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Mercredi de la vingt-sixième semaine du Temps Ordinaire – Année Paire

Posté par diaconos le 2 octobre 2024

L'Evangile du 02/10/19 : « Leurs anges voient la face de mon Père aux ...

 De l’Évangile de Jésus Christ selon Matthieu

À ce moment là, les disciples s’approchèrent de Jésus et lui dirent : « Qui donc est le plus grand  dans le royaume des Cieux ? »   Alors Jésus appela un petit enfant ; et il déclara : «Amen, je vous le dis : si vous ne changez pas vous n’entrerez pas dans le royaume des Cieux. Mais celui qui se fera petit comme cet enfant, celui-là est le plus grand dans le royaume des Cieux. Et celui qui accueille un enfant comme celui-ci en mon nom, il m’accueille, moi. »                                                              .

 Il ajouta : « Gardez-vous de mépriser un seul de ces petits, car, je vous le dis, leurs anges dans les cieux  voient sans cesse la face de mon Père qui est aux cieux. » (Mt 18, 1-5.10)                                                                                                                     

De l’esprit du royaume des cieux

D’a­près Marc et Luc, ils dis­cu­tèrent entre eux la ques­tion :   Qui donc est le plus grand dans le royaume des Cieux ? » et c’est Jé­sus qui leur de­manda le su­jet de leur en­tre­tien. La ques­tion sup­pose que les dis­ciples en étaient en­core à l’i­dée d’un royaume ter­restre, glo­rieux, dans le­quel tels d’entre eux oc­cu­pe­raient la pre­mière place, se­raient plus grands  que les autres.

Mais la ré­ponse de Jé­sus montra qu’il vit se ma­ni­fes­ter dans leur dis­cus­sion une pré­oc­cu­pa­tion égoïste et or­gueilleuse. Les dis­ciples n’en furent pas gué­ris par l’ins­truc­tion de Jésus. Le trait saillant que Jé­sus re­leva dans le petit enfant qu’il pro­posa en exemple, ce fut l’­hu­mi­lité : « Ce­lui qui s’humiliera le plus, sera le plus grand. »

Ce qui fit le charme du pe­tit en­fant, ce fut le sen­ti­ment qu’il eut de sa fai­blesse, de sa dé­pen­dance ; ce fut en­core la confiance avec la­quelle il re­garda à sa mère et attendit  tout d’elle, l’é­couta, l’in­ter­rogea, la crut, l’aima. Les dis­po­si­tions na­tu­relles de l’­homme sont tout l’in­verse, soit à l’é­gard de Dieu, soit en­vers le pro­chain. Pour re­de­ve­nir mo­ra­le­ment sem­blable au pe­tit en­fant, il faut qu’il se retourna vers Dieu et fut rendu par­ti­ci­pant de son Es­prit.

Si­non, il s’ex­clut du royaume des cieux non seule­ment dans sa réa­li­sation fu­ture et glo­rieuse, mais déjà dans sa ma­ni­fes­ta­tion ac­tuelle, et cela à cause de la na­ture même de ce royaume.

La réponse de Jésus fut : « En vérité, en vérité, je te le dis, si un homme ne naît de nouveau, il ne peut voir le royaume de Dieu. Nicodème lui dit: Comment un homme peut-il naître quand il est vieux ? Peut-il rentrer dans le sein de sa mère et naître ? Jésus répondit: En vérité, en vérité, je te le dis, si un homme ne naît d’eau et d’Esprit, il ne peut entrer dans le royaume de Dieu. » (Jn 3, 3-5)

Jé­sus a ré­pondu à la ques­tion des dis­ciples. Mais Il voulut ti­rer de sa le­çon une consé­quence qui en dé­coula né­ces­sai­re­ment. Il est im­pos­sible d’être de­venu humble et pe­tit de­vant Dieu sans être ému de com­pas­sion et d’a­mour pour les pe­tits et les humbles, que les am­bi­tieux mé­prisent. Jé­sus lui-même les aima au point de s’identifier avec eux.

Ainsi recevoir avec amour, pro­té­ger, soi­gner un seul de ces pe­tits, c’est le re­ce­voir lui-même, pourvu que cela ait lieu en son nom, par amour pour lui :  « Le roi leur répondra : Je vous le dis en vérité, toutes les fois que vous avez fait ces choses à l’un de ces plus petits de mes frères, c’est à moi que vous les avez faites. » (Mit 25, 40)

La pen­sée de Jé­sus se borna-t-elle ici aux pe­tits en­fants, ainsi re­com­man­dés à la cha­rité de ses dis­ciples, ou cette pen­sée se gé­né­ra­lisa-t-elle pour em­bras­ser aussi les adultes humbles, pe­tits, dé­lais­sés ? Les exé­gètes se di­visèrent sur cette ques­tion. Mais pour­quoi ? N’est-il pas dans la na­ture de la cha­rité que Jé­sus re­com­mande de s’é­tendre à tous ? Le contexte d’ailleurs ne laisse au­cun doute à cet égard.

Jé­sus re­vint à son dis­cours sur les petits, qu’il dé­fendit non seule­ment de scan­da­li­ser, mais de mépriser par or­gueil ; les es­ti­mer, les ai­mer, avoir pour eux une tendre com­pas­sion, fut le coté po­si­tif de ce pré­cepte né­ga­tif.n,,é­sus donna comme mo­tif de sa re­com­man­da­tion une pa­role sur la­quelle on dis­cuta lon­gue­ment. Les uns, symbolisant la pen­sée, la ré­duisirent à si­gni­fier que ces petits qu’il ne faut pas mé­pri­ser sont pré­cieux aux yeux du Père céleste, qui en prend un soin par­ti­cu­lier.

Jé­sus donna comme mo­tif de sa re­com­man­da­tion une pa­role sur la­quelle on dis­cuta lon­gue­ment. Les uns, symbolisant la pen­sée, la ré­duisirent à si­gni­fier que ces petits qu’il ne faut pas mé­pri­ser sont pré­cieux aux yeux du Père céleste, qui en prend un soin par­ti­cu­lier. Cette pen­sée, vraie dans sa gé­né­ra­lité, ne sau­rait suf­fire à l’exé­gèse qui ne doit ja­mais ef­fa­cer, dans un in­té­rêt dog­ma­tique, l’i­dée ex­pri­mée en un texte.

Diacre Michel Houyoux

Liens avec d’autres sites chrétiens

◊ hozana.org : cliquez ici pour lire l’article → « Leurs anges dans les cieux voient sans cesse la face de mon Père

◊ Catholique.org. : cliquez ici pour lire l’article →  Leurs anges voient la face de mon Père – Les méditations 

Vidéo Abbé P-M. GAINCHE : cliquez ici → https://youtu.be/_IvsA9RQs3s

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Ventisettesima domenica del Tempo Ordinario – Anno B

Posté par diaconos le 2 octobre 2024

Mater Verbi on X: "Venerdì 17 agosto 2018 + VANGELO (Mt 19,3-12): «È lecito  a un uomo ripudiare la propria moglie per qualsiasi motivo?». Egli rispose:  «Non avete letto che il Creatore

Il divorzio è la rottura ufficiale di un matrimonio civile o religioso tra due persone, o tra più persone nel caso della poligamia. In diritto si distingue dalla separazione di fatto, che non ha conseguenze legali, e dalla separazione legale, che è legalmente riconosciuta ma lascia il matrimonio intatto. Non va confuso con l’annullamento del matrimonio, che consiste nel dichiarare che il matrimonio non ha mai avuto luogo.

Nell’antica Grecia il divorzio esisteva in forme diverse nelle varie città. Ad Atene poteva essere ottenuto di comune accordo o su iniziativa di uno dei due coniugi. In pratica, la dote fungeva da potente freno : quando il matrimonio veniva sciolto, la moglie riotteneva la sua dote – tranne nei casi di adulterio – con un interesse del 18%. La moglie, dal canto suo, aveva il diritto di chiedere il divorzio da sola, ma il più delle volte la richiesta veniva fatta tramite il suo tutore legale (padre, fratello o qualsiasi altro parente maschio): la richiesta, debitamente motivata, veniva presentata all’arconte, che la esaminava e decideva se concederla o meno. I maltrattamenti erano un motivo valido per la separazione, ma non l’infedeltà del marito.

Nel periodo ellenistico il divorzio diventa più formale : i documenti legali registrano il divorzio e ne stabiliscono le conseguenze. La disposizione più importante riguardava la dote, che veniva restituita all’ex moglie.La donna non aveva mai diritto ad alcuna quota del patrimonio familiare. Anche i Romani praticavano il divorzio. All’inizio il diritto di divorziare era riservato agli uomini, ma ben presto le donne lo ottennero.

Il matrimonio, inizialmente un rito religioso e sociale, si desacralizza come il resto della società romana. Fu codificato nella legge. Alla fine dell’Impero, il divorzio divenne appena formale, perché per ragioni di semplificazione il matrimonio fu assimilato a un contratto.   I single erano ancora svantaggiati dalla leggeNell’Alto Medioevo il matrimonio non era consacrato e i contratti scritti caddero in disuso. Il matrimonio serviva solo a sigillare le alleanze.

Era considerato normale poter rompere un matrimonio. La Chiesa cattolica romana non è molto favorevole al divorzio e considera il matrimonio indissolubile.   Tuttavia, le regole in questo campo si trovano principalmente nelle decisioni dei singoli concili, che spesso si sono occupati solo di casi specifici e hanno dato risposte contraddittorie.

Dal Vangelo di Gesù Cristo secondo Marco

In quel tempo, alcuni farisei si avvicinarono a Gesù e, per metterlo alla prova, gli chiesero : “È lecito a un marito mandare via la moglie ?”. Gesù rispose : Che cosa vi ha comandato Mosè ?”   Gli risposero : “Mosè disse che era lecito per un marito mandare via la moglie, a condizione che redigesse un atto di ripudio”. Gesù rispose : “A causa della durezza dei vostri cuori, egli stabilì per voi questa regola.”

Ma all’inizio della creazione, Dio li fece maschio e femmina. Per questo l’uomo lascerà suo padre e sua madre e si unirà a sua moglie, e i due diventeranno una sola carne. Quindi non sono più due, ma una sola carne.   Ciò che Dio ha congiunto, l’uomo non lo separi”. Quando i discepoli tornarono a casa, gli chiesero ancora di questo. Egli disse loro “Chiunque manda via la propria moglie e ne sposa un’altra, commette adulterio con lei. Se una donna che ha mandato via il marito ne sposa un altro, ha commesso adulterio”.

Alcune persone portarono a Gesù dei bambini perché imponesse loro le mani, ma i discepoli li allontanarono. Quando Gesù se ne accorse, si arrabbiò e disse loro : “Lasciate che i bambini vengano a me; non glielo impedite, perché il regno di Dio appartiene a quelli che sono come loro.”.(Mc10,2-16)

 È lecito ripudiare la propria moglie per qualsiasi motivo ?

 Gesù aveva già risposto a questa domanda nel Discorso della montagna. I farisei gliela posero per tentarlo. A renderla una domanda capziosa era il fatto che all’epoca era molto dibattuta tra due scuole ebraiche, quella di Hillel e quella di Shamaï, la prima molto rilassata, la seconda più severa sul divorzio. Inoltre, l’esempio dato da Erode Antipa, che regnava sulla Perea, e la fine di Giovanni Battista, che l’aveva rilevata, rendevano piuttosto pericolosa una soluzione rigorosa della questione, mentre una soluzione più libera avrebbe messo Gesù in contraddizione con Giovanni Battista.

Questa era la tentazione, la trappola tesa a Gesù dai suoi avversari. L’idea completa e vera del matrimonio presuppone innanzitutto che i due siano un cuore solo e un’anima sola ; tutto ciò che ha a che fare con la carne, in senso ristretto, è solo l’anello inferiore di questa unione.  La parola carne, nella Scrittura, abbraccia tutto l’uomo, tutto il suo essere, e questa idea è ben espressa dalle parole: una sola       carne. Si tratta dell’intimità assoluta e indissolubile del matrimonio, che Dio aveva in mente fin dall’inizio della creazione dell’uomo e che Gesù ha confermato con la sua autorità.

Inoltre, questa dichiarazione condanna la poligamia, che distrugge co    mpletamente il vero concetto di matrimonio. I farisei pensavano di avere dalla loro parte l’autorità di Mosè. Ma esageravano la portata della disposizione legale che invocavano, perché Mosè non aveva né comandato né voluto facilitare il divorzio ; al contrario, lo scopo della formalità da lui prescritta era di ostacolarlo.Gesù corregge l’espressione dei farisei dicendo “permesso”. Non era questa l’intenzione di Dio.

Se Mosè l’aveva permesso, era come un male necessario, volto a evitare mali maggiori, e solo a causa di quella durezza di cuore che vi rendeva incapaci di elevarvi al pensiero divino e di metterlo in pratica. e ci chiediamo come Dio, che è immutabile, abbia potuto sancire questa deviazione dalla sua stessa legge, la risposta sta nel fatto della caduta e del peccato che si è verificato fin dalla creazione dell’uomo.   Gesù ammetteva una sola causa legittima di divorzio e proibiva di sposare una donna che era stata ripudiata.

Quando disse questo, parlava dal punto di vista del suo regno, e i suoi discepoli non dovevano conformarsi a questo principio, l’unico su cui poggia il matrimonio cristiano.    Nessuna Chiesa soggetta all’autorità di Gesù poteva sancirne un altro. Questo significa che la società civile, nei Paesi che portano il nome della cristianità, sbaglia a legiferare per altre cause di divorzio e a permettere ai coniugi separati di contrarre un secondo matrimonio ?         

Tutti i cittadini di un Paese dovrebbero essere vincolati da un principio cristiano ? A questa domanda, e a molte altre simili, il cattolicesimo ha risposto sì, perché è la religione della costrizione e pretende nientemeno che di dominare la società ; il protestantesimo risponde no, perché vuole soprattutto sincerità e libertà morale.  Ma le Chiese vedano se possono, senza infedeltà, prestarsi a sancire, per quanto le riguarda, unioni nuziali contrarie alle parole di Gesù : “Se questa è la condizione dell’uomo nei confronti della donna, non è vantaggioso sposar si. (Mt 19,10).

I discepoli fecero questa osservazione a Gesù dopo che i farisei se ne furono andati. Essi stessi pensavano che la condizione imposta da Gesù all’uomo nei confronti della donna fosse troppo severa.   Pensav ano che se l’uomo non poteva rompere un’unione mal assortita, se doveva sopportare tutti i difetti e i vizi della moglie, tranne quello indicato da Gesù, sarebbe stato meglio non sposarsi.

Stiamo parlando solo della condizione del marito rispetto alla moglie, perché in Oriente e nell’antichità non era riconosciuta la parità di diritti a quest’ultima. Nel Vangelo la situazione è ben diversa. Per comprendere meglio il suo pensiero e la natura del tutto morale del dono che aveva in mente, Gesù distingue tre casi : quelli che, fin dal grembo della madre, a causa della loro particolare organizzazione, non sono adatti al matrimonio e quelli che sono stati resi tali dagli uomini.

In questi primi due casi, il dono della continenza è inteso in senso corporeo e non ha alcun valore religioso ; infine, ci sono coloro che hanno preso volontariamente questa risoluzione per amore del regno dei cieli, non per meritarlo, ma per dedicarvisi interamente e senza impedimenti terreni. Così Gesù, rispondendo ai discepoli, ha preso atto di un fatto, ma non ha preteso questo sacrificio, così come Paolo ha fatto nei suoi consigli. Non c’è nulla in queste parole che sia sfavorevole al matrimonio cristiano, né che attribuisca una particolare santità al celibato, tanto meno un argomento a favore del celibato forzato di un’intera classe di uomini.

Il diacono Michel Houyoux

 Link ad altri siti cristiani

Maranatha : clicca qui per leggere l’articolo → Liturgia della XX Domenica del Tempo Ordinario – Anno B

 Conferenza Episcopale Italiana : clicca qui per leggere l’articolo → XX DOMENICA DEL TEMPO ORDINARIO – ANNO B

Video   Padre Fernando Armellini : clicca qui → https://youtu.be/2oYXleWG-bI

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