Il sera la splendeur des rescapés d’Israël

Posté par diaconos le 27 novembre 2022

Le jugement dernier | Albi

Le jugement qui détruit les pécheurs

Du livre du prophète Isaïe

Ce jour-là, le Germe que fera grandir le Seigneur sera l’honneur et la gloire des rescapés d’Israël, le Fruit de la terre sera leur fierté et leur splendeur. Alors, ceux qui seront restés dans Sion, les survivants de Jérusalem, seront appelés saints : tous seront inscrits à Jérusalem pour y vivre. Quand le Seigneur aura lavé la souillure des filles de Sion, purifié Jérusalem du sang répandu, en y faisant passer le souffle du jugement, un souffle d’incendie, alors, sur toute la montagne de Sion, sur les assemblées qui s’y tiennent, le Seigneur créera une nuée pendant le jour et, pendant la nuit, une fumée avec un feu de flammes éclatantes.

Et au-dessus de tout, comme un dais, la gloire du Seigneur : elle sera, contre la chaleur du jour, l’ombre d’une hutte, un refuge, un abri contre l’orage et la pluie.  (Is 4, 2-6)

Le reste d’Israël sanctifié et glorifié

Par le jugement qui détruit les pécheur, Sion est purifiée, par conséquent sauvée. Un reste seulement a donc part au salut, reste saint, qui vit désormais paisible et glorieux sous l’égide de Jéhovah. Le discours se termine par un tableau lumineux semblable à celui qui en avait été le texte (Is 2, 2-4). Isaïe passa sans transition du tableau du jugement à celui de la gloire, parce que le jugement, en rendant le salut possible, fut le point de départ du relèvement. Dans l’accomplissement historique, le châtiment qui est décrit ici comme unique, s’est réparti en une série de jugements successifs ; et de même la gloire annoncée ne se réalise que graduellement.

Le germe de l’Éternel n’est pas le reste saint destiné à former le noyau du nouveau peuple de Dieu, car c’est pour ce reste même, pour les réchappés, que ce germe sera un ornement et une gloire. Cette expression ne peut non plus désigner simplement les produits du sol, que la bénédiction de Dieu fera germer. Car des bénédictions purement temporelles ne caractériseraient pas ici assez dignement la gloire de Sion restaurée et n’expliqueraient pas ce résultat magnifique : que les peuples regardent à elle et reconnaissent son Dieu comme le leur (Is 2, 2).

Isaïe désigna ailleurs le Messie comme un rejeton qui surgit du tronc d’Isaïe. C’est par ce germe qu’eut lieu le relèvement du peuple de Dieu, L’application de ce passage au Messie est confirmée par le nom de germe, que Jérémie  donna à ce personnage. Chez ce dernier prophète, ce terme devint même une espèce de nom propre : « Je vais faire venir mon serviteur Germe… Voici un homme dont le nom est Germe. » L’ornement et la gloire… C’est le Messie lui-même qui sera l’ornement de son peuple ; la gloire répandue par sa présence remplacera celle dont le jugement l’a dépouillé (Is 3, 16 à 4.1).

Dieu est appelé l’ornement du reste d’Israël. Le fruit de la terre désigne la prospérité temporelle dont jouit Israël sous le règne du Messie. Les rechapés, le reste : les fidèles épargnés par le jugement, la semence sainte (Is 6, 13). Sera appelé saint. Ce n’est pas là un vain titre ; on les appellera ainsi, parce qu’ils le seront réellement. Séparés des pécheurs, qui auront péri dans le jugement et purifiés de leurs souillures, qu’emportera le souffle de l’Esprit de Dieu, ils réaliseront l’idée du peuple sacerdotal (Ex 19, 6).

Inscrits pour la vie. Dieu inscrit, met à part les fidèles qu’il veut épargner dans le jugement. Cette image s’explique par l’usage qu’avaient les Israélites d’inscrire dans un registre les habitants de chaque ville. (Nb 1, 18 ; 1 Cr 9, 1 ; Es 2 ; Ez 13, 9). Moïse intercédant pour Israël parla du livre de Dieu (Ex 32, 32). justes. (Dn 12, 1 ; Lc 10, 20 ; Ph  4, 3). Deux éléments caractérisent le péché de Jérusalem : la souillure des filles de Sion, leur luxe, leur conduite légère (is 3, 16) ; et le sang demeuré dans les rues de la ville à la suite des injustices et des meurtres qui y furent commis (Is 1, 15 ; Is  3, 14-15).

Volupté et cruauté vont ensemble. ’Esprit ou le souffle de Dieu est l’organe de son action dans les créatures : par son Esprit il crée, soutient, vivifie (Ps 104.29-30), mais aussi il juge et détruit (Is 11, 4). Jean-Baptiste dit du Christ jugeant : Il baptisera d’Esprit et de feu« L’Éternel créera, sur toute l’étendue de la montagne de Sion et sur son assemblée, une nuée durant le jour et une fumée, et l’éclat d’une flamme ardente pendant la nuit. » : les gens qui s’y assemblèrent au temps des grandes fêtes.

Le même feu produit, de jour, une fumée qui donne de l’ombre, et, de nuit, une flamme qui éclaire. Cette image est tirée de l’histoire du séjour d’Israël au désert. La sortie d’Égypte est le type de la délivrance finale d’Israël et de toutes les délivrances particulières qui la préparent. Au désert, la nuée reposait sur le tabernacle, résidence visible de Jéhovah  ; ici, elle repose sur toute l’assemblée, parce que celle-ci même est devenue le véritable sanctuaire où Dieu habite. Il n’est plus question de temple (Ase 21, 22).

Sur toute sa gloire… La gloire dont le Messie fait part à Sion  est mise à l’abri de tout danger : Dieu couvre comme d’un dais toute l’assemblée des élus ; dans sa communion, ils n’eurent plus aucun péril à redouter  La gloire promise  à Sion se réalisa spirituellement par le moyen de la prédication de l’Évangile (Ésaïe 2.2, note), mais elle est destinée à éclater un jour d’une manière visible, à tous les yeux.

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◊ Témoignage : cliquez ici pour lire l’article  →  En Israël, des rescapés de la Shoah défient en collocation la solitude et le silence

◊ Documentaire : les rescapés de la Shoah  : cliquez ici pour voir la vidéo → La précarité des rescapés de la Shoah

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s Il sera la splendeur des rescapés d’Israël » (Is 4, 2) -Sr Marie Claire

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Le Seigneur rassemble toutes les nations dans la paix éternelle du royaume de Dieu

Posté par diaconos le 26 novembre 2022

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Du livre du prophète Isaïe

    Parole d’Isaïe, ce qu’il a vu au sujet de Juda et de Jérusalem , il arrivera dans les derniers jours que la montagne de la maison du Seigneur se tiendra plus haut que les monts, s’élèvera au-dessus des collines. Vers elle  afflueront toutes les nations  et viendront des peuples nombreux. Ils diront : « Venez ! montons à la montagne du Seigneur, à la maison du Dieu de Jacob ! Qu’il nous enseigne ses chemins, et nous irons par ses sentiers. »

Oui, la loi sortira de Sion, et de Jérusalem, la parole du Seigneur. Il sera juge entre les nations et l’arbitre de peuples nombreux. De leurs épées, ils forgeront des socs, et de leurs lances, des faucilles. Jamais nation contre nation ne lèvera l’épée ; ils n’apprendront plus la guerre. Venez, maison de Jacob ! Marchons à la lumière du Seigneur. » (Is 2, 1-5) 

La gloire de la maison de l’Éternel aux derniers jours

« La parole qu’Ésaïe, fils d’Amots, a reçue touchant Juda et Jérusalem » (Is 2, 1) :  les deux discours  datent des premiers temps du règne d’Achaz : la prospérité acquise sous Ozias et Jotham durait encore (Is 2. 7), mais la dissolution morale progressait, l’idolâtrie se répandait (Is 2, 6) et un gouvernement incapable menait le peuple à sa ruine (Is  3, 12).  Les derniers jours furent les prophètes ceux où toutes les choses promises furent  réalisées. Ce terme coïncida pour chacun d’eux avec la fin de la période dans laquelle il vécut. Pour Jacob, ce fut l’époque de la conquête de Canaan (Gn49, 4) ; pour Balaam, le temps où Israël  vainquit  ses ennemis.

L’horizon recula ainsi pour les voyants à mesure que les temps avancèrent et que les diverses phases du développement du règne de Dieu se découvrirent successivement à leurs regards. Pour Ésaïe et les prophètes de la même période, la fin des temps fut l’époque de la venue du Messie sur la terre (Jl 2, 28 ; Dn 2, 28 ; Dn 2, 44). Pour les apôtres et pour l’Église, les derniers jours désignent la période qui s’étend de la première à la seconde venue du Seigneur (1 Jn 2, 18 ; 1 P 4, 7).

La montagne de la maison de l’Éternel  : la colline du temple, Morija, est l’un des sommets de la montagne sur laquelle est bâtie la ville de Jérusalem et qui est habituellement nommée Sion dans l’Ancien Testament.  Jérusalem est dominée à l’est et au sud par les montagnes voisines, celle des Oliviers, par exemple. Mais elle sera alors élevée au-dessus de toutes les montagnes ; on la verra de toutes parts et elle deviendra le rendez-vous des peuples.

Jéhovah, adoré par tous les peuples, devint l’arbitre et par là même le pacificateur universel. Les haines de peuple à peuple disparaissent avec les fausses religions ; soumis à un même roi, tous ne formèrent qu’une famille. L’art de la guerre ne s’enseigna plus et les armes devenues inutiles furent changées en instruments de travail. Cette image rappelle le passage où Joël, parlant d’une phase antérieure à celle-ci, décrivit une transformation contraire. Nous assistons de nos jours à la réalisation de cette promesse.

À mesure que l’Évangile se répand, la conscience humaine proteste de plus en plus contre la guerre et cherche à en adoucir les horreurs. Ainsi se prépare le règne de justice et de paix promis par Isaïe. Puisque la lumière qui éclaira Israël est destinée à se répandre dans le monde entier, Israël dut en profiter lui-même et craindre de se laisser devancer par les païens. Mais, au contraire, il se convertit à leurs faux cultes et à leurs mœurs corrompues ; il attira ainsi sur lui le jugement de Dieu.

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Sainte Marguerite d’Ecosse (1046-1093)

Posté par diaconos le 16 novembre 2022

Sainte Marguerite, Reine et Patronne de l'Écosse (1046-1093). Fête le 16  Novembre.

Biographie

En 1016, la mort du roi anglais Edmond Côte de Fer permit au Danois Knut le Grand de prendre le contrôle de toute l’Angleterre. Les deux jeunes fils d’Edmond, Édouard et Edmond, furent envoyés sur le continent (ou exilés par Knut). Ils finirent en Hongrie, où  naquit Marguerite, la fille d’Édouard et de son épouse Agathe, d’ascendance incertaine1. Ce ne fut  qu’en 1057 qu’Édouard put rentrer en Angleterre, mais il mourut peu de temps après, laissant trois enfants : Marguerite, Edgat et Chtistine. Après la conquête normande de l’Angleterre en1066, la fratrie se réfugia à la cour du royaume d’Écosse. Quelques années plus tard, en 1069, Marguerite épousa le roi Malcom III Canmore à Dumfermlines.

D’après l’hagiographie de Turgot, Marguerite mène une vie exemplaire et s’intéresse particulièrement à la liturgie. Elle s’efforça de mettre les pratiques écossaises en conformité avec celles observées dans le reste de la chrétienté, tout en respectant certaines spécificités du pays, comme les ermites Céli Dé. Elle mourut le 16 novembre 1093, trois jours après la mort de son époux et de leur fils aîné Édouard lors d’un taid sur Almrwick, dans le Northumberland  ; les deux événements furent liés. Elle fut inhumée auprès de Malcolm en l’Abbaye de Dunfermlines. Marguerite fut canonisée un siècle et demi après sa mort, en 1250, par le pape <innocent IV. En 1673 Clément X la nomma sainte patronne de l’Écosse. Entre-temps, ses restes et ceux de son époux furent transférés à l’Escurial par le roi d’Espagne Philippe II.

Marguerite et Malcolm eurent huit enfants, deux filles et six fils : Édouard (tué en 1093) ;  Edmond (mort après 1097) ; Ethelred (mort après 1093) ;  Edgar (vers 1074 – 8 ou 15 janvier 1107), roi d’Écosse de 1097 à 1107 ; Alexandre Ier (vers 1080 – 23 avril 1124), roi d’Écosse de 1107 à sa mort ;  Mathilde (1080-1118), épousa en 1100 le roi d’Angleterre Henri Ier ; Marie (1082-1116), épousa le comte  Rustache III de Boulogne ; David Ier (vers 1084)

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◊ Sainte Marguerite d’Écosse   : cliquez ici pour lire l’article →   Centre Romand de l’Apostolat Mondial de Fatima 

Diocèse d’Obala : cliquez ici pour lire l’article →        Ste Marguerite, reine d’Écosse

♥ Vidéo Sainte Marguerite d’Écosse

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Sainte Élisabeth de Hongrie

Posté par diaconos le 15 novembre 2022

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Un royal exemple de miséricorde et de charité

Élisabeth de Hongrie  fut une souveraine de Thuringe membre du Tiers Ordre dransciscain et reconnue sainte par l’Église catholique. Sa fête est fixée au 17 novembre. L’ordre Teutonique fit construire une église gothique destinée à recevoir ses reliques. Celles-ci attirèrent des foules nombreuses faisant de Marbourg un grand centre de pèlerinage de l’Occident chrétien.

Biographie

Élisabeth fut une fille du roi André II de Hongrie (dynastie des Àpád)  et de Gertrude d’Andechs-Meran (dynastie des Babenberg.  Elle fut fiancée à quatre ans et mariée à quatorze ans au landgaanderave Louis IV de Thuringe, Elisabeth de Hongrie vécut de 1211 à 1228 au château de Wartbourg auprès de son époux, de ses enfants et de sa belle-mère, la landgravine douairière Sophie de Bavière. Le couple fut très uni et eut trois enfants : Hermann II  (1222-1241), sans alliance ; Sophie (1224-1275) épousa en  1240 Henri II, duc de Brabant et de Lothier (1207-1248) ; Gertrude (1227-1297), née après la mort de son père, confiée à l’abbaye prémontrée d’Altenberg où elle devint religieuse puis abbesse. « Bienheureuse » de l’Église catholique.

 Des franciscains allemands firent découvrir à la jeune Landgravine l’esprit de François d’Assise et elle décida alors de renoncer à une vie de luxe et de frivolité pour se mettre au service des pauvres. Sa piété la fit juger extravagante voire indigne par la cour et notamment sa belle-mère, la landgravine Sophie. Ainsi, entrant dans une église, la jeune souveraine déposa sa couronne au pied de la croix ; sa belle-mère la critiqua et lui fit remarquer publiquement que son attitude fut indigne d’une princesse. Élisabeth lui rétorqua qu’elle ne saurait porter une couronne d’or quand son Dieu porta une couronne d’épine. Son époux mourut de la peste en 1227. Elle n’avait que 20 ans mais refusa d’être remariée. Sa belle-famille la chassa avec ses trois enfants. Son oncle, évêque, calma la famille. Les trois enfants furent élevés par la famille ducale.

Elle prit pour directeur spirituel Conrad de Marbourg. Celui-ci la traita sans ménagement, voire avec une cruauté à laquelle elle répondit par une douceur exemplaire. Désormais, elle consacra toute sa vie et son argent aux pauvres pour qui elle fit construire un hôpital. Élisabeth s’inspira du Tiers-ordre franciscain récemment fondé par François d’Assise et lui apporta des aides. Durant les trois dernières années de sa vie, elle s’impliqua dans son hôpital avec d’autres femmes encouragées par sa dévotion à l’image d’une petite communauté religieuse. Elle moutut à 24 ans à Marbourg.

Le miracle des roses

On dit qu’elle portait secrètement du pain aux pauvres dEisenach, à pied et seule, ce que réprouva son mari. Un jour qu’il la rencontra sur son chemin, celui-ci, contrarié, lui demanda ce qu’elle cachait ainsi sous son manteau. Elle lui répondit d’abord que c’étaient des roses, puis, se rétractant, elle lui avoua, pour finir, que c’était du pain, et lorsque son mari lui ordonna alors d’ouvrir son manteau, il n’y trouva que des roses : ce fut le miracle de sainte Élisabeth de Hongrie. On trouve un récit similaire dans la vie de la petite-nièce de la landgravine, Élisabeth de  Portugal, et en France chez Rosaline de Villeneuve.

Son père étant le frère de Constance, épouse d’Ottokar Ier de Bohême, Élisabeth fut la cousine germaine de sainte Agnès de Bohême. Elle fut aussi la tante de la bienheureuse Marguerite de Hongrie et, par sa mère, la nièce de sainte  Edwidge de Silésie mais aussi d’Agnès de Méranie, épouse contestée du ro Philippe III de France. Élisabeth de Hongrie, par ailleurs, arrière-petite-fille de Renaud de Châtillon et Constance d’Antioche, descendait de  Philippe Ier de France de la dynastie capétienne.

Nombre de princesses portèrent son prénom, par exemple Élisabeth-Charlotte de Bavière (1652-1722), duchesse d’Orléans, belle-sœur du roi Louis XIV de France, célèbre pour sa correspondance, sa fille Élisabeth – Charlotte d’Orléans (1676-1744), duchesse puis régente de Lorraine et de Bar, jusqu’à la duchesse Élisabeth de Wittrelsbach, impératrice d’Autriche, célèbre par son surnom « Sissi » qui milita pour l’indépendance de son royaume de Hongrie, la nièce de celle-ci Élisabeth de Bavère, reine des Belges et son arrière-petite-fille la princesse héritière Élisabeth de Belgique et la princesse  Élisabeth de Hesse. 1864-1918), grande duchesse de Russie, canonisée par l’Église orthodoxe russe. Elisabeth de France, sœur de Louis XVI, guillotinée (1764-1794).

Iconographie

Elle peut être représentée soit en princesse, soit en tertiaire franciscaine. Lorsqu’elle est représentée en princesse, elle porte une couronne sur la tête et dans les mains la Biblee où sont posées deux couronnes. Sur le tableau de Tobias Pock, elle se vit apposer la couronne par l’enfant Roi lui-même tenu par  Notre Dame entourés de saint Georges et de sainte Hélène. Ces couronnes  représentèrent sa naissance royale, sa piété austère et son abstinence, soit se comprendre comme les trois nœuds de la cordelière fransciscaine représentant les vœux de Pauvreté, Chasteté et Obéissance. Elle tient à la main une aumône, un broc, une corbeille de pain, de fruits et de poissons ; elle peut aussi avoir un tablier avec des roses.  On la retrouve dans les fresques de saints représentés par Simone Martini à la basilique Saint François d’Assisse (1312-1318).

Diacre Michel Houyoux

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♥    Vidéo Famille de Marie, reine des apôtres  : « Sainte Élisabeth de Hongrie »

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