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Tenez-vous sur vos gardes, de crainte que votre cœur ne s’alourdisse dans les beuveries

Posté par diaconos le 3 janvier 2024

Évangile de Jésus Christ + commentaire : Luc 21, 34-36 - Tenez-vous sur ...

# Le Maître de maison est une parabole de l’Évangile selon Marc. Jésus-Christ dit qu’il faut Veiller signifie suivre le Seigneur, choisir ce qu’il a choisi, aimer ce qu’il a aimé, conformer sa vie à la sienne; veiller comporte de passer chaque instant de notre temps dans l’horizon de son amour sans se laisser abattre par les inévitables difficultés et problèmes quotidiens

De l’Évangile de Jésus Christ selon Luc

En ce temps-là, Jésus disait à ses disciples : «Tenez-vous sur vos gardes, de crainte que votre cœur ne s’alourdisse dans les beuveries, l’ivresse et les soucis de la vie, et que ce jour-là ne tombe sur vous à l’improviste comme un filet ; il s’abattra, en effet, sur tous les habitants de la terre entière. Restez éveillés et priez en tout temps : ainsi vous aurez la force d’échapper à tout ce qui doit arriver, et de vous tenir debout devant le Fils de l’homme.» (Lc 21, 34-36)

Veillez donc !

De ces grands événements futurs, Jésus ramena la pensée des disciples sur eux-mêmes et sur la vie morale et religieuse qui dut les y préparer. Deux pièges leur furent tendus : les voluptés charnelles qui appesantirent le cœur, et les soucis de la vie. Ce jour-là, le grand jour de l’avènement de Jésus qui  fut annoncé et qui, partout dans l’Écriture, nous est représenté comme inattendu, un objet d’universelle surprise : «Veillez donc, puisque vous ne savez ni le jour, ni l’heure. » (Mt 5, 13)

Jésus adressa ces paroles à ses disciples de tous les temps. Il voulut qu’ils attendirent ce jour-là dans une sainte vigilance, comme pouvant les surprendre à chaque instant ; de là l’ignorance dans laquelle Jésus les laissa à dessein sur le temps de sa venue : «Quant à ce jour et à cette heure-là, nul ne les connaît, pas même les anges dans le ciel, pas même le Fils, mais seulement le Père.» (Mc 13, 32)

L’Église primitive vivait dans l’attente du prochain retour de Christ et cette attente demeure la vraie disposition du chrétien, d’autant plus qu’il est dans l’incertitude de l’heure de sa mort.

La vigilance et la prière sont les deux grands moyens d’échapper aux dangers de la dernière épreuve et de subsister en présence du fils de l’homme.  « Veillez et priez, afin que vous ne tombiez pas dans la tentation; l’esprit est bien disposé, mais la chair est faible.» (Mt 26, 41) Quelle majesté il y eut dans cette parole, par laquelle celui qui est le fils de l’homme s’annonça comme le juge du monde !

Diacre Michel Houyoux

Complément

Diacre Michel Houyoux : cliquez ici pour lire l’article → ”Veillez donc, car vous ne savez pas quand le maître de la maison reviendra !” (Mc 13, 35a))

Liens avec d’autres sites chrétiens

Regnum Christi : cliquez ici pour lire l’article → Restez éveillés et priez en tout temps : ainsi vous aurez la force d’échapper à tout ce qui doit arriver

Histoire d’une foi : cliquez ici pour lire l’article → Restez éveillés et priez en tout temps» Luc 21, 36

Vidéo Tenez vous sur vos gardes → https://youtu.be/L1wMEBuUGSw

Publié dans Catéchèse, comportements, évangiles, L'Église, Nouveau Testament, Page jeunesse, Paroisses, Religion, Temps ordinaire | Pas de Commentaire »

Samedi de la première semaine du Temps Ordinaire – Année Paire

Posté par diaconos le 3 janvier 2024

Jésus est aussi le Jésus des pécheurs, donc le Jésus de tous les Hommes ! -  Christus Vivit

# Matthieu, est un personnage juif lié à la Galilée qui apparaît pour la première fois dans les Évangiles synoptiques, où il est appelé soit Matthieu, soit Lévi. Il y est décrit comme un publicain percepteur d’impôts, que Jésus appela pour devenir un de ses douze apôtres. Pour les historiens modernes, il convient de dissocier l’apôtre Matthieu et le rédacteur de l’Évangile dit selon Matthieu. Ce livre a probablement été composé dans les années 80, sans doute à partir d’une version de l’Évangile selon Marc à laquelle ont été adjointes des paroles de Jésus issues de ce que les spécialistes appellent la Source Q. L’apôtre Matthieu est assimilé à Lévi, fils d’Alphée.

Il n’existe, dans l’historiographie récente sur les origines du christianisme, aucune information concernant l’apôtre Matthieu. Il n’apparaît que dans le Nouveau Testament. Matthieu est un publicain (percepteur des impôts) à Capharnaüm, responsable peut-être du péage d’Hérode. Il a obligatoirement une instruction plus élevée que les pêcheurs du lac, Pierre et André ou encore Jacques et Jean, les fils de Zébédée. Mais, du fait de son métier, il est mal vu des autres Juifs. Les publicains sont perçus, sinon comme des traîtres, du moins comme des agents de l’occupant romain

De l’Évangile de Jésus Christ selon Marc

En ce temps-là, Jésus sortit de nouveau le long de la mer ; toute la foule venait à lui, et il les enseignait. En passant, il aperçut Lévi, fils d’Alphée, assis au bureau des impôts. Il lui dit : «Suis moi.» L’homme se leva et le suivit. Comme Jésus était à table dans la maison de Lévi, beaucoup de publicains (c’est-à-dire des collecteurs d’impôts) et beaucoup de pécheurs vinrent prendre place avec Jésus et ses disciples, car ils étaient nombreux à le suivre. Les scribes du groupe des pharisiens, voyant qu’il mangeait avec les pécheurs et les publicains, disaient à ses disciples : «Comment ! Il mange avec les publicains et les pécheurs !» Jésus, qui avait entendu, leur déclara : «Ce ne sont pas les gens bien portants qui ont besoin du médecin, mais les malades. Je ne suis pas venu appeler des justes, mais des pécheurs.» (Mc 2, 13-17)

Vocation de Lévi

Jésus revint au bord de la mer, entouré de la foule. Il vit en passant Lévi, fils d’Alphée, au bureau des péages, et il lui dit : «Suis moi Il le suivit. Jésus étant à table avec ses disciples dans la maison de Lévi où se trouvèrent beaucoup de péagers et de pécheurs, les scribes et les pharisiens dirent aux disciples : «Pourquoi mange-t-il avec de telles gens?» Jésus leur répondit que ce furent précisément les malades qui eurent besoin de médecin, et les pécheurs qu’il fut venu appeler. Celui que Marc et Luc appelèrent Lévi fut appelé Matthieu dans l’évangile de Matthieu. Marc seul nomma le père de Lévi, Alphée. Et Lévi fit un grand festin dans sa maison : «Comme Jésus était à table à la maison, voici que beaucoup de publicains (c’est-à-dire des collecteurs d’impôts) et beaucoup de pécheurs vinrent prendre place avec lui et ses disciples.» (Mt 9, 10)

Marc seul conserva ce détail important qu’un grand nombre de ces péagers et de ces pécheurs qui furent présents se rassemblèrent autour de lui partout où ils purent entendre sa parole. Ils eurent suivi cette foule composée de disciples de Jésus et de péagers qui se rendirent dans la maison de Lévi. Le spectacle qui s’offrit à leurs yeux provoqua leurs critiques. Un tel sentiment chez ces orgueilleux imbus de leur propre justice, dans les mœurs orientales : manger et boire avec quelqu’un indiqua un degré de familiarité et d’intimité que cet acte n’implique pas dans nos idées. Et pourtant, non seulement Jésus se mit à table avec ces péagers et ces pécheurs, mais il eut choisi au milieu d’eux l’un de ses apôtres, manifestant ainsi, par un fait éclatant, sa puissance

Diacre Michel Houyoux

Complément

◊ Diacre Michel Houyoux : cliquez ici pour, lire l’article → Le Fils de l’homme est venu chercher et sauver ce qui était perdu

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◊ Regnum Christi : cliquez ici pour, lire l’article →Je ne suis pas venu appeler des justes, mais des pécheurs

◊ Véronique Belen : cliquez ici pour, lire l’article →Je ne suis pas venu appeler des justes, mais des pécheurs

Vidéo Lectio Divina : cliquez ici pour regarder la vidéo → https://youtu.be/ZS6kS1mFXAg

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Mercredi de la première Semaine du Temps Ordinaire – Année Paire

Posté par diaconos le 3 janvier 2024

 

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Jésus guérit la belle-mère de Pierre

De l’Évangile de Jésus Christ selon Marc

En ce temps-là, aussitôt sortis de la synagogue de Capharnaüm, Jésus et ses disciples allèrent, avec Jacques et Jean, dans la maison de Simon et d’André. Or, la belle-mère de Simon était au lit, elle avait de la fièvre. Aussitôt, on parla à Jésus de la malade. Jésus s’approcha, la saisit par la main et la fit lever. La fièvre la quitta, et elle les servait. Le soir venu, après le coucher du soleil, on lui amenait tous ceux qui étaient atteints d’un mal ou possédés par des démons.

La ville entière se pressait à la porte. Il guérit beaucoup de gens atteints de toutes sortes de maladies, et il expulsa beaucoup de démons ; il empêchait les démons de parler, parce qu’ils savaient, eux, qui il était. Le lendemain, Jésus se leva, bien avant l’aube. Il sortit et se rendit dans un endroit désert, et là il priait. Simon et ceux qui étaient avec lui partirent à sa recherche. Ils le trouvent et lui disent : «Tout le monde te cherche.» Jésus leur dit : «Allons ailleurs, dans les villages voisins, afin que là aussi je proclame l’Évangile ; car c’est pour cela que je suis sorti.» Et il parcourut toute la Galilée, proclamant l’Évangile dans leurs synagogues, et expulsant les démons. (Mc 1, 29-39)

Jésus guérit la belle-mère de Pierre

Le royaume de Dieu se réfère à la manière dont Dieu désire que les choses soient accomplies maintenant. Par des versets précédant ce texte de l’évangile de Luc, Jésus décrit le royaume de Dieu : Jésus est venu proclamer la bonne nouvelle aux pauvres, guérir ceux qui ont le cœur brisé, prêcher la délivrance à ceux retenus captifs par le péché ou la maladie, pour que les aveugles recouvrent la vue, et pour renvoyer libres ceux que les blessures passées ont opprimés. Il est venu annoncer une année de pardon et de restauration à tous ceux qui croiraient en lui et recevraient son message. Jésus est venu déclarer la volonté de Dieu, ses voies, et la méthode par laquelle il agit.

Lorsque Jésus a dit : «Je dois prêcher le royaume de Dieu», il voulait dire que le royaume de Dieu allait remplacer le royaume de Satan pour les personnes qui le recevraient. Si vous avez reçu Jésus-Christ comme votre Sauveur et que vous avez fait de lui le Seigneur de votre vie, vous devez prendre exemple sur sa méthode et sur ses principes. Et agir selon sa parole et ses commandements tous les jours. Cela implique de passer du temps à lire et méditer la parole de Dieu, au point d’en être imprégné et d’être dirigé par cette parole de vie. Vous apprendrez ainsi comment son royaume opère. En agissant de la sorte, vous y participerez et permettrez que son règne vienne.

Si vous ne connaissez pas encore Jésus, la porte est grande ouverte. Il ne rejettera jamais celui qui vient à lui (Jean 6, 37). Le royaume de Dieu est la justice, la paix et la joie par le Saint-Esprit. Celui qui sert Christ de cette manière est agréable à Dieu et approuvé des hommes. (Rm 14, 17-18) Aujourd’hui, prenez le temps de considérer vos voies afin de voir si vous opérez selon la méthode de Jésus. S’éloignant de nos indifférences, la peine des autres devient aussi parfois la nôtre, jusqu’à nous demander comment l’apaiser en devenant des acteurs de plus grande humanité. Ce matin, la Parole nous rejoint là où nous sommes mais surtout, là où nous en sommes. Peut-être êtes-vous confrontés à l’inquiétude, née de ces fièvres physiques ou psychologiques, créant une forme de frontière entre un avant et un après ; une inquiétude se dessine alors dans votre vie. Regardons la mère de Simon ; guérie, elle se mit immédiatement à servir. L’idée du service est une réelle chance pour guérir de nos maux et regarder autrement.

En lisant les Écritures, il apparaît du reste clairement que la proposition de l’Évangile ne consiste pas seulement en une relation personnelle avec Dieu. Et notre réponse d’amour ne devrait pas s’entendre non plus comme une simple somme de petits gestes personnels en faveur de quelque individu dans le besoin, ce qui pourrait constituer une sorte de charité à la carte, une suite d’actions tendant seulement à tranquilliser notre conscience. La proposition est le Royaume de Dieu (Lc 4, 43). il s’agit d’aimer Dieu qui règne dans le monde. Dans la mesure où il réussira à régner parmi nous, la vie sociale sera un espace de fraternité, de justice, de paix, de dignité pour tous. Donc, aussi bien l’annonce que l’expérience chrétienne tendent à provoquer des conséquences sociales. Cherchons son Royaume : «Cherchez d’abord son Royaume et sa justice, et tout cela vous sera donné par surcroît» (Mt 6, 33). Le projet de Jésus est d’instaurer le Royaume de son Père ; il demande à ses disciples : «Proclamez que le Royaume des cieux est tout proche » (Mt 10, 7)

Sites intéressants à voir sur Internet

◊ Ministère de l’Alliance →La Bonne Nouvelle du Royaume – Le ROYAUME de DIEU

◊ La Salle (France)→ Aux autres villes aussi, il faut que j’annonce la Bonne Nouvelle

Vidéo Pasteur Marc Pernothttps://youtu.be/3M9IBnnpDvI?t=2

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