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Sainte Marguerite d’Ecosse (1046-1093)

Posté par diaconos le 16 novembre 2022

Sainte Marguerite, Reine et Patronne de l'Écosse (1046-1093). Fête le 16  Novembre.

Biographie

En 1016, la mort du roi anglais Edmond Côte de Fer permit au Danois Knut le Grand de prendre le contrôle de toute l’Angleterre. Les deux jeunes fils d’Edmond, Édouard et Edmond, furent envoyés sur le continent (ou exilés par Knut). Ils finirent en Hongrie, où  naquit Marguerite, la fille d’Édouard et de son épouse Agathe, d’ascendance incertaine1. Ce ne fut  qu’en 1057 qu’Édouard put rentrer en Angleterre, mais il mourut peu de temps après, laissant trois enfants : Marguerite, Edgat et Chtistine. Après la conquête normande de l’Angleterre en1066, la fratrie se réfugia à la cour du royaume d’Écosse. Quelques années plus tard, en 1069, Marguerite épousa le roi Malcom III Canmore à Dumfermlines.

D’après l’hagiographie de Turgot, Marguerite mène une vie exemplaire et s’intéresse particulièrement à la liturgie. Elle s’efforça de mettre les pratiques écossaises en conformité avec celles observées dans le reste de la chrétienté, tout en respectant certaines spécificités du pays, comme les ermites Céli Dé. Elle mourut le 16 novembre 1093, trois jours après la mort de son époux et de leur fils aîné Édouard lors d’un taid sur Almrwick, dans le Northumberland  ; les deux événements furent liés. Elle fut inhumée auprès de Malcolm en l’Abbaye de Dunfermlines. Marguerite fut canonisée un siècle et demi après sa mort, en 1250, par le pape <innocent IV. En 1673 Clément X la nomma sainte patronne de l’Écosse. Entre-temps, ses restes et ceux de son époux furent transférés à l’Escurial par le roi d’Espagne Philippe II.

Marguerite et Malcolm eurent huit enfants, deux filles et six fils : Édouard (tué en 1093) ;  Edmond (mort après 1097) ; Ethelred (mort après 1093) ;  Edgar (vers 1074 – 8 ou 15 janvier 1107), roi d’Écosse de 1097 à 1107 ; Alexandre Ier (vers 1080 – 23 avril 1124), roi d’Écosse de 1107 à sa mort ;  Mathilde (1080-1118), épousa en 1100 le roi d’Angleterre Henri Ier ; Marie (1082-1116), épousa le comte  Rustache III de Boulogne ; David Ier (vers 1084)

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◊ Sainte Marguerite d’Écosse   : cliquez ici pour lire l’article →   Centre Romand de l’Apostolat Mondial de Fatima 

Diocèse d’Obala : cliquez ici pour lire l’article →        Ste Marguerite, reine d’Écosse

♥ Vidéo Sainte Marguerite d’Écosse

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Les sept sceaux

Posté par diaconos le 16 novembre 2022

Les sept sceaux dans Apocalypse image

Du livre de l’Apocalypse

Après cela, j’ai vu : et voici qu’il y avait une porte ouverte dans le ciel. Et la voix que j’avais entendue, pareille au son d’une trompette, me parlait en disant : « Monte jusqu’ici, et je te ferai voir ce qui doit ensuite advenir. » 02 Aussitôt je fus saisi en esprit. Voici qu’un trône était là dans le ciel, et sur le Trône siégeait quelqu’un. 03 Celui qui siège a l’aspect d’une pierre de jaspe ou de cornaline ; il y a, tout autour du Trône, un halo de lumière, avec des reflets d’émeraude.

04 Tout autour de ce Trône, vingt-quatre trônes, où siègent vingt-quatre Anciens portant des vêtements blancs et, sur leurs têtes, des couronnes d’or. 05 Et du Trône sortent des éclairs, des fracas, des coups de tonnerre, et sept torches enflammées brûlent devant le Trône : ce sont les sept esprits de Dieu. 06 Devant le Trône, il y a comme une mer, aussi transparente que du cristal. Au milieu, autour du Trône, quatre Vivants, ayant des yeux innombrables en avant et en arrière.

07 Le premier Vivant ressemble à un lion, le deuxième Vivant ressemble à un jeune taureau, le troisième Vivant a comme un visage d’homme, le quatrième Vivant ressemble à un aigle en plein vol. 08 Les quatre Vivants ont chacun six ailes, avec des yeux innombrables tout autour et au-dedans. Jour et nuit, ils ne cessent de dire : « Saint ! Saint ! Saint, le Seigneur Dieu, le Souverain de l’univers, Celui qui était, qui est et qui vient. »

09 Lorsque les Vivants rendent gloire, honneur et action de grâce à celui qui siège sur le Trône, lui qui vit pour les siècles des siècles, 10 les vingt-quatre Anciens se jettent devant Celui qui siège sur le Trône, ils se prosternent face à celui qui vit pour les siècles des siècles ; ils lancent leur couronne devant le Trône en disant : 11 « Tu es digne, Seigneur notre Dieu, de recevoir la gloire, l’honneur et la puissance. C’est toi qui créas l’univers ; tu as voulu qu’il soit : il fut créé. (Ap 4, 1-11)

La vision du trône

Une porte ouverte dans le ciel signifie que le ciel, considéré comme le palais de Dieu (Gn 28.17), s’ouvre pour le voyant (Éz 1, 1 ; Mt 3, 16 ; Ac 7, 56 ; Ac 10, 11). Il ne résulte pas nécessairement de ces passages que la voix dont il est parlé ici soit celle du Fils de l’homme (Ap 1, 13), et cela, n’est pas probable, puisque Jésus apparutt dans la suite de la vision comme un  agneau immolé.  (Ap 5, 6). La première vision et les épîtres concernaient l’état présent des Églises ; les suivantes se rapporteront à l’avenir.

Était-il revenu à son état naturel, quand il écrivit les lettres aux sept Églises (Apocalypse 2 et Apocalypse 3) ? Les interprètes diffèrent sur cette question. Dès le début de la présente vision, quand il vit le ciel s’ouvrir et entendit la voix lui dire : « Monte ! » il était dans une sorte d’extase. Lorsqu’il fut aussitôt après cet appel ravi en esprit, il fut élevé à un degré supérieur d’extase (comparer (Ez 11, 1 ; Ez 11, 5 ; 2 Co 12, 2-4).

Jean fut uniquement préoccupé de décrire ce qu’il vit ; il ne nomma pas celui qui était assis sur le trôneCes pierres précieuses figurent l’éblouissante splendeur de la gloire divine. Le mot jaspe désigne le diamant (Ap 21, 11) ; aujourd’hui on appelle ainsi une pierre opaque analogue à l’agate. La sardoine, nom d’une autre sorte d’agate, désigne dans Ézéchiel 28.13, d’après l’étymologie du terme hébreu, une pierre de couleur rouge, le rubis ou la cornaline Ces deux pierres éclatantes figuraient la sainteté et la justice divines.

L’arc-en-ciel entoure le trône d’un cercle vertical, comme le cadre un tableau. L’image est empruntée à Ézéchiel 1.28. Dans la vision de Jean, ce n’étaient pas les sept couleurs de l’arc-en-ciel qui brillaient de leur éclat et figuraient, comme dans Ézéchiel, « la gloire de l’Éternel ». L’arc-en-ciel autour du trône avait l’aspect de l’émeraude, couleur douce, symbole de la grâce qui accompagne toujours les manifestations de la justice et de la sainteté de Dieu. L’arc en ciel lui-même était, du reste, le signe de l’alliance de grâce (Gen 9, 12 ; Gn 9, 13).

Qui furent ces anciens ? Les uns y virent des êtres supérieurs, des anges représentants d’un sacerdoce céleste divisé en 24 classes comme le sacerdoce lévitique. Ils se fondèrent sur le fait que ces anciens furent présentés comme des rois, assis sur des trônes, ayant des couronnes d’or sur la tête et que Jean dit à celui qui lui parle : « Mon Seigneur » (Ap 7, 14) ! Ce titre peut être donné à un homme (Mt 13, 27 ; Mt 21, 30 ; Jn 20, 15) ; et, dans ce même passage, tous les anges sont nettement distingués des anciens. Ce furent plutôt des hommes glorifiés.

Ils furent les représentants du peuple élu, des rachetés de l’ancienne et de la nouvelle Alliance, car leur nombre de 24 résulte de l’addition des 12 patriarches, chefs des tribus d’Israël et des 12 apôtres de Jésus-Christ (Mt 19, 28). Il ne faudrait pas en conclure que pour Jean ces anciens furent les patriarches et les apôtres dans la position qu’ils occuperont au ciel. Il les considéra seulement comme des représentants de l’Église triomphante.

Assis autour du trône, ils formèrent le conseil de Dieu, qui reçut lui-même ce titre d’ancien ou de vieillard dans Daniel 7.9. Dieu leur révéla ses desseins et ils en adorèrent la sagesse (Ap 4, 10 ; Ap 5, 8). Ils siègèrent sur des trônes, ce qui indique leur intime communion avec Dieu et la royauté que celle-ci leur conféra. Cette royauté se montra aussi dans leurs vêtements blancs et leurs couronnes d’or, symboles de la pureté et de la victoire (Ap 3, 4 ; Ap 2, 10 ; Ap 3, 11 ; Aps 3, 21). 

Signes de la toute-puissance de Dieu qui vint pour exercer ses jugements sur le monde (Ap 8, 5 ; Ap 11, 19 ; Ap 16, 18 ; Ex 19, 16) ; Za 4, 2) Cette mer de cristal, que Jean contempla devant le trône, figure la grâce de Dieu (Ap 15, 2) ; c’est d’elle que sortit  le fleuve de l’eau de la vie, clair comme du cristal. Le trône en forme de demi-cercle : l’un des êtres vivants se tint devant, au milieu ; deux autres à chaque extrémité et le quatrième derrière ; ils furent ainsi tout autour.

Ézéchiel réunit dans chacun des quatre les traits des quatre animaux. Dans la description de Jean, chacun ressemble à l’un de ces animaux. De plus, ils eurent six ailes, comme les séraphins d’Ésaïe (Is 6, 2). Ces êtres vivants, au nombre de quatre, représentent la création animée dans sa totalité. Toute la création rendue à sa destination par la rédemption et revenue à une sainte et sublime unité avec l’humanité sauvée, loua le Créateur. De toutes parts elle contempla et réfléchit la gloire de Dieu, idée représentée par ces yeux sans nombre qui couvrtrent devant et derrière les êtres vivants.

Les vingt-quatre anciens qui représentèrent l’Église glorifiée, répondirent aux adorations de la création figurée par les quatre êtres vivants ; ils descendirent de leurs trônes, ils se prosternèrent, ils jettèrent leurs couronnes au pied du trône de Dieu, parce que rien ne leur appartint en propre et qu’ils ne reçuent que par grâce ces insignes de la gloire céleste. Dieu a le droit de recevoir ou de prendre la louange de tous les êtres, car il les a créés.

Ils n’existent que par sa volonté. Souverainement libre et heureux en lui-même, il n’avait besoin d’aucune de ses créatures, c’est par amour qu’il les a appelées à l’existence, voulant leur faire part de sa félicité. Elles elles étaient là, au moment où Dieu les créa.

Diacre Michel HouyouxL

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◊ Quesion biblique : cliquez ici pour lire l’article → Quels sont les sept sceaux et les sept trompettes du livre de l ‘Apocalypse ? 

◊ Vie, Espoir er Vérité  : cliquez ici pour lire l’article → Les sept sceaux du livre de l’Apocalypse

♥ Vidéo Les sept sceaux du Livre de l’Apocalypse

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Unser Herr Jesus Christus König des Universums – Jahr C

Posté par diaconos le 16 novembre 2022

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Jesus ist der König des Universums

Das Christkönigsfest ist ein katholischer Feiertag, der 1925 von Papst Pius XI. mit der Enzyklika Quas primas eingeführt wurde, um die Idee zu verdeutlichen, dass die Nationen den Gesetzen Christi gehorchen sollten. Ursprünglich wurde er am letzten Sonntag im Oktober vor Allerheiligen gefeiert; dies ist immer noch der Fall für diejenigen, die an der tridentinischen Form des römischen Ritus festhalten. Seit der Liturgiereform von 1969 feiern die Katholiken das Fest am letzten Sonntag des liturgischen Kalenders, gegen Ende November, dem Sonntag vor dem ersten Adventssonntag, der den Beginn des Kirchenjahres darstellt). Darüber hinaus wurden die Ausrichtung und der Name des Festes selbst geändert: Es wurde zum Fest Christi, des Königs des Universums, und betont die Idee, dass in Christus die gesamte Schöpfung rekapituliert wird.

Die katholische Kirche lehrt, dass die Welt durch den Tod, die Auferstehung und die Himmelfahrt von Jesus Christus verwandelt wurde. Dieses Fest wurde 1925 von Papst Pius XI. eingeführt, der elf Jahre später die Einweihung der ersten Kathedrale unter diesem Namen beantragte. Er legte es unmittelbar vor das Fest Allerheiligen (symbolisch zieht der König seine Untertanen hinter sich her zum Sieg; er muss herrschen, damit seine Untertanen vom Königreich profitieren). Danach folgt die Adventszeit, die vier Wochen vor Weihnachten liegt.

Das Christkönigsfest wurde dank der Hingabe und der immensen Arbeit von Georges und Marthe de Noaillat eingeführt. Auf Wunsch von Benedikt XV. und später von Papst Pius XI. sammelten sie sechs Jahre lang die Unterschriften von Hunderten von Bischöfen und Tausenden von Gläubigen, die die Einführung eines Christkönigsfestes forderten, zusammen mit einer Enzyklika, die sein « universales Königtum » verkündete. Der Papst wollte die christlichen Völker auf diese Weise auf die feierliche Definition dieses großen Dogmas vorbereiten, das im 19. und 20. Jahrhundert so verachtet worden war.

Eine immense Bewegung nahm ihren Ausgang in Paray-le-Monial, da die Vorsehung die Bitten des Heiligsten Herzens mit seiner Herrschaft über alle Gesellschaften verband, und führte zum ersten feierlichen Christkönigsfest und zur Verkündung der Enzyklika Quas primas am 11. Dezember 1925. Es wird frühestens am 20. November und spätestens am 26. November dieses Monats gefeiert.

Aus dem Evangelium Jesu Christi nach Lukas

In jenen Tagen hatte man Jesus gerade gekreuzigt, und das Volk stand da und schaute zu. Die Obersten verspotteten Jesus und sagten: « Andere hat er gerettet; er soll sich selbst retten, wenn er der Messias Gottes ist, der Auserwählte! » Auch die Soldaten verspotteten ihn; sie traten heran, reichten ihm Essiggetränk und sagten: Es war auch eine Inschrift über ihm: « Dies ist der König der Juden ». « Einer der Verbrecher, die am Kreuz hingen, beschimpfte ihn: « Bist du nicht der Christus? Rette dich selbst und uns auch! « Aber der andere machte ihm heftige Vorwürfe: « Fürchtest du denn Gott nicht? Du bist doch auch ein Verurteilter! Und außerdem ist es für uns gerecht: Nach dem, was wir getan haben, bekommen wir, was wir verdienen. Aber er, er hat nichts Falsches getan. » Und er sagte: « Jesus, denk an mich, wenn du in dein Reich kommst. » Jesus erklärte ihm: « Amen, ich sage dir: Heute wirst du mit mir im Paradies sein. » (Lk 37-43)

Christus als König des Universums

Christus als König ist ein christologisches Konzept, das auf das Königtum, die Herrschaft oder Macht Jesu über das gesamte von Gott geschaffene Universum hinweist. Der Begriff « König » zur Symbolisierung von Macht stammt aus der hebräischen Tradition. Das Königtum war im Alten Testament die häufigste Regierungsform des Volkes Israel. Der Ausdruck Christus-König bezeichnet somit eine der Funktionen Christi, neben der Funktion des Priestertums und der Prophetie. Der Ausdruck findet sich daher in mehreren Bibelstellen. Dort wird zwischen dem Reich der Gnade) in unserer Welt, das sich auf die militante Kirche bezieht, und dem Reich der Herrlichkeit, das sich auf die triumphierende Kirche bezieht, die die im Himmel versammelt, unterschieden.

Eusebius von Caesarea (drittes und viertes Jahrhundert) war einer der ersten, der diese Unterscheidung zwischen den drei christlichen Ämtern formalisierte: Der wahre Christus, das göttliche und himmlische Wort, ist der einzige Hohepriester des Universums, der einzige König der gesamten Schöpfung, das einzige Oberhaupt der Propheten seines Vaters. Die katholische Kirche lehrt, dass die Welt durch den Tod, die Auferstehung und die Himmelfahrt Jesu Christi verwandelt wurde. Dieses Fest wurde 1925 von Papst Pius IX. eingeführt, der elf Jahre später die Einweihung der ersten Kathedrale unter diesem Namen beantragte. Er legte es unmittelbar vor das Fest Allerheiligen (symbolisch zieht der König seine Untertanen hinter sich her zum Sieg; er muss herrschen, damit seine Untertanen vom Königreich profitieren).

Danach folgt die Adventszeit, die vier Wochen vor Weihnachten liegt. Das Christkönigsfest wurde dank der Hingabe und der immensen Arbeit von Georges und Marthe de Noaillat eingeführt.  Das Christkönigsfest wurde dank der Hingabe und der immensen Arbeit von Georges und Marthe de Noaillat eingeführt. Auf Wunsch von Papst Benedikt XV. und später von Papst Pius XI. sammelten sie sechs Jahre lang die Unterschriften von Hunderten von Bischöfen und Tausenden von Gläubigen, die die Einführung eines Christkönigsfestes forderten, zusammen mit einer Enzyklika, die sein universelles Königtum proklamierte. Es war der Wille des Papstes, die christlichen Völker auf diese Weise auf die feierliche Definition dieses großen Dogmas vorzubereiten, das im neunzehnten und zwanzigsten Jahrhundert so verachtet wurde.

Eine riesige Bewegung, die in Paray-le-Monial ihren Ursprung hatte, da die Vorsehung die Bitten des Heiligen Herzens mit seiner Herrschaft über alle Gesellschaften verband, führte zum ersten feierlichen Christkönigsfest und zur Verkündung der Enzyklika Quas primas am 11. Dezember 1925. Er wird frühestens am 20. November und spätestens am 26. November dieses Monats gefeiert.

Diakon Michel Houyoux

Links zu anderen christlichen Webseiten

◊  Katholich fürs Leben : klicken Sie hier, um den Artikel zu lesen → Reflexion des 34. Sonntags im Jahreskreis, Jahr C – CHRISTUS  König des Universums

◊ Charles de Foucauld (Deutschland)   : klicken Sie hier, um den Artikel zu lesen →  CHRISTKÖNIG Unser Herr Jesus Christus König des Universums

♥ Video Nina Herreman : « Minikatechese zum Christkönigsfest »

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