Lundi de la douzième semaine du Temps Ordinaire – Année Paire

Posté par diaconos le 24 juin 2024

Je Crois: Mercredi 29 août : "Je veux que, tout de suite, tu me donnes ...

Je veux que, tout de suite, tu me donnes la tête de Jean- Baptiste sur un plat 

# Marie de Nazareth, Sainte Vierge, Sainte Marie, Vierge Marie, « Immaculée Conception », Notre Dame, Mère de Jésus, Mère de Dieu (principalement chez les orthodoxes et catholiques, voir consubstantialité), est une femme juive de Judée, et la mère de Jésus de Nazareth. Marie est une figure importante et proéminente au sein du christianisme (notamment dans les dénominations orthodoxe et catholique) ainsi que dans l’islam.  Comme pour son fils Jésus, l’historicité de Marie est difficilement accessible. Une grande partie des traditions concernant Marie se trouve dans la littérature apocryphe, qui développe souvent les élaborations présentes dans les textes canoniques du Nouveau Testament.

 Dans les Églises catholique et orthodoxe, Marie est l’objet d’un culte particulier, supérieur au simple culte rendu aux saints et aux anges, appelé le culte d’hyperdulie. C’est un des points de divergence important avec le protestantisme et les Églises réformées. Pour les catholiques, le Canon 1186 du Code de droit canonique dispose qu’il s’agit de la vénération de la Bienheureuse Marie, toujours Vierge, établie par le Christ comme Mère de tous les hommes. Jean Baptiste de son nom de naissance Yohanan, est un personnage majeur du christianisme et de l’Islam. Son existence est attestée par un passage de Flavius Josèphe, il fut un prédicateur juif du temps de Jésus de Nazareth. Jean localisa l’activité du Baptiste sur les rives du Jourdain et à Béthanie. Jésus vécut un temps dans son entourage et y recruta ses premiers disciples.

Les Évangiles synoptiques synchronisent le début de l’activité de Jésus avec l’emprisonnement de Jean. L’audience de Jean-Baptiste ne cessa de croître, au point de susciter la réaction d’Hérode Antipas, qui, le voyant rassembler ses partisans, craignit qu’il ne suscita une révolution. Le Baptiste fut mis à mort, parce qu’il critiqua le mariage d’Antipas avec Hérodiade. Dans le christianisme, Jean le Baptiste est le prophète qui annonça la venue de Jésus de Nazareth. Il le baptisa sur les bords du Jourdain, laissant certains de ses disciples se joindre à lui. Précurseur du Messie, il est présenté dans les synoptiques comme partageant beaucoup de traits avec le prophète Élie.  L’Église le canonisa et lui a consacré deux fêtes : le 24 juin qui commémore sa naissance, fixée six mois avant Noël, et le 29 août qui célèbre la mémoire de sa mort. La religion mandéenne en fait son prophète principal. Il est considéré par l’islam comme un prophète descendant de Îmran

De l’Évangile de Jésus Christ selon Luc

Quand fut accompli le temps où Élisabeth devait enfanter, elle mit au monde un fils. Ses voisins et sa famille apprirent que le Seigneur lui avait montré la grandeur de sa miséricorde, et ils se réjouissaient avec elle. Le huitième jour, ils vinrent pour la circoncision de l’enfant. Ils voulaient l’appeler Zacharie, du nom de son père. Mais sa mère prit la parole et déclara : « Non, il s’appellera Jean. » On lui dit : « Personne dans ta famille ne porte ce nom-là ! » On demandait par signes au père comment il voulait l’appeler. Il se fit donner une tablette sur laquelle il écrivit : « Jean est son nom. » Et tout le monde en fut étonné. À l’instant même, sa bouche s’ouvrit, sa langue se délia : il parlait et il bénissait Dieu.

La crainte saisit alors tous les gens du voisinage et, dans toute la région montagneuse de Judée, on racontait tous ces événements. Tous ceux qui les apprenaient les conservaient dans leur cœur et disaient : « Que sera donc cet enfant ? » En effet, la main du Seigneur était avec lui. L’enfant grandissait et son esprit se fortifiait. Il alla vivre au désert jusqu’au jour où il se fit connaître à Israël. (Lc 1, 57-66.80)

Le double accomplissement des promesses

L’idée première du travail de Luc et les circonstances dans lesquelles il l’entreprit, le fondement historique de son récit, la source à laquelle puisèrent ses devanciers et à laquelle il se proposa de puiser lui-même. La méthode qu’il suivit fut de remonter à l’origine, exposer les faits d’une manière complète et suivie.

Le but qu’il eut en vue fut de faire reconnaître à Théophile, à qui il dédia son livre, la certitude de l’Évangile et de la vérité chrétienne dans laquelle il fut instruit. Au moment de la circoncision, le huitième jour, les amis de la famille voulurent donner à l’enfant le nom de son père, mais la mère s’y opposa, déclarant qu’il sera appelé Jean. Zacharie consulté par signes indiqua le nom de Jean. À l’instant sa langue se délia, et il bénit Dieu. L’impression produite par cet événement fut profonde dans tout le pays. On se demanda : «Que sera donc ce petit enfant?»

Parlant sous l’inspiration de l’Esprit, Zacharie s’éleva à la contemplation des destinées de la théocratie et rendit grâces pour l’avènement du salut messianique. Il bénit Dieu de ce qu’il visita et racheta son peuple et lui donna dans l’enfant de Marie un puissant Sauveur, accomplissant ainsi les promesses de son alliance et opérant la délivrance de son peuple, qui le servit. Donnant cours alors à ses sentiments de père, Zacharie salua en son enfant le Précurseur, qui apprendra au peuple que le salut consistera dans le pardon des péchés ; puis il revint au Sauveur : il le célébra comme le soleil levant, qui fait resplendir sa lumière sur ceux qui sont assis dans les ténèbres et l’ombre de la mort, afin de les conduire dans le chemin de la paix. L’enfant grandit de corps et d’esprit ; il resta dans la retraite jusqu’au moment d’entrer dans son ministère.

La circoncision eut lieu le huitième jour, on donna son nom au petit enfant. Les parents et voisins se disposèrent à donner au petit enfant le nom de son père. Mais la mère s’y opposa, car elle sut par son mari qu’il dut porter le nom de Jean. Quelques Pères de l’Église virent dans l’action d’Élisabeth une inspiration du Saint-Esprit, attendu que Zacharie, qui fut muet, ne put pas lui dire le nom du petit enfant. Comme s’il ne fut pas évident que Zacharie sut communiquer à sa femme tous les détails de l’apparition de l’ange et lui indiquer le nom de l’enfant de la même manière qu’il le fit dans un instant !

Les tablettes des anciens furent souvent des plaques en bois enduites de cire sur lesquelles on écrivit avec un style ou sorte de poinçon. Zacharie écrivit : «Jean est son nom». Il parla, voilà le fait extraordinaire noté par Luc. Et aussitôt le pieux Israélite donna essor aux sentiments dont il fut rempli, par un chant de louange et d’action de grâce. L’étonnement d’abord éprouvé fit place à la crainte. On fit de ces paroles, le sujet des entretiens, on les conserva pieusement dans son cœur, et on se demanda : «Que sera ce petit enfant ?» Cette attente fut légitime, car la puissance protectrice de l’Esprit de Dieu, dont il fut déjà rempli, fut avec lui.

Diacre Michel Houyoux

Compléments

Diacre Michel Houyoux : cliquez ici pour lire l’article → Saint Jean-Baptiste

Diacre Michel Houyoux : cliquez ici pour lire l’article →Je veux que, tout de suite, tu me donnes sur un plat la tête de Jean le Baptiste

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Idées-Caté : cliquez ici pour lire l’article →La naissance de Jean Baptiste

Regnum Christi : cliquez ici pour lire l’article → Naissance de Jean-Baptiste

Vidéo Père Miche Marie Zanotti Sorkine https://youtu.be/C-p1nmnEurY

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­Saint Alban de Mayence

Posté par diaconos le 22 juin 2024

Saint Alban - Alchetron, The Free Social Encyclopedia

Alban fut un prêtre et missionnaire grec de Naxos, ou plus probablement, originaire d’Afrique du Nord. Envoyé en exil, Alban arriva à Rome. Après que le christianisme fut élevé au rang de seule religion officielle et obligatoire par l’empereur romain Théodose Ier, Ambroise de Milan envoya Alban pour une mission en Rhénanie où il accompagna son évêque, Théoneste (IVe siècle). Avec leur compagnon Ursus, ils fuirent tous les trois les hérétiques ariens, qui cherchaient à mettre à mort les catholiques. De Rome, ils se rendirent à Milan, et de là, en Gaule. Ursus fut martyrisé dans la ville d’Augusta, qui serait soit Aoste soit aussi Augsbourg.

D’après certains auteurs, ils passèrent par la région de Namur, avant de se rendre à Mayence, dans l’Empire romain d’Occident. Théoneste, devenu évêque de Mayence, et son disciple Alban évangélisèrent cette région durant plusieurs années, malgré l’arianisme qui sévissait. Il prêcha dans l’Empire romain d’Occident, dans la région de Mayence, et fut à nouveau attaqué par les ariens. Il fut mis à mort sur la place Gartenfeld (Mainz-Neustadt). Une tradition constante rapporta que sa langue murmura encore les louanges de Jésus-Christ, après que sa tête fut détachée du tronc; elle ajouta que le martyr ramassa sa tête, et qu’il la porta d’un pas ferme jusqu’à l’endroit où il fut ensuite enseveli avec honneur.

Vénération et souvenir

  • Le 21 juin, saint Alban est fêté à Mayence et en Bavière.
  • Saint Alban est traditionnellement invoqué pour guérir les maux de tête violents, l’épilepsie et les empoisonnements.
  • La collégiale bénédictine Saint-Alan-de Mayence lui fut dédiée par Richulf en son honneur en 787. C’est un bâtiment mémoriel pour un martyr exceptionnel et aussi pour Fastrade, l »épouse d Charlemagne.

  • On doit au Comte Albert de Namur le fait d’avoir introduit le culte de saint Aubain à Namur, par la création d’un chapitre collégial en 1047, et par l’obtention de reliques de saint Aubain quelques années plus tard, en l‘an 1055.

Diacre Michel Houyoux

Vidéo KTO TV  cliquez ici  → https://youtu.be/oUfXZ9kWn4w

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Twaalfde zondag in de gewone tijd – Jaar B

Posté par diaconos le 22 juin 2024

 https://www.opkijken.nl/wp-content/uploads/2016/12/GODS-TROUW.jpg

Waarom ben je zo bang ?

Etymologisch gezien betekent geloof vertrouwen hebben in iets of iemand1. In het algemeen betekent het dat je bepaalde gebeurtenissen als authentiek beschouwt. In de religieuze sfeer leidt geloof vaak tot toewijding en gedrag dat deze overtuiging moet weerspiegelen. Geloof is de voorwaarde voor elke religie en de motivatie voor haar beoefening. In een context van secularisatie heeft geloof vaak de betekenis gekregen van eenvoudig vertrouwen. Veel auteurs geloven bijvoorbeeld dat het almachtige geloof dat in het evangelie wordt genoemd gewoon een kwestie is van vertrouwen in het leven, niet van vertrouwen in God als onderdeel van een religie. Voor klassieke Latijnse auteurs had het woord fides geen religieuze connotaties; het kwam uit de seculiere woordenschat en riep het eenvoudige vertrouwen op dat men in iemand kan hebben of, zoals een recente analyse het voorstelt, de deugd van morele en burgerlijke betrouwbaarheid.

De term geloof verwijst (door metonymie) naar wat men gelooft, dat wil zeggen, naar het object van een geloof. Het filosofische concept van geloof maakt deel uit van de kennistheorie. Overtuigingen, of ze nu religieus, bijgelovig of anderszins zijn, zijn ook een studieobject in de culturele antropologie. Aangezien wetenschap geen geloof is, maar een verzameling geverifieerde, gedeelde en aangepaste kennis, kan het niet worden geclassificeerd als geloof. In het boeddhisme verwijst geloof naar een serene toewijding aan de beoefening van de leer van de Boeddha en vertrouwen in verlichte of hoogontwikkelde wezens zoals boeddha’s of bodhisattva’s (zij die ernaar streven boeddha’s te worden).

Boeddhisten erkennen over het algemeen verschillende objecten van geloof, maar velen richten zich op één in het bijzonder, zoals een specifieke Boeddha. Geloof is niet beperkt tot toewijding aan één persoon, maar is gekoppeld aan boeddhistische concepten zoals de werkzaamheid van karma en de mogelijkheid om verlichting (bodhi) te bereiken. Overtuigingen, of ze nu religieus, bijgelovig of anderszins zijn, zijn ook het onderwerp van studie in de culturele antropologie. Wetenschap is geen geloof, maar een verzameling geverifieerde, gedeelde en aangepaste kennis en kan daarom niet als geloof worden geclassificeerd.

In het boeddhisme verwijst geloof naar een serene toewijding aan de beoefening van de leer van de Boeddha en vertrouwen in verlichte of hoogontwikkelde wezens, zoals boeddha’s of bodhisattva’s (zij die ernaar streven boeddha’s te worden. 

Boeddhisten erkennen over het algemeen verschillende objecten van geloof, maar velen richten zich op één in het bijzonder, zoals een specifieke Boeddha. Geloof is niet beperkt tot toewijding aan één persoon, maar is verbonden met boeddhistische concepten zoals de werkzaamheid van karma en de mogelijkheid om verlichting te bereiken. (bodhi).

Uit het Evangelie van Jezus Christus volgens Marcus

Jezus had de hele dag tot de menigte gesproken. Toen het avond werd, zei Jezus tegen zijn discipelen :  » Laten we naar de overkant gaan. Ze lieten de menigte achter en zetten Jezus, zoals hij was, in de boot en andere boten vergezelden hem. «  Er stak een hevige storm op. De golven beuken tegen de boot, die al volloopt. Hij sliep op het kussen in het achterschip. De discipelen maakten hem wakker en zeiden : « Meester, we zijn verdwaald ; kan het U niets schelen ? »

Hij werd wakker, dreigde met de wind en zei tegen de zee : « Stilte, stilte ! » De wind ging liggen en er heerste een grote rust. Jezus zei tegen hen : « Waarom zijn jullie zo bang? Hebben jullie nog steeds geen geloof? Ze waren erg bang en zeiden tegen elkaar: « Wie is deze man, dat de wind en de zee hem gehoorzamen? » (Mc 4, 35-41).

Trouw blijven aan Jezus

Heer, dank u dat u ons uw evangelie hebt nagelaten. Dank U dat U ons deze vier verhalen over Uw leven hebt nagelaten waarin we Uw stappen en Uw daden kunnen volgen, naar Uw Woord kunnen luisteren en U kunnen leren kennen en liefhebben. Stuur mij uw Geest, zodat ik met heel mijn wezen naar u kan luisteren. Maak van mij een goede aarde, maak mij trouw aan het lezen van uw Woord. Heer, meester van alle dingen, aan wie zelfs de wind en de zee gehoorzamen, u hebt mijn hart geschapen en mij het geschenk van het leven gegeven. Aanvaard het offer van mijn hart en leven.

Bewaak mij, leid mij, opdat ik voor altijd de Uwe zal zijn! « Meester, we zijn verloren; geeft U er niet om ? Vandaag, in deze stormachtige tijden, daagt het evangelie ons uit. In de 20e eeuw en aan het begin van de 21e eeuw heeft de mensheid tragedies meegemaakt die, als gewelddadige golven, mensen en volkeren hebben overweldigd.


Soms vragen onze zielen ons : « Meester, wij zijn verloren, geeft U er dan niets om? » (Mc 4, 38) Als U echt bestaat, als U echt Vader bent, waarom dan deze catastrofes Herinnerend aan de verschrikkingen van de concentratiekampen van de Tweede Wereldoorlog, vroeg Paus Benedictus: « Waar was God in die dagen? Waarom was Hij stil? Hoe kon Hij zo’n vernietiging tolereren ? 
Israël stelde deze vragen al in het Oude Testament : « Waarom slaapt U, waarom verbergt U Uw aangezicht voor ons en vergeet U onze ellende? » (Ps 44:24-25). God zal deze vragen niet beantwoorden :we kunnen Hem alles vragen behalve waarom.

 We hebben niet het recht om hem daarop aan te spreken. In werkelijkheid is God er en spreekt hij. Wij zijn het die niet in zijn aanwezigheid zijn en zijn stem niet horen : « Wij kunnen niet in Gods geheim kijken. We zien slechts fragmenten en we oordelen verkeerd over God en de geschiedenis. Wij verdedigen de mens niet, maar dragen alleen bij aan zijn vernietiging ». (Benedictus XVI) Het punt is niet of God bestaat of niet. Het punt is dat velen leven alsof God niet bestaat. En dit is Gods antwoord : « Waarom zijn jullie bang ? Waarom hebben jullie geen geloof ? » (Mc 4, 40) Dit is wat Jezus tegen zijn apostelen zei en dit is wat hij tegen de heilige Faustina Kowalska zei : « Mijn dochter, wees nergens bang voor; Ik ben altijd bij je, ook al lijkt het alsof je dat niet bent. »

Laten we niet aan Hem twijfelen. Laten we bidden en Zijn wil respecteren. Dan zal er minder drama zijn en zullen we verbaasd zijn als we uitroepen : « Wie is dat die Hem gehoorzaamt, zelfs de wind en de zee? » (Mc 4, 41). Jezus, ik vertrouw op jou. Heer, leer mij mijn hart tot rust te brengen om uw stem te kunnen horen ! Uw voorzienigheid is aanwezig in heel mijn leven, in de belangrijke keuzes die ik maak en in de kleine details. Uw voorzienigheid omringt me met liefde en tederheid, zelfs wanneer de omstandigheden moeilijk zijn en U afwezig lijkt.

Ja, Heer, ik geloof. Vergroot het vertrouwen dat ik in U heb, versterk het ! Laten we besluiten om in de loop van de dag één of meerdere keren een daad van geloof te stellen. Laten we ons tot Jezus wenden : « Jezus, ik vertrouw op u, mijn Heer en mijn God !

Diaken Michel Houyoux

Links naar andere christelijke sites

Kinderwoorddienste : klik hier om het azrtikel te lezen → Twaalfde zondag door het jaar B

Heilige Thomas- Herenthas : klik hier om de krant te lezen → twaalfde zondag door het jaar B

Video  Robert Bezemer : klik hier → https://youtu.be/qfvE18c2ZFw

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Vendredi de la onzième semaine du Temps Ordinaire – Année Paire

Posté par diaconos le 21 juin 2024

"Traduisant la Parabole de la Lampe sous le Boisseau - Laissez Briller ...

# La Lampe est une parabole donnée par Jésus-Christ. Elle est citée dans trois Évangiles. Elle est l’image des humains qui doivent être les lumières du monde en suivant les vertus. Pour Jean Chrysostome, la lumière chasse les ténèbres du mal. Elle éclaire le chemin, elle chasse les erreurs. Être la lumière, éclairer la maison, c’est œuvrer en suivant la fraternité afin de montrer la voie à suivre.

Pour le Frère Élie, la lumière rejoint la flamme de l’Esprit Saint reçue lors du baptême. Elle doit nous guider à faire œuvre de charité tout au long de notre vie, et à parler de la Bonne Nouvelle venue illuminer le monde .

Benoît XVI cita le psaume 119, verset 105 : «Ta parole est une lampe à mes pieds, Et une lumière sur mon sentie» (Ps 119), et le livre du prophète Isaïe, chapitre 58, verset 10 : «Si tu donnes ta propre subsistance à celui qui a faim, Si tu rassasies l’âme indigente, Ta lumière se lèvera sur l’obscurité, Et tes ténèbres seront comme le midi» (Is 58).

Cette parabole biblique est à l’origine de l’expression française « mettre sous le boisseau », passée dans le langage courant malgré l’emploi du mot « boisseau » qui désigne une mesure aujourd’hui obsolète.

De l’Évangile de Jésus Christ selon Matthieu

En ce temps-là, Jésus disait à ses disciples :     « Ne vous faites pas de trésors sur la terre, là où les mites et les vers les dévorent, où les voleurs percent les murs pour voler. Mais faites-vous des trésors dans le ciel, là où il n’y a pas de mites ni de vers qui dévorent, pas de voleurs qui percent les murs pour voler.  Car là où est ton trésor, là aussi sera ton cœur.

La lampe du corps, c’est l’œil. Donc, si ton œil est limpide, ton corps tout entier sera dans la lumière ; mais si ton œil est mauvais, ton corps tout entier sera dans les ténèbres. Si donc la lumière qui est en toi est ténèbres, comme elles seront grandes, les ténèbres ! » Mt 6, 19-23)

Prenez donc garde de quelle manière vous écoutez

«Prenez donc garde de quelle manière vous écoutez ; car quiconque a, il lui sera donné ; et quiconque n’a pas, même ce qu’il croit avoir lui sera ôté.». Marc, aussi bien que Luc, placèrent ces avertissements à la suite de la parabole du semeur et les mots : «Prenez garde comment vous écoutez» 

Il ne laissèrent aucun doute sur le rapport qu’il y eut entre ces deux instructions. (Lc 8, 18) La lumière que Jésus apporta à ses disciples par ses enseignements ne dut pas être mise sous un vase, ni sous un divan sur lequel on se couchait à demi pour prendre le repas, mais doit resplendir dans le monde.

Jésus employa fréquemment cette image dans des applications diverses. Ici, comme dans Marc, cette sentence, qui énonce une loi du règne de Dieu, signifie que celui qui écoute attentivement a déjà un don précieux et que, par la vérité qu’il reçoit, il lui est donné beaucoup plus encore ; et plus il sera fidèle dans l’emploi de ce qui lui est confié, plus il lui sera donné.

Celui, au contraire qui n’a pas même le besoin de la vérité et de la vie, ce qu’il peut avoir d’ailleurs lui sera ôté.» Dans cet état, il se fait bien des illusions ; c’est ce que Luc donna à entendre par ce mot : «… ce qu’il croit avoir»

Diacre Michel Houyoux

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◊ KT42 : cliquez ici pour lire l’article → Caté : La parabole de la lampe

◊ Prédications -Europe : cliquez ici pour lire l’article → Vendredi de la 11e semaine, année paire

Vidéo Paraboles du Royaume → https://youtu.be/R3ZBSs2K_oM

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