• Accueil
  • > Archives pour le Mercredi 10 août 2022

Un projet en étude qui risque d’aboutir à ses fins !

Posté par diaconos le 10 août 2022

Close up of female intertwined hands - Photo de Homosexualité féminine libre de droits

L’ÉGLISE CATHOLIQUE D’AUTRICHE : UNE BÉNÉDICTION DES COUPLES HOMOSEXUELS EN RÉFLEXION

 Le livre « Bénédiction des partenaires de même sexe » ( Benediktion von gleichgeschlechtlichen Partnerschaften), paru en Autriche fin avril, explore la façon dont les couples homosexuels pourraient recevoir une bénédiction formelle et fondée sur la liturgie.

Le sujet a évolué, déclare le père Ewald Volgger, dans un entretien dans KirchenZeitung, une revue du diocèse de Linz. Il est professeur de science liturgique et de théologie sacramentelle à l’Université privée catholique de Linz. Avec Florian Wegscheider, il aborde la possibilité d’introduire une bénédiction officielle pour les couples de même sexe.

Les enseignements de l’Église rencontrent de moins en moins de résonance dans la société et au sein de l’Église, la théologie morale préconise en particulier de nouvelles approches dans la considération de l’homosexualité », explique-t-il. Une bénédiction « fondée sur la doctrine de l’Église » En 2015, la Commission liturgique d’Autriche (LKÖ) a donc approché le chercheur pour apporter un point de vue liturgique au débat. Elle est l’une des commissions de la Conférence épiscopale autrichienne. Le livre de 200 pages est le fruit d’une conférence scientifique organisée par l’Université privée catholique de Linz.

Avant d’aborder la bénédiction des couples homosexuels, le livre donne un aperçu de la situation juridique à propos du mariage pour les homosexuels en Autriche, autorisé depuis janvier 2019. Leur recherche se fonde sur des éléments des Écritures, la tradition de l’Église, les questions de théologie éthique et liturgique. Selon l’auteur, l’introduction d’une bénédiction officielle nécessiterait un changement dans le catéchisme parce qu’une liturgie officielle de l’Église doit être fondée sur la doctrine de l’Église.

Cette avancée serait possible notamment parce que des prêtres accompagnent déjà des couples du même sexe.  Dans la région de la Haute-Autriche, des paroisses organisent des bénédictions pour les couples homosexuels au moment de la Saint-Valentin. Exprimer l’obligation de soins mutuels, de fidélité et d’exclusivité. Cependant, le liturgiste distingue le mariage et la bénédiction qui pourrait être donnée aux couples homosexuels. Il souligne : « La bénédiction n’est pas un sacrement, elle ne se situe pas au même niveau que le sacrement de mariage, mais est néanmoins un acte officiel de bénédiction.

Si les partenaires vivent le don de l’amour mutuel dans la fidélité et façonnent leur vie avec les dons spirituels de Dieu, indique Ewald Volgger au journal diocésain, leur relation est aussi une image de la bonté et de la charité de Dieu. » Cela serait ainsi un moyen pour l’Église « d’exprimer l’obligation de soins mutuels, de fidélité et d’exclusivité », poursuit-il. Des évêques allemands se sont déjà prononcés sur la bénédiction des couples homosexuels, tel que l’ancien président de la Conférence épiscopale allemande. « Selon le cardinal Reinhard Marx, les couples homosexuels peuvent recevoir une bénédiction dans le sens de la pastorale de l’Église catholique, écrivait fin décembre 2019 le portail d’information religieuse Katolisch.de.

En Italie, l’archevêque de Bologne, Matteo Zuppi, fut interviewé dans la préface du livre L’Église et l’homosexualité. Une enquête à la lumière du Magistère du pape François, de Luciano Moia, rédacteur en chef du quotidien catholique italien Avvenire.  « En acceptant la personne, nous ne pouvons pas ignorer son orientation », indiqua Monseigneur Matteo Zuppi, dans cet entretien. Il considéra que l’écoute profonde de la personne dans ses situations de vie furt négligée par nos communautés. Dans l’exhortation apostolique post-synodale Amoris Laetitia, le pape François écrivit que les personnes homosexuelles  doivent pouvoir bénéficier de l’aide nécessaire pour comprendre et réaliser pleinement la volonté de Dieu dans leur vie.

Voire également l’article à cette page : https://www.facebook.com/notes/catholiques-réveillez-vous/la-bénédiction-des-couples-homosexuels-en-réflexion/194774865316185/

Diacre Michel Houyoux

Liens avec  d’autres sites Web chrétiens

◊  Passeport santé  : cliquez ici pour lire l’article → L’homosexualité : qu’est-ce que l’attirance homosexuelle

◊ Homosexualité et péché  : cliquez ici pour lire l’article →  L’homosexualité est-elle un péché ?

♥  Vidéo Chrétiens et homosexuels : le difficile coming out

Image de prévisualisation YouTube

Publié dans Catéchèse, L'Église, Page jeunesse, Religion, Temps ordinaire | Pas de Commentaire »

Twentieth Sunday in Ordinary Time of Year C

Posté par diaconos le 10 août 2022

Sono venuto a gettare fuoco sulla terra - il Portico

I have come to cast a fire on the earth

# Marc Rastoin was born on 30 April 1967. He is the son of Jean Rastoin (1932-2009), an engineer, and Jacqueline Rastoin (1934-2008), a translator and essayist, and the brother of Cécile Rastoin, from the Carmelite Monastery of Montmartre. Marc Rastoin graduated from the Institut d’études politiques in Paris in 1988 and graduated in theology in 1999 under the direction of Paul Beauchamp. On 14 October 2002, he defended his thesis in biblical theology at the Pontifical Urbanian University in Rome under the direction of Jesuit Jean-Noël Aletti.

His thesis focused on the way St Paul, in the letter to the Galatians, was able to construct his argumentation, both for Jews who knew the Scriptures and for Greeks versed in rhetorical philosophy. The following year, he published his thesis, which was well received. Jean-Pierre Lémonon expressed a few reservations that did not detract from the great merit of the work, which made it possible to better penetrate the Pauline universe.

Following this thesis, Marc Rastoin was sent to the Centre Sèvres – Facultés jésuites de Paris, where he taught the Bible so that everyone could discover the riches of the Scriptures. He was also interested in cinema and contemporary literature. He was passionate about history, Judaism and the Jewish reading of the Scriptures. Since 2007, he has also taught at the Pontifical Biblical Institute in Rome (introduction to St Paul and the synoptic gospels). He was interested in exegetical research on St Paul and everything related to research on the historical Jesus and how he understood his messianic mission. He was also interested in the theology of the evangelist Luke and in Jewish-Christian dialogue

From the Gospel of Jesus Christ according to Luke

At that moment Jesus said to his disciples : « I have come to bring fire to the earth, and how I wish it were already kindled! I must receive baptism, and how eager I am to receive it! Do you think that I have come to bring peace to the earth? No, I tell you, but rather division. For henceforth five persons in a family shall be divided : three against two and two against three; they shall be divided: father against son and son against father, mother against daughter and daughter against mother, mother-in-law against daughter-in-law and daughter-in-law against mother-in-law. (Lk 12:49-53)

I have come to cast a fire on the earth

« I have come to cast a fire upon the earth; and what shall I desire, if it is already kindled? « (Lk 12, 49) Interpreters have taken care to find a connection between this part of the discourse and the one that precedes it. I have come; this expression, frequent in St John, is therefore also found in the Synoptics; Jesus uses it with the awareness of his pre-existence. What is this fire that he came to cast upon the earth, where it did not exist before him, where it would never have been lit without him? According to many exegetes, this fire is nothing other than the agitation of spirits and divisions of which Jesus spoke.

But would we then understand that he so ardently desired this fire to be kindled and that he brought to it the great and sorrowful thought of his suffering and death? But why not see in it the new life of faith, of love, of zeal, whose source Jesus opened and whose devouring power was to burn, purify or consume all that was exposed to his action ? This divine action caused divisions and struggles between those who were influenced by it and those who rejected it out of unbelief. Jesus explained how this division would occur in practical life and even in the family.

Deacon Michel Houyoux♥Links to other Christian websites

◊ Loyola Press ;: Klick here to read the paper   →  Twentieth Sunday in Ordinary Time, Cycle C

◊ Benedictine Abbey : Klick here to read the paper   →Twentieth Sunday in Ordinary Time, Year C

♥  Video  I came to cast fire on the earth

Image de prévisualisation YouTube

Publié dans Catéchèse, Page jeunesse, Religion, Temps ordinaire | Pas de Commentaire »

Jeudi de la dix-neuvième semaine du Temps Ordinaire dans l’année C

Posté par diaconos le 10 août 2022

au souffle de esprit - Page 11

l Le pardon de Die annule ou écarte un châtiment pour le péché. Il l’exprime soit par médiation d’un élu ordonné, soit par manifestation divine. Des personnes se traitent avec un amour chrétien en se pardonnant leur fautes. Ils effacent alors les mauvais sentiments à l’égard de ceux qui les ont offensés (Mt 5, 43–45 ; 6, 12–15 ; Lc 17, 3–4). Le pardon est très important dans le christianisme, mais est toujours mis au service du bien spirituel de la personne. Dans l’évangile, on voit souvent le Christ pardonner les péchés.

Il ne condamne pas la femme surprise en flagrant délit d’adultère en affirmant que celui qui n’a jamais péché lui jette la première pierre. Il s’exprima de manière imagée comme dans la parabole du fils prodigue qui est pardonné après son repentir. Jésus recommanda à Pierre de pardonner non pas sept fois, mais 77x 7 fois à celui qui se repent., c’est-à-dire toujours. Le pardon fait partie de la prière du Notre Père : « Pardonne-nous nos offenses, comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensés.

Il fait également partie du Credo Toute la société chrétienne, avec notamment l’abolition de la peine de mort, est dans la lignée de cette morale.

De l’Évangile de Jésus Christ selon Matthieu

    En ce temps-là, Pierre s’approcha de Jésus pour lui demander : « Seigneur, lorsque mon frère commettra des fautes contre moi, combien de fois dois-je lui pardonner ? Jusqu’à sept fois ? «   Jésus lui répondit : «  Je ne te dis pas jusqu’à sept fois, mais jusqu’à 70 fois sept fois.  Ainsi, le royaume des Cieux est comparable à un roi qui voulut régler ses comptes avec ses serviteurs. Il commençait, quand on lui amena quelqu’un qui lui devait dix mille talents.

Comme cet homme n’avait pas de quoi rembourser, le maître ordonna de le vendre, avec sa femme, ses enfants et tous ses biens, en remboursement de sa dette.  Alors, tombant à ses pieds, le serviteur demeurait prosterné et disait : « Prends patience envers moi, et je te rembourserai tout.” Saisi de compassion, le maître de ce serviteur le laissa partir et lui remit sa dette. Mais, en sortant, ce serviteur trouva un de ses compagnons qui lui devait cent pièces d’argent. Il se jeta sur lui pour l’étrangler, en disant : « Rembourse ta dette !”

 Alors, tombant à ses pieds, son compagnon le suppliait : « Prends patience envers moi, et je te rembourserai.”  Mais l’autre refusa et le fit jeter en prison jusqu’à ce qu’il ait remboursé ce qu’il devait. Ses compagnons, voyant cela, furent profondément attristés et allèrent raconter à leur maître tout ce qui s’était passé. Alors celui-ci le fit appeler et lui dit : « Serviteur mauvais ! je t’avais remis toute cette dette parce que tu m’avais supplié.     Ne devais-tu pas, à ton tour, avoir pitié de ton compagnon, comme moi-même j’avais eu pitié de toi ?”

 Dans sa colère, son maître le livra aux bourreaux jusqu’à ce qu’il eût remboursé tout ce qu’il devait. C’est ainsi que mon Père du ciel vous traitera, si chacun de vous ne pardonne pas à son frère du fond du cœur. «  Lorsque Jésus eut terminé ce discours, il s’éloigna de la Galilée et se rendit dans le territoire de la Judée, au-delà du Jourdain. (Mt 18, 21-19.1)

La parabole du serviteur impitoyable

Pierre interrogea Jésus sur l’étendue du devoir de pardonner. Jésus déclara qu’il fut sans limites. Jésus illustra ce précepte par une parabole : Dieu, dans sa miséricorde infinie, fut comparé à un roi qui remit gratuitement à son serviteur insolvable une dette de dix mille talents. Ce serviteur, rencontrant aussitôt après un de ses camarades qui lui dut cent deniers, le fit jeter en prison. Le roi, informé par ses autres serviteurs, le fit comparaître, lui reprocha son ingratitude et le livra aux bourreaux. Jésus déclara à ses disciples que Dieu les traitera de même s’ils ne pardonnent de tout leur cœur. Du pardon des offenses. Pierre, préoccupé des paroles de Jésus, et de la pensée que le devoir du pardon des offenses dut pourtant avoir ses limites, adressa à Jésus sa question et crut être très généreux en allant jusqu’à sept fois.

Les rabbins, dans leur morale, se bornaient à trois fois. La réponse de Jésus prouva à, Pierre que sa morale, à lui était tout autre. C’est-à-dire un nombre indéfini de fois, toujours. S’il en fut autrement, il y aurait un moment où la charité cessa. Elle n’est pas l’exercice d’un devoir qui se calcule, mais un état d’âme. Le talent d’argent valait, au temps de Jésus, 2 500 € ; le talent d’or valait environ 30 000 €. Dans la parabole , cela représenta une dette énorme, contractée par le maniement des affaires de l’État, et qu’un particulier ne pouvait payer.

Notre dette envers Dieu ce sont d’une part ses bienfaits, d’autre part nos péchés : «  Pardonne-nous nos offenses, comme nous aussi nous pardonnons à ceux qui nous ont offensés  » (Mt 6, 12) La miséricorde de Dieu, telle qu’il l’a révélée dans sa plénitude par l’Évangile, est la source du pardon, d’un pardon parfaitement gratuit. Le maître accorda au serviteur infiniment plus qu’il ne demanda. Mais ce serviteur étant sorti, rencontra un de ses compagnons de service qui lui devait cent deniers (500€) ; et l’ayant saisi, il l’étranglait, en disant :  « Paie ce que tu dois ! »

En entendant son compagnon proférer cette supplication qui, dans sa propre bouche, avait été si efficace, le méchant serviteur aurait dû sentir sa dureté, et se souvenir de la générosité de son maître.   Les bourreaux furent chargés d’exécuter le jugement. Le roi de la parabole ne remplit pas seulement le rôle de créancier, mais aussi celui de juge. Pardonner, pardonner de tout son cœur, pardonner toujours, avec la compassion que le pécheur implore de Dieu, telle est la seule marque certaine qu’il a reçu son propre pardon, et tel est le sens de cette parabole.

Jésus, pas plus ici qu’ailleurs, ne pouvait parler encore du grand et émouvant moyen par lequel il nous a acquis le pardon de Dieu. Et c’est pourtant la manifestation de cet immense amour qui rend possible aux chrétiens le pardon mutuel et même leur en fait un bonheur.

Diacre Michel Houyoux

◊ Diacre Michel Houyoux : cliquez ici pour lire l’article → Catéchèse : « Nous devons pardonner comme Dieu nous pardonne. »

◊ Diacre Michel Houyoux : cliquez ici pour lire l’article → Soyez miséricordieux

Liens avec d’autres sites web chrétiens

◊ Overblog : cliquez ici pour lire l’article → Dix-neuvième dimanche du Temps Ordinaire 

◊ La Croix  : cliquez ici pour lire l’article → Jeudi de la 19e semaine du temps ordinaire(Mt 18, 21-19, 1)

♥ Vidéo La parabole du serviteur impitoyable

Image de prévisualisation YouTube

Publié dans Catéchèse, Page jeunesse, Temps ordinaire | Pas de Commentaire »

 

Salem alikoum |
Eazy Islam |
Josue |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | AEP Gresivaudan 4ieme 2007-08
| Une Paroisse virtuelle en F...
| VIENS ECOUTE ET VOIS