• Accueil
  • > Archives pour le Samedi 9 septembre 2023

Existence d’un Au-delà

Posté par diaconos le 9 septembre 2023

Image du Blog du Diacre Michel Houyoux

Le séjour des morts, aussi appelé l’Au-delà, l’Autre Monde ou l’Outre Monde est le terme générique désignant, selon les croyances, les mondes surnaturels qui accueilleraient les âmes après la mort. On le nomme différemment selon les traditions, par exemple le paradis et l’enfer dans les religions abrahamiques, les champs Élysées dans la mythologie grecque, ou encore Shéol dans la Bible hébraïque. On peut considérer que les plus anciennes sépultures préhistoriques retrouvées, vers −100 000 ans, constituent une bonne indication de l’existence de ce concept à cette époque.

xDes traces de rituels funéraires observées, dès −30000 ans en constituent un indice. Bien que ces pratiques puissent aussi être expliquées par un honneur rendu à la vie du défunt. L’au-delà serait apparu ainsi dans les sociétés néandertaliennes et dans les premières sociétés de l’homme moderne. C’est au Paléolithique supérieur qu’apparaissent toutefois les indices les plus forts concernant le concept d’au-delà, et peut-être aussi d’âme, avec les offrandes retrouvées dans les sépultures de cette époque

xChez les Anciens Égyptiens, l’au-delà est, selon les mythes funéraires, le lieu où séjournent les dieux et les morts bienheureux. Domaine d’Osiris, ce monde surnaturel, à la fois souterrain, terrestre et céleste, est connu sous les diverses dénominations de Kheret-Netjer, Ro-Sétaou, Frenet Imentet (Bel Occident) et Douât.

 L’Autre Monde, dans la civilisation celtique, désigné en gaélique par le mot Sidh, est le lieu où séjournent les dieux. Les humains n’y ont en principe pas accès. Dans la mythologie celtique, il s’agit d’un monde parallèle où certains héros sont parfois conviés par une Bansidh, à l’instar de Conle ou Bran Mac Febail.

xIl est appelé Annwvyn dans les Mabinogi gallois. Chez les Grecs, depuis Homère, l’Au-delà est l’Hadès (l’Invisible). Platon distingue : l’Hadès est le lieu propre de l’âme, et, semble-t-il, le monde intelligible, le monde des Idées, tandis que la punition des âmes se fait à l’intérieur de la terre (Phédon, 111e) .

 Dans le Gorgias, Platon distribue le monde de l’au-delà en cinq régions : Paradis et Enfer sur l’axe des destinées, Asie et Europe sur l’axe des origines. Zeus fait juger les âmes des défunts par ses fils, Minos, Éaque, Rhadamante.

xIls prononcent leurs sentences au centre d’une prairie d’où partent les routes verticales qui mènent au Paradis ou à l’Enfer et où aboutissent les routes horizontales par lesquelles les âmes venues d’Asie sont jugées par Rhadamante et celles venues d’Europe par Éaque.

 Minos tranche. Chez les Aztèques, on distinguait plusieurs mondes des morts, le Mictlan, le Tlalocan, le Ichan Tonatiuh Ilhuicac ou le Chichihuacuauhco, selon la manière dont on était décédé. Le spiritisme et la doctrine spirite se fondent sur la croyance en la communication avec l’Au-delà.

Le Seigneur Jésus se désigne Lui-même comme étant la ‘porte’ et Il dit : «Si quelqu’un entre par moi, il sera sauvé» (Jn 10. 9). Ce n’est que par la foi en Lui, et ainsi par la nouvelle naissance, qu’on peut entrer sur le chemin de la vie (Jean 3, 3-16).

Mais pourquoi la porte est-elle ‘étroite ? Parce qu’elle est indissociable de la foi personnelle en notre Seigneur Jésus Christ et de la « repentance envers Dieu (Actes 20, 21). L’être humain doit être amené à reconnaître ce qu’est le péché aux yeux de Dieu, et il doit se reconnaître lui-même comme entièrement perdu et ruiné par ses péchés. Ce n’est pas une petite affaire.

Quand Pierre présentait leur péché aux Juifs lors de la Pentecôte, «Ïls eurent le cœur vraiment touché : cela leur transperça le cœur et ils dirent à Pierre et aux autres apôtres : «Que ferons-nous, frères ?» Et Pierre leur dit : «Repentez-vous (Ac 2. 37-38).

Le début de la foi d’Andrea Sardos Albertini : cliquez ici pour voir la vidéo → https://normal-paranormal.skyrock.com/2311295241

L’au-delà était-il comme l’a décrit d’Andrea, lumineux et serein ; le père d’Andrea en ait persuadé. Il croit au message de son fils. Il sait, tout enfant déjà, Andrea a bénéficié de la grâce de Dieu, atteint d’une surdité incurable à l’âge de 6 ans, il fut guérit miraculeusement après un pèlerinage à Lourdes. Désormais ces parents sont certains que leur fils Andrea a été choisi par le Seigneur. Andrea a dit que sa mort était prédestinée Et qu’il avait le

 

Vidéo https://youtu.be/Wg7PyloHqrA

Publié dans Catéchèse, comportements, Page jeunesse, Religion, Temps ordinaire | Pas de Commentaire »

Lundi de la vingt-troisième semaine du Temps Ordinaire – Année A

Posté par diaconos le 9 septembre 2023

Image du blog du Diacre Michel Houyoux

De l’Évangile de Jésus Christ selon Luc

Un jour de sabbat, Jésus était entré dans la synagogue et enseignait. Il y avait là un homme dont la main droite était desséchée. Les scribes et les pharisiens observaient Jésus pour voir s’il ferait une guérison le jour du sabbat ; ils auraient ainsi un motif pour l’accuser. Mais lui connaissait leurs raisonnements, et il dit à l’homme qui avait la main desséchée :«Lève-toi, et tiens-toi debout, là au milieu.» L’homme se dressa et se tint debout. Jésus leur dit : «Je vous le demande : Est-il permis, le jour du sabbat, de faire le bien ou de faire le mal ? de sauver une vie ou de la perdre ?»

Alors, promenant son regard sur eux tous, il dit à l’homme : «Étends la main.» Il le fit, et sa main redevint normale. Quant à eux, ils furent remplis de fureur et ils discutaient entre eux sur ce qu’ils feraient à Jésus. (Lc 6, 6-11)

Guérison de l’homme à la main sèche

Jean Chrysostome dit sur ce passage de la Bible que par ce miracle, Jésus voulut lutter contre l’aveuglement des cœurs. Il voulut montrer sa compassion, et aussi essayer de faire comprendre par ce miracle, par cette maïeutique que l’humain dut s’appliquer à faire le bien quel que soit le jour. Pour l’époque ce ne fut pas évident face à des règles strictes qui ne poussèrent pas les gens à écouter les vertus plus que la loi existante. Les vertus : la prudence, la tempérance, la force d’âme et la justice furent connues et louées par les philosophes avant le christianisme Ces vertus forment avec les trois vertus théologales de celui-ci les vertus catholiques.

La prudence est la sagesse qui dispose la raison pratique à discerner, en toutes circonstances, le véritable bien et à choisir les justes moyens de l’accomplir. La tempérance assure la maîtrise de la volonté sur les instincts et maintient les désirs dans les limites de l’honnêteté, procurant ainsi l’équilibre dans l’usage des biens. La force d’âme, elle, correspond au courage ou à la force morale, également appelée fortitude, qui est un trait de caractère qui s’illustre par une capacité à  résister à des douleurs, qu’elles soient physiques ou psychologiques.

La fortitude implique une grande bravoure face aux évènements subis. Exemple ; « Face au cancer, il a été d’une grande forfitude »  Finalement, la justice correspond à la constante et ferme v olonté de donner moralement à chacun ce qui lui est universellement dû.

Jean Chrysostome, nacquit à Antioche (aujourd’hui Antakya en Turquie) entre 343 et 349, et mourut en 407 près de Comana, il fut archevêque de Constantinople et l’un des Pères de l’Église.Son éloquence signifie littéralement à la bouche d’or. L’anaphore qui constitue le cœur de la plus célébrée des Divines Liturgies dans les églises orthodoxes lui fut attribuée. Sa rigueur et son zèle réformateur le conduisirent à l’exil et à la mort.À la fois saint, père de l’Église orthodoxe, docteur de l’´Église catholique romaine et de l’Église copte, Jean Chrysostome est fêté le 13 novembre, le 27 janvier (translation de ses reliques), le 30 janvier (fête des Trois Hiérarques) dans l’Église orthodoxe, le 13 septembre dans l’Église catholique.

Diacre Michel Houyoux

Tout ajout de votre part, en relation avec cet article, est bienvenu et sera publié. Rédigez-le dans le cadre situé sous l’article.

Sites intéressants à découvrir sur Internet

Regnum Christi → Ils observaient Jésus pour voir s’il ferait une guérison le jour du sabbat

◊ Diacre Jean – Yves Fortin → Ici, Jésus nous ramène à l’essentiel

VidéoDavid Richirhttps://youtu.be/lDfiIolKh_U

 

Publié dans Catéchèse, Page jeunesse, Religion, Temps ordinaire | Pas de Commentaire »

 

Passion Templiers |
CITATIONS de Benoît XVI |
La pastorale Vauban |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | chrifsossi
| La Mosquée de Méru
| Une Paroisse virtuelle en F...