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Sainte Catherine d’Alexandrie, vierge et martyre

Posté par diaconos le 16 décembre 2023

Sainte Catherine d'Alexandrie (IVe s.)

Sainte Catherine d’Alexandrie

Catherine d’Alexandrie fut une vierge et matyre qui a vécu au début du IVe siècle. Elle est aussi l’une des six saintes mégalomartyres de l’Église grecque orthodoxe.La tradition situe sa naissance à Alexandrie et data sa mort dans la même ville, à dix-huit ans en l’an 312, sous le règne de Maximilien II Daiâ. Elle fut très instruite compte tenu de son sexe et de son âge : à 18 ans, elle aurait converti plusieurs philosophes qui avaient été chargés par l’empereur de la faire renoncer à sa foi.

On croit qu’elle s’appelait Dorothée, et que le prénom Catherine lui fut donné parce qu’elle remporta, dit saint Jérôme, la triple couronne de la virginité, de la science, et du martyre.Sa légende et son culte se répandirent de l’Orient vers l’Occident et furent largement attestés après les croisades. Elle est la patronne des écoles de filles et des élèves de philosophie, et on la représente souvent appuyée sur une roue à demi rompue et teintée de sang.

Elle serait apparue à sainte Jeanne d’Arc, en compagnie de sainte Marguerite et de l’archange saint Michel. Surtout connue par Légende dorée de Jacques de Voragine, Catherine vint au monde en l’an 294 dans une famille noble d’Alexandrie en Égypte. Elle acquit rapidement des connaissances qui la placèrent au niveau des plus grands poètes et philosophes du moment. Catherine, fille du roi Costus, fut instruite dans tous les arts libéraux.

Un jour, elle vit une séance d’apostasie de chrétiens organisée par l’empereur Maximilien II Daîa : elle s’adressa à lui et discuta longuement avec lui, en utilisant diverses démonstrations des syllogismes, l’allégorie, la mtonymie et en parlant de claire et mystique façon.Après un deuxième entretien, où Catherine tenta de convaincre l’empereur de l’existence du dieu unique des chrétiens, celui-ci constatant qu’il ne pourrait trouver de parade à la sagesse de Catherine, convoqua une assemblée de cinquante doctes grammairiens et rhéteurs, et leur promit d’immenses récompenses s’ils triomphaient par leurs raisonnements de la vierge argumentatrice

Les orateurs, amenés de diverses provinces, demandèrent pourquoi ils avaient été appelés de lieux aussi éloignés. L’empereur leur dit : «Il y a auprès de nous une jeune fille incomparable de bon sens et de sagesse, qui réfute tous les savants et affirme que nos dieux sont des démons. Si vous arrivez à l’emporter sur elle, vous rentrerez chez vous avec de grands honneurs.»

En entendant cela, l’un d’eux, indigné, répondit d’une voix pleine de colère : «Belle décision pour un empereur.» Pour un différend avec une seule fille, il fit venir de pays lointains les savants de ce monde, alors qu’un seul de nos jeunes élèves pourrait très certainement la confondre» La vierge, encouragée par un ange du Seigneur lui recommandant de résister avec constance, s’adressa à l’empereur devant les orateur : «Par quelle décision peux-tu placer une seule jeune fille devant cinquante orateurs à qui, en outre, tu as promis salaire en cas de victoire, alors que tu m’obliges à combattre sans espoir de récompense?»

Puis elle réussit à faire taire les orateurs par la pertinence de son argumentation et à les convertir. L’empereur les fit aussitôt brûler au milieu de la cité, puis séduit par sa jeunesse et son incroyable beauté, s’adressa ensuite à Catherine et lui proposa une place dans son palais, en second rang après la reine.

Elle répondit : «Cesse de tenir de tels propos. Je me suis donnée comme épouse au Christ. Rien ne pourra m’éloigner de l’amour que j’ai pour Lui» L’empereur la fit alors dévêtir, frapper à coups de croc de fer et jeter dans une prison obscure sans alimentation pendant douze jours. L’empereur dut s’absenter. La reine et Porphyre, général des armées, qui fut son amant, se rendirent dans la prison où ils virent des anges pansant les plaies de la vierge dans une lumière éclatante. Ils se convertirent avec les soldats de leur suite.

Pendant les douze jours, le Christ envoya une colombe blanche qui nourrit la prisonnière d’un aliment céleste. À son retour, l’empereur constata qu’elle était florissante, lui proposa une nouvelle fois d’être sa compagne, ce qu’elle refusa à nouveau car «Le Christ est mon Dieu, mon amour, mon berger et mon époux unique » Un préfet conseille alors un supplice féroce pour la vierge, afin que l’exemple de cette mort effraya les autres chrétiens : quatre roues entourées de scies de fer et de clous duent lui déchirer et broyer le corps.

Alors la vierge pria le Seigneur de détruire cette machine. Et voilà qu’un ange du Seigneur frappa et brisa cette meule avec tant de force qu’il tua quatre mille païens. La reine, son amant Porphyre et un nombre important de soldats, ayant avoué leur conversion, furent exécutés. L’empereur propose une dernière fois à Catherine de devenir son épouse, cette fois-ci impératrice.

Elle refusa et l’empereur la condamna à être décapitée. Conduite au lieu d’exécution, elle pria Dieu et une voix se fit entendre «Viens, ma bien-aimée, ma belle Voilà la porte du ciel t’est ouverte». Quand elle fut décapitée, du lait jaillit de son cou en guise de sang.Alors des anges prirent son corps, l’emportèrent jusqu’au mont Sinaï, à plus de vingt journées de voyage, et l’ensevelirent avec beaucoup d’honneurs. «De ses ossements s’écoule sans cesse de l’huile qui guérit les corps de tous les malades».

Quelques siècles plus tard, des moines d’un monastère construit au pied du mont Sinaï découvrirent miraculeusement au sommet d’une montagne voisine le corps intact d’une belle jeune femme qui fut reconnu comme étant celui de sainte Catherine d’Alexandrie, déposé là par des anges. Le monastère était placé d’abord sous le patronage de Notre-Dame, puis de la Transfiguration, avant de l’être sous le patronage de sainte Catherine au huitième siècle.

Les moines du monastère Sainte Catherine du Sinaï devinrent gardiens du tombeau de la sainte. Les membres de l’Ordre de Sainte Catherine du Mont Sinaï eurent pour tâche de défendre le tombeau et le monastère contre les ennemis du christianisme. Ce fut à l’occasion des Croisades que sa légende se répandit dans tout l’Occident, créant le motif d’une grande dévotion qui inspira de nombreux artistes. Ceux-ci représentèrent la sainte avec une auréole tricolore : le blanc pour la virginité, le vert pour la connaissance et le rouge pour le martyre. La roue de son supplice figure très souvent auprès d’elle.

Une partie des reliques de la sainte furent transférées à l’abbaye Sainte Catherine du Mont par saint Syméon, moine du Sinaï qui mourut à Trèves en 1035 et qui passa à Rouen en l’an1058

Diacre Michel Houyoux

Vidéo Anaud Dumouche

https://youtu.be/vCkGunLI_xA?t=5

Publié dans Catéchèse, comportements, Enseignement, fêtes religieuses, Foi, Histoire, L'Église, Page jeunesse, Paroisses, Religion, Temps ordinaire, Vie des saints | Pas de Commentaire »

Sainte Catherine d’Alexandrie

Posté par diaconos le 16 décembre 2023

ALL SAINTS: Prayer to St. Catherine of Alexandria

Sainte Catherine d’Alexandrie

Catherine d’Alexandrie fut une vierge et martyre qui a vécu au début du IVe siècle. Elle est aussi l’une des six saintes mégalomartyres de l’Église grecque orthodoxe.La tradition situe sa naissance à Alexandrie et data sa mort dans la même ville, à dix-huit ans en l’an 312, sous le règne de Maximilien II Daiâ. Elle fut très instruite compte tenu de son sexe et de son âge : à 18 ans, elle aurait converti plusieurs philosophes qui avaient été chargés par l’empereur de la faire renoncer à sa foi.

On croit qu’elle s’appelait Dorothée, et que le prénom Catherine lui fut donné parce qu’elle remporta, dit saint Jérôme, la triple couronne de la virginité, de la science, et du martyre. Sa légende et son culte se répandirent de l’Orient vers l’Occident et furent largement attestés après les croisades. Elle est la patronne des écoles de filles et des élèves de philosophie, et on la représente souvent appuyée sur une roue à demi rompue et teintée de sang.

Elle serait apparue à sainte Jeanne d’Arc, en compagnie de sainte Marguerite et de l’archange saint Michel. Surtout connue par Légende dorée de Jacques de Voragine, Catherine vint au monde en l’an 294 dans une famille noble d’Alexandrie en Égypte. Elle acquit rapidement des connaissances qui la placèrent au niveau des plus grands poètes et philosophes du moment. Catherine, fille du roi Costus, fut instruite dans tous les arts libéraux.

Un jour, elle vit une séance d’apostasie de chrétiens organisée par l’empereur Maximilien II Daîa : elle s’adressa à lui et discuta longuement avec lui, en utilisant diverses démonstrations des syllogismes, l’allégorie, la métonymie et en parlant de claire et mystique façon.

Après un deuxième entretien, où Catherine tenta de convaincre l’empereur de l’existence du dieu unique des chrétiens, celui-ci constatant qu’il ne pourrait trouver de parade à la sagesse de Catherine, convoqua une assemblée de cinquante doctes grammairiens et rhéteurs, et leur promit d’immenses récompenses s’ils triomphaient par leurs raisonnements de la vierge argumentatrice

Les orateurs, amenés de diverses provinces, demandèrent pourquoi ils avaient été appelés de lieux aussi éloignés. L’empereur leur dit : «Il y a auprès de nous une jeune fille incomparable de bon sens et de sagesse, qui réfute tous les savants et affirme que nos dieux sont des démons. Si vous arrivez à l’emporter sur elle, vous rentrerez chez vous avec de grands honneurs.» En entendant cela, l’un d’eux, indigné, répondit d’une voix pleine de colère : «Belle décision pour un empereur.»

Pour un différend avec une seule fille, il fit venir de pays lointains les savants de ce monde, alors qu’un seul de nos jeunes élèves pourrait très certainement la confondre» La vierge, encouragée par un ange du Seigneur lui recommandant de résister avec constance, s’adressa à l’empereur devant les orateur : «Par quelle décision peux-tu placer une seule jeune fille devant cinquante orateurs à qui, en outre, tu as promis salaire en cas de victoire, alors que tu m’obliges à combattre sans espoir de récompense?»

Puis elle réussit à faire taire les orateurs par la pertinence de son argumentation et à les convertir. L’empereur les fit aussitôt brûler au milieu de la cité, puis séduit par sa jeunesse et son incroyable beauté, s’adressa ensuite à Catherine et lui proposa une place dans son palais, en second rang après la reine.

Elle répondit : «Cesse de tenir de tels propos. Je me suis donnée comme épouse au Christ. Rien ne pourra m’éloigner de l’amour que j’ai pour Lui» L’empereur la fit alors dévêtir, frapper à coups de croc de fer et jeter dans une prison obscure sans alimentation pendant douze jours.L’empereur dut s’absenter. La reine et Porphyre, général des armées, qui fut son amant, se rendirent dans la prison où ils virent des anges pansant les plaies de la vierge dans une lumière éclatante. Ils se convertirent avec les soldats de leur suite.

Pendant les douze jours, le Christ envoya une colombe blanche qui nourrit la prisonnière d’un aliment céleste. À son retour, l’empereur constata qu’elle était florissante, lui proposa une nouvelle fois d’être sa compagne, ce qu’elle refusa à nouveau car «Le Christ est mon Dieu, mon amour, mon berger et mon époux unique »Un préfet conseille alors un supplice féroce pour la vierge, afin que l’exemple de cette mort effraya les autres chrétiens : quatre roues entourées de scies de fer et de clous durent lui déchirer et broyer le corps.

Alors la vierge pria le Seigneur de détruire cette machine. Et voilà qu’un ange du Seigneur frappa et brisa cette meule avec tant de force qu’il tua quatre mille païens.

La reine, son amant Porphyre et un nombre important de soldats, ayant avoué leur conversion, furent exécutés. L’empereur propose une dernière fois à Catherine de devenir son épouse, cette fois-ci impératrice.Elle refusa et l’empereur la condamna à être décapitée. Conduite au lieu d’exécution, elle pria Dieu et une voix se fit entendre «Viens, ma bien-aimée, ma belle Voilà la porte du ciel t’est ouverte». Quand elle fut décapitée, du lait jaillit de son cou en guise de sang.

Alors des anges prirent son corps, l’emportèrent jusqu’au mont Sinaï, à plus de vingt journées de voyage, et l’ensevelirent avec beaucoup d’honneurs. «De ses ossements s’écoule sans cesse de l’huile qui guérit les corps de tous les malades». Quelques siècles plus tard, des moines d’un monastère construit au pied du mont Sinaï découvrirent miraculeusement au sommet d’une montagne voisine le corps intact d’une belle jeune femme qui fut reconnu comme étant celui de sainte Catherine d’Alexandrie, déposé là par des anges.

Le monastère était placé d’abord sous le patronage de Notre-Dame, puis de la Transfiguration, avant de l’être sous le patronage de sainte Catherine au huitième siècle. Les moines du monastère Sainte Catherine du Sinaï devinrent gardiens du tombeau de la sainte. Les membres de l’Ordre de Sainte Catherine du Mont Sinaï eurent pour tâche de défendre le tombeau et le monastère contre les ennemis du christianisme.

Ce fut à l’occasion des Croisades que sa légende se répandit dans tout l’Occident, créant le motif d’une grande dévotion qui inspira de nombreux artistes. Ceux-ci représentèrent la sainte avec une auréole tricolore : le blanc pour la virginité, le vert pour la connaissance et le rouge pour le martyre. La roue de son supplice figure très souvent auprès d’elle.Une partie des reliques de la sainte furent transférées à l’abbaye Sainte Catherine du Mont par saint Syméon, moine du Sinaï qui mourut à Trèves en 1035 et qui passa à Rouen en l’an1058

Diacre Michel Houyoux

Vidéo Anaud Dumouche  https://youtu.be/vCkGunLI_xA?t=5

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Dritter Adventssonntag Jahr B

Posté par diaconos le 16 décembre 2023

Dritter Adventssonntag Jahr B dans Bible

# Barmherzigkeit im Christentum ruft ein Gefühl der menschlichen Brüderlichkeit hervor, das uns ermutigt, Taten der Nächstenliebe zu vollbringen und so unserem Nächsten zu helfen. In den Evangelien wird Jesus oft als barmherzigMitgefühl zeigt und seine Jünger zum Mitgefühl aufruft. Wir handeln ausaus Mitgefühl, indem wir jeden Akt des Teilens vollziehen. 

Gewissenserforschung

Gewissensprüfung und geistliche Übungen helfen uns, jemanden nicht zu jemanden zu hassen, ohne den es unmöglich wäre, Mitgefühl Mitgefühl für ihn zu empfinden; wenn die Notwendigkeit besteht, werden wir alle notwendigen Mittel einsetzen, um der Person zu helfen oder sie auszuliefern, auch wenn auch wenn sie nicht zur Sippe gehört (Gleichnis vom barmherzigen Samariter), einfach weil sie in der Nähe sind. Das Das Evangelium beharrt auf diesem Begriff der Nähe, der es uns ermöglicht zu verstehen, ob wir effektiv handeln oder nicht. Die Wahl eines Samariters zeigt, dass es wirklich eine Frage der Nähe in diesem und nicht um die übliche kulturelle Nähe, in der das Mitgefühl sich leichter manifestiert. Bernhard von Clairvaux hat mehrfach vor der Versuchung gewarnt, sich in sich selbst zurückzuziehen, um um die Begegnung mit dem Nächsten zu vermeiden, und betonte die Schwere dieses Fehler.


Aus dem Evangelium von Jesus Christus nach Johanne

Es Es war ein Mann, von Gott gesandt, der hieß Johannes. Er kam als Zeuge, um von dem Licht zu zeugen, damit alle durch ihn glauben können.Dieser Mann war nicht das Licht, aber er war da, um für das Licht Zeugnis abzulegen.

Licht zu bezeugen.

Diese war das Zeugnis des Johannes, als die Juden Priester und Leviten aus Jerusalem zu ihm schickten aus Jerusalem zu ihm schickten, um ihn zu fragen : « Wer bist du ? «  Er verweigerte nicht verweigerte nicht die Antwort, sondern erklärte offen : « Ich bin nicht der Christus ». Sie fragten ihn : « Was bist du dann ? Bist bist du der Prophet Elias? » Er antwortete : « Ich bin es nicht. »

Sind du der Prophet Elia ? » Da sagten sie zu ihm : « Wer bist du ? Wir müssen denen, die uns gesandt haben, eine Antwort geben. Was sagst duwas sagst du von dir? » Er antwortete : Ich bin die Stimme eines Rufers in der Wüste, der den Weg des Herrn ebnet, wie der Prophet Jesaja gesagt hat ». Nun waren sie zu den Pharisäern Pharisäer geschickt. Sie stellten ihm eine weitere Frage :  » Warum tust du taufen, wenn du weder Christus, noch Elia, noch der Prophet bist ? » Johannes antwortete ihnen : « Ich taufe mit Wasser. Aber es ist einer unter euch, den ihr nicht kennt

den ihr nicht kennt; er ist es, der nach mir kommt, und ich bin nicht würdig, ihm den Riemen seiner Sandale zu lösen ». Es geschah in Bethanien, auf der anderen jenseits des Jordans, an dem Ort, wo Johannes taufte (Joh. 1:6-8, 19-28). Das Wort kam zu den Menschen, die bereit waren, es zu empfangen ; es wurde von ihnen abgelehnt wurde von ihnen abgelehnt, aber es bildete ein neues Volk, das aus denen bestand, die durch den Glauben die Kraft empfingen, Kinder Gottes zu werden.

Das Wort in seiner Beziehung zu Gott und der Welt

Nach der Beschreibung des göttlichen Wortes, des Schöpfers, des Lebens und des Lichts der Menschen, und wie es nicht angenommen wurde, weil in der Welt Finsternis herrschte Welt herrschte, setzt Johannes seine Erzählung fort und führt uns zum tragischsten tragischsten Moment dieses Kampfes zwischen Licht und Finsternis. durch das feierliche Zeugnis von Johannes dem Täufer angekündigt. Die Tatsache dieses Zeugnisses war für Johannes so wichtig, dass er es zunächst erwähnt, ohne zu sagen, worum es sich handelt; dann fügt er hinzu: um Zeugnis für das Licht zu geben.

Johannes sollte verkünden, was er durch göttliche Offenbarung erhalten hatte (Lk 3, 2) und was er persönlich erlebt hatte. Der Zweck von Johannes’ Zeugnisses war, dass alle durch ihn, durch Johannes den Täufer, an das Licht glauben den Täufer. Diese war Gottes barmherzige Absicht, und das Zeugnis des Johannes war klar und  kraftvoll genug, um diese Absicht in allen zu erfüllen, wenn die meisten nicht durch die Verstockung ihrer Herzen vom Glauben abgehalten worden wären Herzen. Dennoch, glaubten viele, und die bedeutendsten Jünger des Johannes wurden zu Nachfolgern von

Jesus. Obwohl Johannes der Täufer der größte der Propheten war und Jesus selbst hatte ihn die Lampe genannt, die brennt und leuchtet (Johannes 5, 35), war er nicht das Licht; seine Rolle beschränkte sich auf das Zeugnis für das Licht. Selbst die größten Propheten beziehen ihr Licht nur von dem, der das Licht der Welt ist der Welt ist ; er ist es, den sie verherrlichen müssen, indem sie allesalles auf Ihn als Quelle zurückführen ; sie selbst können nur Zeugnis geben fürdie Wahrheit bezeugen, die ihnen offenbart wurde und die sie in ihrem Herzen erfahren haben. Johannes der Täufer erfüllte diese Aufgabe mit bewundernswerter Demut (Joh 1,33-34 ; Joh 3,28-30).

Die Gottessohn

Am nächsten Tag, als Jesus zu ihm kam, nannte Johannes ihn das Lamm Gottes. Er sagte, Jesus sei ihm vorausgegangen, er habe den Geist auf ihn herabkam und auf ihm ruhte, und dass Gott ihn auf diese Weise bekannt gemacht Weise bekannt gemacht. Aufgrund dieses Zeichens bezeugte er, dass Jesus der Sohn Gottes war.

Gottes war

Johannes, der einen Gedanken hervorheben will, drückt ihn sowohl negativ und positiv. Er will damit sagen, dass der Vorläufer ohne Zögern und in aller Deutlichkeit, dass er nicht der Christus sei. Unter diesem raschen Dialog sind die Fragen von der damaligen allgemeinen Erwartung eines Gesandten von Gott. X

Diese Erwartung, die durch das durch das Erscheinen Johannes des Täufers geweckt worden war, sollte sich später auf Jesus selbst übertragen (Mt 16,14). Was fragten sie sich? In dieser Frage liegt eine gewisse Ungeduld Frage. Johannes der Täufer leugnete, dass er Elia war. Er vertrat (Mt 1:4, 5 ; Lk 1:17 ; Mt 11:14 ; Mt 17:1-12) ; aber weil die Abgeordneten des Sanhedrins in ihrer fleischlichen Sichtweise an eine persönliche Wiederkehr des Elias dachten, antwortete er negativ, denn er war nicht Elias. Er verneinte dies, denn er war nicht Elia in dem Sinne, den sie Bedeutung, die sie diesem Wort beimaßen. Die letzte Frage : « Bist du der Prophet ? » (Dtn 18, 15) Einige hielten diesen Propheten, der von Gott durch den Mund des Mose verheißen wurde, als Christus selbst (Joh 1, 46 ; Joh 6, 14 ; Apg 3, 22 ; Apg 7, 37) ; andere hielten ihn nur für einen seiner Vorläufer

Die letztere Meinung wurde von den Mitgliedern des Sanhedrins vertreten. Johannes der Täufer antwortete mit Nein, weil er sich in seiner Demut nicht sich nicht als Prophet wie Mose ausgeben wollte.  « Er wendet alle Huldigung von sich selbst ab, damit er Christus bekenne und die, die ihn befragen, zu Christus führen ». (Bengel) Johannes hat die Tatsache, dass die Delegierten Pharisäer waren, nur zur Kenntnis genommen, weil ihre Haltung feindselig war. Die Pharisäer waren nicht zufrieden mit der Antwort des Johannes, die sie die sie für zu vage hielten, um ihm einen Titel für seinen Auftrag zu geben. 

Sie hielten sich streng an das Gesetz und die anerkannten Traditionen und waren entrüstet, dass Johannes sich eine solche Neuerung wie die Taufe erlaubte, da er selbst erklärt hatte, dass er weder der Christus, Elia oder der Prophet war. « Warum taufst du? » Mit dieser Frage wollten sie ihn von einer Anmaßung der Macht überzeugen. Mit diesen Worten : « Ich taufe mit Wasser », stellt Johannes sich selbst dem Messias gegenüber, der in Kürze erscheinen wird ; er eilt er, um die Aufmerksamkeit seiner Gesprächspartner auf den zu lenken, der der bereits in ihrer Mitte war und den sie nicht erkannten. 

Er würde die Wassertaufe ersetzen, die Johannes praktizierte und die nur einen vorbereitenden Charakter hatte, durch die wahre Taufe, die Taufe mit dem Heiligen Geist. So stellte sich Johannes der Täufer unter die Autorität Christi, dessen Gegenwart seine Wassertaufe rechtfertigte und notwendig machte. Wassertaufe notwendig machte; denn diese Taufe, als Taufe der als Bußtaufe die Seelen auf den Glauben vorbereiten sollte. Nach Johannes der Täufer demütigte sich zutiefst vor dem, den er ankündigte. vor dem, den er ankündigte; er war nicht einmal würdig, ihm den Er war nicht einmal würdig, ihm den Dienst eines Sklaven zu erweisen, indem er den Riemen seines Strumpfes aufknöpfte (Mk 1, ; Lk 3, 16). 

Origenes berichtet, er habe einen Ort namens Bethabara gefunden, der der Überlieferung nach der Ort war, an dem Johannes taufte, aber er erkannte jedoch, dass fast alle Handschriften seiner Zeit den Namen Bethanien. Es ist wahrscheinlich, dass unter dem Einfluss dieses Vaters, Bethabara an die Stelle des ursprünglichen Bethanien gesetzt wurde. Zur Zeit Zeit von Johannes dem Täufer gab es in dieser Region eine Stadt namens Bethanien die, wie so viele andere Städte und Dörfer, im römischen Krieg zerstört wurde, während des römischen Krieges zerstört wurde. Einige Kritiker haben den historischen Natur dieses Berichts bestritten.


Sie sehen darin nichts weiter als eine Erweiterung des lukanischen Berichtes. Die genaue Angabe des Ortes und der Mitglieder des Sanhedrins führt dazu, dass man die beiden Szenen unterscheiden kann. Johannes der Täufer kündigte in vagen Worten das baldige Kommen des Messias an. 
Diese Erklärung wurde vor der Taufe Jesu abgegeben (Lk 3, 21). Der Bericht des Johannes, in dem sich der Vorläufer persönlich auf Jesus bezieht, betrifft einen Moment nach seiner Taufe, den vierzig Tagen der Versuchung in der Wüste (Mk 1, 12).

Diakon Michel Houyoux


VideoJoseph Prince : Klicken Sie hier, um das Video zu sehen →. https://youtu.be/r2lf0N1aStA

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