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The Holy Family – Year B

Posté par diaconos le 21 décembre 2023

 

The Holy Family Painting by Unknown artist - Fine Art America

The holy Family

# The Presentation of Jesus in the Temple is an event in the life of Jesus recounted in the Gospel according to Luke. Fulfilling a prescription of Jewish law - « Every first-born male child shall be consecrated to the Lord » (Ex 13, 2,11-13) – the parents of the baby Jesus presented him and offered him in the Temple in Jerusalem. There he was received by the elderly Simeon. The related Christian feast is celebrated on two February in the Gregorian calendar. In the Eastern Churches it is also celebrated on two February in the Julian calendar, which is equivalent to 14 February in the Gregorian calendar.

For a long time, two February was an important date for peasants, remembered by a large number of proverbs. This date is traditionally Candlemas, originally a pagan festival celebrating light, replaced by the Christian holiday. Candlemas is also a theme in religious iconography, both in paintings and miniatures, sculptures, stained glass windows, tapestries and so on. It is inspired by a scene described in the Gospel of Luke II, 22-39, in which the son of the Virgin Mary is announced by Simeon as the Master and the light who will bring revelation to the Gentiles, i.e. non-Jews. 

From the Gospel of Jesus Christ according to Luke

When the time prescribed by the Law of Moses for purification had elapsed, Jesus’ parents took him to Jerusalem to present him to the Lord, as it is written in the Law: Every firstborn male shall be consecrated to the Lord. They also came to offer the sacrifice prescribed by the Law of the Lord : a pair of turtledoves or two doves. In Jerusalem there was a man called Simeon. He was a righteous and religious man who awaited the consolation of Israel and the Holy Spirit was upon him. The Holy Spirit had told him that he would not see death until he had seen Christ, the Messiah of the Lord.

Under the influence of the Spirit, Simeon went to the Temple. As the parents presented the child Jesus to fulfil the rite of the Law concerning him, Simeon received him into his arms and blessed God, saying : Now, O sovereign Master, you may let your servant go in peace, according to your word. The term prophetess indicates that, like Simeon, Anna had received the spirit of prophecy, thanks to which she too recognised the promised Saviour in the child and glorified God. Luke also praises her by pointing out that, after a short marriage, she lived a long widowhood until the age of eighty-four, an age considered very honourable among Jews.

She attended religious services in the evening and in the morning before dawn, or spent part of her nights in prayer. Luke did not mention several facts reported by Matthew : the visit of the Magi, the flight to Egypt, the killing of the children of Bethlehem, either because these facts did not fit into his plan or because he ignored them. It must be admitted, says M. Godet, that the two evangelists each wrote without knowing the book of the other. Negative critics have hastened to declare the two accounts irreconcilable.

It has forgotten that during the forty days between Jesus’ birth and his presentation in the temple, many events took place in Bethlehem. He has forgotten that the return of the holy family to Nazareth did not take place after the presentation in the temple. The journey to Egypt followed the presentation and the family did not settle in Nazareth until after the return from Egypt: Joseph got up, took the child and his mother, went to the land of Israel and came to dwell in a town called Nazareth, so that the saying of the prophets would be fulfilled : « He shall be called Nazareth » (Mt 2, 23)

The events narrated follow each other in a natural way and the two narratives complement each other. Wisdom, which encompasses knowledge of God and man, in its practical application to life, was the salient characteristic of the character of the child Jesus. Jesus went through all the stages of a normal development, the only one that took place on earth, the only one that was free from all deleterious effects of evil and pursued harmoniously through constant communion with God.


Deacon Michel Houyoux

Links to other Christian websites


Loyola Press : Click here to read the paper → Texts -The Holy Family of Jesus, Mary, and Joseph, Cycle B


The Ignatius Pew missal : Click here to read the paper → Holy Family of Jesus, Mary and Joseph (Year B)


Video Father Fernando Armelini : Click here to watch the video →
https://youtu.be/xkz-8pbxaCM

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Samedi vingt trois décembre 2023

Posté par diaconos le 21 décembre 2023

Le temps de Dieu entre la promesse et l’accomplissement de Patrice ...

 

Jean Baptiste de son nom de naissance Yohanan, est un personnage majeur du christianisme et de l’Islam. Son existence est attestée par un passage de Flavius Josèphe, il fut un prédicateur juif du temps de Jésus de Nazareth. Jean localisa l’activité du Baptiste sur les rives du Jourdain et à Béthanie. Jésus vécut un temps dans son entourage et y recruta ses premiers disciples. Les Évangiles synoptiques synchronisent le début de l’activité de Jésus avec l’emprisonnement de Jean. L’audience de Jean-Baptiste ne cessa de croître, au point de susciter la réaction d’Hérode Antipas, qui, le voyant rassembler ses partisans, craignit qu’il ne suscita une révolution. Le Baptiste fut mis à mort, parce qu’il critiqua le mariage d’Antipas avec Hérodiade.

Dans le christianisme, Jean le Baptiste est le prophète qui annonça la venue de Jésus de Nazareth. Il le baptisa sur les bords du Jourdain, laissant certains de ses disciples se joindre à lui. Précurseur du Messie, il est présenté dans les synoptiques comme partageant beaucoup de traits avec le prophète Élie.  L’Église le canonisa et lui a consacré deux fêtes : le 24 juin qui commémore sa naissance, fixée six mois avant Noël, et le 29 août qui célèbre la mémoire de sa mort. La religion mandéenne en fait son prophète principal. Il est considéré par l’islam comme un prophète descendant de Îmran

De l’Évangile de Jésus Christ selon Luc

Quand fut accompli le temps où Élisabeth devait enfanter, elle mit au monde un fils. Ses voisins et sa famille apprirent que le Seigneur lui avait montré la grandeur de sa miséricorde, et ils se réjouissaient avec elle. Le huitième jour, ils vinrent pour la circoncision de l’enfant. Ils voulaient l’appeler Zacharie, du nom de son père. Mais sa mère prit la parole et déclara : «Non, il s’appellera Jean.» On lui dit : «Personne dans ta famille ne porte ce nom-là !»

On demandait par signes au père comment il voulait l’appeler. Il se fit donner une tablette sur laquelle il écrivit : «Jean est son nom.» Et tout le monde en fut étonné. À l’instant même, sa bouche s’ouvrit, sa langue se délia : il parlait et il bénissait Dieu. La crainte saisit alors tous les gens du voisinage et, dans toute la région montagneuse de Judée, on racontait tous ces événements. Tous ceux qui les apprenaient les conservaient dans leur cœur et disaient : «Que sera donc cet enfant ?» En effet, la main du Seigneur était avec lui. (Lc 1, 57-66)

Le double accomplissement des promesses

L’idée première du travail de Luc et les circonstances dans lesquelles il l’entreprit, le fondement historique de son récit, la source à laquelle puisèrent ses devanciers et à laquelle il se proposa de puiser lui-même. La méthode qu’il suivit fut de remonter à l’origine, exposer les faits d’une manière complète et suivie.

Le but qu’il eut en vue fut de faire reconnaître à Théophile, à qui il dédia son livre, la certitude de l’Évangile et de la vérité chrétienne dans laquelle il fut instruit. Au moment de la circoncision, le huitième jour, les amis de la famille voulurent donner à l’enfant le nom de son père, mais la mère s’y opposa, déclarant qu’il sera appelé Jean. Zacharie consulté par signes indiqua le nom de Jean. À l’instant sa langue se délia, et il bénit Dieu. L’impression produite par cet événement fut profonde dans tout le pays. On se demanda : «Que sera donc ce petit enfant?»

Parlant sous l’inspiration de l’Esprit, Zacharie s’éleva à la contemplation des destinées de la théocratie et rendit grâces pour l’avènement du salut messianique. Il bénit Dieu de ce qu’il visita et racheta son peuple et lui donna dans l’enfant de Marie un puissant Sauveur, accomplissant ainsi les promesses de son alliance et opérant la délivrance de son peuple, qui le servit. Donnant cours alors à ses sentiments de père, Zacharie salua en son enfant le Précurseur, qui apprendra au peuple que le salut consistera dans le pardon des péchés ; puis il revint au Sauveur : il le célébra comme le soleil levant, qui fait resplendir sa lumière sur ceux qui sont assis dans les ténèbres et l’ombre de la mort, afin de les conduire dans le chemin de la paix. L’enfant grandit de corps et d’esprit ; il resta dans la retraite jusqu’au moment d’entrer dans son ministère.

La circoncision eut lieu le huitième jour, on donna son nom au petit enfant. Les parents et voisins se disposèrent à donner au petit enfant le nom de son père. Mais la mère s’y opposa, car elle sut par son mari qu’il dut porter le nom de Jean. Quelques Pères de l’Église virent dans l’action d’Élisabeth une inspiration du Saint-Esprit, attendu que Zacharie, qui fut muet, ne put pas lui dire le nom du petit enfant. Comme s’il ne fut pas évident que Zacharie sut communiquer à sa femme tous les détails de l’apparition de l’ange et lui indiquer le nom de l’enfant de la même manière qu’il le fit dans un instant !

Les tablettes des anciens furent souvent des plaques en bois enduites de cire sur lesquelles on écrivit avec un style ou sorte de poinçon. Zacharie écrivit : «Jean est son nom». Il parla, voilà le fait extraordinaire noté par Luc. Et aussitôt le pieux Israélite donna essor aux sentiments dont il fut rempli, par un chant de louange et d’action de grâce. L’étonnement d’abord éprouvé fit place à la crainte. On fit de ces paroles, le sujet des entretiens, on les conserva pieusement dans son cœur, et on se demanda : «Que sera ce petit enfant ?» Cette attente fut légitime, car la puissance protectrice de l’Esprit de Dieu, dont il fut déjà rempli, fut avec lui.

Diacre Michel Houyoux

Compléments

◊ Diacre Michel Houyoux : cliquez ici pour lire l’article → Saint Jean-Baptiste

◊ Diacre Michel Houyoux : cliquez ici pour lire l’article →Je veux que, tout de suite, tu me donnes sur un plat la tête de Jean le Baptiste

Liens avec d’autres sites web chrétiens

◊ Idées-Caté : cliquez ici pour lire l’article →La naissance de Jean Baptiste

◊ Regnum Christi : cliquez ici pour lire l’article → Naissance de Jean-Baptiste

Vidéo Père Miche Marie Zanotti Sorkine https://youtu.be/C-p1nmnEurY

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