Samedi de la vingt-sixième semaine du Temps Ordinaire Année Paire

Posté par diaconos le 5 octobre 2024

Évangile du jour du 01.10.2022 – Centre Romand de l'Apostolat Mondial de  Fatima

# Le Nouveau Testament emploie plusieurs fois le mot apôtre. Il s’applique à plusieurs catégories de personnes bien distinctes : les témoins de la Résurrection de Jésus, envoyés pour annoncer cet événement; un des ministères de l’Église primitive ; deux fois dans les évangiles (Mt 10,2 et Lc 6,13) : le groupe des Douze choisis par Jésus, d’abord pour les envoyer (Mt 10, 5-42), enfin pour être avec lui et pour signifier symboliquement le peuple de la fin des temps (Mt 19, 28).

Paul, qui ne fit pas partie des Douze Apôtres, est surnommé l’Apôtre sans autre précision, ou encore l’apôtre des Gentils .Le mot apôtre désigne un des douze disciples de Jésus-Christ. Il s’applique aussi aux personnes qui enseignent et répandent une religion à la manière des apôtres de Jésus. Par extension, il qualifie aussi les propagateurs d’une doctrine, d’une opinion, d’une cause. Dans le vocabulaire familier, apôtre désigne une personne qui va écouter aveuglément son maître à penser et qui propage activement ses idées.

Le Nouveau Testament témoigne aussi d’un apostolat conçu, dans la première Église, comme l’un des ministères essentiels. Les lettres de Paul parlent de faux apôtres. (2 Co 11, 13) Le premier exemple de texte apostolique est sans doute la lettre apostolique envoyée à l’Église d’Antioche à la suite des discours de Pierre (Ac 15, 7-12) et Jacques (Ac 15, 13-21) sur la décision du concile de Jérusalem sur l’observance des règles traditionnelles du judaïsme, notamment la circoncision (vers l’année 50).

Les textes ne sont pas toujours explicites sur le contenu de ce ministère, dont on peut penser qu’il comportait une dimension missionnaire itinérante : c’est ainsi que la Didachè atteste leur existence en Syrie au début du deuxième siècle. L’apostolat en effet, contrairement à l’épiscopat, ne s’exerce pas sur un territoire circonscrit et précis : il a une dimension universelle. Pierre en effet présida d’abord l’Église d’Antioche avant de présider l’Église de Rome.

La tradition de l’Église, en suivant les textes des Actes des Apôtres, adopte un collège apostolique modifié depuis la défection et la trahison de Judas l’Iscariote. Elle remplace celui-ci par Matthias et surtout par Paul. Le plus souvent, ces deux apôtres additionnels figurent ensemble parmi les Douze au détriment de l’un des onze appelés par Jésus-Christ. En tout cas Paul figure toujours dans le collège apostolique, à la seconde place après Pierre. La Tradition apostolique a été définie par Hippolyte de Rome au début du IIIe siècle.

C’est sur l’existence de ce ministère de l’Église antique que Calvin s’appuiera pour restructurer les ministères des Églises de la Réforme. Après les temps proprement apostoliques marquant la première période de l’histoire du christianisme, le terme apôtre s’applique aux missionnaires qui évangélisèrent un peuple ou un pays, souvent en dehors de leur lieu d’origine, et fondèrent ainsi une chrétienté locale, donna le nom de Pierre, André son frère, Jacques, Jean, Philippe, Barthélemy, Matthieu, Thomas, Jacques fils d’Alphée, Simon appelé le Zélote, Jude fils de Jacques, et Judas Iscariote, qui devint un traître. Jésus descendit de la montagne avec eux et s’arrêta sur un terrain plat.

Il y avait là un grand nombre de ses disciples et une grande multitude de gens venus de toute la Judée, de Jérusalem, et du littoral de Tyr et de Sidon. Ils étaient venus l’entendre et se faire guérir de leurs maladies ; ceux qui étaient tourmentés par des esprits impurs retrouvaient la santé. Et toute la foule cherchait à le toucher, parce qu’une force sortait de lui et les guérissait tous. (Lc 6, 12-19)

De l’Évangile de Jésus Christ selon Luc

En ce temps-là, les 72 disciples que Jésus avait envoyés revinrent tout joyeux, en disant : « Seigneur, même les démons nous sont soumis en ton nom. » Jésus leur dit : « Je regardais Satan tomber du ciel comme l’éclair. Voici que je vous ai donné le pouvoir d’écraser serpents et scorpions, et sur toute la puissance de l’Ennemi : absolument rien ne pourra vous nuire.     Toutefois, ne vous réjouissez pas parce que les esprits vous sont soumis ; mais réjouissez-vous parce que vos noms se trouvent inscrits dans les cieux. »

À l’heure même, Jésus exulta de joie sous l’action de l’Esprit Saint, et il dit : « Père, Seigneur du ciel et de la terre, je proclame ta louange : ce que tu as caché aux sages et aux savants, tu l’as révélé aux tout-petits. Oui, Père, tu l’as voulu ainsi dans ta bienveillance. » (Lc 10, 17-24) « Tout m’a été remis par mon Père. Personne ne connaît qui est le Fils, sinon le Père ; et personne ne connaît qui est le Père, sinon le Fils et celui à qui le Fils veut le révéler. » Puis il se tourna vers ses disciples et leur dit en particulier : « Heureux les yeux qui voient ce que vous voyez ! Car, je vous le déclare : beaucoup de prophètes et de rois ont voulu voir ce que vous-mêmes voyez, et ne l’ont pas vu, entendre ce que vous entendez, et ne l’ont pas entendu. » (Lc 10, 17-24)

Jésus en ces jours-là passa une nuit en prières sur la montagne. Le jour venu, il assembla autour de lui ses disciples dont il choisit douze, auxquels il donna le titre d’apôtres. Jésus revenu auprès de la foule opéra des guérisons. Jésus avec ses disciples redescendit jusqu’à un plateau de la montagne. Il y trouva une grande multitude, accourue de toute la Palestine. Une puissance divine, sortant de lui, opéra des guérisons.

D’une part, Jésus était parvenu au faite de son activité et de sa puissance divine. D’autre part, la haine de ses adversaires et leurs desseins meurtriers hâtaient la crise qu’il prévoyait déjà comme inévitable. Dans ces graves circonstances, il prit parmi ses disciples les douze apôtres et les établit comme ses témoins et ses ambassadeurs, chargés de continuer après lui son œuvre dans le monde.

Il se prépara à cet acte solennel par la prière dans un lieu écarté. Luc raconta fréquemment que Jésus se retirait dans la solitude pour prier. Luc ajouta seul que Jésus leur donna le titre d’apôtres, envoyés auprès de notre humanité pour continuer son œuvre par la prédication de l’Évangile.

Le nom d Jude, fils de Jacques, est propre à Luc. L’existence d’un apôtre de ce nom fut confirmée par Jean. Les évangélistes rappelèrent que Judas dénonça Jésus pour le faire arrêter. Matthieu, dans sa liste des apôtres, les nomma deux par deux : Pierre et André, Jacques et Jean, etc. Ce groupement répondait à la réalité historique, chaque paire ainsi réunie était liée, soit par des liens de parenté, soit d’une autre manière.

Quel auditoire se trouva là réuni pour entendre le discours de Jésus ! Des gens s’assemblèrent fréquemment autour de lui pour l’entendre, une grande multitude de peuple, accourue de toutes les contrées environnantes, soit pour l’entendre, soit pour être guéris de leurs maladies ; plusieurs de ces malheureux qui étaient en proie à la puissance des ténèbres : et ils étaient guéris. Ceux même qui ne pouvaient pas attirer sur eux l’attention de Jésus, au milieu de cette foule, et ils éprouvaient qu’une puissance divine sortait de lui et les guérissait tous.

Diacre Michel Houyoux

Compléments

◊ Diacre Michel Houyoux : cliquez ici pour lire l’article → Ce ne sont pas les gens bien portants qui ont besoin du médecin

◊ Thrueway  : cliquez ici pour lire l’article → Jésus choisit ses disciples

 ◊ Regnum Christi : cliquez ici pour lire l’article → Il passa toute la nuit à prier Dieu ; il appela ses disciples et en choisit douze auxquels il donna le nom d’apôtres

♥ Vidéo  Notre mission → https://youtu.be/a3sJ

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Siebenundzwanzigster Sonntag der gewöhnlichen Zeit – Jahr B

Posté par diaconos le 4 octobre 2024

Was aber Gott verbunden hat, das darf der Mensch nicht trennen.

Die Scheidung ist die offizielle Auflösung einer zivilen oder religiösen Ehe zwischen zwei Personen oder zwischen mehreren Personen im Falle der Polygamie. In der Rechtswissenschaft wird sie unterschieden von der faktischen Trennung, die keine rechtlichen Folgen hat, und von der rechtlichen Trennung, die rechtlich anerkannt ist, aber die Ehe intakt lässt. Sie ist nicht zu verwechseln mit der Annullierung einer Ehe, die darin besteht, zu erklären, dass die Ehe nie geschlossen wurde.

Im antiken Griechenland gab es in den einzelnen Städten unterschiedliche Formen der Scheidung. In Athen konnte sie im gegenseitigen Einvernehmen oder auf Initiative eines der Ehegatten erfolgen. In der Praxis wirkte die Mitgift als starke Bremse: Wurde die Ehe aufgelöst, erhielt die Frau ihre Mitgift – außer bei Ehebruch – mit 18 % Zinsen zurück.

Die Frau ihrerseits hatte das Recht, selbst die Scheidung zu beantragen, aber meistens wurde der Antrag durch ihren gesetzlichen Vormund (Vater, Bruder oder einen anderen männlichen Verwandten) gestellt : Der ordnungsgemäß begründete Antrag wurde dem Archon vorgelegt, der ihn prüfte und entschied, ob er ihm stattgab oder nicht. Misshandlung war ein gültiger Trennungsgrund, nicht aber die Untreue des Ehemanns.

In hellenistischer Zeit wurde die Scheidung förmlicher: Die Scheidung wurde urkundlich festgehalten und die Folgen wurden geregelt. Die wichtigste Bestimmung betraf die Mitgift, die an die Ex-Frau zurückgegeben wurde.   Die Frau hatte nie Anspruch auf einen Anteil am Familienvermögen. Auch die Römer praktizierten die Scheidung. Zunächst war das Recht auf Scheidung den Männern vorbehalten, doch bald erhielten auch die Frauen dieses Recht.

 Die Ehe, ursprünglich ein religiöser und sozialer Ritus, wurde wie der Rest der römischen Gesellschaft entheiligt. Sie wurde im Gesetz kodifiziert. Am Ende des Imperiums wurde die Scheidung kaum noch formell, denn aus Gründen der Vereinfachung wurde die Ehe einem Vertrag gleichgestellt.    In hellenistischer Zeit wurde die Scheidung förmlicher: Die Scheidung wurde urkundlich festgehalten und die Folgen wurden geregelt. Die wichtigste Bestimmung betraf die Mitgift, die an die Ex-Frau zurückgegeben wurde.

Einen Anspruch auf einen Anteil am Familienvermögen hatte die Frau nie. Auch die Römer praktizierten die Ehescheidung. Ursprünglich war das Recht auf Scheidung den Männern vorbehalten, doch bald erhielten auch die Frauen dieses Recht. Die Ehe, ursprünglich ein religiöser und sozialer Ritus, wurde wie der Rest der römischen Gesellschaft entheiligt. Sie wurde im Gesetz kodifiziert. Am Ende des Imperiums wurde die Scheidung kaum noch formell, denn aus Gründen der Vereinfachung wurde die Ehe einem Vertrag gleichgestellt.

Unverheiratete Personen wurden durch das Gesetz weiterhin benachteiligt. Im frühen Mittelalter war die Ehe nicht geweiht, und schriftliche Verträge wurden nicht mehr verwendet. Die Ehe diente nur dazu, Bündnisse zu besiegeln.  Es wurde als normal an gesehen, eine Ehe auflösen zu können. Die römisch-katholische Kirche hält nicht viel von Scheidungen und betrachtet die Ehe als unauflöslich. Die Regeln in diesem Bereich finden sich jedoch hauptsächlich in den Beschlüssen einzelner Konzilien, die sich oft nur mit bestimmten Fällen befassten und widersprüchliche Antworten gaben.

 Am frühen Mittelalter war die Ehe nicht geweiht, und schriftliche Verträge wurden nicht mehr verwendet. Die Ehe diente nur dazu, Bündnisse zu besiegeln.Es wurde als normal angesehen, eine Ehe auflösen zu können. Die römisch-katholische Kirche hält nicht viel von Scheidungen und betrachtet die Ehe als unauflöslich. Die Regeln in diesem Bereich finden sich jedoch hauptsächlich in den Beschlüssen einzelner Konzilien, die sich oft nur mit bestimmten Fällen befassten und widersprüchliche Antworten gaben.

 Aus dem Evangelium von Jesus Christus nach Markus

Zu jener Zeit traten einige Pharisäer an Jesus heran und fragten ihn, um ihn auf die Probe zu stellen : „Ist es erlaubt, dass ein Mann seine Frau wegschickt “Jesusantwortete : „Was hat euch Mose geboten ?“ Sie antworteten ihm : „Mose hat gesagt, dass es dem Ehemann erlaubt ist, seine Frau wegzuschicken, vorausgesetzt, er stellt einen Verzichtsvertrag aus.“ Jesus antwortete : „Wegen der Härte eures Herzens hat er diese Regel für euch aufgestellt.“

Aber am Anfang der Schöpfung hat Gott sie als Mann und Frau geschaffen. Deshalb wird der Mann seinen Vater und seine Mutter verlassen und sich an seine Frau binden, und die beiden werden ein Fleisch werden. So sind sie nicht mehr zwei, sondern ein.  Im frühen Mittelalter war die Ehe nicht geweiht, und schriftliche Verträge wurden nicht mehr verwendet. Die Ehe diente nur dazu, Bündnisse zu besiegeln. Es wurde als normal angesehen, eine Ehe auflösen zu können.

Die römisch-katholische Kirche hält nicht viel von Scheidungen und betrachtet die Ehe als unauflöslich. Die Regeln in diesem Bereich finden sich jedoch hauptsächlich in den Beschlüssen einzelner Konzilien, die sich oft nur mit bestimmten Fällen befassten und widersprüchliche Antworten gaben.   Einige Leute brachten Kinder zu Jesus, um ihnen die Hände aufzulegen, aber die Jünger wiesen sie ab. Als Jesus  das merkte, wurde er zornig und sagte zu ihnen : „Lasst die Kinder zu mir kommen; hindert sie nicht daran, denn das Reich Gottes gehört denen, die wie sie sind.“(Mk 10,2-16)

Ist es rechtmäßig, seine Frau aus irgendeinem Grund zu verstoßen?  

  Jesus hatte diese Frage bereits in der Bergpredigt beantwortet. Die Pharisäer hatten sie gestellt, um ihn in Versuchung zu führen. Die Frage war deshalb so brisant, weil sie zu jener Zeit zwischen zwei jüdischen Schulen, der des Hillel und der des Schamaï, sehr umstritten war, wobei die erstere eine sehr lockere, die letztere eine strengere Haltung zur Scheidung einnahm.

Außerdem machten das Beispiel des Herodes Antipas, der über Peräa herrschte, und das Ende Johannes des Täufers, der es übernommen hatte, eine strenge Lösung der Frage eher gefährlich, während eine lockerere Lösung Jesus in Konflikt mit Johannes dem Täufer gebracht hätte.  Dies war die Versuchung, die Falle, die Jesus von seinen Gegnern gestellt wurde. Die vollständige und wahre Vorstellung von der Ehe setzt zunächst voraus, dass die beiden ein Herz und eine Seele sind; alles, was mit dem Fleisch im engeren Sinne zu tun hat, ist nur das untergeordnete Glied in dieser Verbindung.

Das Wort „Fleisch“ umfasst in der Schrift den ganzen Menschen, sein ganzes Wesen, und dieser Gedanke wird durch die Worte „ein Fleisch“ gut ausgedrückt. Dies ist die absolute und unauflösliche Intimität der Ehe, die Gott von Anfang an bei der Erschaffung des Menschen im Sinn hatte und die Jesus mit seiner Autorität bestätigt hat.     Außerdem wird in dieser Aussage die Polygamie verurteilt, die das wahre Konzept der Ehe völlig zerstört.

Die Pharisäer dachten, sie hätten die Autorität des Mose auf ihrer Seite. Aber sie übertrieben die Tragweite der Rechtsvorschrift, auf die sie sich beriefen, denn Mose hatte die Ehescheidung weder befohlen noch erleichtern wollen ; im Gegenteil, der Zweck der von ihm vorgeschriebenen Formalität war es, sie zu verhindern. Jesus korrigiert den Ausdruck der Pharisäer, indem er sagt : „erlaubt“. Das war nicht die Absicht Gottes.

Wenn Mose es erlaubte, dann nur als notwendiges Übel, um größere Übel zu verhindern, und nur wegen jener Herzenshärte, die euch unfähig machte, den göttlichen Gedanken aufzunehmen und ihn in die Tat umzusetzen.  Wenn wir uns fragen, wie Gott, der unwandelbar ist, diese Abweichung von seinem eigenen Gesetz genehmigen konnte, liegt die Antwort in der Tatsache des Sündenfalls und der Sünde, die seit der Erschaffung des Menschen eingetreten sind.

 Jesus ließ nur einen einzigen legitimen Grund für eine Scheidung zu und verbot, eine verstoßene Frau zu heiraten. Als er dies sagte, sprach er aus der Perspektive seines Reiches, und seine Jünger sollten sich nicht an diesen Grundsatz halten, der der einzige ist, auf dem die christliche Ehe beruht.  Keine Kirche, die der Autorität Jesu untersteht, könnte eine andere sanktionieren. Bedeutet dies, dass die Zivilgesellschaft in Ländern, die den Namen des Christentums tragen, Unrecht hat, wenn sie andere Scheidungsgründe gesetzlich zulässt und getrennten Eheleuten erlaubt, eine zweite Ehe einzugehen?

Sollten alle Bürger eines Landes an ein christliches Prinzip gebunden sein ? Auf diese und viele andere Fragen antwortet der Katholizismus mit Ja, denn er ist die Religion des Zwangs und beansprucht nichts weniger als die Herrschaft über die Gesellschaft ; der Protestantismus antwortet mit Nein, denn er will vor allem Aufrichtigkeit und moralische Freiheit.

Aber die Kirchen sollen sehen, ob sie sich ohne Untreue dazu herablassen können, in ihrem Bereich Ehen zu sanktionieren, die den Worten Jesu widersprechen : „Wenn ein Mann so zu einer Frau steht, ist es nicht gut für ihn, sie zu heiraten. „ (Mt 19,10).  Diese Bemerkung machten die Jünger Jesus gegenüber, nachdem die Pharisäer gegangen waren. Sie waren der Meinung, dass die Bedingung, die Jesus dem Mann in Bezug auf die Frau auferlegt hatte, zu streng war.

Sie waren der Meinung, dass es besser wäre, nicht zu heiraten, wenn der Mann eine unglückliche Verbindung nicht auflösen könnte, wenn er alle Fehler und Laster seiner Frau ertragen müsste, außer dem einen, auf das Jesus hingewiesen hatte.   Wir sprechen nur von der Stellung des Ehemannes gegenüber der Ehefrau, denn im Osten und in der Antike wurde letztere nicht als gleichberechtigt anerkannt. Im Evangelium stellt sich die Situation ganz anders dar.

Zum besseren Verständnis seines Denkens und des rein moralischen Charakters der Gabe, die er im Sinn hatte, unterscheidet Jesus drei Fälle : diejenigen, die vom Mutterleib an aufgrund ihres besonderen Aufbaus nicht für die Ehe geeignet sind, und diejenigen, die von den Menschen dazu gemacht wurden. In den ersten beiden Fällen wird die Gabe der Enthaltsamkeit im leiblichen Sinne verstanden und hat keinen religiösen Wert; schließlich gibt es diejenigen, die diesen Entschluss freiwillig um des Himmelreiches willen gefasst haben, nicht um ihn zu verdienen, sondern um sich ihm ohne irdische Hindernisse ganz zu widmen.

So stellte Jesus in seiner Antwort an die Jünger eine Tatsache fest, verlangte aber nicht dieses Opfer, wie es Paulus in seinen Ratschlägen tat. Diese Worte sprechen weder gegen die christliche Ehe noch schreiben sie dem Zölibat eine besondere Heiligkeit zu, geschweige denn sind sie ein Argument für die Zwangszölibatierung einer ganzen Klasse von Männern.

Diakon Michel Houyoux

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Vendredi de la vingt-sixième semaine du Temps Ordinaire – Année Paire

Posté par diaconos le 4 octobre 2024

Luc 10:16 LSG

# Capharnaüm est un village de pêcheurs de l’ancienne province de Galilée, sur la rive nord-ouest du lac de Tibériade (ou lac de Génézareth, ou mer de Galilée) au nord de l’État d’Israël. Sous la dynastie des Hasmonéens, ce village faisait de 6 à 10 hectares et sa population avoisinait les 1 700 personnes. Capharnaüm était lié à la lecture de l’évangile selon Saint-Marc, sur l’attroupement lors de la venue de Jésus Actuellement, il s’agit d’une grande ville de commerce.

Le site fut occupé au IIIe millénaire av. J.-C. et à l’âge du bronze (moyen et récent). Après une période d’abandon à l’âge du fer, le site fut occupé à nouveau au Ve siècle av. J.-C. Une cité fut fondée au début de la dynastie hasmonéenne de Judée, car les monnaies les plus anciennes retrouvées sur le site datent du IIe siècle av. J.-C .Elle était située près de la frontière de la province de Galilée, sur un embranchement de la route commerciale appelée Via Maris. À l’époque du récit de l’Évangile, Capharnaüm comprenait un poste de douane et une petite garnison romaine commandée par un centurion, ce qui expliqua la présence de l’apôtre Lévi, dit Matthieu, qui avait un bureau d’où il prélevait la taxe maritime sur les pêches et la taxe frontalière sur les marchandises.                      

Capharnaüm est citée seize fois dans les évangiles, ce qui en fait le lieu le plus cité après Jérusalem : « Lorsque Jésus entendit que Jean avait été jeté en prison, il revint en Galilée. En quittant Nazareth, il se rendit à Capharnaüm, situé à proximité du lac, dans la région de Zabulon et de Naphtali et il y séjourna, se fixant dans la maison de Pierre à partir duquel il rayonna durant son ministère. Bourgade de pêcheurs et de paysans ne comptant pas plus de 1 000 habitants, les juifs pieux (comme en atteste la découverte archéologique de récipients de type hérodien destinés aux purifications rituelles) fréquentant la synagogue et proches de la tradition ancestrale furent peu réceptifs à la parole de Jésus qui maudit le village : « Et toi, Capharnaüm, seras-tu donc élevée jusqu’au ciel ? Non, tu descendras jusqu’au séjour des morts !x

Bethsaïde (bourgade voisine de Capharnaüm au bord du lac de Tibériade, mais située de l’autre côté du Jourdain) est présentée dans le Nouveau Testament comme ville d’origine des apôtres Pierre et de son frère André, de Philippe et semble avoir un lien avec Nathanaël. Au IIe siècle, après la destruction de Jérusalem et l’interdiction à tous Juifs d’y pénétrer, Capharnaüm est peuplée de Juifs nazôréens et d’artisans venus du reste de l’Empire byzantin. Il y a 1 500 habitants au Ve siècle[réf. nécessaire]. Une église byzantine est construite sur les restes de ce qui est appelé « la maison de saint Pierre », dont on remarque encore les vestiges.

De l’Évangile de Jésus Christ selon Luc

En ce temps-là, Jésus disait : « Malheureuse es-tu, Corazine ! Malheureuse es-tu, Bethsaïde !  Car, si les miracles qui ont eu lieu chez vous avaient eu lieu à Tyr et à Sidon, il y a longtemps que leurs habitants auraient fait pénitence, avec le sac et la cendre. D’ailleurs, Tyr et Sidon seront mieux traitées que vous lors du Jugement. Et toi, Capharnaüm, seras-tu élevée jusqu’au ciel ? Non, jusqu’au séjour des morts tu descendras ! Celui qui vous écoute m’écoute ; celui qui vous rejette me rejette ; et celui qui me rejette rejette celui qui m’a envoyé. »(Lc 10, 13-16) 

 Reproches aux villes impénitentes

Jésus prononça un triple jugement sur Corazin, sur Bethsaïda et sur Capharnaüm, qui virent la plupart de ces miracles et ne se furent pas repenties. Il compara leur condition à celle de Tyr et de Sidon et du pays de Sodome. Il déclara qu’elles furent plus coupables et seront traitées plus rigoureusement au jour du jugement.  Jésus rendit grâces à son Père de ce qu’il cacha les choses qui concernent le salut aux sages et les eurent révélées aux enfants. Il parla de sa relation unique avec son Père qui lui eut remis toutes choses, qui seul le connut, qui ne fut connu que de lui et de ceux à qui il voulut le révéler.

Corazin n’est mentionné ni dans l’Ancien Testament, ni dans Josèphe, et le Nouveau Testament ne nomme cette ville que dans cette péricope et dans le passage parallèle de Luc. Jérôme la désigna comme une ruine à deux lieues de Capharnaüm sur les bords du lac de Génézareth. Des voyageurs modernes ont cru retrouver son emplacement dans des ruines portant le nom de Kerazeh et qui sont situées à une heure au nord-est de Capharnaüm dans l’intérieur des terres.

Bethsaïda patrie de Pierre, d’André et de Philippe, était également située à quelque distance de Capharnaüm, sur le bord occidental du même lac. Les miracles de Jésus qui furent accomplis dans ces villes ne furent pas rapportés dans l’évangile. Cette omission confirma une déclaration de Jean. À ces villes privilégiées, Jésus opposa, afin de leur faire sentir leur ingratitude et leur responsabilité, les grandes cités païennes et corrompues de Tyr et de Sidon qui, à cause du voisinage de la Syrie, s’offraient naturellement comme points de comparaison.

Avec les mêmes moyens de grâce, elles se seraient repenties dans le sac et la cendre. Allusion à l’usage pratiqué chez les Juifs de se revêtir d’une tunique d’étoffe sombre et grossière et de se répandre de la cendre sur la tête ou de s’asseoir sur la cendre. Si Tyr et Sidon avaient vu les œuvres de Jésus, avaient entendu sa parole, elles se seraient repenties : et elles ne le connurent pas. 

Capharnaüm avait réellement été élevée jusqu’au ciel par la présence, les œuvres, la prédication du Fils de Dieu au milieu d’elle. Son incrédulité la fera descendre au jour du jugement jusqu’au séjours des morts. Ce séjour des morts est un lieu d’attente : ceux qui l’habitent ne sont encore ni heureux ni malheureux ; mais après le jugement il devient pour les condamnés le lieu des tourments.

Cette comparaison avec Sodome est encore plus humiliante que celle qui précède avec Tyr et Sidon. Sodome subsisterait, n’aurait pas été détruite par un terrible jugement de Dieu. On voit quelle réalité le Seigneur attribue aux faits de l’histoire biblique. « Quand Christ fait entendre ce malheur qui est un jugement, c’est qu’il le ressent dans son cœur par sa tendre compassion, et sa parole est l’annonce du jugement extérieur pour ceux qui sont déjà, au dedans, sous le jugement de l’endurcissement.  » (Lange)

Diacre Michel Houyoux

Liens avec d’autres sites chrétiens

◊ Radio DonBosco-Fandraisana : cliquez ici pour lire l’article → Vendredi, Vingt-sixième Semaine du Temps Ordinaire

 Biblia.com  : cliquez ici pour lire l’article →Matthieu 11.20–23 LSG – Alors il se mit à faire des reproches reproches aux villes impénitentes

Vidéo Capharnaüm : cliquez ici pour lire l’article → https://youtu.be/3eJsKQyjKMw

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Twenty-seventh Sunday in Ordinary Time – Year B

Posté par diaconos le 3 octobre 2024

Therefore what God has joined together, let no man separate | Picture ...

Divorce is the official break-up of a civil or religious marriage between two persons, or between several persons in the case of polygamy. In law, it is distinguished from de facto separation, which has no legal consequences, and from legal separation, which is legally recognised but leaves the marriage intact. It is not to be confused with marriage annulment, which consists of declaring that the marriage never took place.

In ancient Greece, divorce existed in different forms in different cities. In Athens, it could be obtained by mutual agreement or on the initiative of one of the spouses. In practice, the dowry acted as a powerful brake: when the marriage was dissolved, the wife regained her dowry – except in cases of adultery – with 18% interest. The wife, for her part, had the right to ask for a divorce on her own, but most often the request was request, duly motivated, was presented to the archon, who examined it and decided whether or not to grant it. Mistreatment was a valid ground for separation, but not the husband’s infidelity.

In the Hellenistic period, divorce became more formal: legal documents recorded the divorce and laid down the consequences. The most important provision concerned the dowry, which was returned to the ex-wife.   The woman was never entitled to any share in the family fortune. The Romans also practised divorce. At first, the right to divorce was reserved for men, but women soon obtained it.

Marriage, initially a religious and social rite, became desacralised like the rest of Roman society.  It was codified in law. At the end of the Empire, divorce became barely formal, because for reasons of simplification marriage was assimilated to a contract. Single people were still disadvantaged by the law. However, the rules in this area are mainly found in the decisions of individual councils, which often only dealt with specific cases and gave contradictory answers.

n the early Middle Ages, marriage was not consecrated and written contracts fell into disuse. Marriage only served to seal alliances. It was considered normal to be able to break a marriage. The Roman Catholic Church is not very much in favour of divorce and considers marriage indissoluble.

From the Gospel of Jesus Christ according to Mark

At that time, some Pharisees approached Jesus and, to test him, asked him : ‘Is it lawful for a husband to send his wife away?’ Jesus answered : ‘What did Moses command you?’ They answered him : ‘Moses said that it was lawful for a husband to send away his wife, provided he drew up a deed of repudiation.’Jesus answered: ‘Because of the hardness of your hearts, he established this rule for you.’

But at the beginning of creation, God made them male and female. Therefore the man will leave his father and mother and be joined to his wife, and the two will become one flesh. So they are no longer two, but one flesh.‘What God has joined together, let no man put asunder.’ When the disciples returned home, they asked him again about this. He said to them, ‘Whoever sends away his own wife and marries another commits adultery with her. If a woman who has sent away her husband marries another, she has committed adultery’.

Some people brought children to Jesus to lay hands on them, but the disciples turned them away. When Jesus realised this, he became angry and said to them: ‘Let the children come to me; do not prevent them, for the kingdom of God belongs to those who are like them.’(Mk 10,2-16)

What God has joined together, let no man put asunder

 Is it lawful to repudiate one’s wife for any reason ? Jesus had already answered this question in the Sermon on the Mount. The Pharisees asked it to tempt him. What made it a captious question was the fact that at the time it was much debated between two Jewish schools, that of Hillel and that of Shamaï, the former very relaxed, the latter more strict on divorce.

Jesus had already answered this question in the Sermon on the Mount. The Pharisees asked it to tempt him. What made it a captious question was the fact that at the time it was much debated between two Jewish schools, that of Hillel and that of Shamaï, the former very relaxed, the latter more strict on divorce. Moreover, the example set by Herod Antipas, who ruled over Perea, and the end of John the Baptist, who had taken it over, made a strict solution to the issue rather dangerous, whereas a looser solution would have put Jesus at odds with John the Baptist.

This was the temptation, the trap set for Jesus by his opponents. The complete and true idea of marriage presupposes first of all that the two are one heart and one soul; everything to do with the flesh, in a narrow sense, is only the inferior link in this union.The word flesh, in Scripture, embraces the whole man, his whole being, and this idea is well expressed by the words: one flesh. This is the absolute and indissoluble intimacy of marriage, which God had in mind from the beginning of man’s creation and which Jesus confirmed with his authority.

Furthermore, this statement condemns polygamy, which completely destroys the true concept of marriage. The Pharisees thought they had the authority of Moses on their side. But they exaggerated the scope of the legal provision they invoked, because Moses had neither commanded nor wished to facilitate divorce ; on the contrary, the purpose of the formality he prescribed was to hinder it.

Jesus corrects the Pharisees’ expression by saying “allowed”. This was not God’s intention. If Moses had permitted it, it was as a necessary evil, intended to prevent greater evils, and only because of that hardness of heart that made you incapable of rising to the divine thought and putting it into practice.

If we ask how God, who is immutable, could have sanctioned this deviation from his own law, the answer lies in the fact of the fall and sin that has occurred since the creation of man. Jesus admitted only one legitimate cause for divorce and forbade marrying a woman who had been repudiated.

 When he said this, he was speaking from the perspective of his kingdom, and his disciples were not to conform to this principle, the only one on which Christian marriage rests. No Church subject to Jesus’ authority could sanction another. Does this mean that civil society, in countries that bear the name of Christianity, is wrong to legislate for other causes of divorce and to allow separated spouses to contract a second marriageIs it lawful to repudiate one’s wife for any reason ?

Jesus had already answered this question in the Sermon on the Mount. The Pharisees asked it to tempt him. What made it a captious question was the fact that at the time it was much debated between two Jewish schools, that of Hillel and that of Shamaï, the former very relaxed, the latter more strict on divorce.

Moreover, the example set by Herod Antipas, who ruled over Perea, and the end of John the Baptist, who had taken it over, made a strict solution to the issue rather dangerous, whereas a looser solution would have put Jesus at odds with John the Baptist.  This was the temptation, the trap set for Jesus by his opponents.

The complete and true idea of marriage presupposes first of all that the two are one heart and one soul; everything to do with the flesh, in a narrow sense, is only the inferior link in this union.   The word flesh, in Scripture, embraces the whole man, his whole being, and this idea is well expressed by the words: one flesh.

This is the absolute and indissoluble intimacy of marriage, which God had in mind from the beginning of man’s creation and which Jesus confirmed with his authority.

urthermore, this statement condemns polygamy, which completely destroys the true concept of marriage. The Pharisees thought they had the authority of Moses on their side. But they exaggerated the scope of the legal provision they invoked, because Moses had neither commanded nor wished to facilitate divorce; on the contrary, the purpose of the formality he prescribed was to hinder it.

Jesus corrects the Pharisees’ expression by saying “allowed”. This was not God’s intention. If Moses had permitted it, it was as a necessary evil, intended to prevent greater evils, and only because of that hardness of heart that made you incapable of rising to the divine thought and putting it into practice.

If we ask how God, who is immutable, could have sanctioned this deviation from his own law, the answer lies in the fact of the fall and sin that has occurred since the creation of man. Jesus admitted only one legitimate cause for divorce and forbade marrying a woman who had been repudiated.

When he said this, he was speaking from the perspective of his kingdom, and his disciples were not to conform to this principle, the only one on which Christian marriage rests. No Church subject to Jesus’ authority could sanction another.

Does this mean that civil society, in countries that bear the name of Christianity, is wrong to legislate for other causes of divorce and to allow separated spouses to contract a second marriage?

 Should all citizens of a country be bound by a Christian principle? To this question, and many others like it, Catholicism answers yes, because it is the religion of constraint and claims nothing less than to dominate society; Protestantism answers no, because it wants above all sincerity and moral freedom.

But let the Churches see if they can, without infidelity, lend themselves to sanctioning, as far as they are concerned, nuptial unions contrary to the words of Jesus : ‘If this be the condition of a man towards a woman, it is not profitable for him to marry her. ‘ (Mt 19,10).

The disciples made this remark to Jesus after the Pharisees had left. They themselves thought that the condition Jesus imposed on the man with regard to the woman was too strict. They thought that if the man could not break an ill-assorted union, if he had to put up with all his wife’s faults and vices except the one Jesus pointed out, it would be better not to marry.

We are only talking about the status of the husband in relation to the wife, because in the East and in antiquity the latter was not recognised as having equal rights. In the Gospel, the situation is quite different.

In order to better understand his thought and the entirely moral nature of the gift he had in mind, Jesus distinguishes three cases: those who, from their mother’s womb, because of their particular set-up, are not suitable for marriage and those who have been made so by men.

 In these first two cases, the gift of continence is understood in a bodily sense and has no religious value; finally, there are those who have voluntarily made this resolution for love of the kingdom of heaven, not to merit it, but to dedicate themselves entirely to it without earthly impediments.

Thus Jesus, responding to the disciples, noted a fact, but did not demand this sacrifice, as Paul did in his counsels. There is nothing in these words that is unfavourable to Christian marriage, nor that attributes any particular holiness to celibacy, much less an argument in favour of the forced celibacy of an entire class of men.

Deacon Michel Houyoux

Links to other Christian sites

Loyola Press : click here to read the paper →Twentieth Sunday of Ordinary Time, Cycle B

 Young Catholics : click here to read the paper →20th Sunday in Ordinary Time Year B

Video Speak Life ando Armellini : click here → https://youtu.be/nMHG80buzfs

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