• Accueil
  • > Archives pour le Samedi 17 février 2024

First Sunday in Lent – Even Year

Posté par diaconos le 17 février 2024

Résultat d’images pour First Sunday in Lent - Even Year

# The name « Satan » appears in the Hebrew Bible. In four passages of the Bible, the name Satan is used to designate heavenly creatures: book of Numbers 22:22 and 22:32, first book of Chronicles 21.1, book of Zechariah 3.1 and book of Job, chapters 1 and 2. In Numbers and Chronicles, Satan appears in an undefined form. In Numbers, he refers to an angel of Yahweh placed in the path of the prophet Balaam to prevent his donkey from advancing. He was sent by Yahweh and has nothing in common with Satan, as we will understand him later. In the first two chapters of the book of Job, where the term appears 14 times, it always appears in the definite form.

Satan also appears as an allegorical figure in the third chapter of the book of Zechariah. In the fourth vision of Zechariah, the high priest Joshua stands before the angel of Yahweh with Satan accusing him. In the first book of Chronicles, the word Satan appears in the indefinite form. This passage indicates that it was Satan who prompted David to censure the people. In the parallel passage in the second book of Samuel, it was Yahweh who instigated the census.

From the Gospel of Jesus Christ according to Mark

Jesus had just been baptised. Immediately the Spirit drove him into the wilderness and there he remained for forty days, tempted by Satan, living among wild beasts, with angels serving him. After John’s arrest, Jesus left for Galilee to proclaim the Gospel of God, saying : « The time is fulfilled: the kingdom of God is at hand. Repent and believe the Gospel ». (Mk 1, 12-15) Jesus had just been baptised. The voice of the Father had been heard: « You are my beloved Son Immediately after this event, the Spirit led him into the desert (Mk 1:9-12). In Mark’s Gospel, the word « immediately » is used very often.

It is an important message for us, for the way we live our Christian life. It is not a question of « I will start tomorrow or later when I retire », but about now, right now, that the Lord is waiting for my answer. For Jesus, this desert was a battle against the devil. He had to fight against the temptation of prestige, power and the wonderful that he would solve all problems. In reality, the devil has nothing to offer. His promises are all lies. And it is still true today : he makes us believe that alcohol and drugs can cure all our anxieties, and in the end it is mental madness.

He suggests that troubled couples will be happier if they separate, and in the long run this means suffering for them and their children. Behind the triumphant political slogans, he promises victory over unemployment and ultimately over racial hatred. Satan perverts everything he touches ; this is the sign of his passage.The great temptation we will have to resist is to do nothing in particular to celebrate Lent. These forty days could be like any other, because too often we are caught up in the usual routine.

And it is then that we must remember the ‘now’ of the Gospel. Now or never. The true face of Lent is a smiling face, not a gloomy and depressed one! It is with an enthusiastic and joyful tone that we opened this time of grace on Ash Wednesday : « Repent and believe the Gospel ». It is a vast programme that we find in this Sunday’s readings. We are all called to conversion, we are all invited: it is an appointment of love. The first step is to listen attentively to the Good News : the encounter with Jesus, whom we think we know and who never ceases to amaze, shake and even shock us with each new contact.

It is with this spirit that we can undertake and live this time of opportunity and renewal offered by the ascent towards Easter. Lent is a powerful time that challenges us to reorient our lives, to step out of our routines, to rediscover how much God loves us all and, through the practice of almsgiving and sharing, to help those who are less fortunate. To live a joyful Lent means to be convinced that the Lord will give us back the joy of being saved and that this joy is already at hand if we open our hearts to Him.

Deacon Michel Houyoux

Interesting sites to discover

◊ Loyola Press : click here to read the paper →First Sunday of Lent, Cycle B

◊ The Catholic s Productions : click here to read the paper → The First Sunday in Lent, Year B

Video Deacon Jeff Losidowsky : click here→Living a « Happy » Lent | YouTube

Publié dans Bible, Carêeme, Catéchèse, comportements, évangiles, L'Église, La messe du dimanche, Nouveau Testament, Page jeunesse, Paroisses, Religion | Pas de Commentaire »

Lundi de la première semaine du Carême – Année paire

Posté par diaconos le 17 février 2024

Le Jugement dernier - Louvre Collections

Le jugement dernier

De l’Évangile de Jésus Christ selon Matthieu

En ce temps-là, Jésus disait à ses disciples : «Quand le Fils de l’homme viendra dans sa gloire, et tous les anges avec lui, alors il siégera sur son trône de gloire. Toutes les nations seront rassemblées devant lui ; il séparera les hommes les uns des autres, comme le berger sépare les brebis des boucs : il placera les brebis à sa droite, et les boucs à gauche. Alors le Roi dira à ceux qui seront à sa droite : “Venez, les bénis de mon Père, recevez en héritage le Royaume préparé pour vous depuis la fondation du monde. Car j’avais faim, et vous m’avez donné à manger ; j’avais soif, et vous m’avez donné à boire ; j’étais un étranger, et vous m’avez accueilli ; j’étais nu, et vous m’avez habillé ; j’étais malade, et vous m’avez visité ; j’étais en prison, et vous êtes venus jusqu’à moi !”

Alors les justes lui répondront : “Seigneur, quand est-ce que nous t’avons vu… ? tu avais donc faim, et nous t’avons nourri ? tu avais soif, et nous t’avons donné à boire ? tu étais un étranger, et nous t’avons accueilli ? tu étais nu, et nous t’avons habillé ? tu étais malade ou en prison Quand sommes- nous venus jusqu’à toi ?” Et le Roi leur répondra : “Amen, je vous le dis :chaque fois que vous l’avez fait à l’un de ces plus petits de mes frères, c’est à moi que vous l’avez fait.” Alors il dira à ceux qui seront à sa gauche   “Allez-vous-en loin de moi, vous les maudits, dans le feu éternel préparé pour le diable et ses anges. Car j’avais faim, et vous ne m’avez pas donné à manger ; j’avais soif, et vous ne m’avez pas donné à boire ; j’étais nu, vous ne m’avez pas habillé ; j’étais malade et en prison, et vous ne m’avez pas visité.”

Alors ils répondront, eux aussi : “Seigneur, quand t’avons-nous vu avoir faim, avoir soif, être nu, étranger, malade ou en prison, sans nous mettre à ton service ?” Il leur répondra : “Amen, je vous le dis : chaque fois que vous ne l’avez pas fait à l’un de ces plus petits, c’est à moi que vous ne l’avez pas fait.” Et ils s’en iront, ceux-ci au châtiment éternel, et les justes, à la vie éternelle.» (Mt 25, 31-46)

Le jugement dernier

Quand le fils de l’homme viendra dans sa gloire, toutes les nations étant assemblées devant lui, il mettra les uns à sa droite, les autres à sa gauche. Alors il dira à ceux de sa droite : «Venez les bénis de mon Père, possédez le royaume qui vous a été préparé ; car j’ai eu faim et soif, j’étais étranger, nu, malade, en prison et vous m’avez secouru» Alors ils lui répondront : «Seigneur, quand est-ce que nous t’avons vu dans toutes ces nécessités et que nous t’avons secouru ?» Et le Roi leur répondra  : «Toutes les fois que vous l’avez fait au plus petit de mes frères, vous me l’avez fait à moi-même»

Ensuite il dira à ceux de sa gauche  : «Éloignez-vous de moi, maudits, car j’ai eu faim et soif, j’étais étranger, nu, malade, en prison et vous ne m’avez point assisté.» Eux aussi répondront : «Seigneur, quand est-ce que nous t’avons vu dans tous ces besoins et que nous ne t’avons point assisté  ?» Il leur répondra : «Toutes les fois que vous ne l’avez pas fait au plus petit de mes frères, vous ne l’avez pas fait à moi-même. Et ceux-ci s’en iront au châtiment éternel, mais les justes à la vie éternell

Ceux qui sont admis à la Droite du Sauveur, aussi bien que les réprouvés eux-mêmes, sont des personnes qui eurent l’occasion de connaître le Sauveur et de lui faire du bien dans la personne des pauvres, il est évident que Jésus savait qu’à l’époque de sa venue pour le jugement du monde, il serait connu de tous les peuples par la prédication de l’Évangile (Mt 24, 14  ; Mt 28, 19). Le nom de Jésus est le seul nom donné aux hommes par lequel il nous faut être sauvés » (Ac 4, 12), Toutes les personnes seront placées en présence de Jésus-Christ et mis en demeure d’accepter ou de repousser le salut qu’il leur offre.

Au jour du jugement, il deviendra manifeste s’ils ont accueilli par la foi l’Évangile de la grâce et si cet Évangile a pénétré dans le cœur de ceux qui le professent, ou si leur religion n’a été qu’une religion des lèvres. Les considérants du jugement indiqués dans cette description prophétique n’excluent donc nullement la grande doctrine chrétienne du salut par la foi ; ils manifestent seulement ceux en qui cette foi « aura été opérante par la charité » (Ga 54, 6). Le Roi, c’est Christ dont la royauté divine apparaît dans tout son éclat, maintenant qu’il entre dans son règne. C’est lui qui dispose des biens éternels, que ce règne apporte avec lui. Puisque ce royaume était préparé dans le conseil de la grâce divine dès la fondation du monde à ceux qui sont bénis du Père, eux-mêmes y étaient destinés par cette même grâce (Ép 1, 4).

Ces paroles montrent donc évidemment que la récompense des justes est un don de la miséricorde divine et non le prix des œuvres qui vont être mentionnées. Ces œuvres sont moins la cause de la félicité ici décrite que le témoignage et le fruit de la foi et de l’amour de ceux qui les ont faites. Jésus y ajouta pour les siens le privilège d’être placés à sa droite, ce qui, chez tous les peuples, est considéré comme un honneur. On cherche ordinairement dans cette image une autre antithèse, qui reposerait sur le contraste entre les brebis et les boucs : les unes représentant la douceur, la paix, l’innocence, les autres doués d’un naturel farouche, querelleur et impur.

Ainsi vous m’avez rendu tous les services et tous les soins de la charité la plus active et la plus dévouée. On a interprété de diverses manières ces questions des justes. On y a vu un signe de leur modestie, de leur humilité, dont pourtant ils n’avaient pas même conscience. On y a trouvé encore la pensée qu’ils avaient oublié leurs bonnes œuvres pour ne se souvenir que de leurs fautes, n’ayant jamais espéré en quoi que ce soit pour subsister en jugement, si ce n’est en la grâce et la miséricorde de Dieu.

Sans doute, ces suppositions sont fondées, mais la cause principale de l’étonnement des justes, c’est l’idée exprimée par le Sauveur, qu’ils aient fait à lui-même ce qu’ils avaient fait pour des malheureux. Ils refusent à leurs œuvres la valeur immense qu’elles acquièrent tout à coup à leurs yeux par le fait que le Roi s’identifie ainsi avec les plus pauvres des hommes. «Les fidèles n’estiment point leurs bonnes œuvres, ni les impies leurs mauvaises, comme le fait le juge.» Bengel  Du reste l’expression de l’étonnement des justes est destinée à provoquer la réponse du Roi. On a interprété de diverses manières ces questions des justes. On y a vu un signe de leur modestie, de leur humilité, dont pourtant ils n’avaient pas même conscience.

On y a trouvé encore la pensée qu’ils avaient oublié leurs bonnes œuvres pour ne se souvenir que de leurs fautes, n’ayant jamais espéré en quoi que ce soit pour subsister en jugement, si ce n’est en la grâce et la miséricorde de Dieu. La cause principale de l’étonnement des justes, c’est l’idée exprimée par Jésus, qu’ils firent à lui-même ce qu’ils avaient fait pour des malheureux. Ils refusèrent à leurs œuvres la valeur immense qu’elles acquirent tout à coup à leurs yeux par le fait que le Roi s’identifia ainsi avec les plus pauvres des hommes.

«Les fidèles n’estiment point leurs bonnes œuvres, ni les impies leurs mauvaises (verset 44), comme le fait le juge» (Bengel) L’expression de l’étonnement des justes fut destinée à provoquer la réponse du Roi. Alors il dira aussi à ceux qui seront à sa gauche : «Allez loin de moi, maudits, dans le feu éternel, qui est préparé au diable et à ses anges !» Jésus conserva la même tournure et quelques-uns des mêmes termes. Toutes les fois que la Bible nous parle des peines morales des réprouvés sous ces images d’un feu, d’une flamme, d’un ver, etc., il faut se garder de les matérialiser. C’est dans la conscience avec ses remords, dans l’âme avec ses regrets, que se trouveront les châtiments de la justice divine.

Le manque d’amour fraternel pour Jésus, est en lui-même la mort et la condamnation (1 Co 13, 1 ; 1 Jn 3, 10-11 ; 1Jn 4, 8  ; 1Jn 5, 1). Ceux-ci croient trouver une excuse dans la pensée que par leur indifférence et leur égoïsme ils n’avaient pas agi contre le Jésus personnellement. Ils n’étaient pas des impies. Le fait que Jésus s’identifia encore avec tous les malheureux montre que le manque d’amour à l’égard du prochain suppose l’absence de l’amour de Jésus, source unique de toute charité. «Et ceux-ci s’en iront au châtiment éternel, mais les justes à la vie éternelle : Telle est l’issue tragique et définitive du jugement» (Dn 12, 2).

Plusieurs exégètes appuyèrent cette opinion, sur cette considération que, rigoureusement, l’opposé de la vie n’est pas le châtiment, mais serait l’absence de toute vie, la mort, la destruction, l’anéantissement.

Diacre Michel Houyoux

VidéoKTO : le jugement dernier ; cliquez ici https://youtu.be/UyVSIAHRixM

 

Publié dans Bible, Carêeme, Carême, Catéchèse, comportements, Dieu, évangiles, L'Église, Nouveau Testament, Page jeunesse, Paroisses, Religion | Pas de Commentaire »

 

Passion Templiers |
CITATIONS de Benoît XVI |
La pastorale Vauban |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | chrifsossi
| La Mosquée de Méru
| Une Paroisse virtuelle en F...