Prima domenica di Avvento dell’Anno B

# L’Avvento è il periodo che copre le settimane che precedono il Natale. Fin dall’inizio di questo tempo liturgico, l’Avvento rappresenta il periodo di preparazione alla venuta di Gesù Cristo tra gli uomini, cioè alla sua nascita corporea. Nelle Chiese che utilizzano il calendario gregoriano, l’Avvento inizia la quarta domenica prima di Natale e segna l’inizio dell’anno liturgico. L’Avvento inizia quindi non prima del 27 novembre e non oltre il 3 dicembre e termina il 24 dicembre.

Le Chiese ortodosse e le Chiese cattoliche orientali osservano un periodo di digiuno e penitenza equivalente all’Avvento, ma questo termine è entrato in uso solo recentemente: questo periodo liturgico di preparazione al Natale è tradizionalmente chiamato Digiuno della Natività. Questo digiuno dura 40 giorni, mentre nel rito latino dura quattro settimane e sei settimane nei riti ambrosiano e mozarabico. Nella Chiesa cattolica e nella maggior parte delle chiese protestanti, il colore liturgico di questo periodo è il viola. Tuttavia, alcuni episcopaliani e luterani usano il blu e alcuni bizantini il rosso o il bianco.

 Dal Vangelo di Gesù Cristo secondo Marco

In quel tempo, Gesù disse ai suoi discepoli : « Fate attenzione e state svegli, perché non sapete quando sarà l’ora. È come un uomo che parte per un viaggio : quando lascia la sua casa, dà tutta l’autorità ai suoi servi, assegna a ciascuno il suo lavoro e chiede al portiere di vegliare.  Vegliate, dunque, perché non sapete quando il padrone di casa verrà, se è sera o mezzanotte, quando il gallo canta o al mattino; se arriva all’improvviso, non deve trovarvi addormentati. Quello che dico a voi qui, lo dico a tutti: Vegliate » (Mc 13, 33-37).

Vegliare e pregare !

Gesù, voglio vivere un Avvento santo, voglio fare spazio a te, voglio darti tempo. Disponi di me come vuoi, perché io possa essere pienamente ciò che sono, ciò che mi chiedi, per amore tuo. Oggi, in questa prima domenica di Avvento, la Chiesa inizia un nuovo anno liturgico. Siamo alla prima domenica del bellissimo periodo di Avvento che la Chiesa ci offre. Tra venticinque giorni, nostro Signore sarà disteso lì, dormendo così poveramente nella paglia, sotto lo sguardo contemplativo dei suoi santi genitori.

Fermiamoci per qualche minuto a pensare a questa notte unica, a contemplare in silenzio il nostro Dio che si è fatto piccolo bambino adagiato in una mangiatoia. Gesù ci avverte : « Fate attenzione, vegliate, perché non sapete quando verrà il momento » (Mc 13,33). In effetti, c’è un momento decisivo nella vita. Quando arriverà ? Non lo sappiamo. Il Signore non ha voluto nemmeno rivelare quando sarebbe arrivata la fine del mondo.Infine, tutto questo ci porta ad avere un atteggiamento di attesa e di consapevolezza : « Potrebbe arrivare all’improvviso e trovarvi addormentati » (Mc 13,36).

 Il tempo della nostra vita è un tempo di donazione, per raggiungere la maturità nella nostra capacità di amare; non è un tempo di divertimento. È un tempo di « fidanzamento », come una preparazione alle « nozze » nella comunione con Dio e i suoi santi nell’aldilà. Le una preparazione alle « nozze » in comunione con Dio e i suoi santi nell’aldilà. Ma la vita inizia e ricomincia continuamente. Il fatto è che ci troviamo di fronte a momenti decisivi: ogni giorno, ogni ora o ogni minuto può forse trasformarsi in un momento decisivo.

 Molto o poco, ma che siano giorni, ore o minuti: è lì, in quel momento concreto, che il Signore ci aspetta. « Nella nostra vita, nella vita dei cristiani, è importante la prima conversione, quel momento unico che tutti ricordano, quando scopriamo chiaramente tutto ciò che il Signore ci chiede, ma ancora più importanti, e più difficili, sono le conversioni che seguono » (San José Maria).

 In questo tempo liturgico ci prepariamo a celebrare il grande « Avvento »: la venuta di Nostro Signore. Natale : che ogni giorno della nostra esistenza sia una nascita alla vita dell’amore! Forse il modo migliore per vegliare è fare della nostra vita un Natale permanente. Nostra Madre, la Beata Vergine Maria, veglia su di noi ! Gesù, grazie per avermi invitato a starti vicino in questa continua veglia. Non voglio perdere un minuto per amare ed essere gioioso in ciò che mi chiedi di vivere. Confido in te. Ti prego, fammi desiderare solo te !

Il Diacono Michel Houyoux

Supplementi

Conferenza Episcopale Italiana : Clicca qui per leggere l’articolo→ I DOMENICA DI AVVENTO – ANNO B

 Clerus : Clicca qui per leggere l’articolo → Prima Domenica di Avvento – Anno B

 
Video Padre Fernando Armellini → 1a Domenica di Avvento anno B – YouTube

Mardi de la trente-quatrième semaine du Temps Ordinaire – Année A

 

# Jérusalem, entièrement ceinte de remparts, fit à l’époque 7 kilomètres de tour et put abriter au moment du siège 600 000 personnes. Hérode la transforma par d’importants travaux qui lui donnèrent  un caractère hellénistique avec ses palais et ses tours qui servirent de casernes aux troupes variées qui occupèrent la ville.Pline l’Ancien écrivit qu’elle fut la ville la plus renommée d e tout l’Orient. Au sommet de la ville, le Temple, bâti sur l’esplanade où l’on voit aujourd’hui le dôme du Rocher et la mosquée al-Aqsa, constitue lui-même une forteresse protégée par de gigantesques murs dont subsistent encore les murs occidental et méridional.

Elle s’étendit sur le Sud de la vieille ville actuelle et au sud du Temple, là où naquit la cité de David. Le Temple reçut les dons des communautés de la Diaspora, il suscita la convoitise des Romains comme le révéla le vol dont fut coupable Gessius Florus et aussi le bas-relief de l’arc de Titus à Rome qui représenta le butin rapporté du Temple.Ce fut un bâtiment long de dix-huit mètres sur neuf de large, haut de vingt-sept mètres14 dont Tacite dit qu’il fut d’une immense richesse et dont les rabbins du Talmud gardèrent un souvenir admiratif : celui qui n’a pas vu le Temple d’Hérode n’a jamais vu de bel édifice.

De l’Évangile de Jésus Christ selon Luc

En ce temps-là, comme certains parlaient du Temple, des belles pierres et des ex-voto qui le décoraient, Jésus leur déclara : «Ce que vous contemplez, des jours viendront où il n’en restera pas pierre sur pierre : tout sera détruit.» Ils lui demandèrent : «Maître, quand cela arrivera-t-il ? Et quel sera le signe que cela est sur le point d’arriver ?»

Jésus répondit : «Prenez garde de ne pas vous laisser égarer, car beaucoup viendront sous mon nom,et diront : “C’est moi”, ou encore “Le moment est tout proche.” Ne marchez pas derrière eux ! Quand vous entendrez parler de guerres et de désordres, ne soyez pas terrifiés : il faut que cela arrive d’abord, mais ce ne sera pas aussitôt la fin.»

Alors Jésus ajouta : «On se dressera nation contre nation, royaume contre royaume. Il y aura de grands tremblements de terre et, en divers lieux, des famines et des épidémies ; des phénomènes effrayants surviendront, et de grands signes venus du ciel. » (Lc 21,5-11)

Le discours prophétique l’avenir du monde et de l’Église

Comme on vanta en sa présence les pierres et les ornements du temple, Jésus prédit sa destruction complète. Les siens lui demandèrent alors quand cet événement aura lieu et quel en sera le signe précurseur. Jésus mit ses disciples en garde contre les séductions de ceux qui se donnèrent pour le Messie venant en son règne. Jésus rassura les siens en prévision de ces bouleversements ; ils n’amenèrent pas aussitôt la fin ; celle-ci fut précédée par des guerres, des tremblements de terre, des famines, des pestes, des signes dans le ciel.

Le premier et principal caractère de ces temps, ce furent les persécutions. Elles furent exercées par les autorités, et offrirent aux disciples une occasion de rendre témoignage à Jésus. Celui-ci leur donna une sagesse à laquelle les ennemis ne purent résister ; ils n’eurent pas à préméditer leur défense. Ces persécutions furent provoquées aussi par l’inimitié de leurs proches. Le nom de Jésus excita contre eux une haine universelle. Mais Dieu les protégea efficacement, et, par leur patience, ils sauvèrent leurs âmes.

Quelques-uns des disciples firent observer à Jésus les belles pierres et les offrandes dont le temple fut orné. On sait par l’historien Josèphe que les Juifs et les prosélytes riches, de toutes les parties du monde, firent au temple de magnifiques présents, qui furent exposés dans les parvis extérieurs et en décorèrent les murs. Le plus remarquable fut un cep de vigne en or, d’une grandeur colossale, et qui fut offert par Hérode le Grand.

Dans Marc et dans Luc, la question des disciples ne concerna que le temps de cette destruction du temple et le signe auquel on en reconnut l’approche. Dans Matthieu, elle s’étendit à la venue de Jésus, que les disciples se représentèrent alors comme devant être simultanée avec la ruine de Jérusalem.

Les disciples posèrent à Jésus la double question que Matthieu rapporta, car Jésus, selon les trois évangiles, réunit, dans sa réponse, la prédiction des deux grands événements dont il s’agit.

D’après Matthieu et Marc, les disciples interrogèrent Jésus quand il se fut assis sur le mont des Oliviers, en face de Jérusalem ; et ce fut de cet endroit que fut prononcé le discours suivant : «On se dressera nation contre nation, royaume contre royaume. Il y aura de grands tremblements de terre et, en divers lieux, des famines et des épidémies ; des phénomènes effrayants surviendront, et de grands signes venus du ciel.»

Diacre Michel Houyoux

Liens avec d’autres sites chrétiens sur Internet

◊ Regnum Chrisit : cliquez ici pour lire l’article → Il n’en restera pas pierre sur pierre

◊ Opus Dei : cliquez ici pour lire l’article → Il n’en restera pas pierre sur pierre

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