• Accueil
  • > Archives pour le Samedi 24 septembre 2022

Garde le commandement jusqu’à la manifestation du Seigneur

Posté par diaconos le 24 septembre 2022

La foi qui est agissante par la charité - Versets bibliques en images |  Bible en ligne - Le salut de Dieu

De la première lettre de Paul à Timothée

Toi, homme de Dieu,  recherche la justice, la piété, la foi, la charité, la persévérance et la douceur. Mène le bon combat, celui de la foi, empare-toi de la vie éternelle ! C’est à elle que tu as été appelé, c’est pour elle que tu as prononcé ta belle profession de foi devant de nombreux témoins. Et maintenant, en présence de Dieu qui donne vie à tous les êtres, et en présence du Christ Jésus qui a témoigné devant Ponce Pilate par une belle affirmation, voici ce que je t’ordonne : garde le commandement du Seigneur, en demeurant sans tache, irréprochable jusqu’à la Manifestation de notre Seigneur Jésus Christ.

Celui qui le fera paraître aux temps fixés, c’est Dieu, Souverain unique et bienheureux, Roi des rois et Seigneur des seigneurs, lui seul possède l’immortalité, habite une lumière inaccessible ; aucun homme ne l’a jamais vu, et nul ne peut le voir. À lui, honneur et puissance éternelle.  (Tm  6, 13-16)

Exhortation à Timothée lui-même

Afin de rendre son exhortation plus pressante, Paul en appela au Dieu qui donne la vie à toutes choses et qui est par là même en nous la source de toute force pour confesser son nom, aussi bien que de toute fidélité et de toute sainteté (1 Tm 6, 14)  ; il en appela aussi à Jésus-Christ et à sa confession de la vérité, même en présence de la croix, sachant qu’il ne reconnut pour son disciple que celui qui le suivit dans cette voie avec dévouement et jusqu’au bout.

 Selon les uns, les exhortations que Paul adressa à Timothée (1 Tm 6, 11 ; 1 Tm 6, 22) ; selon d’autres et avec plus de raison, toute la loi chrétienne, l’Évangile avec tous ses fruits (1 Tm 1, 5). Dernier terme vers lequel l’Écriture élève sans cesse nos pensées, parce que  celui-là seul qui persévérera jusqu’à la fin sera sauvé .

Publié dans Catéchèse, comportements, Page jeunesse, Religion, Temps ordinaire | Pas de Commentaire »

Nous proclamons un Messie crucifié, scandale pour les Juifs. Mais pour ceux que Dieu appelle, il est sagesse de Dieu

Posté par diaconos le 24 septembre 2022

Pin page

De la première lettre de Paul aux Corinthiens

 Nous proclamons un Messie crucifié, scandale pour les hommes, mais pour ceux que Dieu appelle, il est sagesse de Dieu . Frères, alors que les Juifs réclament des signes miraculeux, et que les Grecs recherchent une sagesse, nous, nous proclamons un Messie crucifié, scandale pour les Juifs, folie pour les nations païennes. Mais pour ceux que Dieu appelle, qu’ils soient juifs ou grecs, ce Messie, ce Christ, est puissance de Dieu et sagesse de Dieu. Car ce qui est folie de Dieu est plus sage que les hommes, et ce qui est faiblesse de Dieu est plus fort que les hommes.  (1 Co, 22-25)

La sagesse de Dieu

Par la sagesse de Dieu, il ne faut pas entendre sa vérité révélée dans l’Évangile, puisque la folie de la prédication, autre moyen auquel il a eu recours, est précisément l’Évangile ; mais plutôt sa sagesse manifestée dans la nature et dans la conscience de l’homme (Rm 1, 19-20 ; Rm 2, 15) ; or, dans cette sagesse-là, dans cette sphère où elle était manifeste aux yeux de tous, le monde n’a pas connu Dieu par le moyen de la sagesse, c’est-à-dire de sa philosophie, de ses facultés naturelles, de toutes ses recherches.

Et à cause de cela, il a plu à Dieu de confondre cette sagesse humaine par une prédication qui lui parut une folie, mais par laquelle les croyants furent sauvés. Il eût été légitimement dans l’ordre que l’homme, contemplant Dieu dans ses ouvrages, fût parvenu à sa connaissance au moyen de la sagesse dont Dieu l’avait doué ; mais, puisque cet ordre fut renversé par la corruption de la nature humaine. « Dieu voulut rendre l’homme fou avant de le rendre sage à salut. L’homme mérita, par son ingratitude, ce renversement de l’ordre et il fallut que Dieu prit une autre voie pour l’instruire.  »(Calvin)

Tout pour eux devait être visible, terrestre, matériel, incapables qu’ils étaient de s’élever à la spiritualité qui seule peut constituer la vie de l’âme. Aux uns et aux autres Paul opposa, avec une sainte hardiesse, Christ crucifié. Un Sauveur, Fils de Dieu et Fils de l’homme, mourant dans l’infamie de la croix et en imposant les flétrissures à ses disciples (Ga 6, 17) quoi de plus contraire au Messie glorieux, au puissant thaumaturge que demandèrent les Juifs ! Ils se heurtèrent à cette vérité divine, elle leur fut en scandale.

Et quoi de plus éloigné d’un sage de ce monde, que Celui qui manifesta le plus haut degré de la vérité et de la gloire divines dans les dernières profondeurs de son renoncement et de son humiliation ; qui, par le fait de son dévouement jusqu’à la mort de la croix, sauva un monde perdu dans le péché et l’erreur ; qui, enfin, exigea des siens, avant toute sagesse, qu’ils meurent et ressuscitent avec lui ! Quant aux appelés, c’est-à-dire à ceux que la grâce divine attire et convertit par l’Évangile (Rm 1, 7)

Christ crucifié est la puissance de Dieu et la sagesse de Dieu. Vaincre en succombant, telle est la puissance de Dieu manifestée dans le sacrifice du Sauveur et tout croyant confesse qu’aucune autre puissance n’aurait pu opérer sa justification, ni sa sanctification, l’une et l’autre devant commencer et s’achever par le renoncement et par le dépouillement et la mort du vieil homme. La croix est encore la sagesse de Dieu, parce qu’elle seule concilie les contradictions profondes qui existent dans les rapports de l’homme avec Dieu et dans l’homme lui-même, elle seule est la clef des mystères du péché et de la vie humaine en général.

Toute philosophie qui veut se passer du fait de la rédemption, repose sur une erreur par laquelle tout le système devient faux. Paul oppose cette puissance de Dieu au scandale que les Juifs prennent en Jésus-Christ à cause de sa basse condition sur la terre et cette sagesse de Dieu à la folie que trouve la philosophie des Grecs dans l’idée d’un Dieu manifesté en chair et rachetant l’humanité par son sacrifice.  Il n’y a pas, dans l’original, la folie de Dieu, la faiblesse de Dieu, mais ce qui est fou, ce qui est faible, ce qui, en Dieu, paraît tel aux hommes.

Diacre  Michel Houyoux

Liens avec d’autres sites web chrétiens

◊  Opus Dei : cliquez ici pour lire l’article →   Nous proclamons un Messie crucifi

◊ catholique en France  : cliquez ici pour lire l’article → Nous proclamons un Messie crucifié

♥ Vidéo La sagesse est de tout voir avec les yeux de Dieu

Image de prévisualisation YouTube

 

Publié dans Catéchèse, Page jeunesse, Religion, Temps ordinaire | Pas de Commentaire »

Pour moi, vivre c’est le Christ, et mourir est un avantage

Posté par diaconos le 24 septembre 2022

Pour moi, vivre c’est le Christ, et mourir est un avantage dans Catéchèse st-paul

Pour moi, vivre c’est le Christ, et mourir est un avantage

De la lettre de Paul aux Philippiens

Frères, de toute façon, que ce soit avec des arrière-pensées ou avec sincérité, le Christ est annoncé, et de cela je me réjouis. Bien plus, je me réjouirai encore, car je sais que cela tournera à mon salut, grâce à votre prière et à l’assistance de l’Esprit de Jésus Christ.  C’est ce que j’attends avec impatience, et c’est ce que j’espère. Je n’aurai à rougir de rien ; au contraire, je garderai toute mon assurance, maintenant comme toujours ; soit que je vive, soit que je meure, le Christ sera glorifié dans mon corps.  En effet, pour moi, vivre c’est le Christ, et mourir est un avantage. Mais si, en vivant en ce monde, j’arrive à faire un travail utile, je ne sais plus comment choisir.

 Je me sens pris entre les deux : je désire partir pour être avec le Christ, car c’est bien préférable ; mais, à cause de vous, demeurer en ce monde est encore plus nécessaire. De cela, je suis convaincu. Je sais donc que je resterai, et que je continuerai à être avec vous tous, pour votre progrès et votre joie dans la foi. Ainsi, à travers ce qui m’arrive, vous aurez d’autant plus de fierté dans le Christ Jésus, du fait de mon retour parmi vous. (Ph 1, 18b -26)

Prière pour l’Église

Le cœur, d’après l’Écriture, est le siège des affections morales : de lui   procèdent les sources de la vie» ; c’est pourquoi on le trouve souvent placé dans des rapports où, selon nos idées reçues, on aurait plutôt attendu une expression qui désignât nos facultés intellectuelles.  Deux choses également merveilleuses s’offrent à la vue de ceux qui ont les yeux de leur cœur éclairés par le Saint-Esprit : l’espérance des glorieuses richesses de l’héritage que Dieu réserve aux saints (Ep 1, 18) ; cette espérance est désignée  d’abord, par sa cause efficiente, la vocation, qui a lieu par la prédication de l’Évangile, ensuite, par son objet qui est l’héritage, dont Paul ne donna pas  l’idée complète, malgré la magnificence des termes qu’il employa.

L’expérience de la puissance infinie que Dieu  déploya pour les amener à la foi et pour les renouveler par cette foi (Ep 1, 19). Cette puissance fut telle, que Paul la compara à celle qu’il a fallu pour ramener le Sauveur d’entre les morts et le faire asseoir à la droite de la majesté divine (Ep 1, 20).  C »est une une profonde réalité  : la puissance divine de résurrection et de vie par laquelle Jésus-Christ est sorti du tombeau, est la même qui tire un pécheur de la mort spirituelle en le faisant demeurer dans une communion vivante avec Jésus et qui, au dernier jour, lui assurera la vie et la perfection éternelles. Dans tous ces sens, Christ est pour nous la résurrection et la vie . (Rm 8, 11)

Publié dans Catéchèse, Page jeunesse, Religion, Temps ordinaire | Pas de Commentaire »

Ma maison s’appellera : “Maison de prière pour tous les peuples”

Posté par diaconos le 24 septembre 2022

Ma maison s’appellera : “Maison de prière pour tous les peuples” dans Ancien testament


Du livre du prophète Isaïe

Ainsi parle le Seigneur : Observez le droit, pratiquez la justice, car mon salut approche, il vient, et ma justice va se révéler. Heureux l’homme qui agit ainsi, le fils d’homme qui s’y tient fermement ; il observe le sabbat sans le profaner et se garde de toute mauvaise action. L’étranger qui s’est attaché au Seigneur, qu’il n’aille pas dire : « Le Seigneur va sûrement m’exclure de son peuple. »

Les étrangers qui se sont attachés au Seigneur pour l’honorer, pour aimer son nom, pour devenir ses serviteurs, tous ceux qui observent le sabbat sans le profaner et tiennent ferme à mon alliance,  je les conduirai à ma montagne sainte je les comblerai de joie dans ma maison de prière, leurs holocaustes et leurs sacrifices seront agréés sur mon autel, car ma maison s’appellera «  Maison de prière pour tous les peuples. »  Oracle du Seigneur Dieu, qui rassemble les exilés d’Israël : J’en ai déjà rassemblé, j’en rassemblerai d’autres encore. (Is 56, 1-3a.6-8)

La maison de Dieu ouverte à tous les peuples

Le salut a été offert gratuitement. Cela ne signifie pas qu’une préparation morale ne fut pas nécessaire pour pouvoir se l’approprier. Cette préparation consista à se détourner du mal pour chercher à accomplir sincèrement la loi de Dieu. À cette fidélité, qui dispose le cœur pour l’œuvre de la grâce, l’Éternel assure tous les bienfaits du salut. C’est ainsi que Jésus promit le rassasiement à ceux qui ont faim et soif de la justice (Mt 5, 6 ; Is 1, 16)

Gardant le sabbat de faire aucun mal. : Luther fit observer que ces mots rappellent l’un la première, l’autre la seconde table de la loi. Isaïe mentionna spécialement le sabbat, parce que cette institution était l’une des bases fondamentales de la théocratie et l’un des traits distinctifs du peuple de Jéhova. Ce jour consacré à Dieu était le mémorial de l’alliance ; l’observation en était réclamée sous peine de mort, comme le signe de la fidélité d’Israël à son Dieu (Ex 31, 13-17).

Isaïe eut en vue des païens qui se convertirentà Jéhovah et observèrent au moins certains commandements de la loi. Moïse avait déjà, sous certaines réserves, permis l’admission de païens dans la théocratie (Dt 23, 3-8). Ces prosélytes, qui n’avaient pas droit par leur origine aux privilèges de la race d’Abraham, pouvaient éprouver un sentiment d’infériorité par rapport aux Israélites de naissance et craindre que la sainteté qui dut distinguer l’assemblée de l’Éternel ne fut un jour invoquée contre eux et n’amenât leur exclusion d’Israël, lorsque le peuple serait enfin élevé à la hauteur de sa destination.

La prière est présentée ici comme l’acte essentiel du culte, celui qui donne son nom à la maison de Dieu. Isaïe fit entendre que les sacrifices qui furent offerts sur Sion étaient des offrandes spirituelles. Salomon avait compris cette destination universelle (1 R 8, 41-43 ; Is 2, 2-3 ; Mc 11, 17)   Les païens que Dieu joindra aux bannis d’Israël qu’il aura rassemblés (Is 11, 10-12). Jésus exprima la même pensée quand il dit : « J’ai encore d’autres brebis, qui ne sont pas de cette bergerie ; il faut aussi que je les amène (Jn 10, 16 ; Jn 12, 32).

Diacre Michel Houyoux

Liens avec d’autres sites web chrétiens

◊ Jardinier de Dieu : cliquez ici pour lire l’article →  Ma maison sera une maison de prière

◊ Guyane catholique  : cliquez ici pour lire l’article →  Ma Maison de prière sera pour tous les peuples

♥ Vidéo Abbé Pierre Desroches : « Jésus exauce l’étrangère qui sait d’abord être reconnaissante »

Image de prévisualisation YouTube

Publié dans Ancien testament, Catéchèse, Page jeunesse, Temps ordinaire | Pas de Commentaire »

 

Salem alikoum |
Eazy Islam |
Josue |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | AEP Gresivaudan 4ieme 2007-08
| Une Paroisse virtuelle en F...
| VIENS ECOUTE ET VOIS