Samedi de la vingt-quatrième semaine du Temps Ordinaire – Année Paire

Posté par diaconos le 21 septembre 2024

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# Matthieu, est un personnage juif lié à la Galilée qui apparaît pour la première fois dans les Évangiles synoptiques, où il est appelé soit Matthieu, soit Lévi. Il y est décrit comme un publicain percepteur d’impôts, que Jésus appela pour devenir un de ses douze apôtres. Pour les historiens modernes, il convient de dissocier l’apôtre Matthieu et le rédacteur de l’Évangile dit selon Matthieu. Ce livre a probablement été composé dans les années 80, sans doute à partir d’une version de l’Évangile selon Marc à laquelle ont été adjointes des paroles de Jésus issues de ce que les spécialistes appellent la Source Q. L’apôtre Matthieu est assimilé à Lévi, fils d’Alphée.

Il n’existe, dans l’historiographie récente sur les origines du christianisme, aucune information concernant l’apôtre Matthieu. Il n’apparaît que dans le Nouveau Testament. Matthieu est un publicain (percepteur des impôts) à Capharnaüm, responsable peut-être du péage d’Hérode. Il a obligatoirement une instruction plus élevée que les pêcheurs du lac, Pierre et André ou encore Jacques et Jean, les fils de Zébédée. Mais, du fait de son métier, il est mal vu des autres Juifs. Les publicains sont perçus, sinon comme des traîtres, du moins comme des agents de l’occupant romain.

# Saint Matthieu, est un personnage juif lié à la Galilée qui apparaît pour la première fois dans les Évangiles synoptiques, où il est appelé soit Matthieu, soit Lévi. Il y est décrit comme un publicain percepteur d’impôts, que Jésus appela pour devenir un de ses douze apôtres.    Pour les historiens modernes, il convient de dissocier l’apôtre Matthieu et le rédacteur de l’Évangile selon Matthieu. Ce livre a probablement été composé dans les années 80, sans doute à partir d’une version de l’Évangile selon Marc à laquelle ont été adjointes des paroles de Jésus issues de ce que les spécialistes appellent la Source Q..

Il n’existe, dans l’historiographie récente sur les origines du christianisme, aucune information concernant l’apôtre Matthieu. Il n’apparaît que dans le Nouveau Testament. Les éléments biographiques concernant l’apôtre de Jésus nommé Matthieu proviennent des Évangiles uniquement. Le Nouveau Testament le cite dans la liste des Douze (Mt 10:3 ; Mc , 18 ; Lc 6, 15), où il porte le nom de Matthieu. D’autres passages mentionnent un collecteur d’impôts (Mt 9, 92 ; Mc 2:13-14 ; Lc 5, 27-28). Il apparaît une dernière fois en Actes 1:13. La tradition chrétienne a identifié l’apôtre Matthieu à l’auteur de l’Évangile selon Matthieu.,

Selon Irénée de Lyon (IIe siècle), à l’époque où Pierre et Paul affermissaient la communauté des disciples de Jésus à Rome (vers l’an 60 ou 61), Matthieu, qui annonçait la Bonne Nouvelle de Jésus-Christ aux Hébreux de Palestine et de Syrie, fut prié de rédiger une version synthétique de la vie et de l’enseignement de Jésus , une forme écrite de l’évangile, en araméen.  De même, Eusèbe de Césarée affirme au IVe siècle : «Matthieu prêcha d’abord aux Hébreux. Comme il devait aussi aller vers d’autres, il confia à l’écriture, dans sa langue maternelle, son évangile, suppléant du reste à sa présence par le moyen de l’écriture, pour ceux dont il s’éloignait ».x

Eusèbe s’appuya sur le récit de Papias, écrit vers l’année 120, et nota : Matthieu réunit donc en langue hébraïque les logia et chacun les interpréta comme il en était capable. Toujours selon Eusèbe, Pantène (v.240-v. 306), docteur chrétien qui dirigea l’Académie d’Alexandrie, trouva à son arrivée aux Indes cet évangile en caractères hébreux. Ce manuscrit aurait été apporté par l’apôtre Barthélémy aux populations locales, qui l’auraient depuis précieusement conservé. Sur la question de la fin de sa mission et de sa mort, coexistent de nombreuses traditions concurrentes de la Tradition apostolique d’Hippolyte de Rome (troisième siècle) le rattache à la Parthie, dans l’Iran actuel, où il mourut à Hiérapolis. Le Martyrologe hiéronymien le fait également mourir en Perse et donne comme lieu de sa sépulture la ville de Tarrium. Isidore de Séville (VIIe siècle) le fait prêcher en Macédoine.

 De l’Évangile de Jésus Christ selon Matthieu

En ce temps-là, Jésus sortit de Capharnaüm et vit, en passant, un homme, du nom de Matthieu, assis à son bureau de collecteur d’impôts. Il lui dit : « Suis-moi. » L’homme se leva et le suivit. Comme Jésus était à table à la maison, voici que beaucoup de publicains, c’est-à-dire des collecteurs d’impôts et beaucoup de pécheurs vinrent prendre place avec lui et ses disciples. Voyant cela, les pharisiens disaient à ses disciples : « Pourquoi votre maître mange-t-il avec les publicains et les pécheurs ? »

Jésus, qui avait entendu, déclara : « Ce ne sont pas les gens bien portants qui ont besoin du médecin, mais les malades. Allez apprendre ce que signifie : Je veux la miséricorde, non le sacrifice. En effet, je ne suis pas venu appeler des justes, mais des pécheurs. » (Mt 9, 9-13)

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Jésus passant devant le bureau des péages, appela Matthieu à le suivre, ce qu’il fit aussitôt. Il invita Jésus pour un repas, et, avec lui, beaucoup de péagers et de gens mal famés. Des pharisiens voyant cela, demandèrent aux disciples comment il se fit que leur Maître mangea avec de telles gens. Jésus répondit : «Ce sont précisément les malades qui ont besoin de médecin. Ils purent le savoir, car l’Écriture dit : « Dieu prend plaisir à la miséricorde, non au sacrifice »  : Jésus appela des pécheurs, non des justes.

En ce moment des disciples de Jean-Baptiste demandèrent à Jésus pourquoi ceux qui le suivirent ne pratiquèrent pas la loi du jeûne. Il leur répondit que ses disciples ne purent être dans le deuil ou la tristesse tant que l’époux fut avec eux, mais des jours vinrent où ils jeûnèrent. Puis il s’appliqua à leur faire comprendre, par deux comparaisons frappantes, que la vie nouvelle qu’il apporta au monde fut incompatible avec les vieilles institutions légales, et même qu’elle exigea l’entier renouvellement de l’homme intérieur.

Matthieu ne nous dit pas dans quelle maison, il garda là-dessus un silence plein de modestie, mais. Luc nota que c’était la maison de Matthieu Lévi, dans laquelle celui-ci fit  un grand banquet. Il voulut ainsi, dans le zèle de son premier amour, offrir à tous ces péagers et ces pécheurs qu’il invita, une occasion de voir et d’entendre Celui à qui il venait de consacrer sa vie. Quelques interprètes prétendirent que, selon Matthieu comme selon Marc, ce repas avait lieu dans la maison de Jésus, et ils virent une contradiction entre les deux premiers évangélistes et Luc. Mais par quelle raison cette foule de péagers aurait-elle tout à coup envahi la maison de Jésus ? Marc  et Luc racontèrent aussi cette vocation d’un disciple avec les mêmes détails de lieu, de temps, de circonstances, il s’agissait d’un fait identique dans les trois récits. Tandis que Marc appela ce disciple Matthieu, les deux autres le nommèrent Lévi.

Le nom de Matthieu se retrouve dans tous les catalogues des apôtres, tandis que celui de Lévi n’y paraît jamais. Matthieu appelé en cette circonstance à l’apostolat changea son nom de Lévi en celui de Matthieu, qui signifie don de Dieu. Ainsi Simon prit le nom de Pierre Saul celui de Paul. Matthieu, péager lui-même, avait invité plusieurs de ses amis ayant la même vocation. Les pharisiens, dans leur orgueilleuse propre justice, se croyaient en santé ou justes  ; ils n’avaient donc pas  besoin d’un médecin, de ce Sauveur qui venait guérir les âmes de leurs maladies morales.

Mais ceux qui se portèrent mal, les malades, ces pécheurs qui se sentirent tels et qui l’entourèrent, eux avaient besoin de lui, et ce fut pourquoi ils l’écoutaient avec bonheur leur parler de pardon et de réconciliation avec Dieu. Jésus fit ainsi aux pharisiens une certaine concession, admettant une différence morale extérieure entre eux et les péagers, mais c’était une  concession ironique, comme dit Calvin, car au fond leur orgueil et leur dureté de cœur envers ces pauvres pécheurs que Jésus recevait, les rendaient, malgré leurs lumières, plus coupables qu’eux devant Dieu.

Diacre Michel Houyoux

Liens avec d’autres sites web chrétiens

Regnum Christi : cliquez ici pour, lire l’article →Je ne suis pas venu appeler des justes, mais des pécheurs

Véronique Belen : cliquez ici pour, lire l’article → Je ne suis pas venu appeler des justes, mais des pécheurs

Vidéo Lectio Divina : cliquez ici https://youtu.be/ZS6kS1mFXAg

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Fünfundzwanzigster Sonntag der Ordinarius-Zeit- Jahr B

Posté par diaconos le 19 septembre 2024

 Jesus-unterweist-seine-Jünger | TreuimGlauben.de

Jesus belehrt seine Jünger

Aus dem Evangelium Jesu Christi nach Markus

In jenen Tagen zog Jesus mit seinen Jüngern durch Galiläa, und er wollte nicht, dass es jemand erfuhr, denn er lehrte seine Jünger und sagte zu ihnen : « Der Menschensohn wird in die Hände der Menschen ausgeliefer. » Aber die Jünger verstanden diese Worte nicht und hatten Angst, ihn zu befragen. Sie kamen nach Kafarnaum, und als sie zu Hause waren, fragte Jesus sie : « Worüber habt ihr auf dem Weg diskutiert ? » Sie schwiegen, denn auf dem Weg hatten sie untereinander darüber diskutiert, wer der Größte sei.

Als Jesus sich gesetzt hatte, rief er die Zwölf zu sich und sagte zu ihnen : « Wenn jemand der Erste sein will, soll er der Letzte von allen und der Diener aller sein. » Dann nahm er ein Kind, stellte es in ihre Mitte, küsste es und sagte zu ihnen : « Wer ein solches Kind in meinem Namen aufnimmt, der nimmt mich auf. Und wer mich aufnimmt, der nimmt nicht mich auf, sondern den, der mich gesandt hat. »

Jesus belehrt seine Jünger

Nachdem Jesus Cäsarea Philippi verlassen hatte, zog er durch Galiläa und versuchte, unbekannt zu bleiben, damit er seine Jünger über seinen bevorstehenden Tod und seine Auferstehung belehren konnte. Sie verstanden ihn nicht und wagten es nicht, ihn zu fragen. Wer war der Größte? In Kafarnaum fragte Jesus sie, worüber sie auf dem Weg gesprochen hatten. Sie schwiegen verwirrt. Jesus erklärte ihnen feierlich, dass derjenige, der der Erste sein will, der Letzte sein wird, der Diener aller.

Er umschlang ein kleines Kind mit seinen Armen und sagte : « Wer eines dieser Kleinen aufnimmt, nimmt es auf und nimmt Gott auf. » Jesus erklärte : «Es wäre besser, mit einem Mühlstein um den Hals ins Meer geworfen zu werden, als einen dieser Kleinen, die an mich glauben, zu empören. » Die Hand, der Fuß, das Auge sollen geopfert werden, wenn sie für uns eine Gelegenheit zum Fall sind, damit wir nicht in die Gehenna fallen, wo der Wurm nicht stirbt und das Feuer nicht erlischt. Jeder Mensch soll mit Feuer gesalzen werden, so wie jedes Opfer mit Salz gesalzen werden soll.

Das Salz ist gut, solange es seinen Geschmack nicht verliert; lasst uns Salz in uns selbst haben und Frieden untereinander halten. Und sie gingen von da weiter und zogen durch Galiläa ; und er wollte nicht, dass es jemand erfuhr. Jesus lehrte seine Jünger und sagte zu ihnen : «  „Der Menschensohn wird in die Hände der Menschen ausgeliefert werden; sie werden ihn töten, und drei Tage, nachdem er getötet worden ist, wird er auferstehen. » (Mk 9, 31) Aber sie verstanden dieses Wort nicht und fürchteten sich, ihn zu fragen. Ohne diese Vorhersage zu verstehen, ahnten sie etwas Schmerzliches darin; Matthäus sagt, dass sie darüber sehr betrübt waren ; und deshalb fürchteten sie sich, ihn zu fragen.

Im Matthäusevangelium waren es die Jünger, die Jesus die Frage stellten : « Wer ist der Größte ? » Lukas berichtete, dass eine Diskussion zwischen ihnen stattgefunden hatte und dass Jesus, als er dies wusste, ein Kind in ihre Mitte stellte. Markus zufolge erkundigte er sich zuerst nach dem Thema ihres Gesprächs, und Markus merkte an, dass die Jünger verstummten, weil sie in seiner Gegenwart beschämt waren, weil sie eine Frage aufgeworfen hatten, die ihren Ehrgeiz verriet.

Als er sich gesetzt hatte, rief er die Zwölf zusammen und sagte zu ihnen : «Wenn jemand der Erste sein will, soll er der Letzte von allen und der Diener aller sein ». Es lag etwas Feierliches in der Art und Weise, wie Jesus sich auf seine Rede vorbereitete. Jesus hatte nicht gesagt: Wer der Erste sein will, der sei der Letzte und der Diener aller, sondern: Er wird es sein ; er gab keinen Rat, wie man wahre Größe erreichen kann. Er zeigte die Erniedrigung, die die unvermeidliche Folge des Stolzes ist, gemäß dem ewigen Grundsatz des Reiches Gottes : « Wer sich selbst erhöht, wird erniedrigt werden“. Er sagte kein zukünftiges Gericht voraus, sondern nannte eine gegenwärtige Tatsache: Hochmut ist Erniedrigung, Demut ist Größe.

« Wer eines dieser Kindlein in meinem Namen aufnimmt, der nimmt mich auf; und wer mich aufnimmt, der nimmt nicht mich auf, sondern den, der mich gesandt hat » (Mk 9,37). Als Jesus erklärte, dass derjenige, der ihn aufnimmt, Gott selbst aufnimmt, drückte er einen Gedanken aus, der sich oft im Johannesevangelium findet, z. B. in dem Wort : « Ich und der Vater sind eins. » In der Parallelstelle bei Matthäus gab Jesus im Zusammenhang mit dem kleinen Kind, das er als Vorbild vorstellte, eine weitere, nicht minder wichtige Anweisung.

Diakon Michel Houyoux

Links zu anderen christlichen Websites

◊ Predgtforum : Klicken Sie hier, um den Artikel zu lesen → Predigten zum 22. Sep. 2024 – 25. Sonntag im

◊ Bible Gateway : hier klicken, um den Artikel zu lesen → Lukas 11 NGU-DE;HOF – Jesus lehrt seine Jünger beten

Video Gemeinde Gottes Eppingen : hier klicken →https://youtu.be/INBpH2mUkXcss

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Twenty-fifth Sunday in Ordinary Time – Year B

Posté par diaconos le 18 septembre 2024

Just so, the Son of Man did not come to be served but to serve and to give  his life as a ransom for many | Praying Through the Scriptures


From the Gospel of Jesus Christ according to Mark

At that time Jesus was going through Galilee with his disciples, and he did not want anyone to know, for he was teaching his disciples, saying to them, ‘The Son of Man is being handed over into the hands of men ; they will kill him, and three days after his death he will rise again.’ But the disciples did not understand these words and were afraid to question him. When they got to Capernaum, Jesus asked them at home, ‘What were you discussing on the way ? They were silent, because on the way they had been discussing among themselves who was the greatest. When Jesus had sat down, he called the Twelve together and said to them : ‘ « If anyone wishes to be first, he must be last of all and servant of all. » Then he took a child, placed him in their midst, kissed him, and said to them : «Whoever welcomes a child like this in my name welcomes me. And whoever welcomes me does not welcome me, but the One who sent me.»

Jesus teaches his disciples

After leaving Caesarea Philippi, Jesus went through Galilee, trying to remain unknown so that he could teach his disciples about his imminent death and resurrection. They did not understand and dared not question him. Who was the greatest ? In Capernaum, Jesus asked them what they had been talking about on the way. They fell silent, confused. Jesus told them solemnly that whoever wanted to be first would be last, the servant of all. He put his arms around a little child and said : «Whoever receives one of these little ones receives him and receives God »

.Jesus said, ‘It would be better to be thrown into the sea with a millstone around my neck than to offend one of these little ones who believe in me. The hand, the foot, the eye must be sacrificed, if they are an occasion for us to fall, lest we fall into Gehenna where the worm does not die, where the fire is not quenched. Every person will be salted with fire, just as every sacrifice must be salted with salt. Salt is good as long as it doesn’t lose its flavour ; let us have salt in ourselves and remain at peace with one another. When they had gone on from there, they went through Galilee, and he did not want anyone to know about it.

Jesus was teaching his disciples, and he said to them : « The Son of Man will be handed over into the hands of men; they will kill him, and three days after his death he will rise again. » (Mk 9, 31).But they did not understand these words and were afraid to ask him. Although they did not understand the prediction, they sensed something painful in it ; Matthew says that they were greatly saddened by it, and that is why they feared to ask him. In the Gospel according to Matthew, it was the disciples who asked Jesus the question : « Who is the greatest ? »

Luke tells us that a discussion had taken place between them and that Jesus, knowing this, placed a child in their midst. According to Mark, he first asked about the subject of their conversation, and Mark observed that the disciples remained silent because they were ashamed in his presence to have raised a question that betrayed their ambition. Sitting down, he called the twelve and said to them, ‘If anyone wishes to be first, he shall be last of all and servant of all.’ There was something solemn in the way Jesus prepared to speak. Jesus did not say: whoever wants to be first, let him be last and servant of all, but: he will be; he did not give advice on how to achieve true greatness. 

He showed the humiliation that is the inevitable consequence of pride, according to that eternal principle of the kingdom of God : «Whoever exalts himself will be humbled ». He was not predicting a future judgement, but stating a present fact: pride is a lowering, humility is a greatness. «Whoever receives one of these little children in my name receives me; and whoever receives me does not receive me, but Him who sent me » (Mk 9, 37). 

By declaring that whoever receives him receives God himself, Jesus expressed a thought that is often found in John’s Gospel, for example in the words : « I and the Father are one. In the parallel passage in Matthew, Jesus gave another instruction of no less importance, concerning the little child he presented as a model. » 

Deacon Michel Houyoux


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Loyola Press : click here to read the paperTwenty-Fifth Sunday in Ordinary Time, Cycle C | Loyola Press

frcanicenjku : click here to read the paperHomily for the 25th Sunday of Ordinary Time, Year B

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Mercredi de la vingt-quatrième Semaine du Temps Ordinaire — Année Paire

Posté par diaconos le 18 septembre 2024

 

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Nous avons joué de la flûte et vous n’avez pas pleuré

De l’Évangile de Jésus Christ selon Luc

En ce temps-là, Jésus disait à la foule : « À qui donc vais-je comparer les gens de cette génération ? À qui ressemblent-ils ? Ils ressemblent à des gamins assis sur la place, qui s’interpellent en disant :“Nous avons joué de la flûte, et vous n’avez pas dansé. Nous avons chanté des lamentations, et vous n’avez pas pleuré. » Jean le Baptiste est venu, en effet ; il ne mange pas de pain, il ne boit pas de vin, et vous dites : “C’est un possédé !” Le Fils de l’homme est venu ; il mange et il boit, et vous dites : “Voilà un glouton et un ivrogne, un ami des publicains et des pécheurs.”  Mais, par tous ses enfants, la sagesse de Dieu a été reconnue juste. (Lc 7, 31-35)

 Aus­té­rité de la vie de Jean

Les deux évan­gé­listes rendirent à peu près dans les mêmes termes cette pa­ra­bole si hu­mi­liante pour la génération qu’elle concer­na. Ce fut avec une iro­nie pleine de tris­tesse que Jé­sus la com­para à des en­fants mé­con­tents et bou­deurs, que rien ne put in­té­res­ser. Dans Mat­thieu, Jé­sus dé­crivit l’aus­té­rité de la vie de Jean en ces termes : « ne man­geant ni ne bu­vant », ex­pres­sion évi­dem­ment hy­per­bo­lique. Luc y  substitua celle-ci : « Ne man­geant pas de pain et ne bu­vant pas de vin«   ce qui fut ri­gou­reu­se­ment vrai : « Lui, Jean, portait un vêtement de poils de chameau, et une ceinture de cuir autour des reins ; il avait pour nourriture des sauterelles et du miel sauvage. » (Mt 3, 4)

Mat­thieu rap­porta la der­nière pa­role de ce dis­cours, que Jé­sus pro­non­ça avec une joie pro­fonde : «  Mais la sa­gesse a été jus­ti­fiée de la part de ses enfants ».Luc ajouta ce mot si­gni­fi­ca­tif : « tous ses en­fants »

Diacre Michel, Houyoux

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◊ Regnum Christi : cliquez ici ,pour lire l’article →  « Nous avons joué de la flûte, et vous n’avez pas pleuré

Père Gabriel   Nous avons joué de la flûte

♥ La Foi prise au mot  : cliquez ici →  https://youtu.be/jHrkXsg4SQs

 

 

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