Vendredi de la troisième semaine du Temps Pascal -Année Paire

Posté par diaconos le 18 avril 2024

« Celui qui mange ma chair et boit mon sang demeure en moi,et moi, je ...

# La transsubstantiation est un phénomène surnaturel, qui signifie littéralement la conversion d’une substance en une autre. Le terme désigne, pour une partie des chrétiens (en particulier les catholiques et les orthodoxes), la conversion du pain et du vin en corps et sang du Christ lors de l’Eucharistie par l’intermédiaire du Saint Esprit. Le terme, qui fut attesté pour la première fois chez Étienne de Baugé au début du XIIe siècle, est défini comme concept du dogme par le quatrième concile du Latran (1215) et confirmé par celui de Trente (1545-1563).

Sur le plan religieux, l’Église catholique (dont les maronites et les arméniens catholiques) emploie le terme de « transsubstantiation » pour expliquer que, dans l’Eucharistie, le pain et le vin, par la consécration de la messe, sont « réellement, vraiment et substantiellement » transformés ou convertis en corps et sang du Christ, tout en conservant leurs caractéristiques physiques ou « espèces » (texture, goût, odeur : les apparences) initiales. La conséquence en est la présence réelle du Christ dans les espèces consacrées. Dans les écrits d’Hippolyte de Rome (IIIe siècle), la croyance en la transsubstantiation était partagée par plusieurs apôtres des premiers siècles de la chrétienté.

Le Corps du Christ est un concept de la théologie chrétienne, lié à la rédemption, à la vie éternelle, au partage, à la fraternité, ainsi qu’à la transmission de la parole divine. Lors de la messe catholique, le prêtre dit lors de la prière eucharistique : «Au moment d’être livré et d’entrer librement dans sa passion, il prit le pain, il rendit grâce, il le rompit et le donna à ses disciples en disant: «Prenez et mangez en tous: ceci est mon corps livré pour vous» Ce rappel de la Cène, le repas avant la crucifixion de Jésus-Christ est le symbole de la chair donné par le Messie pour sauver l’humanité de ses péchés.

Juste un peu plus tard dans l’office, le prêtre dit «Faisant ici mémoire de la mort et de la résurrection de ton Fils nous t’offrons Seigneur le pain de vie.» Plus que le pardon, le pain comme le stipule l’officiant, est pain de vie, symbole de la résurrection apportée aux humains par Jésus. Le Corps du Christ c’est le don par le Messie du pardon des fautes, c’est la nouvelle parole donnée qui sous entend la résurrection et surtout le pain de vie par cette parole christique qui se veut porteuse de charité, de fraternité.

Moïse sortit le peuple de l’esclavage; Jésus par le don de son corps, par le sacrifice, cherche à faire régner les vertus cardinales et théologales. La Communauté du Pain de Vie fut une communauté nouvelle de l’Église catholique romaine, fondée en 1976 par Pascal et Marie-Annick Pingault et dissoute par Monseigneur Jean-Claude Boulanger le 9 avril 2015.

# Pour le docteur de l’Église Jean Chrysostome, Jésus lors de ce miracle se posa comme le créateur du ciel et de la Terre. Il incita également par ce geste à prier avant tout repas, et il voulut montrer l’importance du partage. Des théologiens plus modernes dirent que la multiplication des pains est le symbole de la Parole donnée par le Christ, parole qui a nourri les peuples pour des siècles . Pour saint Éphrem, Jésus donna généreusement sans compter lors de ce miracle. Il donna tellement qu’il en resta douze corbeilles.

Le saint compara également Jésus à Moïse, Moïse qui avait nourri le peuple libéré de l’esclavage avec la manne tombée du ciel. Pour Benoît XVI, ce geste fut le symbole de partage fraternel, mais aussi symbole du chemin que suivirent les apôtres : transmettre la Bonne Nouvelle. Benoit XVI mit en exergue le fait que cette multiplication fut le début de l’Eucharistie qui se perpétue jusqu’à aujourd’hui . Selon certaines interprétations théologiques, il préfigurerait la cène, dernier repas de Jésus avec ses disciples, établissant le rite de l’eucharistie dans lequel le pain est réputé incarner le corps de Jésus, donné en sacrifice sur la croix pour sauver les hommes.

De l’Évangile de Jésus Christ selon Jean

En ce temps-là, les Juifs se querellaient entre eux : « Comment celui-là peut-il nous donner sa chair à manger ? » Jésus leur dit alors : « Amen, amen, je vous le dis : si vous ne mangez pas la chair du Fils de l’homme, et si vous ne buvez pas son sang, vous n’avez pas la vie en vous. Celui qui mange ma chair et boit mon sang a la vie éternelle ; et moi, je le ressusciterai au dernier jour. En effet, ma chair est la vraie nourriture, et mon sang est la vraie boisson. Celui qui mange ma chair et boit mon sang demeure en moi, et moi, je demeure en lui.

De même que le Père, qui est vivant, m’a envoyé, et que moi je vis par le Père, de même celui qui me mange, lui aussi vivra par moi. Tel est le pain qui est descendu du ciel : il n’est pas comme celui que les pères ont mangé. Eux, ils sont morts ; celui qui mange ce pain vivra éternellement. » (Jn 6,52-59)

Corps et sang du christ

Les auditeurs de Jésus se disputaient entre eux : un vif débat succéda aux sourds murmures  ; ce débat prouva qu’ils ’étaient pas unanimes dans leur opposition. La question posée exprima le doute avec une nuance de mépris qui se trahit par ce mot : Celui ci. Jésus n’eut pas encore parlé de manger sa chair ; mais ils ne pouvaient le comprendre autrement, puisqu’il la leur présente comme le pain qu’il donnera.

Ce fut avec raison qu’ils ajoutèrent ce mot  manger sa chair ; mais, ainsi comprise, la pensée de Jésus devait leur paraître inexplicable. Elle le fut encore pour tant de chrétiens, même pour plus d’un savant théologien ! Au lieu de répondre à la question de ses auditeurs et de leur expliquer comment il put donner sa chair à manger, Jésus se contenta d’affirmer solennellement la nécessité de manger la chair du Fils de l’homme, sous peine de n’avoir pas la vie et de rester dans la mort.

Il ajouta pour compléter sa pensée : Si vous ne buvez son sang. Par là, il répondit indirectement à la question des Juifs, en rendant beaucoup plus précise l’allusion à sa mort, à une mort sanglante, dont ils s’approprièrent les fruits par la foi et par une communion vivante avec lui. Jésus se désigna comme le Fils de l’homme, parce que ce fut par son incarnation qu’il implanta dans notre humanité le principe d’une vie nouvelle.

«Il s’agissait d’enfoncer dans ces cœurs durs un aiguillon qui provoquât en eux la réflexion ; de là ces paroles énigmatiques qui, par leur étrangeté même, devaient rester fixées dans la mémoire. Étouffées en apparence, elles pourront revivre et mûrir quand retentira la prédication apostolique de la mort et de la résurrection de Jésus-Christ.» (Ebrard)

Jésus confirma, par une déclaration positive, la pensée qu’il exprima négativement. Comme il fut lui-même la vie, celui qui mange sa chair et boit son sang, et s’approprie ainsi sa personne, tout son être, par une communion intime et vivante avec lui, a, dès ce moment, une vie impérissable, la vie éternelle. Sans doute, la même grâce est promise à la foi; Il est évident que cette communion vivante et progressive avec lui est plus que la simple foi en lui.

Une nourriture et un breuvage qui renferment la vie et la communiquent. C’est par là qu’ils sont vrais. Rien de plus naturel, dès lors, que la glorieuse conséquence affirmée par Jésus : «Je le ressusciterai au dernier jour». Cette résurrection est virtuellement donnée avec la vie divine que le croyant a puisée en Christ, qui achèvera son œuvre en lui, en le ressuscitant et en le glorifiant : «Et si Christ est en vous, le corps, il est vrai, est mort à cause du péché, mais l’esprit est vie à cause de la justice. Et si l’Esprit de celui qui a ressuscité Jésus d’entre les morts habite en vous, celui qui a ressuscité Christ d’entre les morts rendra aussi la vie à vos corps mortels par son Esprit qui habite en vous.» (Rm 8, 10-11)

Ces paroles expliquent comment manger la chair de Jésus et boire son sang procure la vie. Le croyant qui se nourrit ainsi demeure en Christ et Christ en lui ; il vit avec Christ dans une communion habituelle et permanente. Christ est le centre de sa vie, dominant ses pensées, ses affections, sa volonté, tous les motifs de sa conduite. Cette manière d’exprimer une vraie communion avec Jésus est particulière aux écrits de Jean.

La source souveraine de la vie, le Père vivant, communique incessamment la vie au Fils, qui vit par le Père, qui trouve dans le Père le principe de sa vie et de tout son être, et, du Fils, cette vie se répand sur quiconque est en communion avec lui. «Le croyant, lui aussi, en se nourrissant de Jésus, trouve en lui la même source et garantie de vie que celle que Jésus trouve lui-même dans sa relation avec le Père.» (Godet)

Jusqu’ici Jésus avait dit : « Manger ma chair et boire mon sang» ;  voici maintenant un terme plus direct encore : «Celui qui me mange», exprimant, d’une part, l’union du croyant avec la personne entière du Sauveur et affirmant, d’autre part, une communion habituelle et permanente avec lui. Jésus, en revenant à la première image qu’il employa, celle du pain, résuma et conclut tout ce discours. Depuis l’époque des Pères de l’Église jusqu’à nos jours, on a souvent agité la question de savoir si, dans la dernière partie de ce discours, Jésus avait eu en vue la sainte cène.

À l’époque de la réformation, cette question a été vivement débattue entre catholiques et protestants, d’une part, et entre réformés et luthériens d’autre part. D’abord, c’eût été une anticipation sans exemple dans ses instructions ; ensuite, jamais aucune Église chrétienne ne professa l’absolue nécessité de la cène pour avoir la vie dans le Christ.

Ce que Jésus enseigna en disant : «Si vous ne mangez ma chair et ne buvez mon sang, vous n’avez pas la vie». Dans les paroles qu’il prononça à Capharnaüm, comme dans le sacrement qu’il institua à Jérusalem, Jésus ne révéla pas autre chose que la nécessité d’entrer et de rester dans une communion vivante avec lui.  Dans la synagogue de Capharnaüm, ces discours eurent une grande solennité ; et comme la ville était populeuse, Jésus eut un nombreux auditoire.

Diacre Michel Houyoux

Liens avec d’autres sites Web chrétiens

◊ La Croix : cliquez ici pour lire l’article →Le corps et sang de Jésus

◊ Vatican news : cliquez ici pour lire l’article →La transsubstantiation, dogme central de la foi catholique

Vidéo Wasmes AB : paroisse saint Martin : cliquez ici →https://youtu.be/mC7z0QqS5OM

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Vierter Sonntag der Osterzeit – Jahr B

Posté par diaconos le 18 avril 2024

Gesù, il Buon Pastore: da guida a strumento di salvezza

# Das Gleichnis vom verlorenen Schaf, auch bekannt als Gleichnis vom guten Hirten oder Gleichnis vom guten Hirten, das Jesus von Nazareth zugeschrieben wird, findet sich in zwei der kanonischen Evangelien des Neuen Testaments. Es wird von Matthäus (Mt 18,12-13) und Lukas (Lk 15,3-7) überliefert. Sie findet sich auch im apokryphen Thomas-Evangelium, Logion 107.

Mögliche Parallelen im Alten Testament sind Hes 34,6.12 und Ps 119,176. Aus dem Gleichnis hat sich ein Ausdruck entwickelt, das verlorene Schaf, das sich, wie der verlorene Sohn in einem etwas später bei Lukas folgenden Gleichnis, auf den Menschen bezieht, der moralisch auf Abwege gerät, oder, ebenfalls bei Lukas, auf die verlorene Drachme.

Die ersten beiden Gleichnisse, und manchmal auch alle drei, bilden die Grundlage für die Überlegungen von Theologen und Predigern über die Notwendigkeit, das verlorene Schaf zu suchen und in die Herde zurückzubringen, wenn es sich um einen unbeabsichtigten Irrtum handelt, oder den reuigen Sünder mit Gnade aufzunehmen, wenn es sich um einen freiwilligen Irrtum handelt.

# Der gute Hirte ist einer der Titel, mit denen sich Jesus identifiziert. Es ist eines der sieben Worte Ich bin…, die nur im Johannesevangelium vorkommen, und bezieht sich auf einen Aspekt der Mission Jesu: Er sammelt, führt, sucht die Verlorenen und gibt sein Leben für andere.

Er weidet seine Schafe oder bringt die verlorenen Schafe zurück. Dieser Begriff ist der Ursprung des Wortes « Hirte », das im Christentum häufig verwendet wird. Das Motiv des Guten Hirten war in der antiken griechischen Kunst weit verbreitet, wo es auf Hermes criophorus.

Hermes criophorus, dem Träger, aber auch auf die Träger von Opfergaben angewandt wurde, und dann in der römischen Kunst, wo es vor allem im Zusammenhang mit Begräbnissen verwendet wurde, nach Formeln, von denen sich die entstehende christliche Kunst vollständig inspirieren ließ.

Auch dieses Thema soll sumerische Vorbilder haben. In der christlichen Ikonographie wird Christus zunächst als « Lamm Gottes » dargestellt, das von Johannes dem Täufer getragen wird, und dann wird Jesus selbst zum Guten Hirten, der die verlorenen Schafe einsammelt.

Traditionell wird er mit Kalbskopfbändern und in Exomydien gekleidet dargestellt und hält einen Hirtenstab, eine Milchkanne (mulctra) oder eine Spritze. Dieses Thema hat viele christliche Künstler inspiriert.

Aus dem Evangelium von Jesus Christus nach Johannes

Damals sagte Jesus: « Ich bin der gute Hirte, der wahre Hirte, der sein Leben für seine Schafe hingibt. Der Söldnerhirte ist nicht der Hirte, und die Schafe sind nicht sein: Wenn er den Wolf kommen sieht, lässt er die Schafe im Stich und flieht; der Wolf fängt sie und zerstreut sie.

Dieser Hirte ist nichts weiter als ein Mietling, und die Schafe sind ihm gleichgültig. Ich aber bin der gute Hirte; ich kenne meine Schafe und meine Schafe kennen mich, wie auch der Vater mich kennt und ich den Vater kenne; und ich gebe mein Leben hin für meine Schafe.

Ich bin der gute Hirte

« Ich bin der gute Hirte, der wahre Hirte gibt sein Leben hin für seine Schafe ».(Joh 10,11) Jesus hat sich während seines ganzen Lebens hingegeben. Während seines ganzen Lebens auf der Erde hat er nie aufgehört, sich selbst zu geben und zu geben.Wir sehen das in seinem täglichen Leben in Nazareth, in seiner Predigt, in seinem Dienst an den Jüngern und in seiner Aufnahme all derer, die mit ihren Ängsten und Leiden zu ihm kamen. Der gute Hirte ist auch derjenige, der seine Schafe kennt und liebt.

Für Christus, den Hirten der ganzen Menschheit, sind wir sein wertvollster Besitz. Jesus fordert uns auf, einander zu lieben, wie er uns geliebt hat. Das bedeutet, dass wir uns auch die Zeit nehmen müssen, die Menschen auf unserem Weg und die uns Anvertrauten kennen zu lernen.Wir können diejenigen nicht wirklich lieben, die wir nicht kennen zu lernen versuchen oder die wir absichtlich ignorieren. Durch den persönlichen Kontakt und den geduldigen Dialog können wir die Bedürftigen besser verstehen, und die Zeit, die wir damit verbringen, sie kennen zu lernen und sie dem Herrn bekannt zu machen, ist kostbare Zeit, die wir mit Liebe schenken.

Ich habe noch andere Schafe, die nicht aus diesem Stall sind; auch sie muss ich führen. Sie werden auf meine Stimme hören, und es wird eine Herde und ein Hirte sein. Deshalb liebt mich der Vater: weil ich mein Leben gebe, um es wieder zu empfangen.Keiner kann es mir wegnehmen: Ich gebe es von mir selbst. Ich habe die Macht, es zu geben, aber ich habe auch die Macht, es wieder zu empfangen: Das ist das Gebot, das ich von meinem Vater empfangen habe. (Joh 10,11-18)

Wir sind Mitarbeiter von Christus, dem Hirten der Menschheit. Er ist es, der uns ruft und uns sendet. Eines Tages werden wir Rechenschaft über die uns anvertraute Verantwortung ablegen müssen. Der gute Hirte ist auch derjenige, der seine Herde sammelt: Wenn man in den Bergen unterwegs ist, ist es wichtig, dass die Herde zusammenbleibt; davon hängt ihre Sicherheit ab.Indem er dies sagt, spricht Jesus zu uns über die geteilte Welt, in der wir leben. Christus hat seine Kirche dort hingestellt. Er möchte, dass sie geeint und solidarisch ist. « Ich habe noch andere Schafe, die nicht zu diesem Stall gehören; auch diese muss ich führen.Sie werden auf meine Stimme hören, und es wird eine Herde und ein Hirte sein ».

Jesus zählt auf uns, dass wir an diesem Werk der Einheit teilnehmen

Betrachten wir Jesus in seiner Liebe zum Vater und zur ganzen Menschheit; betrachten wir ihn in seinem Gehorsam, in seiner Armut, in seinem Mitleid mit allen Menschen, besonders mit den Ärmsten, den Ausgeschlossenen, den Ausgegrenzten, den am meisten Leidenden.Richten wir unseren Blick auf ihn: Er kennt uns besser, als wir uns selbst kennen. Mit Jesus, dem Guten Hirten, bekräftigen wir unsererseits unsere volle Bereitschaft, Tag für Tag den Willen des Vaters zu tun. Möge diese Eucharistie, die wir an diesem Sonntag feiern, in uns den Wunsch wecken, nach dem Vorbild Jesu, des Guten Hirten, zu leben !

Möge sie uns helfen, Jesus immer ähnlicher zu werden, der nie aufhört, sein Leben für alle hinzugeben! Lasst uns den Ruf hören, seinen Ruf durch die Nöte unserer Brüder und Schwestern, die zu uns schreien. Wie groß und wunderbar ist die Liebe, mit der uns der Vater in seinem Sohn, dem Guten Hirten, erfüllt.An diesem Sonntag, an dem wir eingeladen sind, für Berufungen zu beten, wollen wir unsere Augen auf Jesus, den Guten Hirten, richten. Wir beten mit Zuversicht und Beharrlichkeit, dass er seiner Kirche Hirten schenkt, die versuchen, die Menschen besser kennen und lieben zu lernen, und die sich um die kümmern, die noch nicht in der Kirche sind.

Diakon Michel Houyoux

Links zu anderen christlichen Seiten

Got Questions : klicken Sie hier, um das Papier zu lesen →Jesus spricht : Ich bin der gute Hirte

Pintererst : klicken Sie hier, um das Papier zu lesen → « Ich bin der gute Hirte » – St. Ignatius Katholische Kirche

VidéoPrisma Impact : Klicken Sie hier → https://youtu.be/QycoKPhMRVo

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Fourth Sunday of Easter – Year B

Posté par diaconos le 17 avril 2024

The Good Shepherd - I Am His and He Is Mine! - Sermon for April 25 ...

# The Parable of the Lost Sheep, also known as the Parable of the Good Shepherd or Parable of the Good Shepherd, attributed to Jesus of Nazareth, is found in two of the canonical Gospels of the New Testament. It is recounted by Matthew (Mt 18:12-13) and Luke (Lk 15:3-7). It is also found in the apocryphal Gospel of Thomas, Logion 107. Possible parallels in the Old Testament are Ezek 34:6.12 and Ps 119:176 The parable gave rise to an expression, the lost sheep, which refers, like the prodigal son in a parable that follows a little later in Luke, to the person who goes astray morally or, again in Luke, to the lost drachma.

The first two parables, and sometimes all three, form the basis of the considerations of theologians and preachers on the need to go and find the lost sheep and bring it back into the flock, in the case of unintentional error, or to welcome with grace the repentant sinner, in the case of voluntary error. # The good shepherd is one of the titles by which Jesus identifies himself. It is one of the seven words I am…, found only in the Gospel of John, and refers to one aspect of Jesus’ mission: he gathers, guides, seeks out the lost, and gives his life for others.

He feeds his sheep or brings back the lost sheep. This term is at the origin of the word ‘shepherd’ commonly used in Christianity. The Good Shepherd theme was widespread in ancient Greek art, where it was applied to Hermes criophorus, the bearer, but also to the bearers of offerings, and then in Roman art, where it was used particularly in connection with funerals, according to formulas from which nascent Christian art drew full inspiration.

This same theme is said to have Sumerian models. In Christian iconography, Christ is first depicted as the ‘Lamb of God’ carried by John the Baptist, and then Jesus himself becomes the Good Shepherd who gathers the lost sheep. Traditionally, he is depicted with calf’s headbands and dressed in exomyds and holds a shepherd’s crook, a milk jug (mulctra) or a syringe. This theme has inspired many Christian artists.

From the Gospel of Jesus Christ according to John

At that time Jesus said, « I am the good shepherd, the true shepherd, who lays down his life for his sheep. The mercenary shepherd is not the shepherd, the sheep are not his : if he sees the wolf coming, he abandons the sheep and flees; the wolf catches them and scatters them. That shepherd is nothing but a hireling, and the sheep do not really matter to him. But I am the good shepherd; I know my sheep and my sheep know me, just as the Father knows me and I know the Father; and I lay down my life for my sheep. 

I have other sheep that are not of this fold: these too must I lead. They will listen to my voice and there will be one flock and one shepherd. That is why the Father loves me: because I give my life, to receive it again. No one can take it away from me: I give it of myself. I have the power to give it, but I also have the power to receive it again: this is the commandment I have received from my Father ». (Jn 10:11-18)

I am the Good Shepherd

« I am the Good Shepherd, the true Shepherd lays down his life for his sheep ». (Jn 10:11) It was during his whole life that Jesus gave himself. Throughout his life on earth, he never stopped giving and giving himself. We see this in his daily life in Nazareth, in his preaching, in his service to the disciples and in his welcoming of all those who came to him with their anguish and suffering. The good shepherd is also the one who knows and loves his sheep.

For Christ, the shepherd of all humanity, we are his most precious possession. Jesus asks us to love one another as he has loved us. This means that we must also take the time to get to know the people on our path and those entrusted to our care. We cannot truly love those we do not seek to know or those we deliberately ignore. It is through personal contact and patient dialogue that we can better understand those in need, and time spent getting to know them and making them known to the Lord is precious time given with love.

We are co-workers with Christ, the shepherd of humanity. It is he who calls us and sends us. One day we will have to account for the responsibility entrusted to us. The good shepherd is also the one who gathers his flock: when travelling in the mountains, it is important that the flock remains united; its safety depends on it. In saying this, Jesus speaks to us of the divided world in which we live. Christ has placed his Church there. He wants it to be united and in solidarity. « I have other sheep, which are not of this fold: these also I must lead.They will listen to my voice and there will be one flock and one shepherd ».

Jesus counts on us to participate in this work of unity

Let us contemplate Jesus in his love for the Father and for all humanity; let us contemplate him in his obedience, in his poverty, in his compassion for every man and woman, especially the poorest, the excluded, the marginalised, those who suffer most. Let us fix our gaze on him: he knows us better than we know ourselves. With Jesus, the Good Shepherd, let us in turn reaffirm our full availability to do the Father’s will day by day. May this Eucharist that we celebrate this Sunday stimulate in us the desire to live in the way of Jesus, the Good Shepherd !

May it help us to be more and more like Jesus, who never ceases to give his life for all ! Let us hear the call, his call through the needs of our brothers and sisters who cry out to us. How great and wonderful is the love with which the Father fills us in his Son, the Good Shepherd. On this Sunday, when we are invited to pray for vocations, let us lift our eyes to Jesus, the Good Shepherd. We pray with confidence and insistence that he gives his Church pastors who seek to know people better and love them, and who care for those who are not yet in the Church.

Deacon Michel Houyoux

Links to other Christian sites

Got Questions : click here to read the papetWhat did Jesus mean when He said, “I am the goog psherferd

Sint Ignatius Church : click here to read the paper« I AM the Good Shepherd » – St. Ignatius Catholic Church

VidéoGrace to you : Click here → https://youtu.be/iI35XKalK28

 

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Jeudi de la troisième semaine du Temps Pascal -Année B

Posté par diaconos le 17 avril 2024

Dimanche 1er août : le Pain de Vie - Diocèse de Metz

# La manne fut la nourriture des Hébreux dans le désert, d’après l’Ancien Testament, Selon le livre de l’Exode : les Hébreux murmuraient contre Moïse parce qu’ils mouraient de faim. Le soir, il leur tomba des cailles du ciel ; le matin suivant, il se répandit un brouillard ou une rosée ; lorsqu’elle se fut évaporée, apparut sur la surface du désert quelque chose de menu, de granuleux, de fin comme du givre sur le sol.(Ex 16,14). Moïse leur dit : «C’est le pain que l’Éternel vous donne pour nourriture». Et plus loin : «La maison d’Israël donna à cette nourriture le nom de manne ».

La manne tombait du ciel tous les jours, excepté le jour du Shabbat ; la veille de ce jour il en tombait une quantité double. Les enfants d’Israël mangèrent la manne pendant quarante ans, jusqu’à leur arrivée dans un pays habité ; ils mangèrent la manne jusqu’à leur arrivée aux frontières du pays de Canaan. L’épisode est repris dans le Coran dans la sourate al-Baqara : «Nous fîmes descendre les nuages, pour vous servir d’ombrage : nous vous envoyâmes la manne et les cailles, et nous dîmes, Nourrissez-vous des biens que nous vous offrons» .

# Le Corps du Christ est un concept de la théologie chrétienne, lié à la rédemption, à la vie éternelle, au partage, à la fraternité, ainsi qu’à la transmission de la parole divine. Lors de la messe catholique, le prêtre dit lors de la prière eucharistique : «Au moment d’être livré et d’entrer librement dans sa passion, il prit le pain, il rendit grâce, il le rompit et le donna à ses disciples en disant: «Prenez et mangez en tous: ceci est mon corps livré pour vous» Ce rappel de la Cène, le repas avant la crucifixion de Jésus-Christ est le symbole de la chair donné par le Messie pour sauver l’humanité de ses péchés.

 Juste un peu plus tard dans l’office, le prêtre dit « faisant ici mémoire de la mort et de la résurrection de ton Fils nous t’offrons Seigneur le pain de vie.» Plus que le pardon, le pain comme le stipule l’officiant, est pain de vie, symbole de la résurrection apportée aux humains par Jésus. Le Corps du Christ c’est le don par le Messie du pardon des fautes, c’est la nouvelle parole donnée qui sous entend la résurrection et surtout le pain de vie par cette parole christique qui se veut porteuse de charité, de fraternité.

Moïse sortit le peuple de l’esclavage; Jésus par le don de son corps, par le sacrifice, cherche à faire régner les vertus cardinales et théologales. La Communauté du Pain de Vie fut une communauté nouvelle de l’Église catholique romaine, fondée en 1976 par Pascal et Marie-Annick Pingault et dissoute par Monseigneur Jean-Claude Boulanger le 9 avril 2015

# Pour le docteur de l’Église Jean Chrysostome, Jésus lors de ce miracle se posa comme le créateur du ciel et de la Terre. Il incita également par ce geste à prier avant tout repas, et il voulut montrer l’importance du partage. Des théologiens plus modernes dirent que la multiplication des pains est le symbole de la Parole donnée par le Christ, parole qui a nourri les peuples pour des siècles . Pour saint Éphrem, Jésus donna généreusement sans compter lors de ce miracle. Il donna tellement qu’il en resta douze corbeilles.

Le saint compara également Jésus à Moïse, Moïse qui avait nourri le peuple libéré de l’esclavage avec la manne tombée du ciel. Pour Benoît XVI, ce geste fut le symbole de partage fraternel, mais aussi symbole du chemin que suivirent les apôtres : transmettre la Bonne Nouvelle. Benoit XVI mit en exergue le fait que cette multiplication fut le début de l’Eucharistie qui se perpétue jusqu’à aujourd’hui . Selon certaines interprétations théologiques, il préfigurerait la cène, dernier repas de Jésus avec ses disciples, établissant le rite de l’eucharistie dans lequel le pain est réputé incarner le corps de Jésus, donné en sacrifice sur la croix pour sauver les hommes.

De l’Évangile de Jésus Christ selon Jean

En ce temps-là, Jésus disait aux foules : « Personne ne peut venir à moi, si le Père qui m’a envoyé ne l’attire, et moi, je le ressusciterai au dernier jour. Il est écrit dans les prophètes : Ils seront tous instruits par Dieu lui-même.  Quiconque a entendu le Père et reçu son enseignement vient à moi. Certes, personne n’a jamais vu le Père, sinon celui qui vient de Dieu : celui- là seul a vu le Père. Amen, amen, je vous le dis : il a la vie éternelle, celui qui croit.

Moi, je suis le pain de la vie. Au désert, vos pères ont mangé la manne, et ils sont morts ; mais le pain qui descend du ciel est tel que celui qui en mange ne mourra pas. Moi, je suis le pain vivant, qui est descendu du ciel : si quelqu’un mange de ce pain, il vivra éternellement. Le pain que je donnerai, c’est ma chair, donnée pour la vie du monde. » (Jn 6, 44-51)

Le Pain vivant descendu du Ciel

Les Juifs, c’est ainsi que Jean désignait ordinairement les chefs du peuple ; voulut -il dire qu’il se trouvait alors des émissaires du sanhédrin dans la synagogue de Capharnaüm où Jésus parlait ? Jean nommait ainsi ceux des Galiléens qui trahissaient par leurs murmures leur opposition contre Jésus. Ce qui les scandalisait, c’est que Jésus se présenta à eux comme le pain descendu du ciel.

Dans leur ignorance, ils voyaient une contradiction entre cette déclaration et la connaissance qu’ils avaient de la famille de Jésus. Ils murmuraient entre eux, sans exprimer ouvertement leur opposition aux paroles qu’ils venaient d’entendre. Jésus ne répondit pas à l’objection de ses auditeurs, en leur révélant le mystère de sa naissance surnaturelle : car l’origine miraculeuse de Jésus ne put être acceptée que par le cœur déjà croyant.

Ces scrupules ne furent pas la cause de leur incrédulité c’est leur incrédulité qui donna naissance à ces scrupules ; Jésus ne s’appliqua pas à les lever. Il insista sur la nécessité d’une œuvre de la grâce divine qui dut s’accomplir en tout homme qui voulut venir à lui et croire en lui.

Personne n’y arrive autrement. C ette œuvre qu’il désigna en ces mots : « Tout ce que le Père me donne viendra à moi », il la caractérisa comme un attrait du Père vers Jésus. Dieu lui donne les âmes en les attirant à lui.

 Dieu a, dans sa main puissante, mille moyens d’exercer cette action de sa miséricorde sur les âmes. Tantôt ce sont les douloureuses expériences de la vie, la souffrance, la pensée de la mort, qui leur font éprouver avec tristesse le besoin d’un consolateur, d’un Sauveur ; tantôt c’est le sentiment amer du péché qui se réveille en elles et qui leur inspire ce cri d’angoisse : «Que ferai-je pour être sauvé ?» Et dès que Jésus se présente, elles le reconnaissent comme Celui après qui elles soupiraient.

Mais le grand moyen de Dieu pour attirer les hommes à Jésus, c’est sa Parole et son Esprit, qui agit incessamment dans notre humanité et qui saisit les moments favorables pour accomplir son œuvre.

L’expérience seule, cette grande conciliatrice des contrastes, peut nous instruire à cet égard ; elle apprend aux humbles à dire avec un réformateur : « Nous voulons, parce qu’il nous est donné de vouloir ».

« C’est Dieu qui opère en vous la volonté et l’exécution, selon son bon plaisir, malgré l’apparente contradiction : « Opérez votre propre salut avec crainte et tremblement » (Ph 2.12-13).

Quoi qu’il en soit, dès qu’un pauvre pécheur a ainsi été attiré à Jésus, qui se charge d’achever en lui l’œuvre divine jusqu’à la fin : « Et moi, je le ressusciterai au dernier jour.» Jésus affirma, avec une joyeuse certitude :«Quiconque a ainsi entendu le Père et a été instruit, vient à lui et trouve en lui son Sauveur.»

L’enseignement que les hommes ont reçu de Dieu n’est que préparatoire, destiné à les amener au Fils qui, lui seul, a vu le Père de toute éternité , car il vient de Dieu. «C’est donc en lui, qui est l’image de Dieu, la splendeur de sa gloire, que les croyants voient Dieu» (Jn 1, 14).

Jésus affirma ; «C’est moi qui suis le pain de la vie.» Après cette instruction profonde, provoquée par les murmures des Juifs, Jésus revint à son enseignement sur la vie éternelle qu’il communiqua aux croyants en se donnant lui-même à eux comme le pain de la vie.

Jésus renvoya aux Juifs leur objection : «La manne qui a nourri leurs pères dans le désert ne les a pas empêchés de mourir.» Mais il y a un autre pain qui affranchit de la mort, c’est celui qui est descendu du ciel et qui communique la vie éternelle.

Jésus résuma tout ce qu’il vint de dire en affirmant :«Je suis ce pain vivant » et par conséquent vivifiant, puisqu’il fait vivre éternellement ceux qui se l’approprient par la foi et par une communion vivante avec lui.

«Le pain de la vie et le pain vivant, celui qui est la vie divine réalisée dans une personne humaine. qui descend du ciel en général et qui est descendu du ciel dans un sens historique et concret, en la personne de Christ  ; l’expression négative : ne meure pas, et la grande affirmation positive : vivra éternellemen»(Meyer)

Par ces paroles, Jésus présenta sa pensée sous un aspect nouveau et passa à la dernière partie de son discours. Dans la précédente, il a parlé, à diverses reprises, du pain de vie, d’un pain descendu du ciel et qui communique la vie éternelle à ceux qui en mangent ; il a déclaré que ce pain vivifiant, c’est lui-même, et que le moyen d’en vivre, c’est de croire en lui.

«Donner sa chair et son sang » ne peut désigner autre chose que sa mort, et une mort violente, dans laquelle son sang qui fut répandu. En effet, la chair et le sang, c’est la nature humaine vivante ; les donner, c’est se livrer à la mort ; les donner de ce monde qui est dans la mort, c’est le racheter et le sauver.

Le moyen, pour nous, de nous approprier les fruits de la mort de Jésus, c’est d’entrer avec lui, par la foi, dans une communion intime et personnelle,. C’est ce que Jésus exprimer par ses mots : «Manger sa chair et boire son sang ».

Telle fut l’interprétation de la plupart des exégètes. Il en est une autre qui consiste à voir dans tout ce passage, non la mort de Jésus spécialement, mais sa personne et sa vie en général, qu’il offre à ceux qui croient en lui, comme la source de leur vie spirituelle.

Diacre Michel Houyoux

Liens avec d’autres sites web chrétiens

◊ Opus Dei : cliquez ici pour lire l’article →« Moi, je suis le pain vivant, qui est descendu du ciel

◊ Opus Dei : cliquez ici pour lire l’article → Au fil de l’Évangile de la fête du Corpus Christi : le pain vivant descendu du ciel

Vidéo Lectio Divina : cliquez ici → https://youtu.be/_bNnFd1UNWo

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