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Jeudi dela vingt-troisième semaine du Temps Ordinaire — Année Paire

Posté par diaconos le 12 septembre 2024

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                      # L’amour désigne un sentiment intense d’affection et d’attachement envers un être vivant ou une chose qui pousse ceux qui le ressentent à rechercher une proximité physique, intellectuelle ou même imaginaire avec l’objet de cet amour. L’amour éprouvé pour une autre personne peut conduire à adopter un comportement particulier et aboutir à une relation amoureuse si cet amour est partagé. En tant que concept général, l’amour renvoie la plupart du temps à un profond sentiment de tendresse et d’empathie envers une personne.

Toutefois, même cette conception spécifique de l’amour comprend un large éventail de sentiments différents, allant de la passion amoureuse et de l’amour romantique, à la tendre proximité sans sexualité de l’amour familial ou de l’amour platonique et à la dévotion spirituelle de l’amour religieux. L’amour sous ses diverses formes agit comme un facteur majeur dans les relations sociales et occupe une place centrale dans la psychologie humaine, ce qui en fait également l’un des thèmes les plus courants dans l’art.

Aimer renvoie à une grande variété de sentiments, d’états et de comportements, allant d’un plaisir général lié à un objet ou à une activité ; j’aime le chocolat, j’aime danser à une attirance profonde ou intense pour une personne ou plusieurs personnes. Cette diversité d’emplois et de significations du mot le rend difficile à définir de façon unie et universelle, même en le comparant à d’autres états émotionnels. Le terme amour recouvre quatre sentiments distincts de la Grèce antique : l’éros, la philia, l’agapè et la storgê..

La storgê est l’amour entre parent et enfant, particulièrement l’amour mère-enfant. La philia se rapproche de l’amitié telle qu’on l’entend aujourd’hui, c’est une forte estime réciproque entre deux personnes de statuts sociaux proches, qui mène aussi à l’entraide. Elle ne pouvait exister à l’époque qu’entre deux personnes du même sexe, du fait de l’inégalité entre les sexes. L’agapè est l’amour du prochain proche de l’altruisme aujourd’hui, le don désintéressé. Il se caractérise par sa spontanéité, ce n’est pas un acte réfléchi ou une forme de politesse, mais une réelle empathie pour les autres qu’ils soient inconnus ou intimes.

Dans la tradition chrétienne des pères de l’Église, ce mot est assimilé au concept de charité, bien que celui-ci soit plus proche d’une relation matérielle établie avec des personnes en souffrance. L’agapè originelle ne revêt pas cette connotation morale de responsabilité devant une autorité divine. L’éros, lui, est l’amour au sens d’être amoureux, l’amour des poètes pour ainsi dire.

De l’Évangile selon Luc

En ce temps-là, dis, à vous qui m’écoutez : Aimez vos ennemis, faites du bien à ceux qui vous haïssent. Souhaitez du bien à ceux qui vous maudissent, priez pour ceux qui vous calomnient. celui qui te frappe sur une joue, présente l’autre joue. Donne à quiconque te demande,  et à qui prend ton bien, ne le réclame pas. Ce que vous voulez que les autres fassent pour vous, faites-le aussi pour eux. Si vous aimez ceux qui vous aiment, quelle reconnaissance méritez-vous ? Même les pécheurs aiment ceux qui les aiment.

Faites du bien à ceux qui vous haïssent. Souhaitez du bien à ceux qui vous maudissent, priez pour ceux qui vous calomnient. À celui qui te frappe sur une joue, présente l’autre joue. S’il te prend ton manteau. ne refuse pas ta tunique.   Donne à quiconque te demande, et à qui prend ton bien, ne le réclame pas.  Ce que vous voulez que les autres fassent pour vous, faites-le aussi pour eux. Si vous prêtez à ceux dont vous espérez recevoir en retour,

Si vous aimez ceux qui vous aiment, Si vous aimez ceux qui vous aiment, quelle reconnaissance méritez-vous ? Même les pécheurs aiment ceux qui les aiment.  Si vous faites du bien à ceux qui vous quelle reconnaissance méritez-vous ?Même les pécheurs en font autant. Au contraire, aimez vos ennemis, faites du bien et prêtez sans rien espérer en retour. Alors votre récompense sera grande, et vous serez les fils du Très-Haut, Soyez miséricordieux comme votre Père est miséricordieux.

Ne jugez pas, et vous ne serez pas jugés ; ne condamnez pas, et vous ne serez pas condamnés. Pardonnez, et vous serez pardonnés. Donnez, et on vous donnera : c’est une mesure bien pleine, tassée, secouée, débordante, qui sera versée dans le pan de votre vêtement ; car la mesure dont vous vous servez pour les autres servira de mesure aussi pour vous. » (Lc 6,27-38)

Aimer ceux qui nous haïssent

Jésus annonça à ses disciples qu’ils seront haïs et outragés, puis il prononça des malédictions sur le monde ennemi de Dieu. Ses auditeurs conclurent qu’il leur était permis de haïr leurs ennemis. Jésus, en se tournant vers eux, prévint leur pensée par ces mots : «Mais je vous dis, à vous qui écoutez.» Il revint, des riches absents, à ses auditeurs réels. Certaines personnes ces mots : vous qui écouter dans un sens moral : vous qui êtes dociles à mes enseignements. Ce sens est moins simple.

Jésus énonça ce précepte profond qui dépasse les forces de l’homme naturel : aimer ceux qui nous haïssent. Ce commandement de l’amour, qui ne peut être accompli que sous la loi nouvelle de l’Évangile, est motivé d’une manière différente dans Matthieu, où il se trouve directement opposé à l’esprit de la loi ancienne et rattaché à l’amour des enfants de Dieu pour leur Père céleste. Dans l’évangile selon Matthieu, Jésus nomma ces deux vêtements dans l’ordre inverse : si quelqu’un veut t’ôter la tunique, laisse-lui aussi le manteau. Il supposa un créancier qui saisit la tunique, de moindre valeur, puis, s’il ne fut pas assez payé, réclama le manteau.

«Et si vous prêtez à ceux de qui vous espérez recevoir, quel gré vous en aura-t-on ? Les pécheurs aussi prêtent aux pécheurs, afin de recevoir la pareille.» (Lc 6, 34) Aimer, faire le bien, prêter, sans rien espérer, c’est agir dans l’esprit et l’amour de Dieu lui-même, c’est prouver à nous-mêmes et aux autres que nous sommes ses enfants. Tel est l’exemple divin que Jésus proposa pour nos rapports avec les ingrats et les méchants. Jésus proposa à ses disciples.Le but vers lequel ils devaient tendre constamment en étant miséricordieux comme lui ; et ce sera là leur grande récompense.

Matthieu termina la première partie de son discours par une pensée analogue, mais exprimée en termes différents : «Soyez donc parfaits, comme votre Père céleste est parfait». Il donna pour preuve de cette miséricorde de Dieu égale pour tous qu’il fait lever son soleil et répand les pluies du ciel sur tous indistinctement. La récompense promise à l’accomplissement de ces devoirs, c’est de n’être pas jugés, condamnés mais absous par Dieu lui-même. La mesure de son jugement est puisée dans le cœur de chaque personne. Cet esprit miséricordieux est toujours disposé à donner ; et par là même il s’attire, de la part de Dieu, les plus riches dons de sa grâce.

Diacre Michel Houyoux

Liens avec d’autres sites web chrétiens

Radio Don Bosco – Fandraisana : cliquez ici Vingt-troisième Semaine du Temps Ordinaire

Regnum Christi cliquez ici pour lire l’article →Aimez vos ennemis, faites du bien à ceux qui vous haïssent

 Vidéo Se convertir : cliquez ici → https://youtu.be/MzBSiEZI7Ko

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Vierundzwanzigster Sonntag der Ordinariuszeit – JahrB

Posté par diaconos le 12 septembre 2024

Jesus, ein Jude aus Nazareth - "Ganz einer von uns"

# Der Menschensohn ist eine eschatologische Figur, die in den apokalyptischen Kreisen des Judentums seit der nachexilischen Zeit gebräuchlich ist. Der Ausdruck taucht insbesondere im Buch Daniel auf. In den Evangelien ist es der Titel, den Jesus am häufigsten verwendet, wenn er von sich selbst spricht. Der Ausdruck selbst ist eine wörtliche Übersetzung des griechischen uios tou anthrôpou, ein Abziehbild des aramäischen bar nasha, Wörter, die zur Zeit Jesu als sprachlicher Ersatz für „Mensch“ verwendet wurden.

Die Interpretationen, zu denen es im Christentum geführt hat, haben die ursprüngliche Bedeutung auf die Menschlichkeit Jesu verlagert. Das älteste Zeugnis stammt aus dem siebten Kapitel des Buches Daniel aus der Zeit der Verfolgung durch Antiochos Epiphanes, kurz vor dem Makkabäeraufstand (ca. 160 v. Chr.). Im Neuen Testament gibt es mehr als achtzig Stellen, an denen sich Jesus von Nazareth selbst als „Menschensohn“ bezeichnet. Diesen Titel verwendete er am häufigsten, wenn er von sich selbst sprach. Er stellte sich selbst als den zukünftigen eschatologischen Richter dar.

# Kenosis ist ein Begriff der christlichen Theologie, der durch ein griechisches Wort ausgedrückt wird, κένωσις, „Handlung der Entleerung, des Abstreifens aller Dinge“; die Bedeutung dieses Begriffs im Christentum wird durch den Brief des Paulus an die Philipper (Phil 2,6) erhellt.Dieser Begriff hat zahlreiche Entwicklungen einer Theologie ausgelöst, die die Erniedrigung Gottes stark betont. Aus Liebe entäußert sich Gott seiner anderen göttlichen Attribute wie Allmacht, Herrlichkeit, Unberührtheit, Vollkommenheit, Selbstgenügsamkeit und die Vorsehung, die die Welt regiert.

Die Theologie der Kenosis geht das Geheimnis des Bösen an, indem sie behauptet, dass es zuerst Gott ist, der leidet, und nicht der Mensch : „Aber nein, Gott lässt das Böse niemals zu, er leidet darunter, er stirbt daran, er ist zuerst das Opfer“.Die Theologie der Kenosis wird von den Kirchenvätern formalisiert und ist Teil der christologischen Debatten der ersten Konzilien. So erreicht die Kenosis nicht die göttliche Natur Christi, sondern nur seine Menschlichkeit.

Für Paulus von Tarsus besagt die Theologie der Kenosis, dass die Inkarnation des Wortes einem Verzicht auf die üblichen göttlichen Privilegien entspricht : Gott ist nur Liebe und die Attribute Gottes sind nur die Attribute der Liebe.Für Moltmann ist ein Gott, der nur allmächtig ist, ein unvollkommenes Wesen. # Der Name „Satan“ taucht zuerst in der hebräischen Bibel auf. Für Daniel E. Gershenson gibt es eine starke Möglichkeit, dass der Name „Satan“ aus dem Griechischen stammt und seine Etymologie wäre „der, der im Himmel wohnt“.

In der christlichen Tradition wird Satan im Buch Hiob und in den Evangelien von Jesus erwähnt, der ihn als „Fürst dieser Welt“ bezeichnet. Er wird mit dem Anführer der gefallenen Engel identifiziert. Diese Auffassung stützt sich auf die biblischen Schriften: Der rebellische Engel war nach Jesaja und Ezechiel im Alten Testament und Petrus und Judas im Neuen Testament gefallen.Nach der Lehre des Katechismus der römisch-katholischen Kirche wurden alle Engel von Gott erschaffen, um gut zu sein, aber einige wurden böse und wandten sich gegen ihren Schöpfer.

 Nach der Lehre des Katechismus der römisch-katholischen Kirche wurden alle Engel von Gott geschaffen, um gut zu sein, aber einige wurden böse und wandten sich gegen ihren Schöpfer. Da die Engel den Glauben nicht benötigen, da sie bereits das Wissen über alle himmlischen Dinge besitzen, stellt ihre Rebellion gegen Gott. Für diejenigen, die es sagen, also die Menschen, die es schreiben, eine unverzeihliche Tat dar, nämlich dass der Verrat am Ewigen auch ein Verrat an der Zeit ist. Es ist ein tödlicher Fall, ein fataler Irrtum.

 Matthäus bezeichnete diese Rebellion als eine unverzeihliche Sünde in diesem oder einem zukünftigen Zeitalter. Satan wird auch mit der Schlange aus dem Buch Genesis identifiziert.

Aus dem Evangelium Jesu Christi nach Markus

In jener Zeit ging Jesus mit seinen Jüngern in die Dörfer in der Umgebung von Cäsarea-Philippi. Unterwegs befragte er seine Jünger : „Nach dem, was die Leute sagen, wer bin ich ?“ Sie antwo rteten ihm : „Johannes der Täufer; für einige ist es Elija; für andere ein Prophet. Er aber fragte sie : „Und was sagt ihr ? Wer bin ich für euch ? Petrus antwortete und sprach ihm : Du bist der Christus.“

Da verbot er ihnen aufs schärfste, mit irgendjemandem von ihm zu reden. Er fing an, sie zu lehren, dass der Menschensohn viel leiden müsse, dass er von den Ältesten, den Hohenpriestern und den Schriftgelehrten verworfen werden müsse, dass er getötet werden müsse und dass er nach drei Tagen auferstehen müsse. Jesus sprach dieses Wort offen aus. Petrus nahm ihn beiseite und begann, ihm heftige Vorwürfe zu machen. Jesus aber drehte sich um und als er seine Jünger sah, rief er Petrus scharf zu: „Geh hinter mich, Satan! Deine Gedanken sind nicht die Gedanken Gottes, sondern die der Menschen“.

Er rief die Menge mit seinen Jüngern zusammen und sagte zu ihnen : „Wenn jemand mir nachfolgen will, der verleugne sich selbst, nehme sein Kreuz auf sich und folge mir nach. Denn wer sein Leben retten will wird es verlieren ; wer aber sein Leben verliert um meinetwillen und um des Evangeliums willen, der wird es retten.“ (Mk 8,27-35)

Die Jünger glaubten an Jesus

Als die Jünger an Jesus glaubten und ihn als den Christus, den Sohn Gottes, bekannten, konnte er offen mit ihnen darüber reden, ja er tat es sogar, um die falschen messianischen Vorstellungen, die sie noch hatten, möglichst in ihren Köpfen zu zerstreuen und sie darauf vorzubereiten, seine Demütigungen und Schmerzen mit ihm zu teilen.  Markus (Mk 8,31) und Lukas (Lk 9,20-22) brachten diese Vorhersage ebenfalls in einen direkten Zusammenhang mit dem Bekenntnis des Petrus. Markus fügte hinzu, dass er dieses Wort kühn zu ihnen sagte.

Wenn der wahre Glaube geboren ist, muss der Christ mit Widerspruch und Leiden rechnen.Was Jesus betrifft, so war es notwendig, sagte er. Eine mysteriöse Notwendigkeit, die auf dem in der Heiligen Schrift verkündeten Dekret der Gerechtigkeit und Barmherzigkeit Gottes beruht. Es musste sein, sonst hätte die Welt in ihrer Sünde zugrunde gehen müssen. Das wollte Gott nicht, und Jesus akzeptiert aus Liebe den Willen seines Vaters : „Und wie Mose in der Wüste die Schlange erhöht hat, so muss auch der Menschensohn erhöht werden, damit jeder, der an ihn glaubt, das ewige Leben hat“. (Joh 3,14)

Der Sanhedrin bestand aus drei Klassen von Männern: den Ältesten, den Hohenpriestern und den Schriftgelehrten oder Gesetzeslehrern. Es hatte etwas Feierliches an sich, als Jesus sie im Einzelnen nannte und sah, wie sie sich gegen ihn verschworen hatten, um ihn zu töten.  Das war der tragische Bruch der Theokratie mit dem Messias und seiner Herrschaft. Nach der Niederlage kommt der Triumph, nach dem Tod das Leben ! Wenn eine dieser Vorhersagen die Jünger überwältigte, war die andere dazu bestimmt, sie wieder aufzurichten.

Aber hier fand die Kritik einen Stein des Anstoßes, und man konnte nicht leugnen, dass es eine Schwierigkeit gab. Da sie die Frage nicht lösen konnten, zogen einige die Vorhersage in Zweifel, andere, wie z.B. Meyer, nahmen an, dass die Vorhersage vage und unklar gewesen sei.Haben die Evangelisten selbst uns nicht des Rätsels Lösunggegeben ? Noch voll von ihrem jüdischen Vorurteil über einen glorreichen Messias, verstanden sie absolut nichts von der Vorhersage seiner Leiden und seiner Auferstehung.

„Aber sie verstanden nichts davon; es war ihnen eine verborgene Sprache, Worte, deren Sinn sie nicht begriffen.“ (Lk 18,34) Das Beispiel des Petrus bewies, dass er die Worte Jesu zwar besser hörte, sich aber entschieden weigerte, in seine Gedanken einzutauchen. Wie hätte ihnen also ein so außergewöhnliches Ereignis wie die Auferstehung nicht unglaublich erscheinen können ? Und selbst wenn es ihnen nicht so sehr am Verständnis dieses Geheimnisses gefehlt hätte, bestand dann nicht eine riesige Distanz zwischen Verstehen und Glauben ?

 Die Zurechtweisung, die Petrus sich erlaubte, hatte wohl den Zweck, Jesus davon zu überzeugen, dass er für etwas ganz anderes bestimmt war als für ein solches Ende. In dieser Gefühlsregung des Petrus lag Liebe zu Jesus, aber mehr Unwissenheit, selbst als er auf ihn Barmherzigkeit herabrief.Die Zuversicht, mit der Petrus behauptete, dass dies nicht geschehen werde, brachte ihm das strenge Wort Jesu ein : „Geh weg von mir, Satan, du bist mir ein Ärgernis, weil du nicht das meinst, was von Gott ist, sondern das, was von Menschen ist.“

Jesus wandte sich empört ab. Mit diesem strengen Wort : „Geh, weiche von mir!“ meint Satan den Widersacher, den, der Widerstand leistet ; aber dieser Name wurde gewöhnlich dem Teufel gegeben, und Jesus, indem er Petrus so nannte, wollte ihm zu verstehen geben, dass er in diesem Augenblick das Werk des Versuchers tat. Was dies bewies, war der Skandal, den Jesus in den Worten des Petrus fand. Jesus brauchte seinen ganzen heiligen Entschluss und seine ganze Kraft, um seinen Leiden entgegenzugehen. Petrus führte ihn in die gleiche Versuchung wie Satan in der Wüste, indem er ihm die Reiche der Welt und ihre Herrlichkeit anbot : „Wiederum führte ihn der Teufel auf einen sehr hohen Berg, zeigte ihm alle Reiche der Welt und ihre Herrlichkeit und sprach zu ihm : Das alles will ich dir geben, wenn du niederfällst und mich anbetest.“ (Mt 4,8-9)

Petrus heftete seine Gedanken nicht an seine großen Pläne bezüglich der Erlösung der Welt durch die Leiden des Mittlers, sondern an die fleischlichen Vorstellungen von einem herrlichen Messias.
Aber diese Worte, die auf alle Zeiten anwendbar sind, haben eine viel allgemeinere Bedeutung. Wer ist der, der sich den Menschen als das höchste Objekt ihrer Liebe vorstellt, dem sie alles, sogar ihr Leben, opfern müssen ? Derjenige, der so spricht, ist Gott, oder er lästert, indem er sich an die Stelle Gottes setzt.

Diakon Michel Houyoux

Links zu anderen christlichen sites

Bistum Mainz : Klicken Sie hier, um den Artikel zu lesen → Gottesdienst 24. Sonntag im Jahreskreis (Lesejahr B)

 ◊  EGW Writings : Hier klicken, um den Artikel zu lesen →Er offenbarte seine Herrlichkeit und seine Jünger glaubten an ihn

◊   Video God New Evidence : hier klicken → https://youtu.be/6UBsD_HTq1c

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