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Vendredi de la troisième semaine du Temps Pascal -Année Paire

Posté par diaconos le 18 avril 2024

« Celui qui mange ma chair et boit mon sang demeure en moi,et moi, je ...

# La transsubstantiation est un phénomène surnaturel, qui signifie littéralement la conversion d’une substance en une autre. Le terme désigne, pour une partie des chrétiens (en particulier les catholiques et les orthodoxes), la conversion du pain et du vin en corps et sang du Christ lors de l’Eucharistie par l’intermédiaire du Saint Esprit. Le terme, qui fut attesté pour la première fois chez Étienne de Baugé au début du XIIe siècle, est défini comme concept du dogme par le quatrième concile du Latran (1215) et confirmé par celui de Trente (1545-1563).

Sur le plan religieux, l’Église catholique (dont les maronites et les arméniens catholiques) emploie le terme de « transsubstantiation » pour expliquer que, dans l’Eucharistie, le pain et le vin, par la consécration de la messe, sont « réellement, vraiment et substantiellement » transformés ou convertis en corps et sang du Christ, tout en conservant leurs caractéristiques physiques ou « espèces » (texture, goût, odeur : les apparences) initiales. La conséquence en est la présence réelle du Christ dans les espèces consacrées. Dans les écrits d’Hippolyte de Rome (IIIe siècle), la croyance en la transsubstantiation était partagée par plusieurs apôtres des premiers siècles de la chrétienté.

Le Corps du Christ est un concept de la théologie chrétienne, lié à la rédemption, à la vie éternelle, au partage, à la fraternité, ainsi qu’à la transmission de la parole divine. Lors de la messe catholique, le prêtre dit lors de la prière eucharistique : «Au moment d’être livré et d’entrer librement dans sa passion, il prit le pain, il rendit grâce, il le rompit et le donna à ses disciples en disant: «Prenez et mangez en tous: ceci est mon corps livré pour vous» Ce rappel de la Cène, le repas avant la crucifixion de Jésus-Christ est le symbole de la chair donné par le Messie pour sauver l’humanité de ses péchés.

Juste un peu plus tard dans l’office, le prêtre dit «Faisant ici mémoire de la mort et de la résurrection de ton Fils nous t’offrons Seigneur le pain de vie.» Plus que le pardon, le pain comme le stipule l’officiant, est pain de vie, symbole de la résurrection apportée aux humains par Jésus. Le Corps du Christ c’est le don par le Messie du pardon des fautes, c’est la nouvelle parole donnée qui sous entend la résurrection et surtout le pain de vie par cette parole christique qui se veut porteuse de charité, de fraternité.

Moïse sortit le peuple de l’esclavage; Jésus par le don de son corps, par le sacrifice, cherche à faire régner les vertus cardinales et théologales. La Communauté du Pain de Vie fut une communauté nouvelle de l’Église catholique romaine, fondée en 1976 par Pascal et Marie-Annick Pingault et dissoute par Monseigneur Jean-Claude Boulanger le 9 avril 2015.

# Pour le docteur de l’Église Jean Chrysostome, Jésus lors de ce miracle se posa comme le créateur du ciel et de la Terre. Il incita également par ce geste à prier avant tout repas, et il voulut montrer l’importance du partage. Des théologiens plus modernes dirent que la multiplication des pains est le symbole de la Parole donnée par le Christ, parole qui a nourri les peuples pour des siècles . Pour saint Éphrem, Jésus donna généreusement sans compter lors de ce miracle. Il donna tellement qu’il en resta douze corbeilles.

Le saint compara également Jésus à Moïse, Moïse qui avait nourri le peuple libéré de l’esclavage avec la manne tombée du ciel. Pour Benoît XVI, ce geste fut le symbole de partage fraternel, mais aussi symbole du chemin que suivirent les apôtres : transmettre la Bonne Nouvelle. Benoit XVI mit en exergue le fait que cette multiplication fut le début de l’Eucharistie qui se perpétue jusqu’à aujourd’hui . Selon certaines interprétations théologiques, il préfigurerait la cène, dernier repas de Jésus avec ses disciples, établissant le rite de l’eucharistie dans lequel le pain est réputé incarner le corps de Jésus, donné en sacrifice sur la croix pour sauver les hommes.

De l’Évangile de Jésus Christ selon Jean

En ce temps-là, les Juifs se querellaient entre eux : « Comment celui-là peut-il nous donner sa chair à manger ? » Jésus leur dit alors : « Amen, amen, je vous le dis : si vous ne mangez pas la chair du Fils de l’homme, et si vous ne buvez pas son sang, vous n’avez pas la vie en vous. Celui qui mange ma chair et boit mon sang a la vie éternelle ; et moi, je le ressusciterai au dernier jour. En effet, ma chair est la vraie nourriture, et mon sang est la vraie boisson. Celui qui mange ma chair et boit mon sang demeure en moi, et moi, je demeure en lui.

De même que le Père, qui est vivant, m’a envoyé, et que moi je vis par le Père, de même celui qui me mange, lui aussi vivra par moi. Tel est le pain qui est descendu du ciel : il n’est pas comme celui que les pères ont mangé. Eux, ils sont morts ; celui qui mange ce pain vivra éternellement. » (Jn 6,52-59)

Corps et sang du christ

Les auditeurs de Jésus se disputaient entre eux : un vif débat succéda aux sourds murmures  ; ce débat prouva qu’ils ’étaient pas unanimes dans leur opposition. La question posée exprima le doute avec une nuance de mépris qui se trahit par ce mot : Celui ci. Jésus n’eut pas encore parlé de manger sa chair ; mais ils ne pouvaient le comprendre autrement, puisqu’il la leur présente comme le pain qu’il donnera.

Ce fut avec raison qu’ils ajoutèrent ce mot  manger sa chair ; mais, ainsi comprise, la pensée de Jésus devait leur paraître inexplicable. Elle le fut encore pour tant de chrétiens, même pour plus d’un savant théologien ! Au lieu de répondre à la question de ses auditeurs et de leur expliquer comment il put donner sa chair à manger, Jésus se contenta d’affirmer solennellement la nécessité de manger la chair du Fils de l’homme, sous peine de n’avoir pas la vie et de rester dans la mort.

Il ajouta pour compléter sa pensée : Si vous ne buvez son sang. Par là, il répondit indirectement à la question des Juifs, en rendant beaucoup plus précise l’allusion à sa mort, à une mort sanglante, dont ils s’approprièrent les fruits par la foi et par une communion vivante avec lui. Jésus se désigna comme le Fils de l’homme, parce que ce fut par son incarnation qu’il implanta dans notre humanité le principe d’une vie nouvelle.

«Il s’agissait d’enfoncer dans ces cœurs durs un aiguillon qui provoquât en eux la réflexion ; de là ces paroles énigmatiques qui, par leur étrangeté même, devaient rester fixées dans la mémoire. Étouffées en apparence, elles pourront revivre et mûrir quand retentira la prédication apostolique de la mort et de la résurrection de Jésus-Christ.» (Ebrard)

Jésus confirma, par une déclaration positive, la pensée qu’il exprima négativement. Comme il fut lui-même la vie, celui qui mange sa chair et boit son sang, et s’approprie ainsi sa personne, tout son être, par une communion intime et vivante avec lui, a, dès ce moment, une vie impérissable, la vie éternelle. Sans doute, la même grâce est promise à la foi; Il est évident que cette communion vivante et progressive avec lui est plus que la simple foi en lui.

Une nourriture et un breuvage qui renferment la vie et la communiquent. C’est par là qu’ils sont vrais. Rien de plus naturel, dès lors, que la glorieuse conséquence affirmée par Jésus : «Je le ressusciterai au dernier jour». Cette résurrection est virtuellement donnée avec la vie divine que le croyant a puisée en Christ, qui achèvera son œuvre en lui, en le ressuscitant et en le glorifiant : «Et si Christ est en vous, le corps, il est vrai, est mort à cause du péché, mais l’esprit est vie à cause de la justice. Et si l’Esprit de celui qui a ressuscité Jésus d’entre les morts habite en vous, celui qui a ressuscité Christ d’entre les morts rendra aussi la vie à vos corps mortels par son Esprit qui habite en vous.» (Rm 8, 10-11)

Ces paroles expliquent comment manger la chair de Jésus et boire son sang procure la vie. Le croyant qui se nourrit ainsi demeure en Christ et Christ en lui ; il vit avec Christ dans une communion habituelle et permanente. Christ est le centre de sa vie, dominant ses pensées, ses affections, sa volonté, tous les motifs de sa conduite. Cette manière d’exprimer une vraie communion avec Jésus est particulière aux écrits de Jean.

La source souveraine de la vie, le Père vivant, communique incessamment la vie au Fils, qui vit par le Père, qui trouve dans le Père le principe de sa vie et de tout son être, et, du Fils, cette vie se répand sur quiconque est en communion avec lui. «Le croyant, lui aussi, en se nourrissant de Jésus, trouve en lui la même source et garantie de vie que celle que Jésus trouve lui-même dans sa relation avec le Père.» (Godet)

Jusqu’ici Jésus avait dit : « Manger ma chair et boire mon sang» ;  voici maintenant un terme plus direct encore : «Celui qui me mange», exprimant, d’une part, l’union du croyant avec la personne entière du Sauveur et affirmant, d’autre part, une communion habituelle et permanente avec lui. Jésus, en revenant à la première image qu’il employa, celle du pain, résuma et conclut tout ce discours. Depuis l’époque des Pères de l’Église jusqu’à nos jours, on a souvent agité la question de savoir si, dans la dernière partie de ce discours, Jésus avait eu en vue la sainte cène.

À l’époque de la réformation, cette question a été vivement débattue entre catholiques et protestants, d’une part, et entre réformés et luthériens d’autre part. D’abord, c’eût été une anticipation sans exemple dans ses instructions ; ensuite, jamais aucune Église chrétienne ne professa l’absolue nécessité de la cène pour avoir la vie dans le Christ.

Ce que Jésus enseigna en disant : «Si vous ne mangez ma chair et ne buvez mon sang, vous n’avez pas la vie». Dans les paroles qu’il prononça à Capharnaüm, comme dans le sacrement qu’il institua à Jérusalem, Jésus ne révéla pas autre chose que la nécessité d’entrer et de rester dans une communion vivante avec lui.  Dans la synagogue de Capharnaüm, ces discours eurent une grande solennité ; et comme la ville était populeuse, Jésus eut un nombreux auditoire.

Diacre Michel Houyoux

Liens avec d’autres sites Web chrétiens

◊ La Croix : cliquez ici pour lire l’article →Le corps et sang de Jésus

◊ Vatican news : cliquez ici pour lire l’article →La transsubstantiation, dogme central de la foi catholique

Vidéo Wasmes AB : paroisse saint Martin : cliquez ici →https://youtu.be/mC7z0QqS5OM

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Vierter Sonntag der Osterzeit – Jahr B

Posté par diaconos le 18 avril 2024

Gesù, il Buon Pastore: da guida a strumento di salvezza

# Das Gleichnis vom verlorenen Schaf, auch bekannt als Gleichnis vom guten Hirten oder Gleichnis vom guten Hirten, das Jesus von Nazareth zugeschrieben wird, findet sich in zwei der kanonischen Evangelien des Neuen Testaments. Es wird von Matthäus (Mt 18,12-13) und Lukas (Lk 15,3-7) überliefert. Sie findet sich auch im apokryphen Thomas-Evangelium, Logion 107.

Mögliche Parallelen im Alten Testament sind Hes 34,6.12 und Ps 119,176. Aus dem Gleichnis hat sich ein Ausdruck entwickelt, das verlorene Schaf, das sich, wie der verlorene Sohn in einem etwas später bei Lukas folgenden Gleichnis, auf den Menschen bezieht, der moralisch auf Abwege gerät, oder, ebenfalls bei Lukas, auf die verlorene Drachme.

Die ersten beiden Gleichnisse, und manchmal auch alle drei, bilden die Grundlage für die Überlegungen von Theologen und Predigern über die Notwendigkeit, das verlorene Schaf zu suchen und in die Herde zurückzubringen, wenn es sich um einen unbeabsichtigten Irrtum handelt, oder den reuigen Sünder mit Gnade aufzunehmen, wenn es sich um einen freiwilligen Irrtum handelt.

# Der gute Hirte ist einer der Titel, mit denen sich Jesus identifiziert. Es ist eines der sieben Worte Ich bin…, die nur im Johannesevangelium vorkommen, und bezieht sich auf einen Aspekt der Mission Jesu: Er sammelt, führt, sucht die Verlorenen und gibt sein Leben für andere.

Er weidet seine Schafe oder bringt die verlorenen Schafe zurück. Dieser Begriff ist der Ursprung des Wortes « Hirte », das im Christentum häufig verwendet wird. Das Motiv des Guten Hirten war in der antiken griechischen Kunst weit verbreitet, wo es auf Hermes criophorus.

Hermes criophorus, dem Träger, aber auch auf die Träger von Opfergaben angewandt wurde, und dann in der römischen Kunst, wo es vor allem im Zusammenhang mit Begräbnissen verwendet wurde, nach Formeln, von denen sich die entstehende christliche Kunst vollständig inspirieren ließ.

Auch dieses Thema soll sumerische Vorbilder haben. In der christlichen Ikonographie wird Christus zunächst als « Lamm Gottes » dargestellt, das von Johannes dem Täufer getragen wird, und dann wird Jesus selbst zum Guten Hirten, der die verlorenen Schafe einsammelt.

Traditionell wird er mit Kalbskopfbändern und in Exomydien gekleidet dargestellt und hält einen Hirtenstab, eine Milchkanne (mulctra) oder eine Spritze. Dieses Thema hat viele christliche Künstler inspiriert.

Aus dem Evangelium von Jesus Christus nach Johannes

Damals sagte Jesus: « Ich bin der gute Hirte, der wahre Hirte, der sein Leben für seine Schafe hingibt. Der Söldnerhirte ist nicht der Hirte, und die Schafe sind nicht sein: Wenn er den Wolf kommen sieht, lässt er die Schafe im Stich und flieht; der Wolf fängt sie und zerstreut sie.

Dieser Hirte ist nichts weiter als ein Mietling, und die Schafe sind ihm gleichgültig. Ich aber bin der gute Hirte; ich kenne meine Schafe und meine Schafe kennen mich, wie auch der Vater mich kennt und ich den Vater kenne; und ich gebe mein Leben hin für meine Schafe.

Ich bin der gute Hirte

« Ich bin der gute Hirte, der wahre Hirte gibt sein Leben hin für seine Schafe ».(Joh 10,11) Jesus hat sich während seines ganzen Lebens hingegeben. Während seines ganzen Lebens auf der Erde hat er nie aufgehört, sich selbst zu geben und zu geben.Wir sehen das in seinem täglichen Leben in Nazareth, in seiner Predigt, in seinem Dienst an den Jüngern und in seiner Aufnahme all derer, die mit ihren Ängsten und Leiden zu ihm kamen. Der gute Hirte ist auch derjenige, der seine Schafe kennt und liebt.

Für Christus, den Hirten der ganzen Menschheit, sind wir sein wertvollster Besitz. Jesus fordert uns auf, einander zu lieben, wie er uns geliebt hat. Das bedeutet, dass wir uns auch die Zeit nehmen müssen, die Menschen auf unserem Weg und die uns Anvertrauten kennen zu lernen.Wir können diejenigen nicht wirklich lieben, die wir nicht kennen zu lernen versuchen oder die wir absichtlich ignorieren. Durch den persönlichen Kontakt und den geduldigen Dialog können wir die Bedürftigen besser verstehen, und die Zeit, die wir damit verbringen, sie kennen zu lernen und sie dem Herrn bekannt zu machen, ist kostbare Zeit, die wir mit Liebe schenken.

Ich habe noch andere Schafe, die nicht aus diesem Stall sind; auch sie muss ich führen. Sie werden auf meine Stimme hören, und es wird eine Herde und ein Hirte sein. Deshalb liebt mich der Vater: weil ich mein Leben gebe, um es wieder zu empfangen.Keiner kann es mir wegnehmen: Ich gebe es von mir selbst. Ich habe die Macht, es zu geben, aber ich habe auch die Macht, es wieder zu empfangen: Das ist das Gebot, das ich von meinem Vater empfangen habe. (Joh 10,11-18)

Wir sind Mitarbeiter von Christus, dem Hirten der Menschheit. Er ist es, der uns ruft und uns sendet. Eines Tages werden wir Rechenschaft über die uns anvertraute Verantwortung ablegen müssen. Der gute Hirte ist auch derjenige, der seine Herde sammelt: Wenn man in den Bergen unterwegs ist, ist es wichtig, dass die Herde zusammenbleibt; davon hängt ihre Sicherheit ab.Indem er dies sagt, spricht Jesus zu uns über die geteilte Welt, in der wir leben. Christus hat seine Kirche dort hingestellt. Er möchte, dass sie geeint und solidarisch ist. « Ich habe noch andere Schafe, die nicht zu diesem Stall gehören; auch diese muss ich führen.Sie werden auf meine Stimme hören, und es wird eine Herde und ein Hirte sein ».

Jesus zählt auf uns, dass wir an diesem Werk der Einheit teilnehmen

Betrachten wir Jesus in seiner Liebe zum Vater und zur ganzen Menschheit; betrachten wir ihn in seinem Gehorsam, in seiner Armut, in seinem Mitleid mit allen Menschen, besonders mit den Ärmsten, den Ausgeschlossenen, den Ausgegrenzten, den am meisten Leidenden.Richten wir unseren Blick auf ihn: Er kennt uns besser, als wir uns selbst kennen. Mit Jesus, dem Guten Hirten, bekräftigen wir unsererseits unsere volle Bereitschaft, Tag für Tag den Willen des Vaters zu tun. Möge diese Eucharistie, die wir an diesem Sonntag feiern, in uns den Wunsch wecken, nach dem Vorbild Jesu, des Guten Hirten, zu leben !

Möge sie uns helfen, Jesus immer ähnlicher zu werden, der nie aufhört, sein Leben für alle hinzugeben! Lasst uns den Ruf hören, seinen Ruf durch die Nöte unserer Brüder und Schwestern, die zu uns schreien. Wie groß und wunderbar ist die Liebe, mit der uns der Vater in seinem Sohn, dem Guten Hirten, erfüllt.An diesem Sonntag, an dem wir eingeladen sind, für Berufungen zu beten, wollen wir unsere Augen auf Jesus, den Guten Hirten, richten. Wir beten mit Zuversicht und Beharrlichkeit, dass er seiner Kirche Hirten schenkt, die versuchen, die Menschen besser kennen und lieben zu lernen, und die sich um die kümmern, die noch nicht in der Kirche sind.

Diakon Michel Houyoux

Links zu anderen christlichen Seiten

Got Questions : klicken Sie hier, um das Papier zu lesen →Jesus spricht : Ich bin der gute Hirte

Pintererst : klicken Sie hier, um das Papier zu lesen → « Ich bin der gute Hirte » – St. Ignatius Katholische Kirche

VidéoPrisma Impact : Klicken Sie hier → https://youtu.be/QycoKPhMRVo

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