cathares par la prière et l’exemple d’une vie de pauvreté et d’austérité. En 1216, Dominique le nomma prieur du couvent de Toulouse. Puis il l’envoya à Paris fonder un couvent au cœur de l’Université, alors la première de l’Europe chrétienne. Ainsi, il participa à l’établissement du  couvent Saint Jacques (dit couvent des Jacobins) en 1221 avec un petit groupe de sept frères dont Mannès de Guzmán et Matthieu de France.

De retour dans sa région natale, il fut à  l’origine de plusieurs autres établissements à Montpellier et à Avignon. Il devint provincial du midi de la France (Provence Alpes Pyrénées) en 1221.  .À la mort de saint Dominique, il assista les sœurs du monastère de Prouille, refuge pour les femmes cathares converties.  Bertrand de Garrigues mourut le 18 avril 1230 au cours d’une retraite qu’il prêchait dans une abbaye cistercienne de la Drôme, l’abbaye de Bouchet, près d’Orange, où il s’était retiré. Dans l’église de l’abbaye figure sa pierre tombale.

Pendant des siècles, son tombeau fut l’objet de nombreux pèlerinages ; sa statue était vénérée par les fidèles qui en avaient fait un saint. On cita de lui beaucoup de miracles. Son corps fut examiné par trois fois entre 1253 et 1561, et à chaque fois il était sans corruption. Il est fêté le six septembre en tant que Bienheureux. En 1870,l’évêque de Valence, Monseigneur Francis Guelette, donna son approbation au culte ancien de Bertrand de Garrigues dans son diocèse. À partir de ce moment, la béatification fut proposée à Rome par les évêques de Paris, Toulouse, Marseille, Valence, Nîmes, ainsi que par l’Ordre des Dominicains auquel il appartenait. Finalement, le Pape Léon XIII, I donna son approbation en 1881, et autorisa l’office en l’honneur de Bertrand de Garrigues dans les diocèses de Nîmes et de Valence et il le déclara Bienheureux.

Diacre Michel Houyoux..

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Travaillez pour la nourriture qui demeure jusque dans la vie éternelle

Posté par diaconos le 30 juillet 2022

Travaillez non pas pour la nourriture qui se perd, mais pour la nourriture qui demeure jusque dans la vie éternelle  dans Catéchèse 5Sxr15UkIdL1JZ_O-71kWTgVpdk

L’immortalité implique la notion de forme de vie ou au moins de pensée échappant à la mort, ou de vie après la mort, physique et / ou spirituel des esprits et des âmes. Selon les points de vue, croyances, et foi en divers religions, l’immortalité peut concerner l’âme, le corps ou encore les deux. On peut la considérer dans son sens figuré (posthume) ou propre (terrestre). L’origine de ce concept n’est pas certaine. Les hommes de Cro-magnon et même de Néandertal enterraient leurs morts avec des fleurs ou des outils et la présence d’ocre dans les sépultures des Cro-magnon a été constatée.

Même si cette thèse a été exposée, rien ne permet de déterminer si ces objets étaient placés là en pensant à un éventuel au-delà ou bien s’il s’agissait plus simplement de marques posthumes d’affection au même titre que nous fleurissons les tombes de nos morts. Une des plus anciennes mentions de l’immortalité (entre 5000 et 1500 av. J.C.) se trouve dans le 10e mandala du Rig-Véda. Un poème sumérien antérieur traite de la visite du souverain Ur-Nammu aux dieux après sa mort. L’Égypte des pharaons avait pour sa part son Osiris, pesant le bien et le mal de la vie du mort pour déterminer où l’orienter.

L’immortalité est au départ le lot réservé aux seuls pharaons, censés pouvoir en faire bénéficier des membres de leur entourage. Dans la même sphère l’Épopée de Gilgamesh décrit la quête d’un héros recherchant l’immortalité à la suite de la mort de son ami Enkidu. Il ne l’obtiendra pas, seuls les dieux étant immortels. Le Moyen Âge européen et byzantin s’aligne sur le symbole de Nicée (premier Credo, établi par le concile de Nicée en 325 – modifié par la suite) qui mentionne « Je crois à la résurrection de la chair ». Cette affirmation de Nicée innovait par rapport à la religion gréco-romaine promettant tout au plus une existence posthume chez Pluton (Hadès), qui ne laissait en principe aucun membre de ses effectifs revenir sur Terre.

Dans la religion abrahamique, le péché originel du Livre de la Genèse est la cause de l’épreuve de mort infligé par Dieu à l’Humanité, puis du salut théologique conditionnel des âmes, selon l’épisode de la Guerre des anges de l’Apocalypse (allégorie symbolique de la victoire finale, à la fin du monde, du Bien (religion) sur le Mal, et de l’instauration pour l’Éternité du Royaume de Dieu dans l’Univers). Le christianisme introduit un concept de vie après la mort différent : la résurrection des corps, en harmonie d’ailleurs avec la vision d’Ezéchiel d’hommes se reconstituant à partir de leurs ossements. À la différence du platonisme, le christianisme ne semble pas s’intéresser spécialement à une âme séparée du corps : c’est bien la reconstitution du corps que la doctrine promet à ses croyants méritants, inscrite dans le Credo qui en résume les points fondamentaux.

De l’Évangile de Jésus Christ selon Jean

Jésus avait rassasié cinq mille hommes, et ses disciples l’avaient vu marcher sur la mer. Le lendemain, la foule restée sur l’autre rive se rendit compte qu’il n’y avait eu là qu’une seule barque, et que Jésus n’y était pas monté avec ses disciples, qui étaient partis sans lui. Cependant, d’autres barques, venant de Tibériade, étaient arrivées près de l’endroit où l’on avait mangé le pain après que le Seigneur eut rendu grâce.

Quand la foule vit que Jésus n’était pas là, ni ses disciples, les gens montèrent dans les barques et se dirigèrent vers Capharnaüm à la recherche de Jésus. L’ayant trouvé sur l’autre rive, ils lui dirent : « Rabbi, quand es-tu arrivé ici ? «  Jésus leur répondit : « Amen, amen, je vous le dis : vous me cherchez, non parce que vous avez vu des signes, mais parce que vous avez mangé de ces pains et que vous avez été rassasiés.

Travaillez non pas pour la nourriture qui se perd, mais pour la nourriture qui demeure jusque dans la vie éternelle, celle que vous donnera le Fils de l’homme, lui que Dieu, le Père, a marqué de son sceau. «  Ils lui dirent alors : « « Que devons-nous faire pour travailler aux œuvres de Dieu ? «  Jésus leur répondit :  » L’œuvre de Dieu, c’est que vous croyiez en celui qu’il a envoyé. » (Jn 6, 22-29)

Le pain de vie

La foule qui y était res­tée vit qu’il n’y eut pas là d’autre barque que celle dans laquelle furent entrés les disciples seuls, et que Jésus n’y monta pas. Ces gens en conclurent qu’il resta, comme eux, du côté orien­tal du lac. Mais le lendemain, ne trou­vant là ni Jé­sus ni ses dis­ciples, qui ne revinrent pas le cher­cher, ils pro­fi­tèrent de quelques barques qui, dans l’in­ter­valle, furent venues de Tibériade, et tra­ver­sèrent le lac, pour se rendre à Capharnaüm et y cher­cher Jé­sus.

Il est évident qu’il ne s’a­git plus des cinq mille hommes de la veille, mais d’un cer­tain nombre d’entre eux, qui eurent passé la nuit sur les lieux, tan­dis que la plu­part des autres s’en allèrent en contour­nant à pied l’ex­tré­mité du lac.

Les ma­nus­crits pré­sentent de nom­breuses va­riantes dans ce pas­sage. Ces gens, re­trou­vant Jé­sus de l’autre côté du lac, lui de­mandèrent : « Quand es-tu ar­rivé ici ? «   Ils soup­çonnèrent dans ce fait, qui leur fut in­ex­pli­cable, une nou­velle ac­tion mi­ra­cu­leuse. Ils furent plus avides de mi­racles que de la vé­rité qu’ils auraient pu re­ce­voir par la pa­role de Jé­sus.

ils vou­lurent sa­voir com­ment Jé­sus passa le lac. Jé­sus ne jugea pas à pro­pos d’y ré­pondre ; mais, se­lon sa cou­tume en pa­reil cas, il fit ap­pel à la conscience de ses au­di­teurs, en leur adres­sant un re­proche. Ils le cherchèrent, non parce qu’ils virent des signes. Chaque mi­racle de Jésus fut le signe vi­sible de choses in­vi­sibles, c’est-à-dire de la pré­sence, de la puis­sance et de la mi­sé­ri­corde de Dieu.

Mais, au lieu de consi­dé­rer le mi­racle comme un signe et de s’é­le­ver aux biens éter­nels fi­gu­rés par ce signe, les Juifs s’ar­rê­tèrent aux ef­fets ma­té­riels du miracle. Ainsi ils ne virent, dans la mul­ti­pli­ca­tion des pains, que la nour­ri­ture dont ils furent rassasiés. Ce fut pour com­battre cette ten­dance char­nelle que Jé­sus ex­posa avec tant d’é­lé­va­tion et de pro­fon­deur la si­gni­fi­ca­tion sym­bo­lique et spi­ri­tuelle du mi­racle qu’il vint d’ac­com­plir.

Jé­sus, après être ar­rivé à Capharnaüm, entra dans la sy­na­gogue, où ses au­di­teurs de la veille le retrouvèrent ; ce fut là qu’il pro­nonça son dis­cours et répondit aux ob­jec­tions de ses au­di­teurs. Cette cir­cons­tance ajouta à la so­len­nité des en­sei­gne­ments qu’il fit en­tendre.

À la nourriture qui périt et dont se conten­tèrent ses au­di­teurs, Jé­sus op­posa la nour­ri­ture qui de­vient la vie de l’âme dès que celle-ci la re­çoit et qui  pro­duit la vie éter­nelle et qui pro­longe ses ef­fets jus­qu’au plein épa­nouis­se­ment de la vie dans l’é­ter­nité :  « Mais celui qui boira de l’eau que je lui donnerai n’aura jamais soif, et l’eau que je lui donnerai deviendra en lui une source d’eau qui jaillira jusque dans la vie éternelle  » ( Jn 4, 14)

Ce que Jé­sus en­tendit par cette nourriture, il eut dit de la ma­nière la plus claire : Il se contenta d’a­jou­ter  : « Le Fils de l’homme vous la donne » Jésus était lui-même, comme Fils de l’­homme, la ma­ni­fes­ta­tion de la vie di­vine dans notre hu­ma­nité, et lui seul pou­vait la donner. Mais, pour l’ob­te­nir, nous devons nous rendre apte à la re­ce­voir en re­non­çant, par un ef­fort sé­rieux de la vo­lonté, aux er­reurs et aux pré­ju­gés de l’­homme na­tu­rel, pour ve­nir à Ce­lui qui seul donne la vie.

Ils comprirent que Jé­sus exi­geait d’eux un ef­fort mo­ral ; ils de­mandèrent quelles œuvres se­ront agréables à Dieu, conformes à sa vo­lonté. En em­ployant ce mot au plu­riel, ils pensèrent à cer­tains actes ex­té­rieurs dont la ré­com­pense se­rait la  nour­ri­ture qui sub­siste en vie éter­nelle. Un docteur de la Loi se leva et mit Jésus à l’épreuve en disant :  » Maître, que dois-je faire pour avoir en héritage la vie éternelle ? «   (Lc 10, 25)l

À ce point de vue, la ré­ponse de Jé­sus fut d’au­tant plus frap­pante. Au nom de son  Père, Jé­sus ajouta ce­lui de Dieu, pour mar­quer qu’il tint son in­ves­ti­ture de ce­lui qui pos­sède l’au­to­rité su­prême. À des œuvres Jé­sus op­pose l’œuvre, la seule que Dieu de­mande. Et cette œuvre consiste à croire en Jé­sus-Christ qu’il envoya. .

Cette foi, acte mo­ral de la conscience et du cœur, est déjà, en elle-même, le prin­cipe de la vie di­vine parce qu’elle met l’âme en com­mu­nion avec Dieu par Christ. Elle est ainsi la source de toutes les œuvres d’o­béis­sance de re­con­nais­sance et d’a­mour, elle est là ra­cine de l’arbre qui, de lui-même, por­tera de bons fruits.

Diacre Michel Houyoux.

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♥  Vidéo Jésus est le Pain de Vie

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Двадцать первое воскресенье по обычному времени года С

Posté par diaconos le 30 juillet 2022

Une fois sauvé, toujours sauvé ?

Когда человек принимает Христа как своего Спасителя, он начинает отношения с Богом, которые гарантируют его спасение: « Он силен сохранить вас от падения и представить пред славу Свою непорочными и радующимися ». Божья сила может удержать верующего от падения. Это Он, а не мы, должен представить себя в Его славном присутствии. Наша уверенность в спасении является следствием того, что Божья благодать хранит нас, а не наших усилий по сохранению нашего спасения.

Наш Господь Иисус Христос провозгласил: « Я даю им жизнь вечную ». Они никогда не погибнут, и никто не может похитить их из руки Моей. Отец Мой, Который дал Мне их, больше всех, и никто не может похитить их из руки Отца Моего. (Ин 10:28-29б) Если Иисус и Отец крепко держат нас в Своих руках, кто может отнять их? Как только верующие будут « отмечены ко дню освобождения ».

Если бы верующие не имели уверенности в спасении, то эта печать не могла бы сохраниться до дня спасения, но только до дня греха, отступничества или неверия. Всякий верующий в Иисуса Христа будет иметь вечную жизнь. Если у человека было обещание вечной жизни, но затем оно было отнято, то он никогда не будет вечным. Без уверенности в спасении библейские обещания о вечной жизни были бы неверными.

Самый убедительный аргумент в пользу уверенности в спасении : « Я уверен, что ни смерть, ни жизнь, ни Ангелы, ни Начала, ни настоящее, ни будущее, ни силы, ни высота, ни глубина, ни другая какая тварь не может отлучить нас от любви Божией, явленной во Христе Иисусе, Господе нашем ». (Рим 3:38-39) ». Наша уверенность в спасении основана на любви Бога к Своим искупленным. Он приобретен для нас Христом, обещан Отцом и запечатлен Святым Духом.

Из Евангелия Иисуса Христа от Луки

В то время, направляясь к Иерусалиму, Иисус проходил через города и села, уча. Кто-то спросил Его : « Господи, неужели лишь немногие спасены ? » Иисус сказал им : « Старайтесь входить тесными вратами; говорю вам, многие будут стараться войти и не будут иметь успеха. Когда хозяин дома встает, чтобы закрыть дверь, если вы начнете стучать в дверь снаружи, говоря: « Господи, открой нам », он ответит: « Я не знаю, откуда ты ». Тогда вы начнете говорить: « Мы ели и пили в вашем присутствии, и вы учили в наших местах ».

Он ответит вам : « Я не знаю, откуда ты ». Отойдите от Меня, все делающие зло. Там будет плач и скрежет зубов, когда вы увидите Авраама, Исаака и Иакова и всех пророков в Царстве Божьем, а вы сами будете выброшены вон. Тогда придут с востока и запада, с севера и юга, чтобы занять свои места на пиру в Царстве Божьем. Да, есть последние, которые будут первыми, и первые, которые будут последними.  » (Лк 13, 22-30)

Господи, неужели только немногие спасутся ?

« Господи, спасутся ли лишь немногие ? Кто? Сколько ? Буду ли я среди них ? А как же мои близкие ?. »  Этот страшный вопрос, заданный Иисусу, иногда обращен и к нам, и может заставить нас чувствовать себя неловко. Как мы говорим о спасении ? Как мы можем примирить Божью любовь ко всем без исключения с Его уважением к их свободе? Любопытство относительно числа избранных выдает стремление к безопасности, которое может быть очень нездоровым: если все попадут на небеса, то нет необходимости беспокоиться об этом; если попадут очень немногие, то зачем прилагать столько рискованных усилий ?

Иисус отсылает каждого человека к решению, которое он должен принять: Бог спасает людей бесплатно ! Но он не спасает их вопреки им самим, без их согласия, он оставляет им свободу противостоять его благодатному дару. Выбор за нами: Бог оставляет нам этот выбор: принять или отвергнуть всю любовь, которую Он предлагает.

Вход в Царство Небесное не является автоматическим. Мы все искуплены страстями, смертью и воскресением Иисуса. Иисус дает нам возможность вечной жизни с Богом, в Божьем присутствии. Он хочет сделать нас ответственными за нашу судьбу. Спасение, которое предлагает нам Бог, нужно принять и избрать. И чтобы пояснить это, Иисус использовал образ, знакомый по всей Библии: Царство Божье подобно пиршественному залу. Но тут же добавил: « Старайтесь входить тесными вратами, ибо говорю вам, что многие будут искать войти и не смогут. »

Необходимо срочно задать себе несколько вопросов: в чем заключается моя борьба за обретение небес ? С какими конкретными моментами мне приходится бороться в моей ситуации, с тем особым темпераментом, которым я обладаю, преодолевая обусловленность и ограничения, которые отягощают мою жизнь? Приглашение к участию является срочным : время истекает, завтра будет слишком поздно. ДА, завтра будет слишком поздно, именно сегодня вы должны войти в Царство Божье! Да, однажды для тебя, да и для меня тоже, будет слишком поздно. Сколько времени у нас осталось? Мы должны проживать каждый день так, как будто он последний. Вы не войдете в рай просто так, не осознавая этого, так сказать. Вы должны захотеть этого. Вы должны бороться за это. Вы должны выбрать Иисуса.

Это не принадлежность к группе, расе, семье, не исполнение нескольких обрядов тут и там или посещение мессы время от времени, что может дать нам иллюзорную уверенность. Это посвящение всей нашей личности, всех наших мгновений следованию за Иисусом. Прежде всего, давайте не будем судить других! Мы знаем две вещи: Бог сделал все для спасения всех. Что касается нас, то остается серьезность нашей свободы, которая может отвергнуть дар Божий, и эта свобода – борьба.

Дверь узка, говорит нам Иисус : « Не говоря: Господи, Господи, никто не войдет в Царство Небесное, но творя волю Отца Моего Небесного. (Матф. 7, 21) Давайте попросим Его в нашей молитве, когда мы участвуем в Евхаристии, где вспоминаются Его Страсти и Воскресение, помочь нам снова сказать « ДА »!

Что это за узкая дверь, через которую мы должны пройти, чтобы спастись ? Если мы прочитаем Евангелие от Иоанна, то в девятнадцатой главе мы найдем интересную мысль, где Иисус говорит : « Я есмь дверь; если кто войдет Мною, тот спасется ». Пройти через узкую дверь – значит принять Христа Иисуса и согласиться жить в соответствии с требованиями Евангелия. Пройти через узкую дверь – значит принять Иисуса и Его послание в конкретной жизни. Каждый день мы выбираем или отказываемся быть спасенными. Иисус не хочет напугать нас Своими словами в Евангелии. Но Иисус хочет, чтобы мы осознали серьезность времени, отпущенного нам на этой земле. Ибо однажды, говорит он, хозяин встанет и закроет дверь.

Дьякон Мichel Houyoux

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◊ Live Journal : Нажмите здесь, чтобы прочитать статью → Про двадцать первое воскресенье: perepelitca 

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 Д ля чего проводится крестный ход, в чем его смысл ?

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