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Samedi de la vingt-troisième Semaine du Temps Ordinaire — Année A

Posté par diaconos le 16 septembre 2023

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# L’Antéchrist est une figure commune à l’eschatologie chrétienne et islamique, mais dans un sens différent. Elle apparaît dans les épîtres de Jean et dans la deuxième épître aux Thessaloniciens de Paul de Tarse sous des formes variables mais puise ses origines dans la notion d’« anti-messie » déjà présente dans le judaïsme. Le terme désigne parfois un individu — souvent monstrueux —, parfois un groupe ou un personnage collectif. Cette figure d’imposteur maléfique qui tente de se substituer à Jésus-Christ a nourri de nombreuses spéculations et interprétations dès les premiers développements du christianisme à travers la littérature patristique, qui se sont enrichies encore au fil des siècles, situant l’intervention de l’Antéchrist lors des dernières épreuves précédant la fin du monde.

xDans l’islam, diverses traditions prophétiques (hadiths) mettent en scène al-Dajjâl (l’Imposteur) — l’équivalent de l’Antéchrist — dont la venue est un point déterminant de l’eschatologie musulmane. Il apparaît à la fin des temps et doit être éliminé par le prophète Îsâ (Jésus) lors de son retour. Les traditions sont nombreuses à ce sujet et varient selon les confessions et les commentateurs4. Nombre de personnages, de personnalités, voire d’entités, sont assimilés à l’Antéchrist au cours des siècles et jusqu’à nos jours, essentiellement dans des contextes ou épisodes eschatologiques et millénaristes.

xLe terme antéchrist n’apparaît pas dans les textes chrétiens de base qui constituent le socle de l’enseignement chrétien sur la fin des temps : il n’apparaît ni dans le Livre de Daniel, ni dans l’évangile selon Matthieu dans la discussion de Jésus sur les signes de la fin du monde, qui n’emploie d’ailleurs jamais le terme au cours de son ministère, ni dans la deuxième épître aux Thessaloniciens, ni dans l’Apocalypse de Jean.

 L’Homme du Péché, l’Homme de l’Impiété, l’Homme sans Loi ou l’Impie a ainsi reçu différents noms au fil du temps, désignant tantôt un individu, tantôt un groupe ou un personnage collectif. Le texte le plus influent concernant la construction de la figure de l antéchrist – la Deuxième épître aux Thessalonicien3 – ne le connaît d’ailleurs pas sous ce nom .

xLes mots antéchrist et antéchrists dans la Bible de Jérusalem n’apparaissent que cinq fois dans la Bible, dans deux des trois épîtres de Jean. Lors des guerres de Religion, catholiques et protestants utilisèrent le nombre de la Bête, les uns comme les autres, pour s’accuser mutuellement d’incarner l’Antéchrist.

 Un certain Petrus Bungus, catholique, s’efforça de démontrer que 666 était synonyme de Luther selon l’alphabet numéral latin : LVTHERNVC = 30 + 200 + 100 + 8 + 5 + 80 + 40 + 200 + 3 = 66636. En sens inverse, les Réformés assimilèrent le pape, c’est-à-dire le « vicaire du Fils de Dieu » (Vicarius Filii Dei), au nombre de la Bête, selon le calcul suivant : VICarIUs fILII DeI = 5 + 1 + 100 + 1 + 5 + 1 + 50 + 1 + 1 + 500 + 1 = 66636.

De l’Évangile de Jésus Christ selon Luc

En ce temps-là, Jésus disait à ses disciples : Un bon arbre ne donne pas de fruit pourri ; jamais non plus un arbre qui pourrit ne donne de bon fruit. Chaque arbre, en effet, se reconnaît à son fruit : on ne cueille pas des figues sur des épines ; on ne vendange pas non plus du raisin sur des ronces. L’homme bon tire le bien du trésor de son cœur qui est bon ; et l’homme mauvais tire le mal de son cœur qui est mauvais : car ce que dit la bouche, c’est ce qui déborde du cœur. Et pourquoi m’appelez-vous en disant : “Seigneur ! Seigneur !” et ne faites-vous pas ce que je dis ?

Quiconque vient à moi, écoute mes paroles et les met en pratique, je vais vous montrer à qui il ressemble. Il ressemble à celui qui construit une maison. Il a creusé très profond et il a posé les fondations sur le roc.Quand est venue l’inondation, le torrent s’est précipité sur cette maison, mais il n’a pas pu l’ébranler parce qu’elle était bien construite. Mais celui qui a écouté et n’a pas mis en pratique ressemble à celui qui a construit sa maison à même le sol, sans fondations. Le torrent s’est précipité sur elle, et aussitôt elle s’est effondrée ; la destruction de cette maison a été complète. » (Lc 6, 43-49)

Chaque arbre porte son fruit

Jésus avait ditain auquel on pourra les reconnaître : les fruits. Luc appliqua cette comparaison à l’homme av : «Gardez-vous des faux prophètes, cthaque arbre se reconnaît à ses fruits Et ce fut à leur sujet qu’il indiqua le signe aveuglé et hypocrite qui voulut corriger son frère, tandis qu’il eut lui-même des défauts plus graves. Comment put-il prétendre faire du bien à son frère, tant qu’il produisait de mauvais fruits On voit souvent en Palestine, derrière les haies d’épines et de ronces, des figuiers tout enguirlandés des jets grimpants de ceps de vigne. ( Godet)

Chaque arbre se reconnaît à son propre fruit. Jésus dit : «C’est du cœur que procèdent les sources de la vie, c’est-à-dire le bien ou le mal.». Les paroles et d’une manière générale tous les actes que nous accomplissons, procèdent du cœur. Ici cette pensée se rattache à l’avertissement donné à l’homme qui a la prétention d’enseigner son frère. Dans Matthieu la même sentence se retrouve, mais appliquée à des hommes qui abusaient de la parole pour blasphémer contre le Saint-Esprit. Il est un grand nombre de ces sentences courtes et pénétrantes que Jésus prononça à plus d’une reprise.

«Mais pourquoi m’appelez-vous Seigneur, Seigneur, et ne faites-vous pas ce que je dis ?» Là, Jésus insiste sur ce reproche sévère et cite des exemples de la manière dont on peut encourir cette terrible responsabilité. Il a seul ces mots solennels : Tout homme qui vient à moi et entend.Ce fut à chacun de ses auditeurs qu’incombait la responsabilité des effets produits par la parole divine. Quelle autorité il y a dans cette pensée ! Comme Jésus avait la conscience que ses paroles taient les paroles de Dieu même ouvre le rocher. L’homme prudent creuse à travers ce terrain meuble et creuse même profondément Il y a sur les terrains en pente qui entourent le lac de Génézareth des coteaux où une couche deterre ou de sable peu épaisse recouvrent jusqu’au roc ( Godet)

Malheur à qui s’arrête à la superficie ! Les éléments qui menacèrent cette maison furent, selon Luc, une inondation, formant un torrent descendant des montagnes. Matthieu fut plus complet et plus pittoresque : «C’est la pluie qui tombe, les torrents qui débordent, les vents qui soufflent et se précipitent sur cette maison. Tout cela n’a pas même pu l’ébranler, parce qu’elle était bien bâtie. » L’homme imprudent bâtit sur la terre (Luc) ; Matthieu, plus expressif : sur le sable. Une âme perdue, une seule, c’est une grande ruine, aux yeux de Dieu. Voilà la solennelle pensée sous l’impression de laquelle Jésus laisse ses auditeurs en terminant ce discours. Chacun d’eux, à l’ouïe de cette dernière parole, entend, en quelque sorte, le fracas de cet édifice qui s’écroule et doit se dire : Ce désastre sera le mien, si je suis inconséquent ou hypocrite.( Godet)

Diacre Michel Houyoux

Liens avec d’autres sites web chrétiens

Matthieu Giralt → Et si on avait tout faux? Comment faire des choix de vie centrés sur l’Évangile

Interprète de la parole divin:e Prophètes dans le Proche-Orient anci n

Vidéohttps://youtu.be/t5c0DMnwsO0

 

 

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Vierundzwanzigster Sonntag der Ordinariuszeit – Jahr A

Posté par diaconos le 16 septembre 2023

Eine Hand, die ein ausgeschnittenes Papier-Herz einer anderen Hand reicht als Blogbild für Vergeben und Verzeihen

Aus dem Evangelium Jesu Christi nach Matthäus


In jener Zeit trat Petrus an Jesus heran und fragte ihn:
« Herr, wenn mein Bruder an mir schuldig wird, wie oft soll ich ihm dann vergeben? Bis zu sieben Mal ? »
Jesus antwortete ihm :
« Ich sage dir nicht bis zu siebenmal, sondern bis zu siebzigmal siebenmal.« 
Ich werde es nie vergessen ! Er wird es mir heimzahlen. Wehe dem, der unsere Eitelkeit verletzt, einen Schatten auf unser Markenimage wirft, an den Guthaben rührt, die an uns kleben ! Vergebung ist unmöglich !

Bei einem Problem mit dem Zaun ist die Spannung groß. Was für ein wiedergekäuter Groll, was für gepflegte Ressentiments zwischen Eltern, Kindern, Ehepartnern, Nachbarn und Arbeitskollegen.

Selbst an der Schwelle der Kirchen sehen wir Menschen, die sich nicht grüßen wollen, sondern gemeinsam das Vaterunser singen, das sie verurteilt : « Vergib uns unsere Schuld, wie auch wir vergeben unseren Schuldigern ».

Zwei Jahrhunderte vor Christus kam Ben Sirach, der Weise der den Menschen lange beobachtete und auch Gott lange betrachtete, schnell zu drei großen Feinden der Vergebung : Groll, Zorn und Rache, und er erinnerte seine Leser an zwei tiefe Wahrheiten, die für unsere Generation immer noch sehr aktuell sind.

Erstens : Behalte nicht all diese negativen Gefühle in deinem Herzen, die Hass, Groll, Rachegelüste, Zorn und die Weigerung zu vergeben heißen. Zweitens : Wenn du diese Gifte in deinem Herzen behältst, wie kannst du dann auf die Vergebung der anderen zählen und wie kannst du die Vergebung Gottes suchen ?

Zu all diesen Feinden des inneren Friedens und des Friedens mit anderen hat Ben Sirac nur ein Wort : « Vergib … wenn dir dein Gott vergeben will » Vergib deinem Nächsten das Unrecht, das er dir angetan hat; dann werden dir auf dein Gebet hin deine Sünden erlassen.

Die Frage, die Petrus dem Herrn stellte, war von immer noch brennender Relevanz und Aktualität : « Wenn mein Bruder an mir schuldig wird, wie oft soll ich ihm vergeben ? ».
So ist das Himmelreich mit einem König vergleichbar, der mit seinen Dienern abrechnen wollte. Als er damit anfing, wurde jemand zu ihm gebracht, der ihm zehntausend Talente (d. h. sechzig Millionen Silbermünzen) schuldete.

Da der Mann nicht genug Geld hatte, um es zurückzuzahlen, befahl der Herr, ihn mit seiner Frau, seinen Kindern und all seinem Besitz zu verkaufen, um seine Schulden zu begleichen. Da fiel der Knecht zu seinen Füßen, blieb auf dem Boden liegen und sagte : « Hab Geduld mit mir, dann werde ich dir alles zurückzahlen.

Der Herr des Dieners hatte Mitleid mit ihm und ließ ihn gehen und erließ ihm seine Schulden. Als der Knecht aber hinausging, fand er einen seiner Mitknechte, der ihm hundert Silberstücke schuldete.

Er stürzte sich auf ihn, um ihn zu erwürgen, und sagte : ‘Begleiche deine Schuld!’ Da fiel ihm sein Gefährte zu Füßen und flehte ihn an: ‘Hab Geduld mit mir, dann werde ich dir das Geld zurückzahlen.’


Der andere weigerte sich jedoch und ließ ihn ins Gefängnis werfen, bis er seine Schulden zurückgezahlt hatte.

Als seine Gefährten das sahen, waren sie zutiefst betrübt und gingen zu ihrem Herrn und berichteten ihm.

Da ließ er ihn rufen und sagte zu ihm: « Du böser Knecht, ich habe dir all diese Schulden erlassen, weil du mich angefleht hast.

Solltest du nicht deinerseits Mitleid mit deinem Mitmenschen haben, so wie ich Mitleid mit dir hatte? In seinem Zorn lieferte ihn sein Herr den Henkern aus, bis er alles zurückgezahlt hatte, was er ihm schuldete. So wird auch mein Vater im Himmel mit euch verfahren, wenn nicht jeder von euch seinem Bruder von Herzen vergibt.
Vergib uns unsere Schuld, wie auch wir vergeben unseren Schuldigern !

Dieser vierundzwanzigste Sonntag der ordentlichen Zeit, der Sonntag der Vergebung, konfrontiert uns mit dieser zutiefst menschlichen und wahrhaft christlichen Realität, die die Vergebung ist. Er lässt uns über die Hindernisse nachdenken, die der Vergebung im Wege stehen, und über die Wege, die uns zu ihr führen. Früher oder später stellt sich in Ihrem Leben die Frage nach der Vergebung. Denn früher oder später verletzt Sie jemand auf die eine oder andere Weise.

Groll und Zorn ! Hier befinden wir uns auf vertrautem Boden und auf der Straße des Alltags. Der Groll ist eine gut gepflegte Pflanze, deren Früchte des Zorns und der Rache zu jeder Jahreszeit zu finden sind !

Groll und Zorn auf Personen, Wut, die erhaltene Beleidigung oder das zugefügte Unrecht sehr teuer bezahlen zu lassen.

Ich werde es nie vergessen! Er wird es mir heimzahlen. Wehe dem, der unsere Eitelkeit verletzt, einen Schatten auf unser Markenimage wirft, an den Guthaben rührt, die an uns kleben ! Vergebung ist unmöglich !

Bei einem Problem mit dem Zaun ist die Spannung groß. Was für ein wiedergekäuter Groll, was für gepflegte Ressentiments zwischen Eltern, Kindern, Ehepartnern, Nachbarn und Arbeitskollegen. Selbst an der Schwelle der Kirchen sehen wir Menschen, die sich nicht grüßen wollen, sondern gemeinsam das Vaterunser singen, das sie verurteilt : « Vergib uns unsere Schuld, wie auch wir vergeben unseren Schuldigern ».
Zwei Jahrhunderte vor Christus kam Ben Sirach, der Weise, der den Menschen lange beobachtete und auch Gott lange betrachtete, schnell zu drei großen Feinden der Vergebung: Groll, Zorn und Rache, und er erinnerte seine Leser an zwei tiefe Wahrheiten, die für unsere Generation immer noch sehr aktuell sind.

Erstens : Behalte nicht all diese negativen Gefühle in deinem Herzen, die Hass, Groll, Rachegelüste, Zorn und die Weigerung zu vergeben heißen. Zweitens: Wenn du diese Gifte in deinem Herzen behältst, wie kannst du dann auf die Vergebung der anderen zählen und wie kannst du die Vergebung Gottes suchen ?

Zu all diesen Feinden des inneren Friedens und des Friedens mit anderen hat Ben Sirac nur ein Wort : « Vergib … wenn dir dein Gott vergeben will » Vergib deinem Nächsten das Unrecht, das er dir angetan hat; dann werden dir auf dein Gebet hin deine Sünden erlassen.
Die Frage, die Petrus dem Herrn stellte, war von immer noch brennender Relevanz und Aktualität :
« Wenn mein Bruder an mir schuldig wird, wie oft soll ich ihm vergeben ? ».

Petrus schlägt Jesus eine Zahl vor: « Bis zu sieben Mal? ». Jesus weigerte sich, sich auf seine Berechnungen einzulassen. Das ist der Sinn seiner Antwort : « Bis siebzigmal siebenmal ! ». Damit rechtfertigt Jesus eine grenzenlose Vergebung : « Du musst allezeit vergeben ! »
Gott gegenüber befinden wir uns alle in der Situation des Knechtes, der seinem Herrn eine fantastische Summe schuldet. Aus unbegreiflicher Liebe hat Gott uns diese Schuld erlassen. Und dennoch¸ wenn wir vergeben müssen, zögern wir und entscheiden sehr oft durch Feilschen oder Ablehnung. Dennoch singen wir in der Messe: « Herr erbarme dich unser », während wir allzu oft zu wenig Mitleid mit anderen haben ! Gott vergibt mit der gleichen Geduld und Großzügigkeit wie der König, von dem Jesus im Gleichnis spricht. Seine Vergebung setzt jedoch voraus, dass die Lektion in uns Früchte trägt. Es liegt auch an uns, zu verstehen und Mitleid zu haben, zu vergeben und unseren Brüdern die Schulden zu erlassen.  » Vergib uns, wie auch wir vergeben unseren Schuldigern ».


Diakon Michel Houyoux


Jede Ergänzung Ihrerseits, die sich auf diesen Artikel bezieht, ist willkommen und wird veröffentlicht. Schreiben Sie ihn in das Feld unter dem Artikel.


Interessante Seiten, die Sie sich im Internet ansehen können


Universit[at Posdam : → Groß genug für Vergebung ?


Vergeben Wie viel Mal soll ich vergeben?


Video Die Vergebung → https://youtu.be/tGyKWB5dxzs

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