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Ceux qui se réclament de la foi sont bénis avec Abraham

Posté par diaconos le 30 septembre 2022

Romains 1:17

De la lettre de  Paul aux Galates

Frères,  Abraham eut foi en Dieu, et il lui fut accordé d’être juste. Comprenez-le donc : ceux qui se réclament de la foi, ce sont eux, les fils d’Abraham. D’ailleurs, l’Écriture avait prévu, au sujet des nations, que Dieu les rendrait justes par la foi, et elle avait annoncé d’avance à Abraham cette bonne nouvelle : En toi seront bénies toutes les nations. Ainsi, ceux qui se réclament de la foi sont bénis avec Abraham, le croyant. Quant à ceux  qui se réclament de la pratique de la Loi, ils sont tous sous la menace d’une malédiction, car il est écrit : « Maudit soit celui qui ne s’attache pas à mettre en pratique tout ce qui est écrit dans le livre de la Loi. »

 Il est d’ailleurs clair que par la Loi personne ne devient juste devant Dieu, car, comme le dit l’Écriture, celui qui est juste par la foi, vivra, et la Loi ne procède pas de la foi, mais elle dit : « Celui qui met en pratique les commandements vivra à cause d’eux. » Quant à cette malédiction de la Loi, le Christ nous en a rachetés en devenant, pour nous, objet de malédiction, car il est écrit : « Il est maudit, celui qui est pendu au bois du supplice.’ Tout cela pour que la bénédiction d’Abraham  s’étende aux nations païennes dans le Christ Jésus, et que nous recevions, par la foi, l’Esprit qui a été promis. (Ga 3, 6-14)

La justification par la foi prouvée par l’expérience et par l’écriture

 Paul  développa l’exemple d’Abraham et les rapports des vrais croyants avec lui, comme preuve scripturaire de la justification par la foi. Les Juifs voyaient la qualité d’enfants d’Abraham dans des rapports tout extérieurs avec lui, dans la circoncision, par exemple et dans la descendance selon la chair. Paul montra que, pour être fils d’Abraham, il falait lui ressembler spirituellement. Les vrais enfants d’Abraham ce sont ceux qui sont de la foi, ceux dont la vie, née de la foi, est constamment inspirée et dirigée par elle.

Puisque toutes les nations devaient être bénies en lui, ce ne pouvait être qu’en vertu du rapport tout spirituel créé par l’identité de leur foi  ; sans cela les chrétiens convertis du paganisme ne seraient à aucun égard enfants d’Abraham, ne descendant pas de lui. Ce fut la raison de le nommé ’ »Père des croyants » (Rm 4, 11), comme ayant laissé l’héritage de la promesse et de la bénédiction à tous ceux qui croient. Par  la bénédiction promise à Abraham et héritée par les croyants, Paul entendit toutes les grâces de l’Évangile, car cette bénédiction consistait à être justifié par la foi.

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As-tu, une seule fois dans ta vie, donné des ordres au matin ? Es-tu parvenu jusqu’aux sources de la mer ?

Posté par diaconos le 30 septembre 2022

Job 38 1

Du livre de Job

    Le Seigneur s’adressa à Job du milieu de la tempête et dit : « As-tu, une seule fois dans ta vie, donné des ordres au matin, assigné son poste à l’aurore, pour qu’elle saisisse la terre aux quatre coins et en secoue les méchants ? La terre alors prend forme comme argile sous le sceau et se déploie tel un vêtement ; aux méchants est enlevée la lumière, et le bras qui se levait est brisé. Es-tu parvenu jusqu’aux sources de la mer, as-tu circulé au fond de l’abîme ?  Les portes de la mort se sont-elles montrées à toi, les as-tu vues, les portes de l’ombre de mort ?     As-tu réfléchi à l’immensité de la terre ?

Raconte, si tu sais tout cela !  Quel chemin mène à la demeure de la lumière,  et l’obscurité, quel est son lieu,  pour que tu conduises chacune à son domaine et discernes les sentiers de sa maison ?  Si tu le sais, alors tu étais né, et le nombre de tes jours est bien grand !  » Job s’adressa au Seigneur et dit :   » Moi qui suis si peu de chose, que pourrais-je te répliquer ? Je mets la main sur ma bouche. J’ai parlé une fois, je ne répondrai plus ; deux fois, je n’ajouterai plus rien.  »  (Jb 38, 1.12.21)

Premier discours de Dieu en réponse à Job

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Samedi de la vingt-septième semaine dans le Temps Ordinaire de l’Église

Posté par diaconos le 30 septembre 2022

FR-Evangile-illustre-2016-10-08

Les Béatitudes sont le nom donné à une partie du sermon sur la montagne rapporté dans l’évangile selon Matthieu et à une partie du sermon dans la plaine  de l’évangile selon Luc (Lc 6, 20-23). Elles sont au nombre de huit dans l’Évangile selon Matthieu et de quatre dans l’Évangile selon Luc où elles sont suivies par quatre malédictions.  Il existe d’autres béatitudes dans les sources juives antérieures aux évangiles, dans la Bible, en particulier dans le Siracide (Si 14, 20-27), ou dans un des manuscrits de la Mer Morte provenant de la grotte 4 (4Q525 2 II). Les Béatitudes de l’évangile selon Matthieu présentent une structure qui repose sur le même procédé que celui utilisé pour ces deux derniers textes, ce qui a des conséquences directes sur l’étude du texte de cet évangile. Les Béatitudes des deux évangiles sont citées dans la Liturgie Divine de Jean Chrysostome, liturgie qui continue à être la plus souvent employée dans l’Église orthodoxe.

De l’Évangile de Jésus Christ selon Luc

En ce temps-là, comme Jésus était en train de parler, une femme éleva la voix au milieu de la foule pour lui dire : «  Heureuse la mère qui t’a porté en elle, et dont les seins t’ont nourri ! «   Alors Jésus lui déclara : «   Heureux plutôt ceux qui écoutent la parole de Dieu, et qui la gardent ! ( Lc 11, 27-28)

Heureux plutôt ceux qui écoutent la parole de Dieu et qui la gardent !

Jésus dit : « Heureux plutôt ceux qui écoutent la parole de Dieu et qui la gardent ! » Cette femme, probablement une mère, qui proclama bienheureuse la mère de Jésus, eut saisi ce que Jésus donna à entendre dans le discours précédent ; elle eut compris que Jésus fut le Messie ; cette vérité pénétra dans son esprit comme un trait de lumière. Dans l’émotion qu’elle en ressentit, elle pensa à celle qui donna le jour à Jésus. L’admiration qu’elle exprima trahit son sentiment maternel, plutôt qu’une foi religieuse bien éclairée et affermie. Son sentiment fut bon, mais elle parla comme une femme. (Bengel)

L’admiration qu’elle exprima trahit son sentiment maternel, plutôt qu’une foi religieuse bien éclairée et affermie. Son sentiment fut bon, mais elle parla comme une femme. (Bengel) Il fut inconcevable que malgré la réponse de Jésus les interprètes catholiques s’appuyèrent des paroles de cette femme pour sanctionner le culte de la Vierge. Jésus saisit avec bienveillance ce mouvement d’un cœur sincère, mais ce fut pour l’élever jusqu’à son vrai objet, la parole de Dieu écoutée et gardée comme une semence de vie divine. Il fit sentir à cette femme qu’elle-même put être heureuse comme celle dont elle célébra le bonheur.

Diacre Michel Houyoux

Liens avec d’autres sites web chrétiens

◊ Père Adam Gilbert  : cliquez ici pour liez l’article →  Samedi de la 27e semaine, année paire

◊   Vie chrétienne  : cliquez ici pour liez l’article →  Heureux plutôt ceux qui écoutent la parole de Dieu, et qui la gardent

♥  Heureux plutôt ceux qui écoutent la parole de Dieu et qui la gardent !

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Des millions d’êtres le servaient

Posté par diaconos le 29 septembre 2022

2 Timothée 3:16 Toute Écriture est inspirée de Dieu, et utile pour  enseigner, pour convaincre, pour corriger, pour instruire dans la justice,  - ppt télécharger

Du livre du prophète Daniel

La nuit, au cours d’une vision, Moi, Daniel, je regardais : des trônes furent disposés, et un Vieillard prit place ; son habit était blanc comme la neige, et les cheveux de sa tête, comme de la laine immaculée ; son trône était fait de flammes de feu, avec des roues de feu ardent. Un fleuve de feu coulait, qui jaillissait devant lui. Des milliers de milliers le servaient, des myriades de myriades se tenaient devant lui. Le tribunal prit place et l’on ouvrit des livres.

Je regardais, au cours des visions de la nuit, et je voyais venir, avec les nuées du ciel, comme un Fils d’homme ; il parvint jusqu’au Vieillard, et on le fit avancer devant lui. Et il lui fut donné domination, gloire et royauté ; tous les peuples, toutes les nations et les gens de toutes langues le servirent. Sa domination est une domination éternelle, qui ne passera pas, et sa royauté, une royauté qui ne sera pas détruite. ( Dn 7, 9-10.13-14)

Le jugement de la bête sans nom

 Cela suppose que le tribunal se compose d’autres juges : ces autres juges sont les saints du Trés-Haut.( Mt 19, 28  ; Ap 20, 4). Ce jugement se passa entre ciel et terre. Un vieillard, ce fut le Dieu d’éternité (Dt 33, 27 ;  Dn 7, 22). Dans beaucoup d’autres passages, c’est le Messie lui-même qui exécuta le jugement . Ses cheveux comme de la laine pure est l’emblème de la majesté. Le feu est le symbole de la puissance à la fois vivifiante et consumante de Dieu ; cet insigne lui est fréquemment attribué dans l’Ancien Testament. Il est particulièrement relevé ici à cause du jugement qui fut fait. (Éz 10, 12-13.

Un fleuve., ici il est l’emblème de la vie divine qui se répand dans l’univers. Mille milliers ; une myriade de myriades. Cette multitude innombrable est celle des anges. ( Dt 33, .2 ; 1 R 22, 19 ; Ps 103, .20). Il s’assit pour juger : c’est la reprise de la narration.  Et le tribunal s’assi.  Des livres qui  sont l’emblème de la toute-science de Dieu qui conserve la connaissance distincte de toutes les actions humaines. Le pluriel indique qu’il y a un livre particulier pour chaque homme.

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