• Accueil
  • > Archives pour le Jeudi 25 août 2022

Jésus sauve aussi les païens

Posté par diaconos le 25 août 2022

 Dieu sauve : le salut en Jésus-Christ | Catéchèse & Catéchuménat

Dieu sauve : le salut en Jésus-Christ

De l’Évangile selon saint Matthieu

:Jésus s’était retiré vers la région de Tyr et de Sidon. Voici qu’une Cananéenne, venue de ces territoires, criait: «Aie pitié de moi, Seigneur, fils de David! Ma fille est tourmentée par un démon». Mais il ne lui répondit rien. Les disciples s’approchèrent pour lui demander: «Donne-lui satisfaction, car elle nous poursuit de ses cris!». Jésus répondit: «Je n’ai été envoyé qu’aux brebis perdues d’Israël». Mais elle vint se prosterner devant lui: «Seigneur, viens à mon secours!». Il répondit: «Il n’est pas bien de prendre le pain des enfants pour le donner aux petits chiens». «C’est vrai, Seigneur -reprit-elle- mais justement, les petits chiens mangent les miettes qui tombent de la table de leurs maîtres». Jésus répondit: «Femme, ta foi est grande, que tout se fasse pour toi comme tu le veux!». Et, à l’heure même, sa fille fut guérie.
«Les petits chiens mangent les miettes qui tombent de la table de leurs maîtres»  (Mt 15,21-28)

Femme, grande est ta foi !

Seigneur, ouvre mes yeux à ton amour ! Que je ne m’habitue pas à être aimé et protégé par toi. Renouvelle en moi la conscience de ta présence amoureuse qui me donne vie à chaque instant. Aujourd’hui, nous contemplons la scène de la Cananéenne, une femme païenne, non israélite, qui avait sa fille qui était malade, possédée et qui a entendu parler de Jésus. Elle sort à sa rencontre en poussant des cris: «Aie pitié de moi, Seigneur, fils de David ! Ma fille est tourmentée par un démon» (Mt 15, 22). En fait, elle ne demande rien, elle ne fait que lui présenter le mal qui assaille sa fille, en ayant bon espoir qu’il agisse.

Jésus fit le sourd. Pourquoi ? Peut-être parce qu’il avait remarqué la foi de cette femme et voulait l’amplifier. Elle continua à supplier, de telle façon que les disciples demandèrent à Jésus de la faire partir. La foi de cette femme se manifesta, par son humble insistance qu’on remarque par le commentaire de disciples à son sujet : «Donne-lui satisfaction, car elle nous poursuit de ses cris» (Mt 15, 23). La femme continua à crier, elle ne se lassa pas. Le silence de Jésus s’expliqua car il fut venu uniquement pour la maison d’Israël. Ce fut uniquement après la Résurrection qu’il dira à ses disciples :  «Allez dans le monde entier. Proclamez la Bonne Nouvelle à toute la création» (Mc 16, 15).

Le silence de Dieu nous tourmente parfois. Combien de fois nous nous sommes plaints de ce silence ? Mais la Cananéenne se prosterne, se mit à genoux. Elle se mit en position d’adoration. Il lui répondit que ce ne fut pas bien de prendre le pain des enfants pour le donner aux chiens. Mais elle lui répondit : «C’est vrai, Seigneur -reprit-elle- mais justement, les petits chiens mangent les miettes qui tombent de la table de leurs maîtres» (Mt 15, 26-27). Cette femme fut très débrouillarde. Elle ne se fâcha pas, elle ne lui répondit pas méchamment, mais donna raison à Jésus : «C’est vrai, Seigneur». Et ce faisant elle arriva à le mettre de son côté. Comme si elle lui aurait dit : « Je suis un chien, mais tout comme celui-ci je suis sous la protection du maître. »

La Cananéenne nous offre ici une belle leçon : elle donna raison au Seigneur, qui a toujours raison. Quant on se présente devant le Seigneur il ne faut jamais vouloir avoir raison. Il ne faut jamais se plaindre, et si on le fait, il faut toujours finir par lui dire :  «Seigneur, que ta volonté soit faite». Seigneur, je veux arriver à me prosterner devant toi, à demander ton aide, ta bienveillance. Je suis un peu plus conscient, aujourd’hui, de ton amour inconditionnel envers moi. Je veux à nouveau renouveler ma foi, pour te dire avec la Cananéenne : « Aie pitié de moi, Seigneur, fils de David !

Liens avec d’autres sites web chrétiens

◊ Regnum Christi : cliquez ici pour lire l’article  →   Jésus sauve aussi les païens 

◊ Vatholique.org.    : cliquez ici pour lire l’article  →  Jésus sauve aussi les païens – Les méditations

♥ Vidéo LES NON-CHRETIENS ONT-ILS ACCES AU PARADIS ?

Image de prévisualisation YouTube

Publié dans Page jeunesse, Religion, Temps ordinaire | Pas de Commentaire »

Vendredi de la vingt-deuxième semaine du Temps Ordinaire de l’année C

Posté par diaconos le 25 août 2022

Kép

# Le Jeûne des apôtres, appelé aussi Jeûne des saints apôtres, Jeûne de Pierre et Paul ou, parfois, Jeûne de Pierre est une période de jeûne observée dans les Églises d’Orient – Églises orthodoxes et Églises catholiques de rite byzantin. Ce jeûne commence le second lundi après la Pentecôte (P + 57) et s’achève avec la fête des apôtres Pierre et Paul, le 29 juin du calendrier liturgique oriental. Le Jeûne des apôtres ne fut pas aussi sévère que celui du Grand Carême ou celui de la Dormition de Theotokos. Il fut enjoint de s’abstenir de toute alimentation carnée.

Le poisson, l’huile et le vin furent permis tous les jours sauf les mercredis et vendredis. Les règles du jeûne furent identiques à celles du Jeûne de la Nativité. Comme pour les trois autres jeûnes du cycle annuel, une grande fête fut célébrée au cours du Jeûne des apôtres ; il s’agissait de la fête de la Nativité de Saint Jean-Baptiste (24 juin) Dans certaines Églises, les offices de semaine, lors du Jeûne des apôtres, sont identiques aux offices du Grand Carême (avec quelques variantes)

De nombreux monastères et églises de tradition russe servent l’office du Grand Carême au moins le premier jour du Jeûne des apôtres. La longueur du Jeûne des apôtres est variable puisque sa date de début dépend de la date de Pâques et que sa date de fin est fixe. Le dimanche de tous les Saints a lieu huit semaines après Pâques et le lendemain, lundi, commence le Jeûne des apôtres. Le jeûne dure jusqu’au 29 juin, fête des apôtres Pierre et Paul. Selon la date de Pâques, le Jeûne des apôtres peut commencer du 18 mai au 21 juin et, par conséquent, ne durer que huit jours ou s’étendre sur quarante-deux jours.

Pour celles des Églises qui suivent le Calendrier julien révisé, il y a même certaines années sans Jeûne des apôtres. Pour l’Église copte orthodoxe, le jeûne dure jusqu’au 11 juillet et la fête des apôtres Pierre et Paul est le 12 juillet. D’un point de vue médical et physiologique, on considère que la période de jeûne commence à partir de la sixième heure après le dernier repas. Le jeûne met en marche des mécanismes d’adaptations physiologiques qui sont l’héritage du lent processus de l’évolution. Diverses expériences ont montré sur le modèle animal qu’une restriction alimentaire non excessive prolonge la durée de vie de nombreuses espèces (souris, rat, singe rhésus).

Une étude publiée dans Nature en 2016 a aussi montré que ce jeûne s’accompagne d’une diminution des dommages à l’ADN. Sur une période courte, le jeûne intermittent permet une perte de poids et de masse grasse similaire à la restriction calorique ainsi qu’une augmentation de la sensibilité à l’insuline. En France, le réseau NACRE publie en 2017 avec l’Institut National du Cancer une revue systématique analysant l’ensemble de la littérature scientifique sur le sujet et conclut en une absence de preuve d’un effet du jeûne chez l’être humain.

De l’Évangile de Jésus Christ selon saint Luc

En ce temps-là, les pharisiens et les scribes dirent à Jésus : « Les disciples de Jean le Baptiste jeûnent souvent et font des prières ; de même ceux des pharisiens. Au contraire, les tiens mangent et boivent ! «  Jésus leur dit : « Pouvez-vous faire jeûner les invités de la noce, pendant que l’Époux est avec eux ? Mais des jours viendront où l’Époux leur sera enlevé ; alors, en ces jours-là, ils jeûneront. «  Il leur dit aussi en parabole : « Personne ne déchire un morceau à un vêtement neuf pour le coudre sur un vieux vêtement.

Autrement, on aura déchiré le neuf, et le morceau qui vient du neuf ne s’accordera pas avec le vieux. Et personne ne met du vin nouveau dans de vieilles outres ; autrement, le vin nouveau fera éclater les outres, il se répandra t les outres seront perdues. Mais on doit mettre le vin nouveau dans des outres neuves. Jamais celui qui a bu du vin vieux ne désire du nouveau. Car il dit : “C’est le vieux qui est bon.”  (Lc 5, 33-39).

Questions sur le jeûne des apôtres

Les pharisiens, confondus par la réponse de Jésus, portèrent la discussion sur un autre sujet : les jeûnes prescrits par la loi et les prières offertes à certaines heures fixes. Pour donner plus de poids à leur objection, ils invoquèrent l’exemple des disciples de Jean. De là vient que Matthieu attribua la question à ceux-ci, qui sans doute y prirent part et que Marc la mit dans la bouche des uns et des autres.

« Mais des jours viendront, et quand l’époux leur sera ôté, alors ils jeûneront en ces jours-là. » (Lc 5, 35).  Luc rendit cette pensée d’une manière pleine de solennité et de tristesse : « Les amis de noce ne peuvent pas jeûner maintenant ; mais des jours viendront ». Quels furent ces jours ? :  » Quand l’époux leur sera ôté, alors ils jeûneront en ces jours-là. » (Lc  5, 35)

« Personne ne met une pièce d’un habit neuf à un vieil habit ». Cette leçon  indique qu’il faut déchirer l’habit neuf pour se procurer la pièce. Matthieu et Marc dirent : « une pièce de drap neuf ». De ce procédé résulteraient deux maux : d’abord on déchire le neuf ; ensuite cette pièce prise du neuf ne s’accorde pas avec le vieux, elle fait avec lui une disparate désagréable à la vue. Matthieu et Marc énoncèrent un autre inconvénient : « La pièce neuve emporte une partie de l’habit et la déchirure en devient pire ».

« il n’y a personne, qui, buvant du vieux, désire aussitôt du nouveau ; car il dit : Le vieux est bon. » Cette troisième parabole, particulière à Luc, ne parait pas, au premier abord, être en harmonie d’idées avec les deux précédentes. Lla vie nouvelle que Jésus apporta dans les âmes et dans le monde est incompatible avec les vieilles institutions théocratiques et avec la vieille nature humaine ; il faut que tout soit renouvelé pour la recevoir et la supporter, ou plutôt c’est elle-même qui fait toutes choses nouvelles.

Diacre Michel Houyoux

Liens avec d’autres sites web chrétiens

◊ Père Gilbert Adam : cliquez ici pour lire l’article → Vendredi de la 22e semaine, année paire

◊ Dom Armand Veilleux   : cliquez ici pour lire l’article →  Homélie pour le vendredi de la 22ème semaine du Temps  Ordinaire de l’année C

Jérémy Sourdril    « La disposition intérieure du cœur pendant le jeûne – Vie de Foi « 

Image de prévisualisation YouTube

Publié dans Catéchèse, comportements, Page jeunesse, Religion, Temps ordinaire | Pas de Commentaire »

Tweeëntwintigste zondag van de gewone tijd in het jaar C

Posté par diaconos le 25 août 2022

 die zich niet bedekken dan naar het Paradijs?

# De farizeeër en de tollenaar is een parabel die door Jezus Christus in het evangelie van Lucas is overgeleverd. Het behandelt de onderwerpen rechtvaardigheid en nederigheid. Op het gebied van de bijbelse exegese maakt het deel uit van het Sondergut van dit Evangelie. Voor de dokter van de kerk. Johannes Chrysostom, in zijn homilie nr. 2 over de bekering, rechtvaardigheid en nederigheid zijn de twee waarden die Jezus Christus in deze gelijkenis verdedigt. De aartsbisschop is kritisch over de farizeeër en zegt: « Jij ellendeling, jij die een oordeel durft te vellen over de aarde… Moet je deze tollenaar nog veroordelen… Hoe zelfvoldaan zijn je woorden!.. Waarom toon je zo’n hoogmoed? Johannes Chrysostom concludeert: « En omdat hij nederigheid toonde, werd de tollenaar gerechtvaardigd en ging weg met een vernieuwd hart van gerechtigheid.

Uit het evangelie van Jezus Christus volgens Lucas

Op een sabbatdag ging Jezus in het huis van een overste van de Farizeeën om zijn maaltijd te nuttigen, en zij keken naar hem. Jezus sprak een gelijkenis tot de gasten, toen hij bemerkte, hoe zij de eerste plaatsen kozen, en hij zeide tot hen : Wanneer iemand u op een bruiloft uitnodigt, ga dan niet op de eerste plaats zitten, opdat hij niet iemand uitgenodigd heeft, die meer aanzien heeft dan gij. Dan zal degene die jou en hem heeft uitgenodigd komen en tegen jou zeggen : « Geef je plaats aan hem af », en dan zul jij gaan, vol schaamte, om de laatste plaats in te nemen. Integendeel, als je wordt uitgenodigd, ga dan en neem de laatste plaats in. »

Dan, wanneer degene die u uitgenodigd heeft komt, zal hij tot u zeggen : « Mijn vriend, ga hoger », en het zal u een eer zijn in de ogen van allen die met u aan tafel zitten. Want wie zich verheft, zal vernederd worden; wie zich vernedert, zal verheven worden. « Ook Jezus zeide tot hem, die hem had uitgenodigd : Wanneer gij een middagmaal of een avondmaal geeft, nodigt dan niet uw vrienden uit, noch uw broeders, noch uw verwanten, noch uw rijke buren; anders zullen ook zij de uitnodiging beantwoorden en het zal u als een geschenk wederkeerig zijn. Wanneer gij een feest geeft, nodigt dan de armen, de kreupelen, de lammen en de blinden uit; gelukkig zijt gij, want zij hebben u niets terug te geven; het zal u worden teruggegeven in de opstanding der rechtvaardigen.  » (Lc 14, 1.7-14).

Wie zichzelf verheft zal vernederd worden, en wie zichzelf vernedert zal verheven worden

De Farizeeër die Jezus samen met vele andere gasten uitnodigde, werd aangewezen als een van de leiders van de Farizeeërpartij, zowel politiek als religieus, en was lid van het Sanhedrin. De uitgesproken vijandigheid van de Farizeeën tegen Jezus gaf deze aanvaarding een bijzonder karakter van steun en naastenliefde. Andere Farizeeërs, ook uitgenodigd, bespioneerden Jezus, evenals de heer des huizes, om hem te betrappen op een of andere overtreding tegen de Sabbatswet. Misschien hadden zij de zieke man die daar was al gezien en dachten zij dat Jezus hem zou genezen.

Wat Jezus de Farizeeër verweet was niet dat hij de Wet van God volbracht. Wat hij hem verweet was dat hij het niet uit liefde deed. Hij zocht alleen zijn eigen belang. In plaats van zich te verheugen en te danken omdat hij door God gekend en bemind werd, verheerlijkte hij zichzelf. Hij dankte niet omdat God hem aanvaardde zoals hij was, zelfs in zijn armoede en broosheid. Nee. Hij dankte omdat hij niet was zoals de anderen! Dat hij en hij alleen deze liefde verdiende. Hij voelde zich superieur. Het was dit gevoel van superioriteit dat hem radicaal van God scheidde.

De Farizeeër vervulde de geboden van God. Maar hij wist niet wat liefde was. Dus kende hij God niet, want God is liefde. « Wie niet liefheeft, kent God niet » (1 Joh. 4, 8). Het is hoogmoed die ons scheidt, niet alleen van onze naaste, maar ook van God. En de ergste vorm van trots is religieuze trots: beweren dat ik zelfs in de ogen van God → niet ben zoals anderen. Het was deze mentaliteit die voor Jezus onverdraaglijk was. Alleen voor zulke mensen was Hij zo hard : « Wie zichzelf verheft zal vernederd worden; wie zichzelf vernedert zal verheven worden. »

Om de diepte van dit onderricht te begrijpen, is het belangrijk op te merken dat het de vorm heeft van een gelijkenis. Jezus was niet van plan zijn gasten een lesje in beleefdheid of bescheidenheid te geven. Alle mensen zochten de eerste plaats, omdat zij hoogmoedig waren tegenover God; en zij werden nooit zo nederig tegenover elkander, dat de een de ander voortreffelijker achtte dan zichzelf, totdat zij zich in diep berouw verootmoedigden tegenover God. Dit is het commentaar dat Jezus op zijn gelijkenis gaf met de woorden waarmee hij de gelijkenis afsloot: zich verheffen voor de mensen is zich verlagen voor God, en omgekeerd.

Diaken Michel Houyoux

Links naar andere christelijke websites

◊  Hagen Preken : klik hier om het artikel te lesen  → Preek op de tweeëntwintigste zondag door het jaar C

◊ Kerk in Herent   : klik hier om het artikel te lesen  → Eenentwintigste zondag door het jaar (C)

Video Een Ieder die Zichzelf Verhoogt, Zal Vernederd Worden▶Kerk van God

Image de prévisualisation YouTube

Publié dans La messe du dimanche, Page jeunesse, Religion, Temps ordinaire | Pas de Commentaire »

 

Salem alikoum |
Eazy Islam |
Josue |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | AEP Gresivaudan 4ieme 2007-08
| Une Paroisse virtuelle en F...
| VIENS ECOUTE ET VOIS