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La sagesse de Dieu a été reconnue juste

Posté par diaconos le 28 septembre 2022

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Nous avons joué de la flûte, et vous n'avez pas dansé.

Nous avons joué de la flûte, et vous n’avez pas dansé. Nous avons chanté des lamentations, et vous n’avez pas pleuré

De l’Évangile selon Luc

En ce temps-là, Jésus disait à la foule :  «À qui donc vais-je comparer les gens de cette génération ? À qui ressemblent-ils ?  Ils ressemblent à des gamins assis sur la place, qui s’interpellent en disant : “Nous avons joué de la flûte, et vous n’avez pas dansé. Nous avons chanté des lamentations, et vous n’avez pas  pleuré.” Jean le Baptiste est venu, en effet ; il ne mange pas de pain, il ne boit pas de vin, et vous dites : “C’est un possédé !”  Le Fils de l’homme est venu ; il mange et il boit, et vous dites : “Voilà un glouton et un ivrogne, un ami des publicains et des pécheurs.” Mais, par tous ses enfants, la sagesse de Dieu a été reconnue juste. » (Lc 7, 31-35)

Jean Baptiste prépara la venue de Jésus

Toutes les générations avant Jean ont attendu patiemment le salut de Dieu. Quand Jean le Baptiste commença à prêcher, la dernière prophétie de l’Ancien Testament  s’accomplit : « Voici, je vous enverrai Élie, le prophète, avant que le jour de l’Éternel arrive, ce jour grand et redoutable. » ( Malachie 4, 5)  Jean le Baptiste fut ce Élie dont il est question en Malachie. Il fut le précurseur qui dût préparer la venue du Messie.  Jean ne fut pas la réincarnation du prophète Élie. Il était Élie dans le sens qu’il  conduisit son ministère avec le même esprit et la même puissance que le prophète Élie.

En parlant de Jean le Baptiste, l’ange Gabriel dit à Zacharie : « Il marchera devant Dieu avec l’esprit et la puissance d’Élie afin de préparer au Seigneur un peuple bien disposé «    (Luc 1, 17). Zacharie apprit de la bouche d’un ange que son fils, Jean le Baptiste, aura comme mission de préparer le peuple pour le Seigneur et qu’il sera animé de l’esprit et de la vertu qui caractérisèrent Élie. Les Juifs ne le comprirent pas de cette façon. Ils crurent qu’Élie apparaîtrait réellement en personne pour introduire le Messie.

« À qui comparerai-je cette génération ? »  Jésus reprocha à cette génération d’être comme ces enfants boudeurs, n’étant nullement intéressés par l’œuvre de Dieu parmi eux. Les Juifs  furent les témoins privilégiés de l’apparition du Messie, mais tels des enfants capricieux, ils ne manifestèrent aucun penchant pour lui. À cette époque, toutes les villes avaient une place de marché. C’était un grand lieu de rencontre. N’importe qui pouvait s’y rendre pour vendre un produit ou dire ce qu’il croyait important d’être entendu publiquement. Ainsi, dans un coin du marché, on pouvait voir un fermier occupé à vendre ses poulets. À un autre endroit, il y avait des gens qui offraient des légumes.

Plus loin, un individu était en train de prononcer un discours sur la philosophie grecque. La place du marché bouillonnait à chaque jour d’activité humaine. On comprend pourquoi Paul y alla souvent pour prêcher. C’est là que tout le monde se rencontrait! Si vous n’étiez pas occupés et si vous vouliez vous changer les idées, quoi de mieux que de se rendre à la place publique. Pendant que les adultes conversaient, il y avait des enfants qui couraient partout et qui s’amusaient. Jésus compara cette génération à des enfants jouant dans le marché public : « Nous vous avons joué de la flûte, et vous n’avez pas dansé; nous avons chanté des complaintes, et vous ne vous êtes pas lamentés. »

 À quelle occasion joue-t-on de la flûte ? La flûte est un instrument qu’on utilise surtout lors d’un mariage ou d’une festivité pour égayer l’ambiance. Un groupe d’enfants commença à jouer de la musique de noces et invita les autres à jouer : »Joignez-vous à nous. Nous allons jouer au mariage. Dansez au son de notre musique ; nous avons joué un air de flûte et vous ne vouliez pas danser. Nous avons entonné un chant funèbre, mais vous n’avez pas pleuré. Vous ne vouliez pas jouer «   Lorsque Jean le Baptiste prêcha, les gens se déplacèrent par milliers pour écouter son message.

Mais tous ne crurent pas. Si certains se réjouirent momentanément de la lumière qu’apportait le ministère de Jean (Jn 5.35), ils se réjouirent sans se repentir. La prédication de Jésus attira aussi une foule nombreuse. Lors de la multiplication des pains, cinq mille personnes suivirent Jésus (Mt 14, 13-21). Mais combien de ceux-là devinrent ses disciples ? Un petit nombre Plusieurs entendirent la parole de l’Évangile mais bien peu devinrent croyants. Certains sentirent le besoin de justifier leur manque de réceptivité à l’annonce de la Bonne Nouvelle. Ils dirent par exemple : Jésus attire l’attention,  Ils fait toujours une forte impression.

Si vous l’invitez chez vous pour un repas, vous allez rapidement constater qu’il aime boire et faire bonne chère. Et il manger avec n’importe qui, même avec des collecteurs d’impôt et des pécheurs. S’il se mêle si spontanément aux gens de mauvaise vie, comment peut-on vraiment adhérer à son enseignement ? n groupe d’enfants commença à jouer de la musique de noces et invita les autres à jouer : « Joignez-vous à nous. Nous allons jouer au mariage. Dansez au son de notre musique ; nous avons joué un air de flûte et vous ne vouliez pas danser. Nous avons entonné un chant funèbre, mais vous n’avez pas pleuré. Vous ne vouliez pas jouer ! »

Lorsque Jean le Baptiste prêcha, les gens se déplaçèrent par milliers pour écouter son message. Mais tous ne crurent pas. Si certains se réjouirent momentanément de la lumière qu’apportait le ministère de Jean (Jn 5.35), ils se réjouirent sans se repentir. La prédication de Jésus attira aussi une foule nombreuse. Lors de la multiplication des pains, cinq mille personnes suivirent Jésus (Mt 14, 13-21). Mais combien de ceux-là devinrent ses disciples ? Un petit nombre Plusieurs entendirent la parole de l’Évangile mais bien peu devinrent croyants.

Certains sentirent le besoin de justifier leur manque de réceptivité à l’annonce de la Bonne Nouvelle. Ils dirent par exemple :  « Jésus attira l’attention »,  Ils fit toujours une forte impression  : ‘ Si vous l’invitez chez vous pour un repas, vous allez rapidement constater qu’il aime boire et faire bonne chère. Et il manger avec n’importe qui, même avec des collecteurs d’impôt et des pécheurs. S’il se mêle si spontanément aux gens de mauvaise vie, comment peut-on vraiment adhérer à son enseignement ?

Après avoir parlé de l’opinion des gens concernant Jean le Baptiste et concernant lui-même, Jésus  déclara : « Mais la sagesse a été justifiée par tous ses enfants. » Dans ce contexte, la sagesse signifie : la pensée de Dieu.Elle est décrite comme si elle était une personne dont le rôle consiste à communiquer le plan de Dieu. Si ne devenez pas comme un enfant,  ouvert à l’enseignement et reconnaissant sa dépendance, vous ne pourrez jamais connaître la vérité divine.  Jésus utilisa cette illustration pour nous poser quelques questions. Quelle est votre position sur ce point? Que pensez-vous de Jean et de Jésus ?

Êtes-vous un enfant de la sagesse ? Ou appartenez-vous au groupe d’enfants boudeurs, exigeant de Dieu que tout se déroule selon votre volonté ? Jésus demande une réaction de votre part et surtout une prise de position. Le choix que vous ferez déterminera où votre existence aboutira. Au jour du jugement, Jésus en personne rendra la justice et prendra une décision irrévocable pour chaque personne.  Il y aura différents degrés de sévérité dans le jugement. Lorsque Jean le Baptiste prêcha, les gens se déplacèrent par milliers pour écouter son message. Mais tous ne crurent pas. Si certains se réjouirent momentanément de la lumière qu’apportait le ministère de Jean (Jn 5, 35), ils se réjouirent sans se repentir.

La prédication de Jésus attira aussi une foule nombreuse. Lors de la multiplication des pains, cinq mille personnes suivirent Jésus (Mt 14, 13-21). Mais combien de ceux-là devinrent ses disciples ? Un petit nombre Plusieurs entendirent la parole de l’Évangile mais bien peu devinrent croyants. Certains sentirent le besoin de justifier leur manque de réceptivité à l’annonce de la Bonne Nouvelle. Ils dirent par exemple : « Jésus attire l’attention,  Ils fit toujours une forte impression  : ‘ Si vous l’invitez chez vous pour un repas, vous allez rapidement constater qu’il aime boire et faire bonne chère. Et il manger avec n’importe qui, même avec des collecteurs d’impôt et des pécheurs. S’il se mêle si spontanément aux gens de mauvaise vie, comment peut-on vraiment adhérer à son enseignement ?

 Après avoir parlé de l’opinion des gens concernant Jean le Baptiste et concernant lui-même, Jésus  déclara : « Mais la sagesse a été justifiée par tous ses enfants. » Dans ce contexte, la sagesse signifie : la pensée de Dieu. Elle est décrite comme si elle était une personne dont le rôle consiste à communiquer le plan de Dieu. Si ne devenez pas comme un enfant,  ouvert à l’enseignement et reconnaissant sa dépendance, vous ne pourrez jamais connaître la vérité divine.  Jésus utilisa cette illustration pour nous poser quelques questions. Quelle est votre position sur ce point? Que pensez-vous de Jean et de Jésus ?

Êtes-vous un enfant de la sagesse ? Ou appartenez-vous au groupe d’enfants boudeurs, exigeant de Dieu que tout se déroule selon votre volonté ? Jésus demande une réaction de votre part et surtout une prise de position. Le choix que vous ferez déterminera où votre existence aboutira. Au jour du jugement, Jésus en personne rendra la justice et prendra une décision irrévocable pour chaque personne.  Il y aura différents degrés de sévérité dans le jugement. Les pays chrétiens devraient se sentir particulièrement visés. Leurs églises bénéficient abondamment de la présence et de la puissance de Jésus. Des conversions miraculeuses s’y produisent régulièrement. L’amour de Dieu est manifeste. Au jour du jugement, la question sera alors la suivante : Quel accueil avez-vous fait à la grâce divine? Sa présence a-t-elle radicalement changé votre vie ?

Diacre Michel Houyoux

 Liens avec d’autres sites web chrétiens

◊ Étude biblique : cliquez ici pour lire l’article → VOUS N’AVEZ PAS DANSÉ

◊ Pape  François : cliquez ici pour lire l’article →  Ne cédons pas à l’échec

 Vidéo La venue du Fils de l’homme

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Sunday of the Twenty-seventh Week of Ordinary Time – Even Year

Posté par diaconos le 28 septembre 2022

Sunday of the Twenty-seventh Week of Ordinary Time - Even Year dans La messe du dimanche week4-mustardseed

From the Gospel of Jesus Christ according to Luke

At that moment the apostles said to the Lord: « Increase our faith! « The Lord answered: « If you had had faith, as great as a mustard seed, you would have said to this tree: ‘Be uprooted and planted in the sea,’ and it would have obeyed you. Which of you, when his servant has ploughed or tended his cattle, will say to him when he returns from the field: ‘Come quickly and sit down to eat’? Or will you not say to him: ‘Prepare my supper and dress to serve me, while I eat and drink. Then shall ye eat and drink Will he be grateful to that servant for doing his bidding? In the same way, when you have done all you have been commanded, say : ‘We are mere servants, we have only done our duty’  » (Lk 17 5-10)

It is impossible for scandals not to occur.

Woe to those who provoke them! Be careful ! If your brother sins against you, rebuke him and forgive him even for repeated offences. The strength of faith Faced with such an obligation, the apostles asked Jesus to increase their faith. Jesus replied that it is enough to have a faith the size of a mustard seed to plant a mulberry tree in the sea.

« Take heed to yourselves ! If your brother sins, rebuke him ; and if he repents, forgive him ». (Lk 17, 3) This exhortation to vigilance belongs to what was said above: since scandal is inevitable in the world, you, my disciples, beware of giving rise to it! For nowhere are our relations more difficult than with those who sin and offend us. The duty to forgive offences, which is an act of true charity, has no limits, because charity has no limits. We must not stop at ♥hyperbolic assumption of a man so lacking in moral character as to offend another man seven times a day and ask for forgiveness. We must simply remember this truth: charity always forgives.

The apostles took the duty Jesus had prescribed to them seriously, but found themselves unable to fulfil it. Hence their prayer: ‘Increase our faith’. They were enlightened enough to feel that a faith more powerful than theirs, which changed their hearts and worked through charity, made them capable of forgiving, of always forgiving. They would do what seems absolutely impossible, because faith takes possession of the very power of God. And even the smallest degree of this true faith will give you this power. Jesus assumed that the disciples had enough faith, that they had to use it; it did not matter whether their faith was great or small ; if like a mustard seed, they only had to use it and they would do wonders.

Deacon Michel Houyoux

Links to other Christian websites

◊ National Catholic : click here to read the story →  Twenty-seventh Sunday in Ordinary Time -Year C 

◊ Dear Brother David Garcia  : click here to read the story →  Twenty-Seventh Sunday of Ordinary Time Homily – OBLATE

♥ Video Friar Burke Masters

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Jeudi de la vingt-septième semaine dans le Temps Ordinaire de l’année C

Posté par diaconos le 28 septembre 2022

Evangile et Homélie du Jeudi 09 Mars 2017. Demandez, on vous donnera ;  cherchez, vous trouverez ; frappez, on vous ouvrira. - Chorale  Belgo-Burundaise CSFA

Efficacité de la prière

Jésus enseigna l’efficacité de la prière, soit par des analogies, soit par des contrastes, comme dans la parabole. Cette parabole renferme à la fois une promesse et une exhortation, selon que nous considérons les deux hommes mis en scène. La promesse pourrait se traduire ainsi : «  Si un homme, par pur égoïsme et pour se délivrer d’un solliciteur, lui accorda sa demande, même à minuit, combien plus Dieu, qui connaît tous vos besoins et qui est amour !  «

Quant à l’exhortation, c’est le solliciteur lui-même qui l’eut fait entendre par son exemple : Puisque, dans les circonstances les plus défavorables, mais pressés par vos besoins vous ne craignez pas d’importuner avec insistance un homme que vous savez si peu généreux, pourquoi ne faites-vous pas de même envers Dieu qui, dans sa miséricorde infinie, est toujours prêt à vous accorder bien au-delà de toutes vos prières ?

 » Et moi, je vous dis. «  Ce fut par ces mots que Jésus introduisit une admirable application de sa parabole, à laquelle il emprunta les images et les expressions mêmes dont il se servit. « Demandez, cherchez, heurtez », c’est là ce que fait l’homme de la parabole ; il vous sera donné, vous trouverez, il vous sera ouvert, telle fut son expérience ; combien plus certainement sera-ce la vôtre auprès de Dieu ! Encore une preuve plus intime et plus persuasive que Dieu exauce la prière.

Parmi les dons que l’enfant demanda à son père, Matthieu ne désigna que du pain et un poisson : ce furent les provisions que l’on prit d’ordinaire pour le voyage : Jésus leur demanda : « Combien de pains avez-vous ? Allez voir. S’étant informés, ils lui disent : « Cinq, et deux poissons. » (Mc 6, 38) ; Luc ajouta un œuf, qui faisait souvent aussi partie de ces provisions. Notre hôte nous remet, au départ, de quoi faire notre repas : des pains (je dis des pains, et non du pain, car on les fait ici fort petits, des œufs durs, comme toujours, plus quelques poissons frits. On voit que la nourriture fut absolument la même que du temps de Jésus.

À ces trois aliments furent opposés : une pierre, cruelle ironie ; un serpent, très dangereux ; un scorpion plus nuisible encore. Qui fut le père qui répondra par de tels dons à la demande de son enfant ? Et cette question devient plus frappante quand, à à la place d’un père quelconque, Jésus nomme le Père céleste.
« Vous qui êtes mauvais » : Remarquable témoignage du péché originel. ( Bengel) Quel contraste avec la bonté et l’amour du Père qui est du ciel ! D’après Matthieu, Jésus dit : « « Votre Père donnera des biens, ou de bonnes choses, à ceux, qui les lui demandent. » Cette expression est plus simple, et plus en harmonie avec l’image qui précède, que les termes employés par Luc : donnera l’Esprit-Saint. Mais d’autre part, le Saint-Esprit est le plus précieux des dons de Dieu.

Diacre Michel Houyoux

Liens avec d’autres sites web chrétirns

◊ Catholique.org : cliquez ici pour lire l’article → Demandez et on vous donnera – Les méditations 

◊ Yves I-Bing Cheng, M.D., M. A  :  cliquez ici pour lire l’article → Demandez et il vous sera donné – Mt 7 (7-11)

♥ Vidéo Walter ZanZen : « Demandez et l’on vous donnera

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